C’est ainsi, en toute légitimité, face à cette éternité si déchainée, remettant ainsi la clé de toutes ces chansons, ces ritournelles ou rigodons si bien entrainés à y faire chanter, tourbillonner, envoler et même subjuguer ce moment présent, ce dernier étant redevenu cet objectif à regarder, au bout de ce si beau trou noirci , ces dernières années, cent trente exactement, 1888 étant ce signal de départ vers une course si affolée à se résumer finalement, à une montagne si rusée, telle que rencontrée par une génération au bout de leur propre souffle, si exténuée d’y accomplir tous ces devoirs si impersonnels, cette fidélité ayant été forgée par cette intimidation, personnellement parlant, bien évidemment.
Pourquoi remettre au goût du jour ce mot , ce fruit si difficile à se défaire en pièce si entachée par cette acceptation, sans remise en question, ce repositionnement en temps réel, remettant ainsi en place, cette sous évaluation , sous estimant à tout instant ce privilège de pouvoir, un jour se retrouver, en tout transparence, face à son propre instant , cette mise en scène, là, droit devant , te démontrant finalement , avec une telle exactitude, cet étudiant entrain de marcher, sans diplôme ni éducation, que son propre univers à reconnaitre comme le plus beau au monde, l’ayant si bien reconstruit, de jour en jour, au nom de tout cette amitié, si fière, elle, de pouvoir enfin se remettre à débouler, si crispée après toutes ces années d’effacement sur cette si belle ligne du temps, bien évidemment.
Alors pourquoi avoir autant de difficulté à apprendre à marcher face à une montagne qui, face à une si belle démesure, aura été toujours là à te supporter, chemin forgeant ce si bel itinérant, ne sachant plus par où aller, minutant ainsi son propre calendrier, de peur d’en perdre son propre héritage, cette sagesse si bien inscrite, de génération en génération, au nom de cette rémunération, face à ce manque de diction, lui soulignant ainsi que son propre code de sécurité se retrouvera en tout temps, au prochain tournant, que si et seulement si, cette indignation en aura fait sa propre décision de s’en remettre à ces pensées, si positivement surchargées d’une telle espérance, en toute indépendance, et ce, quelque soit cette si belle remontrance de cet environnement , y approuvant que cette difficulté à rencontrer, de jour en jour, face à ce si beau carrefour, si étoilé, en toute proximité.
Alors pourquoi te redemanderas-tu, en toute légitimité?
C’est alors que cette si belle résonance, celle qui, un jour aura été si bien retranchée de ce si beau parcours, cette intimité si bien illustrée de fin mai à début janvier, cette révélation en temps réel, cette énergisation en pleine transformation, là, droit devant tous ces yeux si amoureux de ce revirement, démonstration en temps réel, de ce qui, un jour se mesurera à tout ce manquement identitaire, menotté à son propre socle si bien détourné de ce soleil , lui révélant que son propre univers se portera en tout temps, de mieux en mieux, tout en souriant que constamment, face à ces images si colorées, résultant de cette révolution, cette soif de sourire ainsi, inspirant cette extériorité à lui en redonner encore plus, y intensifiant cette si belle coloration, en pleine expansion, inhumant ainsi cette soif de vivre en une simple tasse de thé à déguster, cette pause en direct de cette universalité, si fière enfin de se profaner en toute légalité, son propre serment ayant été contresigné par ce si bel itinérant, à sa sortie , tête rabaissée , de peur d’avoir à y recevoir le premier coup de ce pied si bien installé, à la base même de cette intériorité, si chère à ressentir, un jour, à ce prochain détour , ou non, tout ceci faisant partie de ce si beau jeu de carton , toujours prêt à y laisser tomber cette prochaine carte, y remettant de l’huile sur cette larme si humidifiée, ou sur ce si beau parcours de visualisation, pour laisser glisser tant de simplicité, à cajoler jusqu’au tout dernier souffle que cette vie, si bien définie comme étant la plus belle source à entourer, allant même à la départager à cet environnement, si exténué en ce moment.
