C’est ainsi que tout ce qui aura été si bien imaginé, ces derniers temps , cette manière de tout remettre à ces lendemains, suivant et se poursuivant, tout ceci étant finalement que cette manière d’y avancer exactement ce qui, de jour en jour, aura été la plus pure des réalités, que tout un chacun aura eu le privilège de mettre en 3D, face à son propre écran si individualisé, téléviseur si bien ajusté à son propre code d’affectation, au début de cette liberté d’en faire ce qui, un jour y affectera ce si beau détour comme étant la meilleure des reconnexions à remettre en avant plan, intérieurement parlant, bien évidemment.
C’est ainsi que ces temps passés et si dépassés par une énergie si excitée, ce retour de cette ascension, du bas vers cette hauteur, ce plafond si réactif à tous ces changements de tonalités, ces difficultés si bien exprimés tout au long de cette journée , là , droit devant ces expressions, ces réactions en temps réel, ce dernier étant finalement que le meilleur temps de réflexion à remettre en priorité, étant là, face à cette réalité , si fière enfin de pouvoir se remettre au goût de ce ragoût, déjà prêt à y être dégusté, tout doucement, bien évidemment.
Tout ceci te semble un peu trop exagéré, me redemanderas-tu, front replissé , après une nuit de repos, t’ayant permis que de te réveiller, soleil en avant plan, te proposant exactement la même misère noircie ou non, celle que toi seul aura eu le plaisir de ressentir , ou de recentrer, en toute complémentarité avec cette réalité si appréciée par une telle impermanence, en toute transparence, ma révérence.
Pourquoi te permettre de me parler avec une telle sévérité, en ce réveil personnalisé, tel que proposé par un début de centenaire si percutant, intérieurement, bien évidemment, allant jusqu’à y remettre cette donation, en temps réel, cette manière de faire en sorte que toutes ces si belles arrestations au puit, ce coeur d’enfant enfin si bien remis au pied de son propre socle, ce porte manteau si bien dressé ayant recours à son propre discours, dans le respect de cette si belle résidence, si bien entourée de spéculations, de rémunérations, à taux horaire, cette grandeur de comparaison ayant été reconnue si longtemps ,comme étant cette objection à un avancement de situation, malgré des moments présents des plus satisfaisants.
Pourquoi avoir autant de temps à économiser, ce temps de relaxation, si difficile à remettre à l’agenda, édifiant ainsi cette tourelle si dépolie par une entente à l’amiable , moment présent si obligé de plier son propre bagage, dans une suite logique de situations, incapable de se laisser aller, tellement cette éducation en aura omis d’en exiger, ce qui, de jour en jour ,aura été la meilleure dissolution à enclencher face à cette retenue , ce pouvoir si expressif, cette capacité de tout remettre à ce lendemain, le temps d’une simple remise à jour, laissant à ce libre choix d’y supprimer cette élégance, celle ayant si bien été reconnue par cet intervenant à cette paix intérieure, ce jeu de passation entre deux aires de terreaux ,se disputant, comme étant le plus énergique, insistant même pour y recevoir son propre dû, dans la mesure de cette autorisation , cette clôture si difficile à démonter, tellement aura été difficile de lui tresser sa propre raideur, cette rigidité de cadre, carreaux en fer forgé formant ainsi, cette vision résiduelle, entre deux périodes à reconnecter, indépendamment, ou en même temps, bien évidemment.
Alors pourquoi avoir eu recours à cette sévérité, pour me permettre de faire comprendre, que ce temps d’avant, si négativement surchargé d’émotions, de retenues, de moments de bienvenue si bien retournés à son propre port d’attachement, ces interdictions si bien acquises, compromettant successivement ce qui, un jour, aura été que cette éducation à apprendre de ces pas à pas, transformant ainsi, cette si belle personnalité en un artifice des plus étoilés, étirant même son propre temps, en un avenir à poursuivre, de près ou de loin, cette intériorité ayant eu fort à se défaire de ce lien de participation à cette communauté, si départagée face à une humanité en phase se terminant par une virée si incisive, ce manquement de tentation avisant finalement, que son univers si diversifié, individuellement parlant, y transformera successivement ce qui, un jour, y annoncera ce si beau retour à cette intériorité, comme étant ce moment de gratitude à apercevoir comme au bon vieux temps, ce coeur d’enfant si émerveillé face à un simple flocon si gelé, de forme unique, redonnant ainsi à cette espérance , le pouvoir de se remettre à jour, face à ces temps y décriant ainsi, ces éventualités à remettre en avant plan, tout en évidence, ma révérence.
