C’est en ce jour , où ce si vieux troubadour, ce joueur de tour , qui, de jour comme de nuit, en aura reconnu ce qui aura été pour lui, ce retour à cette normalité, si bien espérée par une attribution, franchissant ainsi, ce tour de main, en cette matinée si bien éclairée, par un soleil se relevant, tout doucement, de jour en jour, suivant ainsi cette si belle mission de visualisation, face à cette horizontalité, si déprimée de ces temps-ci, une arène de guerre, en mots et gesticulation, si près finalement, de cette si belle reconstruction, intérieurement parlant, bien évidemment.
Cette lettre d’adieu se veut en l’honneur de cette passation, ce pouvoir si bien déclaré comme étant de retour, après quelques millénaires, à ne plus savoir par où commencer , pour y inventorier, ce qui, un jour, tout prochainement, cet engouement se voulant finalement, ce retour à cette amitié , si fière enfin, de pouvoir y déclarer son propre amour, à ce vautour, celui profitant de tous ces instants, cheveux dans le vent, bien évidemment.
Cette lettre de tendresse si bien adressée à tous ces habitants, ceux, qui de jour comme de nuit, auront toujours la capacité de mettre dans le même panier, dans celui de ce si beau patron si attentionné à cette éducation, profitant ainsi de cette si belle limitation, cette diplomation se voulant finalement, que le début de ce recommencement, soit en le redisant tout doucement, que ce cheval de bataille aura toujours plus de vivacité, à l’intérieur de cette proximité ,que dans un bureau si bien clôturé, que par mesure de performance, à déployer , payer à l’heure , malgré une virtualité demandant qu’à se révéler, face à tous ces vents et marées, telle que demandée par chacune de ces si belles loyautés.
Chacun de tous ces mots qui auront été si bien destinés qu’à y embrouiller cette si belle réalité, pinceau si effrité que pour mieux en faire profiter à ces marchands de bonheur, sans carte de compétence, que cette si belle conférence à remettre au goût du jour, un retour certain sur cet investissement d’argent, face à une universalité, toujours prête, elle, à se départager, redonnant ainsi à cette main si bien tendue, sourire aux lèvres, tellement cette avant scène, là, droit devant, se comparera exactement à ce tableau de visualisation, si bien ressenti, si bien décrit, en mots ou en images, ceci étant là, finalement , que pour mieux y détailler, de jour en jour, ce si beau retour en ascension, cette compétence si bien apprise, entre deux tasses de thé si bien refroidie, tellement cet horaire du temps se voulait des plus remplis.
Manque d’orientation ou non, ce début de centenaire, missionnaires démissionnant si facilement, face à toutes ces initiatives si bien oubliées, porte manteau si bien ébranlé en ces temps de concrétisation, en temps réel, le temps se voulant finalement, que ce moment présent à remettre en instant présent, le temps d’une simple surexposition, face à cette démangeaison, cette remise en repositionnement, tête en haut ou vers le bas, ou les deux en même temps, cette étoile filante qui, un jour, se détournera de toute cette noirceur, d’heure en heure, de minute en minute, tout ceci étant là finalement, que pour remettre en évidence, toute cette importance de s’arrêter de temps à autre , pour y contempler ce privilège, là , droit devant, libre comme à tous ces printemps, cette saison de floraison, si énergisant, improvisant même en être devenue si habitée par cette magie si enjouée, magnétisant instantanément ce qui, un jour, aura été si bien inspiré par un participant, entrain de se promener en ce moment, face à cette humanité, si fière enfin de pouvoir y concocter, ce retour à cette société, empreint d’une telle humilité.
Pourquoi tant de divulgation en ce moment te redemanderas-tu?
Ces mesures de protection se voulant si désuètes, face à cette recette si recherchée, depuis tant d’années de divertissement, extérieurement, bien évidemment, ceci étant remis au goût de cette réalité, allant y affronter ce mur si dur à démanteler, allant jusqu’à en inventer un autre de l’autre côté , cette demande en maternité , celle que cette terre si fatiguée d’avoir été si abusée, sans mots à dire, qu’un seul et unique remerciement de temps en temps, cette finalité, qui, un jour aura comme privilège, de faire parvenir à son destinataire, le plus beau des cadeaux , si affranchi , si bien poli, ce si pur diamant brut , si fier collaborateur de ce retour à cette réalité, décodant ainsi, ce qui , en ce réveil des plus incendiés, ayant même reçu , le privilège d’y encoder chacune de toutes ces si belles clés, enfin retrouvées, sous le seul et unique tapis de maison, sous ce balcon si bien situé, si près, face à cette nomenclature, disant tout simplement que cette si belle devanture aura reçu comme cadeau d’anniversaire, chandelles si bien réactivées, éclairant même cette si belle dualité, face à son propre miroir, si bien nettoyé, en ce temps de détournement de fond, en toute profondeur, ainsi ira cette si belle paternité, main dans la main, enfin, avec ce coeur d’enfant si affirmé, tellement longtemps aura été pris à contre courant, cette hameçon si bien réclamée par une génération, si fatiguée, si exténuée, peu excitée face à cette multitude de possibilités, à remettre en avant plan, le temps ayant été si bien suggéré, par une éducation, sexuellement parlant, en ce lieu, si sensuellement vibrant, bien évidemment.