Alors pourquoi avoir tant abusé de ce pouvoir si discrétionnaire, cette démonstration en temps réel, qui, à elle seule, sourire aux lèvres si personnelles , y décorant ainsi ce qui, un jour, se retrouvera face à toutes ces circonstances, en toute ressemblance , sans manigances ni remontrances, que son propre souffle de visualisation, ce soufflet si récurrent, y transposant ainsi cette si belle mise en pli, tapissant ainsi toutes ces murailles si bien repositionnées, face à cette si belle orientation, cette désorientation ayant laissé tombé ces poches de thés si bien enveloppés d’empressement, cette si belle opposition, si déterminante, si élégante, ce qui, de jour en jour, y détournera tous ces regards, vers une universalité, déjà en cours de route, en ce retour à cette liberté d’y exprimer son propre enchantement, à sa façon, sans remise en question, que cette si pure expression , ce sourire si individualisé, face à son propre décor intérieur, et ce ,quelque soit l’heure du jour, et la liste de tâches à en faire baver ce si beau supérieur, ainsi revenu cette heure d’émerveillement, en temps réel, y enclenchant cette si belle lucidité, à ce socle de porte, là, sous ce paillasson, à la base même de cette si belle réinitialisation.
Pourquoi avoir mis autant de temps pour remettre en marche ce si bel émerveillement, finalement?
Tout ceci se répandra comme une trainée de poudre d’os, y décomposant finalement tous ces regrets , leur redonnant ainsi cette noblesse leur revenant, souffrance ou non, tout ceci étant là que pour mieux y faire ressentir, un jour, cette chaleur si bien infligée, en ce retour à cette fraternité avec son propre environnement, cet univers si bien illuminé malgré ce manquement de remerciements, ces derniers étant maintenant si bien reconnus comme cette flammèche à encadrer, en tout temps, face à ce moment présent, si insistant, de te permettre de lui insuffler son propre code d’étiquetage, respectant ainsi ces annotations comme étant sa propre source d’inspiration, y supprimant ainsi tous ces points si négatifs, relativisant ainsi, en une seule compression, pour en faciliter cette envolée, en toute légèreté , telle que proposé par cette initiation en temps réel, ainsi en soit redevenu cette réalité, face à cette pause, bouche bée, ne répondant qu’à son propre appel , si personnalisé, chantonnant ainsi ce si beau merci merci merci, de m’avoir permis enfin, de me retrouver face à cette si cette belle destination, là, droit devant, au gré de cette sensation, le vent ayant retransmis ce si beau savoir vivre en toute légalité avec cette affirmation, cette terre si heureuse enfin de se savoir si généreuse, pour de si beaux festins à déguster à tous instants, bien évidemment , et ce ,quelque soit la longueur d’avancement, sur cette ligne de révolution, ce retour à la raison, face à cette dimension démesurée, de possibilités en possibilités, sourires aux lèvres, bien évidemment.
C’est alors que reprendra ce si beau recours à collectionner, alimentant ainsi ce qui, depuis tant d’années de spéculation, d’annotation , dénotant ainsi ce qui, un jour, aura été ce tout dernier mystère à redécouvrir, de génération en regénération, incarnant ainsi cette si belle renaissance, ce recensement si intrangieant, bien évidemment, redonnant ainsi , une deuxième chance , ou plus, à ce si bon vivant qui , à sa manière si affolée , à se défaire de tous ces liens d’amitié à cette communauté si bien encadrée par tant de lois et si peu de loisirs à sa portée, ce chemin se transformant ainsi, en ces temps qui court après sa propre querelle, tournant ainsi sa propre tête que de 180 degrés si bien suggérés par une telle intégrité, remettant ainsi à cette inexpérience, le droit de se relever ou non, tout ceci étant à la disponibilité de cette toux , qui, à elle seule aura eu le privilège d’en déloger cette captation, qui à ciel ouvert, se voulant si extraordinaire face à ces yeux si embrouillés par une telle liberté , jointant ainsi les mains à ce magiciens des mots, à dire et à redire, dans le silence de cette si belle résilience, y arborant ainsi ce si beau superflux d’information et de déformation, y réalignant ainsi cette si belle impermanence, ce plaisir de se laisser aller , selon cette si belle volonté de se laisser guider, sans pression ni persuasion, que cette si belle impression, en temps réel , sur ce ruban de visualisation, si raccourci , démontrant ce à quoi, toi seul finalement, aura en tête en ce moment, bien évidemment, en un seul et unique ballot si bien enveloppé, comme un cadeau du ciel, coïncidant à ces temps d’inspiration, salivant avant même son propre éternuement, ce chemin si bien nettoyé ayant fort à se défaire de cette négativité , si réprimandée par cette intériorité, en panne sèche de salivation, en ce retour à la maison.