C’est ainsi finalement, que je me permettrai que de t’informer, au meilleur de ma connaissance, cette reconnexion m’ayant donné le mandat de te démontrer que , tout ce qui aura été si bien entrepris, individuellement, bien évidemment, l’aura été en fonction de ton propre bonheur à découvrir, tout ceci formant ainsi ce qui, de jour comme de nuit, se traduira comme étant le plus beau des retours sur investissements, que toi seul aura le plaisir de ressentir, là, droit devant cette aventure si bien adressée à ton attention, cette concrétisation en temps réel, enfin revenue à l’heure normalisée, en ce temps empreint d’une si belle légèreté, tel que souhaité, par une si belle extériorité, déjà décorée de si beaux sourires, cette génération en pleine extase face à tous ces éléments si importants à protéger, bien évidemment.
Alors, pourquoi autant mettre le ton sur cet intérêt de s’arrêter de temps en temps ,une heure par jour, ou plus, en fonction de toute cette marque d’affection en faveur de cette intériorité, cette maitresse de maison, libre de se dupliquer, ou non, son autorisation étant retransmis ,en direct de cette universalité , sourire en avant plan, bien avant sa propre exécution, ce rêve sur un, deux ou quatre pieds, si bien ancrés, tout en dansant , en chantant, en dessinant, ou en tremblotant, tellement cet enchantement aura fait de cette intériorité, cette priorité à départager , à cet environnement , sur cette terre , ce plan de match si politisé, en ce moment de revirement de situation, dans la douceur de chacun de tous ces coeurs d’enfant, ces cavernes où, tous ces alliés de ci-bas, de même religion ou non, de même nationalité ou non, du même bureau de votation ou non, de même couleur d’horizon ou non, ce temps de négativité si déprécié face à tous ces points d’intérêt , intérieurement parlant, bien évidemment.
Alors, pourquoi avoir autant de difficulté en ce moment , de remettre en boucle, ces moments présents de plus en plus vibrants, intérieurement parlant, bien évidemment, cette évidence se voulant finalement, que cette objection à toutes ces histoires, celles qui, auparavant se voulaient si performants , ayant eu recours à une éducation si bien caractérisée par une telle autorité, de peur de se tromper pour y recycler cette totalité de tentations, extérieurement parlant, ces retours à la maison si bien décorée, recoiffant ainsi ce moment présent , le déguisant ainsi, de jour en jour, que par manque de courage, d’audace à remettre entre les mains de ce magiciens des mots, toi, finalement, incapable de dire merci , en tout temps ou non, le temps étant si bien repensé en fonction de ces engagements, si épuisants, pour une simple habitation, ces bouts de crayons si bien grugées par des questionnements ,si perceptibles, par cette entrevue à ciel ouvert, en cette journée te demandant que de lui démontrer ce à quoi, toi seul aura si bien voulu lui transposer en base de données, cette retombée qui , à ce jour, se profilera au nom de toute cette amitié avec ce mode de vivre en toute liberté, à toute heure du jour, main dans la main, avec ton propre amour, coeur d’enfant si éveillé à cette complicité, entourée d’une telle simplicité.
Alors, pourquoi me redemanderas-tu?