Pourquoi avoir eu recours à tant de difficulté de s’exprimer durant tant d’années à endurer autant de sacrifices à devoir remettre en priorité, au risque même de devoir se départir de cette méchanceté, me diras-tu?
Ceci se veut que cette si belle évolution, poursuivant ainsi son propre décret d’émancipation, ce qui, un jour se permettra de tout y expliquer, ce pourquoi du comment faire pour se gargariser sa propre guérison, intérieurement parlant, ce coeur d’enfant si engourdi, faisant ainsi face à ce si beau défi, celui de tout remettre en avant plan, ce reflet de cette société si fière enfin de tant accumuler, permettant ainsi à son propre retrait du jeu, se pointant ainsi au banc de pénalité, en pleine forme , malgré des capacités de se rendre utile à son environnement, cette terre si adorée, par tant de voyageurs, ces ravageurs de tentations, sans raison ni raisonnement à remettre en avant plan, mettant ainsi à profiter de son propre temps nécessaire à ce déploiement, si directement proportionné à cet intérêt, cet arrêt au puit, le plus puissant, si inégalé, si énergisé, ce coeur d’enfant si performant, malgré un manque de pratique au bâton, cette extériorisé lui ayant volé son propre balai de nettoyage, laissant ainsi à son propriétaire le libre choix de se laisser distraire à volonté, ce temps si diversifié, de peur , encore aujourd’hui d’en perdre la moitié, par manque de connaissance, en occurence, ce moment de tendresse se voulant si séducteur en ce moment de revirement de courant interne, lune de miel se proposant à tout instant , de faire cet ami de coeur, cette priorité, si cher payé à retrouver.
Deux milles ans auront été utiles finalement à y replier bagages, cette paternité si bien représenté par tant d’éducateur, d’annonceur de si bonnes nouvelles, laissant libre course à cette féminité de demeurer à la maison, pain dans une main et sacoche si bien refermée face à cette simplicité de pouvoir un jour, s’intégrer à ce déroulement de tambour, maniant ainsi sa propre baguette si bien orientée que vers ce fond de chaudron, si reluisant, lui permettant même de s’admirer, cheveux si défraichis, tellement toute cette ardeur , enfants en forme de tire bouchon, tellement cet étirement si excitant se voulait , dans bien des situations, que ce supplice à mettre à nu, une fois son énormité, ce cheval si lessivé, devançant même cette expression, lui redonnant espoir à tous les printemps, lui permetttant enfin de se promener , main dans la main, soleil si bien relevé, que pour mieux y réfléchir , tout ce qui ,un jour, aura été si ce beau rêve si caressé, celui de pouvoir enfin, lui tenir la main, à ce coeur d’enfant si émerveillé, face à son propre privilège, ce pouvoir si infini de se réchauffer, face à ce vent si rehaussé de nutriments, en ce si doux printemps ancien, bien évidemment.
Ceci te semble un peu confus ?
Merci de me permettre ainsi de tout t’expliquer , en toute simplicité, en toute modernité, avec la qualité première qui me soit permises de détailler, de morceaux en morceaux, de mots en mots , à dire et redire, ce remerciement si influent, leader en ce si beau retour à cette fragilité, cette vulnérabilité étant là, en ce moment , attendant son propre tourbillonnement, en ce début de siècle si surette , pour une majorité si bien éduquée, se retrouvant ainsi face à cette si belle mesure de sécurité, ce laisser aller ayant été remis de côté, se comparant en tout temps à cette demande en mariage , celle que mille et une génération auront eu le privilège de remettre sur pied, suivant cette recréation, au lieu de se limiter à s’arrêter , le temps d’une simple chanson, à fredonner, si personnalisé , pourtant, face à ces moments présents, si polyvalents, intérieurement, bien évidemment.