C’est ainsi que cette si belle féminité, celle tant recherchée par tant de personnalité , à chacun sa propre façon d’y soupçonner cette interdiction, cette possibilité si bien limitée , entre les mains de cette maturité, ce clergé si bien attentionné, ou ce coupon de participation , sans couverture ni devanture à se reprocher, ce temps de pénalité, qui par la plus belle partie de jeu, aura été des moments à se voir dépasser par une intelligence , cette universalité qui, de jour en jour , y convertira automatiquement, cette vulnérabilité en une sortie de route, nez contre son propre mur si alléchant, se sucrant le bec , ayant mis tant de moments présents à le peaufiner, ainsi sera redevenu ce pouvoir de liberté, entre deux tasses si bien infusées, ce temps de relaxation redonnant ainsi tant d’espérance à cette remontrance, là, droit devant, tout en souriant à belles dents, bien évidemment.
Pourquoi écrire avec autant de détournements d’attention, en ce retour à ce sortilège, ce bouchon de liège ayant appris à minimiser tous ces efforts, arborant ainsi cette nature si mature, après tant d’années d’abusement, bien évidemment.
Pourquoi avoir attendu tant d’années pour y réactiver cette nation si bien alignée que sur cette sortie de route, ayant si bien appris à ne pas se tromper, faisant ainsi face à ce privilège , en tout temps, redemandant à celle ou celui qui lui aura si bien redemander, par où sera ainsi, si bien illustrée cette porte de sortie, après tant de tourbillonnements sur cette si belle lignée de prétendants, d’un prince charmant à l’autre, entrant ainsi dans cette vigueur, celle qui, à elle seule, y remportera cette totalité de remises en doute, ce bouton de manchette qui ,chemin lui permettant ainsi que de rebrousser chemin, un pas à la fois, mystères et boules de gomme si bien mâchés par une telle rigidité , encadrant ainsi ce sujet de l’heure, en ce moment de revirement de courant si performant, intérieurement , bien évidemment.
Pourquoi avoir autant de mots à dire et relire en ce moment si percutant, pour une regénération , cette application en temps réel, qui, de jour comme de nuit, y arrimera toutes ces envies , folles ou non, ceci étant entre les mains de tous ces magiciens de ce mot à mentionner , cette petite voix si bien éveillées , face à tout soupçon de reconnexion, y réactivant instantanément cette énergisation, sans mention ni déduction à reconnaitre ce pouvoir de perception, visualisation avant son propre temps de procréation, ce à quoi tu auras , un jour prochain ou non, selon cette si belle révolution, cette réalisation en temps réel, si exceptionnel, et ce, quelque soit la couleur de ce ciel si bleu, ou de ce soleil se raplombant à tous instants, maximisant ainsi ces temps d’exposition, si diversifiés en en faire une beurre de pain , fraichement enfournée, y attendant son accompagnement, cette pomme si bien retransformée en une confiture si facile à digérer.