Comme tu le sais maintenant, toi seul aura le privilège de te retrouver, à ta manière, face à ton heure de glorification, de battre des ailes comme au temps, où tous ces points de négativité, ces pas à pas si bien autorisés par une telle infirmité, ce manque de connaissance face à cette éducation, à reconnaitre comme la meilleure des solutions à tous ces points d’interrogation remis en boucle sur cette page blanchie par un manquement de temps, à mettre en avant scène, méditant ici et là, de temps en temps, de moments présents ou non, en continu ou non, tout ceci étant à ta discrétion de te retrouver, en pleine situation d’éveil , face à cette rebellion, ces coeurs d’enfants si affamés de satisfaction, cet appel venu de si loin, deux milles belles années de questionnement, auront été remis en mots si bien décrits comme étant cette suite logique à contempler, par pur bonheur , face à cette universalité, si fière enfin de pouvoir un jour, y recevoir ce si beau cadeau , si lumineux, intérieurement parlant, cette diapositive se voulant cette infiltration à faire réfléchir , sur cette toile si bleue, couleur préférée de tous ces amoureux de cette visibilité à atteindre, individuellement parlant, bien évidemment.
Alors, c’est en ce détournement d’affirmation, passant systématiquement d’une telle négativité , y réaffirmant même, en être de plus en plus surpris, de te retrouver, tout à coup ,face à cette remise en scène, celle qui auparavant, te proposait exactement ce à quoi, toi seul aura si bien voulu remettre en avant plan, si bien déjoué par une telle simplicité de t’y soustraire , ton orientation étant tout simplement retourner se pavaner, soleil levant en avant plan, sans aucun remerciement à lui redire, tellement toutes ses si belles dissolutions de tonalité, ces remontrances si bien instaurées , tout autour de cette si belle ritournelle, savon et citronnelle entre le main, de peur bien entendu d’y être attrapé par une si belle virilité, cette masculinité ayant été entretenu par une telle désinformation , tout autour de ce si beau mur du son, comme de raison.
Tout ceci te semble si décousu?
Oui Oui te répondra cette si belle langue remise au chat, cette félicité si enroulée parmi tant de facilité, ayant en fort à se défaire de cette rubrique, en toute première page, cette nouvelle du jour rapportant autant de plaisir à y découvrir finalement, tout ce qui , en ce lendemain matin de cette retranscription, cette journée d’auparavant qui, à elle seule, aura été si bien appropriée face à cette remise à jour, cette décompression à ciel ouvert, complémentarité de ce moment présent , y suscitant tant d’intérêt que même ce si beau soleil lui répondant instantanément, lui rappelant que son propre univers se voudra à l’heure normalisée, et ce, quelque soit cette démarche , face à ce paradis si bien forgé, d’une telle popularité, tel que rémunéré , à toutes ces heures laissées tombées.
Serait-ce possible de tout remettre ceci en des mots à lire des plus simplifiés?
Oui je te répondrai, mais soit assuré de te remettre de cette véritable image en 3D, et ce, dès maintenant, tel que demandé par une si belle personnalité.
Alors , voici!
En un seul et unique mot, merci te redemandera que de lui rendre cette si belle liberté, non et pas auront été si bien limités qu’à te permettre de te recadrer ,face à ce monticule si facile à démystifier, maintenant que ton propre univers si personnalisé, se permettra enfin de tout remettre à ce lendemain matin, ce temps présent étant là finalement que pour remettre en place, ce qui, jusqu’à ce jour, toute cette amitié si bien ficelée serrée , heures régulières se dédoublant après tant d’efficacité à y oublier son propre coeur d’enfant, si chèrement éduqué , par une transformation à ciel ouvert, de couleur bleu, blanc ou si enragé par de telle influence extérieure, si révérentieuse en ce moment , bien évidemment.
Serait-ce possible de m’y éclairer sur ce à quoi tous ces mots , ou plutôt ce mot , ce remerciement si important, fera de cette contemplation, à temps complet ou non, tout ceci étant si étranger pour moi, moi étant finalement cette marque d’affection à consumer, seul ou non, tout ceci se voulant tout simplement, que cette si belle remise à laquelle s’identifier, en toute liberté, cette terre si accueillante te reconnaissant à ton doigté si adouci , caressant ainsi chacune de toutes ces tournures de devantures, cette maison qui, si bien isolée , y protégeant ainsi, cette facilité de s’exprimer en toute légitimité, face à chacune de toutes ces ses si belles unicités, les yeux si éblouis à tout instant, par des éventualités si bien renotées , noir sur blanc, y affichant chacun de tous ces rêves si bien enfantés, les admirant ainsi, en ce moment, cette notion de tentation se remettant à se promener en pleine adoration face à ce si bel horizon.