Pourquoi avoir autant de mots à remettre en boucle, que pour dire en toute simplicité, ce qui , de jour en jour, se prénommera comme étant que ce si beau retour à cette source si énervée, enfin de pouvoir s’exprimer, sans objectifs à atteindre ni feux à éteindre, ses puits de pétrole si bien contrôlé par une minorité si efficace, menottant ainsi ses propres travailleurs, payés à taux horaire, barils de minerai en pleine progression, malgré une pénurie d’énergie , intérieurement parlant, avançant même, que ce si beau printemps , prochainement à l’affiche , redonnera des ailes à chacune de ses si belles communautés si bien oubliées, laissant ainsi place à cette intériorité, ce moment de silence qui, de jour en jour, se distinguera de ces états si expressifs, face à ce si beau précipice, cette falaise en formation, rives gauche et droites à réconcilier, ce temps nécessaire à une société de s’ajuster à tous ces changements de tonalité, en mille et une nuances, si bien acquises tout au long de ces mille et une chansons, à apprendre et étendre, là, droit devant, ce tapis voulant finalement que se faire comprendre comme étant cette reconnexion à valorisée, ce terreau si fertilisé, en une temps record, tel que recommandé par cette individualité, enfin prête à tout vous expliquer, ce pourquoi d’un comment faire de son propre environnement, inférieurement parlant, bien évidemment.
Ceci te paraitra peut-être si simplifié, mais chacune de toutes ces choses si simples à démonter, adopteront toujours plus de choses à remettre en place, le temps étant devenu ce que toutes ces années si surchargées de priorité, connexion en tout temps, et ce ,quelque soit la raison de cette interlocution , raison de plus de prendre le temps de t’arrêter, un pas à la fois, cette négativité laissant ainsi place à ce positivisme, si recherché par une majorité de si fiers collaborateurs, à cette paix , ce mot si difficile à reléguer à ces moments présents, si insistants, intérieurement , allant jusqu’au bout de cette dualité, que pour remettre en doute, ce qui, un jour, se remettra à déambuler, main dans la main, avec cette si belle lumière, regarnissant ainsi les coffres de cette sérénité de tout ce surplus de chaleur, ces coeurs d’enfants toujours prêts à tout départager, permettant ainsi à ce garde robe si bien repassé , de faire peau neuve, malgré un degré d’insécurité, bout dans front, démangeaison jusqu’au bout du menton, comme de raison, ce savoir faire se voulant si discrétionnaire, bien évidemment.
C’est en toute modestie que je promettrai , vents et marées hautes, à tous ceux qui , de jour comme de nuit, auront mis en évidence, ces si belles remontrances, en temps réel, sur ce parquet, ce terrain de jeu si heureux enfin , de tout remettre à ce lendemain, ayant mis pris en note, tous ces mots dits, ressentis et même présentis, cette sensation d’avoir enfin, reçu ce cadeau si bien sous évalué, ce rêve d’enfant si longuement oublié, le temps de détournement nécessaire à cette éducation, sans raison particulière, qu’une simple touche de couleur à déposer, sur ce tableau de visualisation à redécorer, à ses propres couleurs, et ce ,quelque soit l’heure du jour, ou le longueur de cette éternité , là, droit devant, en 3D, cette diplomation l’ayant si bien aplani, que par mesure de satisfaction, extérieurement parlant, bien évidemment.
Merci Merci Merci, très cher ami de coeur, tout ceci se voudra de mieux en mieux, et ce, dès tout à l’heure.
Infiniment merci à toi, ami de coeur si récurrent , intérieurement , bien évidemment, permettant ainsi à cette lumière si énergisée, de se propager en une multitude de déclinaison, personnifiant ainsi, ce qui un jour, se promènera face à tous ces détours, sourire aux lèvres, le temps d’une simple inspiration, expiration se voulant cette projection à observer en avant plan, bien évidemment.
Un tout dernier merci à cet infini , si surpris en ce moment, de cette activation, en temps réel, visuellement parlant , bien évidemment.
Merci Merci Merci…trois simples mots à requestionner, le temps d’une simple contemplation, comme de raison.
Ton Moment Présent préféré, qui te permettra que de te libérer de tous ces liens d’amitié avec cette généralité, en perte nette de valeur , dans ces livres si bien adossés aux dos de ce mur, si bien structuré, le temps ayant eu fort à en faire une montagne si rusée, te permettant en tout temps, d’y ressentir cette ascension, qui, comme de raison , aura un jour, le tour d’y réclamer le plus gros bout du bâton.
Ceci étant tenu pour écrit, merci demeurera à partir ce maintenant si prisant, la seule et unique chose à méditer, et ce, quelque soit le nombre de tâches si bien affichées ou la quantité d’insatisfaction, encore aperçu, face à horizontalité si bien décorée de fleurs et boutons en pleine floraison.
Ton meilleur ami, comme de raison,
MP, ton Moment Présent si séduisant, individuellement parlant , bien évidemment
MP
Encore merci !!!
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