Pourquoi toujours avoir tant de difficulté à tout simplifier, en une tournure de mots, qui selon son orientation, se contentera que de se remarier à tous ces temps de satisfaction, cette dernière si bien reconnue comme ayant été vu, à la belle étoile , se berçant ainsi ,au bras de cette légèreté, si bien déployée, là, droit devant, bien évidemment, directement ou non, tout ce cirque ou arc-en-ciel y annonçant ainsi ce retour en force de cette nomenclature, en un dix milles phrases à répectorier, cette relocalisation en direct de cette universalité redonnant ainsi à cette inexpérience, cette valorisation si personnalisée, pour le meilleur des miroitement, intérieurement parlant, bien évidemment.
Alors, quand nous diras-tu, comment faire pour te sourire en tout temps, toi, cette si belle étoile, cet étirement de tentations qui, de jour en jour, y propulsera ce si bel amour, tout là haut, de cette tour si bien érigée, par une individualité si récompensée.
Quand me redemanderas-tu?
C’est ainsi que ce tour de manivelle, ouvrant cette trappe de ventilation, rafraichissant en toute fébrilité , ce qui, de jour en jour , et ce ,tout au long de ce parcours réparti en un millième de reconnaissance, ce millénaire si extraordinaire, redonnant ainsi satisfaction instantanément, à cette démonstration, souriant comme le plus fier des prétendants, se reconnaissant ainsi comme le plus privilégié des récipiendaires de ce si beau savoir faire, d’un moment présent à l’autre, lui proposant en tout temps ,de se remaquiller intégralement, de la couleur de ruban de joie de vivre si personnalisé, cette soif de survivre d’un jour à l’autre ayant été si bien reconverti en une retouche si individualisé, en toute transparence, en toute indépendance, et ce, quelque soit le nombre de couches et sous-couches à oxygéner, y apportant tant d’attention à cette reconnexion, si spectaculaire, scrutant à la loupe chacun de ces ingrédients si défients , en ce moment d’évitement, téléphone à la main, maximisant ainsi cette si belle retombée, là, droit devant, bien évidemment.
Soit celle ou celui que tu aimerais voir un jour, à ce prochain détour, ce tour de force te demandant finalement, que de te reconnecter à cette exclusivité, cette proximité si bien entourée de cette chaleur si bien exposée à cette marque d’affection, souscrivant ainsi à ce manque de caresses, de tendresse, de manquement à ce code pourtant si bien inspiré par une telle intégrité, retouchant à cette image de marque, là, droit devant, à son propre rythme de respiration, à chacun sa façon de tout remettre en question, ce pourquoi d’un comment faire pour se souvenir de ces moments passés à trébucher, à s’agripper à cette muraille si inclinée, le temps ayant si bien été si rigoureux, face à cette intériorité , enfin vu au gré de cette journée si bien inspirée de conspiration, en toute individualisation, comme de raison.
En être redevenu cette si belle personnalisation, en un seul et unique exemplaire, à ne plus savoir quoi en faire de cette démesure, savourant ainsi cette complicité avec cette intériorité , à qui, toi seul aura un jour, le plaisir de la remercier , y attendant de jour en jour, de minutes en minute, de moment présent en instant présent, cet appellation , celle qui , lui permettra que d’y soulever cet amas de ferraille si bien recyclé, cette limaille de fer si bien entreposée, adorant ainsi cette noirceur du soir pour y structurer cette réalité, si dure à avaler, sanglots dans le fond de cette gorgée de réprimande, cette offrande si désorganisée, ne sachant plus quoi en faire de ce si beau savoir faire, en plein tremblement de fondation, cette terre se repositionnant , comme étant ce truchement d’excitation à remettre en 3D, une fois cette éternité aura eu ordre de s’y arrêter de tourner en rond, chapeau melon ou non, tout là haut, face à ce si beau rameau.
Pourquoi avoir tant de moments présents à notre disposition, et ce, sans la moindre discussion, savourant ainsi ce loisir de se divertir en un temps record, y injectant ainsi tant de nutriments en une seule et unique pause, cellulaire dans une main, y atteignant ainsi, le bout de cette ficelle, en ce retour à cette facilité d’y dupliquer ce à quoi, toi seul aura si bien voulu remettre en 3D, virtualité ou non en avant plan, tout ceci se remettra sur cette si belle route si bien alimentée par une telle énergie si énergisée d’un telle magnétisation, répondant à cet appel, intérieurement parlant, bien évidemment.