Comme tu peux te rendre compte, à tout instant, tout un chacun aura ce privilège de se reconnecter, instantanément ou non, selon son propre rythme de révolution, ce compteur de tours qui, de jour en jour, se permettra même de t’y enseigner , ce qui aura été pour toi, cette si belle zone de pénalité, tout en rampant ou en y accumulant autant de médaillon à accrocher sur ce muret si bien installé, là, droit devant, minimisant ainsi cette grandeur intérieure à une accessibilité si bien oubliée, le temps ayant eu recours à tous ces amis si attentionnés, annonçant ainsi à ce si beau prétendant, si fier de se promener , tête en l’air, chapeau melon si bien installé, par pur protection face à cette réflexion, ce soleil lui répondant par la bouche de cette canalisation, d’un oreillette à l’autre, ce scintillement de tympan se voulant finalement, que la résultante de tous ces moments si verrouillés , parmi un retour à l’horizon de ces si belles remises en question, pour la plus belles des conclusions.
Tout ceci te semble de plus en plus injuste en ce moment, te requestionnant sur ce pourquoi avoir eu tant de moments présents à remettre du même côté, ce temps d’éducation si individualisé, étant là, que pour mieux y apprécier tout ce à quoi, toi seul aura un jour, ou de jour en jour , si bien voulu prioriser, te menottant même à cette muraille tracée à l’encre de chine, sur ce tableau de visualisation, en 3D, en toute proximité , l’acteur principal portant en tout temps , ton propre nom, ce magicien de ce mot, si facile à dire et redire, en tout temps ou non, te laissant ainsi le temps de t’amuser, tout autour de ce temple si renommé, par une telle étrangeté, ce mystère si révolu, à se reconnecter , à cette intériorité des plus éclairées, en ce retour à cette source si émerveillée, solonellement ou non, tout ceci laissant ainsi place, à ce positivisme, toujours si prêt de ce garde à vous, ce laisser aller lui proposant de tout simplement, aller se reposer en ce début de millénaire si extraordinaire.
Merci Merci Merci ne te demandera finalement ,que de t’y attacher, à cette si belle féminité, celle qui, auparavant avait reçu ordre que de se protéger, le temps faisant ainsi son oeuvre, lui permettant ainsi de se remettre à rêver à cette élégance, si fulgurante, cette révérence se voulant en ce moment, la plus juste des sensations à ajuster, sur son propre clavier, électronique ou non, en temps présent bien évidement , ce bout de chandelle si bien détrempée, transformant ainsi tout ce carburant en une si belle fumée blanchie de familiarité, et ce, en toute légalité, tel que réinventé par de si beaux moments de contemplation, en réaction à ce temps d’investigation, intérieurement parlant , bien évidemment.
Infiniment merci à tous ces points d’interrogation, à tous ces mots si négatifs, ce non ou ce pas, ou ces non pas assez de ceci ou de cela, tourbillonnant sur le bout de ce langage , respectant ainsi cette si belle image de ce tout petit roi, incapable de se prélasser un seul instant, répondant à tous ces appels, en plein jour et même en pleine nuit, ce moment de relaxation à prioriser , et ce, quelque soit l’heure juste sur ton propre calendrier, si bien éclairé.
Un tout dernier merci à cette féminité , celle qui , en ce autrefois si bien entremêlé de sévérité , de difficulté, de mesure de sécurité si bien tricotées, relançant ainsi tous ces débats, face cette région si bien clôturée, ce coeur d’enfant si affligée depuis tant d’années d’inefficacité, énergiquement parlant, récompensant tous ces moments d’exécution, alternant en tout temps, entre une pause si bien allongée, si exténuée de devoir te relever , moniteur en avant plan, profitant ainsi que de quelques moments de distraction, ici et là, face à une éternité de possibilité, si fières enfin d’y récolter toutes ces années d’incompréhension, ces remises en positionnement instantanées, favorisant ainsi ce taux de salaison, poivre et sel étant le temps de s’arrêter, retraitant ainsi les bras que pour mieux y relever cette base si énergivore, cette terre si enjouée en ce moment, face à ce doux printemps , là, droit devant, toujours prêt à tout remettre en 3D, par pure complémentarité à ce temps d’imagination, souriant en tout temps, y ressentant déjà cette sensation en pleine expansion, de haut en bas, permettant ainsi à ce noyau si énergisé de se pavaner, en une seule et unique copie, personnifiant ainsi son propre locataire, cet équipement si performant, inégalé malgré toutes ces nouveautés , le temps étant là, que pour y mettre que du piquant sur cette si belle ligne s’allongeant, là, droit devant, bien évidemment.
