Un jour, tout en voulant y simplifier cette si belle destinée, ce qui sans le moindre détail d’exécution se mettait en branle et ce, sans la moindre autorisation de ma part, ceci étant finalement que la plus belle des missions de visualisation, soit celle de pouvoir un jour en résumer en une seule capsule la totalité de cette journée mimée ou non , chemin ayant mis sur ma route une si belle boutade de répétition à la sortie de chacune de ses si belles réinitialisations après une si belle nuit si étoilée départageant ainsi cette remise en pli pour une autre levée du jour débordante de ce surplus d’amitié avec cette si belle liberté de pouvoir ainsi redire merci merci merci, à toute heure du jour, à ma façon, et ce, face à cette si belle passion de vie mis en priorité pour la meilleure des authenticités à proposer à cet environnement si stimulant.
C’est en ce retour à la réalité que je me suis permis, enfin, ceci étant libre à chacun de la retrouver intacte ou non au nom de celle ou celui qui l’aura même détruite en passant quelques années si lumineuses à l’ombre même de cet attachement si important, ainsi aura été ces dix, vingt, trente et même plus de moments présents si bien accumulés tout en les oubliant de temps à autres de l’autre côté de cet étalage de production animalière, ou céréalière, cette capacité de tout inventorier ce qui en le minimisant se traduira en tout temps par une multitude d’ingrédients élémentairement si soutenant pour un seul habitant retenant son propre souffle de visualisation, y attendant le prochain train lui annonçant la fin de ce si beau départ vers cette stature si bien pressentie comme étant celle ayant portée ombrage à cette statue , flambeau dans la main, hautement suggérée par cette liberté en panne sèche de carburant face à ces si beaux moments présents, si enflammés, extérieurement parlant, bien évidemment.
Alors, pourquoi avoir autant de difficulté à avaler son propre comprimé , celui qui, de jour en jour se permettra que de mieux me réveiller à cette capacité, cette facilité de m’émerveiller face à cet environnement si performant, si florissant, si énergisant, en tout temps, en toute gratuité, qui, comme par magie aurait fort à faire pour me satisfaire tellement mon intérêt pour mon attachement à ces recettes vite faites, ce ramassis de manières de faire de son propre talent, la dernière chose à mettre sous cette lumineuse arme de ce déclin si américanisé, ces coeurs d’enfants si bien oubliés abusant ainsi de son propre pouvoir discrétionnaire, ce retour à ce moment de contemplation mettant ainsi mon doigt sur ce si beau bouton blanc, rouge ou noir, ceci faisant maintenant partie que de la plus pure fantaisie à mettre dans mon coffre si bien outillé l’ayant si bien apprivoisé ses dernières années si bien éclairées par une telle proximité avec tout cet amour enfin retrouvé, en toute profondeur, tout au creux de cette si belle demeure.
Pourquoi me redemanderas-tu?
Tout ceci se résumera en un temps record, par la bouche de cette mouche qui, un jour aura bien pris le temps d’y ausculter cette parodie si personnalisée, lui demandant en tout instant comment faire pour te satisfaire.
Vous savez ce qu’elle lui a répondu?
C’est alors que le tout de cette totalité si bien individualisée a débuté, en l’informant que le plus grand des désirs à contenter lui sera ainsi mimer, gesticuler, dit et redit, à tout instant tout au long de cette journée si bien instaurée, soleil levant lui indiquant son propre point de départ pour y embobiner tout ce qui, en pleine nuit, lui permettra que de mieux le visualiser tout en respirant tout librement, ce temps de prévisualisation face à cette journée à peine arrêtée formant ainsi ce point de focalisation, le temps nécessaire à cet encapsulation y comprimant ainsi ces si belles manières de remettre en avant plan tout en souriant ou non, tout au long de cette journée à travailler si fort pour le moindre réconfort, chemin si bien forgé par un patron qui vit et vivra en tout temps, sourire aux lèvres, et ce , quelque soi le montant d’énergie ou d’argenterie mis à sa disposition, comme de raison.
Difficile à comprendre, j’en conviendrai, ce qui pour moi, ton propre patron de visualisation, celui qui, un jour, aura si bien compris que tout ce j’aurai à mettre en évidence l’aura été inspiré par cette liberté de t’exécuter, souriant que constamment ou suffoquant comme en ce moment, exténué de devoir en tout circonstance remettre à cette évidence si bien acquise au nom de ces communiqués si bien enseignés, ce pouvoir de s’éduquer que pour mieux en limiter cette exécution en guise de reconstruction, intérieurement parlant, ce retour à la maison se voulant que la meilleure des réconciliations au nom même de cette révolution, positivement parlant , bien évidemment.