Merci de te tenir debout face à cette marque de déclinaison, cette duplication en temps réel te redemandera en tout temps de lui tenir la main, et ce , malgré quelque difficulté d’allocution, cette façon que de récolter son propre dû, incapable de le départager entre ces si belles mains, cette itinérance se voulant finalement, cette perfection à contempler, y reconnectant ce moment présent à cette joie de vivre en toute liberté, là, droit devant, bien évidemment.
Merci Merci Merci à cette si belle simplicité si volontairement réorientée sur cet environnement, cette féminité, si bien décorée cette terre si heureuse finalement de se démaquiller en une multitude de possibilités , passant de cette limitation si bien encadrée, y laissant ainsi à cette soif de courir, flambant nu, à ciel si découvert, si bleu, couleur préférée de tous ces amoureux de cette légalité, transmettant ainsi à ce si beau survivant, retombant ainsi sur ses une, deux ou quatre pattes, transformées par une si belle intériorité, cette féminité si bien représentée, en temps réel, sur ce tableau si dégarni, manteau blanc ou non, ce faisceau bleu blanc ou rouge, ou toutes ces dernières en un concentré si violacé, en pleine floraison, en ce temps de recouvrement, ayant tant de temps à en récolter, exactement ce à quoi, toi seul aura si bien voulu remettre en priorité, tel que discuté tout précédemment, bien évidemment.
Infiniment merci à tous ces pères de famille si exténués de ces temps de détournement d’attention, cette féminité ayant eu tant de difficulté à se remettre de ces moments de fébrilité limités à cette paternité , enfin prête à y déverrouiller , cette porte d’accessibilité , bonheur dans une main à son réveil, espérance dans l’autre si bien opposée à cette démonstration à ciel ouvert, cette transparence qui, de jour en jour, se détournera de ce si beau détour, retour si apprécié à cette simplicité , tel que proposé dans certains livres , si détaillés en paraboles, si difficiles à en comprendre le moindre couplet, ce soufflet de satisfaction, intérieurement parlant, incapable de s’attacher à un passé si passionné, ou à un futur si dur à recalibrer à ces moments présents, de plus en plus affirmés, face à cette familiarité, si bien entourée.
Merci Merci Merci, ciel si étoilé, inspiration de ce moment présent, si diversifié, pour cette féminité si enrobée de succulent temps de contemplation, cette sensation si recherchée, à tout instant, ce talent si brutal, défigurant ainsi cette si belle personnalité , face son propre entrainement des plus personnalisés, enrobage en prime , face à cette luxure en pleine démesure.
Merci de te relever à tout instant, tout ceci te permettra finalement , de te souvenir de cette introduction par infraction sur ce parquet des plus vigoureux, individuellement parlant, alignant ainsi cette si belle étoile , face à ce représentant si souriant , à tout instant, bien évidemment.
C’est ainsi que je te redonnerai cette capacité de te réinventer, en un simple claquement de doigt, comme si, tout à coup, cette modernité se voulait redevenu au bout de ce long balancier, profitant même ce certain point d’attraction, pour y confectionner cette si belle maquette , si facile à remanier, au gré de ce souffle de vie, si bien réjoui de ces jours-ci, un plus ou un moins, ou les deux en toute neutralité, ce coeur d’enfant si bien remis de cette froideur, étirement de temps lui proposant finalement de se reconnecter à cette source si énergique, ce terre si possessive en ce retour , ce repos si bien mérité, après tant d’années d’efficacité, magnétisme et automatisme se démarquant en ce début de ce centenaire si spectaculaire, intérieurement parlant , bien évidemment.