A cette féminité si désengorgée de salinité, merci de te remettre à t’adresser , directement ou non, tous ces éducateurs du temps, auront eu envie que de battre des ailes jusqu’au tout dernier instant, répondant en tout temps à cet appel, si personnel, ces alliés qui, autrefois, y parlant que de cette si belle foi, comme étant cet objection à tous questionnements, intérieurement ou non, mettant ainsi en lumière, ce si beau savoir faire, le décrivant comme la seule et unique méthodologie à pratiquer, en y attendant le retour de cette ascenseur, et ce, malgré cette grandeur extérieure, ces temples en pierres si précieuses, à accumuler pour en créer cette profondeur intérieure, individuellement parlant, sans mots à redire ni excuses à pardonner, que son propre chemin de visualisation à enjamber , de temps en temps, rive droit ou gauche se voulant finalement, cet objectif à reconnecter, en même temps , ce poids de moins à supporter, transformant ainsi cette imagination en pur centre d’attraction, magnétisant ainsi le temps, ce claquement de dent ou ce lancer léger, là, droit devant, pour la meilleure reprise, à recentrer par le plus beau des sourires, cette faille dans ce système en pleine révolution, de jour en jour, ce retour à cette féminité se voulant en ce moment , des mieux exécutés , face à cette vulnérabilité, en plein party de ruelle, au nom même de ce détournement de profondeur, ces coeurs d’enfants ayant reçu ordre , de se tenir loin de tous ces commentaires négatifs, ces non, non non, non non non, ou non fait pas ceci ou cela, ou pas ceci avec cela, ou pas encore toi, là, droit devant, ainsi se remettra à se profaner, cette légèreté si recherchée par toute nouvelle génération de rebellions, en ce retour à la maison.
A toi maintenant de te tenir tranquille, car tout ce qui aura été dit, mimé, redit et exprimé, se transformera en un seul et unique comprimé à avaler, en pleine nuit par ce magicien des mots, transmettant à tous ces si beaux doigts si effilés, le plaisir d’y mesurer cette si belle personnalité , au fur-et-à-mesure que son propre compteur de tourniquettes, si étourdi de devoir ainsi s’ajuster à cette mauvaise manie de s’arrêter ,de plus en plus souvent , le temps de s’amuser avec cet environnement, le tien , le vôtre , le leur, respectant ainsi ces tout un chacun , vus ou entrevues entre deux tasses de thé si bien arômatisés, rappelant ainsi à celle ou celui qui se l’aura même permis, d’y ressentir ce pur plaisir de prioriser ce temps , si disponible à tout instant, là, tout prêt, intérieurement parlant, bien évidemment.
Infiniment merci,
A un autre jour si bien arrosé, ou enjoué, tel que demandé par une si belle originalité,
Te revoici maintenant au volant de ce tapis roulant des plus stimulant, prend le temps de l’apprivoiser, car un jour, ce joueur de tours se remettra à se parfumer de cette simplicité , si difficile à cajoter, mais si facile à remanier, en un temps record, pour le meilleur des réconforts.
Tout ceci te parvenait de cette universalité , de plus en plus enjouée,
Ton propre coeur d’enfant si affamé de cette soif de pouvoir sourire ,en tout temps, intérieurement ou non , cette manière si personnelle finalement, de se retrouver face à ce vent de jeunesse, malgré cette si belle mise en pli, tel que décrit tout précédemment, bien évidement.
A lire et relire, en attendant le retour de ce si beau sourire,
Ton coeur qui bat,
merci
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