Par où aller pour commencer à y ressentir cette satisfaction si personnalisée me redemanderas-tu?…l’ayant si bien prononcer , prononcer et prononcer encore une autre fois, mettant ainsi en boucle cette source de questionnement si fièrement acquise à la sortie de ce noyau si bien formé de nutriments primaires, cette source d’allaitement se voulant finalement le meilleur émerveillement que tout nouvel habitant aura reçu en cadeau de bienvenue se rapprochant ainsi de cette intériorité, si enflammée, après tant d’années d’oubli devant autant de soucis financiers ou non, tout ceci étant maintenant à la portée de tous ceux et celles qui un jour, se redemanderont comment faire pour sourire à belles dents, et ce, malgré des couleurs de chevelures si adorées ou si effilochées, après tant d’années à avoir dû y vider le fond de ses propres poches, pantalons devenus trop lourds, par manque d’amour avec cette proximité perdue en pleine ruelle, et ce, quelque soit la couleur de ce ciel si bleu pourtant vu comme écran de fon par tant d’amoureux de cette vie, si bien remplie de moments présents, si inspirants, bien évidemment.
Par où commencer , finalement?
Tout ceci se résumera , encore une fois, par cette si belle demande en mariage à faire ou non, comme si, comme par magie , tout ceci se voulait cet exercice d’étirement à mettre en priorité tendant la main à cet itinérant qui dans le besoin le plus élémentaire cherchant qu’à mieux y inspirer ceux et celles qui, de jour en jour, auront même eu le privilège de s’éparpiller, ici et là, de long en large, de haut en bas, ou de bas en haut, et ce ,en fonction de cette autorisation qui vous aura été accordé de monter dans cet échafaudage, cette échelle de salaison si bien nettoyée par mesure de sécurité que pour mieux en profiter,une fois que ce tout petit roi aura été mis en cage, dans un entourage, au minutage si bien décompté de peur de devoir y débourser quelques sous supplémentaires malgré cette capacité d’en payer le prix juste à cette arrivée, ce tout nouveau départ, soleil levant se contentant que de remettre en avant plan tout ce à quoi, toi seul aura si bien voulu remettre en avant plan, lui redonnant ainsi cette capacité de t’y annoncer cette si belle nouvelle du jour au chant du coq si énervé de pouvoir ainsi y saluer son propre propriétaire enfin revenu sur terre si raffermie, par une simplicité si appréciée , par cette humanité en panne sèche d’hydratation, ayant si bien voulu se retenir, de peur de devoir se convertir en un simple annonceur de nouvelles noircies par des influences si extériorisées à toutes heures du jour, te voici revenu au centre même de ce poste de pilotage, ce ballon gonflable si alourdi , par tant de parodies, de ces jours-ci.
Je ne t’en dirai pas plus pour aujourd’hui, tu sais maintenant que toi seul aura un jour le plaisir d’y poursuivre tes propres désirs, chemins formant ainsi ses temps d’intériorisation inspirés par ces temps d’arrêt au puit le plus puissant qui ne te soit possible d’en soutirer que la moitié de son propre lubrifiant, l’autre moitié étant maintenant laisser à la disponibilité de ce libre choix, si féérique ou non, tout ceci faisant maintenant partie de ta propre imagination, comme de raison.
T’émerveiller en toute simplicité, te redonnera les moyens de te payer ce luxe de te réveiller , en tout temps, face à cette réalité en 3D sur écran géant, bien évidemment, cette toile si bleue étant là, bien sur, vu que par tous ces amoureux de leur propre grandeur de coeur d’enfant si bien retrouvé si affamé de bonnes affaires à remettre en avant plan, claquement de doigt si important pour ce magicien des mots à dire et redire face à cette magie que la vie si bien individualisée aura eu le privilège de manipuler que par mesure de satisfaction, sa raison d’y allumer cette passion de visualisation, en temps réel, ce renouveau si exceptionnel, à toute heure du jour, en ce si bon retour , mon bel amour.
Tout ceci semble si bien dit, me diras-tu?
Je te répondrai que cette fatalité, cette faim en soit, cette soif de vivre en toute liberté, et ce, quelque soit le nombre de tableaux si bien contresignés par ce si bon directeur d’éducation, cette limitation se voulant finalement, ce si beau passe temps à remettre en doute face à cette simplicité si volontairement redirigée , là, droit devant, avant même en avoir profiter tellement ce moment présent se voudra de jour en jour, cette projection si directe de cette intériorisation en voie de disparition, figurant même en être devenu de plus en plus vivant, intérieurement parlant, bien évidemment.
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Merci Merci Merci…le plus puissant des mantras à dire et redire, devant cet infini à peine recentrée sur son étoile la défiant de l’imiter, en toute exactitude, et ce, quelqu’en soit devenue cette si belle habitude.
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Un merci à cet infini, qui finalement, se voudra si légendaire, de moment présent en instant présent, bien évidemment.
A tous ces êtres si extraordinaires, infiniment merci !
Filo Zoff qui terminera ainsi , pour aujourd’hui, mon temps d’exécution se limitant en un soixante minute par jour de remise en question, à chacun sa façon de semer sa propre libération.
Filo pour les amis proches de leur propres demeures intérieures.
Filo
A bientôt !
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