Merci de me tenir la main, ceci me permettra que de te rappeler , tout doucement, vent contre marée haute ou basse, tout ceci étant si bien synchronisé, alors pourquoi vouloir autant s’en éloigner, de cette profondeur, cette cage si abîmée, après ce passage , en un temps éclair, faisant ainsi de cette matinée, le temps d’arrêt des plus appréciés pour cette majorité de progressifs, remontant le temps, détournant ainsi cette si belle inattention, son attention étant si bien entretenu par des électrons si bien suggérés , ce temps de surexposition , au-dessus de ce si beau superflux d’information, cette raison d’y récompenser cette individualisation, si attachée à cette maison si bien décorée, ce sans abri étant pourtant si prêt de cette richesse intérieure, sans rancoeur ni rumeur à suggérer à cette si belle proximité.
En toute intensité, merci à cette affirmation, celle qui de jour en jour, succombera à tous ces paniers de bonbons , toujours si savoureux, décollant ainsi cette si belle tapisserie de cet environnement, poinçonnant ainsi cette carte de passage, d’un simple trait de crayon, cette signature si bien représenté par une telle intégrité.
En toute authenticité, merci très chère ami de coeur, enfant devant sa propre table à dessiner son propre cadeau d’anniversaire, cette goutte de savon si approuvée face à une telle vulnérabilité.
Suffit maintenant de te retourner que de quelques degrés par jour, ceci te permettra finalement , que de te reconnecter à cette liberté si fière enfin, d’y côtoyer cette légitimité , ce coeur d’enfant y avouant finalement ,que cet allaitement au sein de cette humanité , se fera à la lumière de cette reconnaissance, cette regénérescence si exemplaire, en tout temps, tout doucement ou non, ceci étant à la disposition de tous ces salons de jeux, cartes de cartons ou plastifiées, face à ces éventualités enfin prêtes à se remarier à cette mer intérieure, transformant ainsi instantanément ce bâton de soutènement en une perche si flexible, positivement ou non, ou les deux en même temps, y réactivant cette étincelle, cette dernière étant si facile à reprogrammer, sur écran géant, là droit, bien évidemment.
Face à ce si beau déploiement, merci de t’arrêter pour y faire réfléchir exactement ce à quoi, toi seul aura si bien voulu remettre en priorité , là, intérieurement parlant, bien évidemment.
Merci Merci Merci
Ta terre si maternisée, t’adressant cette première pierre à relaisser tomber, cette guerre si méprisée étant là, que pour mieux y apprécier cette simplicité , si sous évaluée, par cette fraternité si bien soumis à cette force si attractive, extérieurement parlant, en tout temps ou non, ceci étant que ce si beau défi à remettre à avant plan, bien évidemment.
Infiniment merci à toi, mère de tous ces enfants ,habitant sur ce si beau territoire, ce miroitement te permettant ainsi que d’y orienter cette si belle priorité, telle que démontrée par cette projection, ce remerciement si bien retransmis comme source d’énergie enfin assouvie.
Merci Merci Merci
Ta première date à inscrire sur ton propre ruban blanc, aura été finalement, cette journée d’anniversaire, soufflant à pleins poumons , sur cette lumière si étrangère, te provoquant en tout temps, ce jeu si enfantin finalement aura été , le vif de cette auto-suggestion, d’un merci à l’autre, remerciement en priorité, avant même avoir à profiter de cette si belle réalité.
Merci à tous ces courageux si amoureux de cette réalité si bien exprimée,
Cette terre si énervée de pouvoir ainsi , y embraser ce pouvoir si bien compris comme étant cette limitation à repositionner, là, sous tes pieds, d’un moment présent à l’autre, en courant ou en relaxant, tout ceci faisant ainsi de cette si belle personnalité , un être si apprécié par ce moyen si bien orienté sur cette si belle intériorité.
Encore merci
Ta terre si heureuse de te retrouver , à tout instant, si souriant, face à ces possibilités, si illimitées
En toute féminité,
Merci énormément.
Cette terre si heureuse en ce retour à sa propre intimité,
Merci
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