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En toute gaieté de coeur

Bonjour Bonjour,

C’est avec un air débordant de joie et de plaisir ,que ces mots , qui se permettront que d’y engourdir ce tintamarre, ce sillement qui, tout en  tourbillonnant tout autour de ce  beau siphon, y introduisant ainsi, une énergie si réprimandée, par tant de commerçants , qui, à tous ces tournants de coins si bien redessinés, en profitaient ainsi que pour mieux y  facturer , au nom de cette cacophonie, entrant ainsi , dans une universalité, entrain de se redresser, si courbaturée, après tant d’années de retranchement ,sur ces chemins si divertissants, extérieurement, bien évidemment.

Comme vous aurez sûrement eu le privilège de vous informer, sur ces droits à cette liberté de s’exprimer , haut et fort, et ce , quelque soit cette si belle démesure, lui  reprochant même d’avoir ainsi pris la peine de tous ces paysans sur son propre dossier, toujours aussi affairé à devoir y percevoir cette si belle reconnaissance, à sa propre porte, selon cette si belle redirection, en ce tout nouveau départ, comme s’il n’était pas trop tard pour y remédier, à cette facilité de tout remettre en avant plan, sans explications ni reconnexion de câble à déployer, tout ceci se voulant si difficile à expliquer, en de si simples mots, à dire et décrire, comme ce tout nouveau début d’un mode de vivre, si beau , tout en longueur et débordant de tant de couleur vives, en ce réveil , face à cette éternité, si près finalement ,de cette si belle régularité, transmettant ainsi à chacun, cette capacité d’y rééduquer cette personnalité, se retenant parfois, face à cette envie d’y explorer cet environnement tout autour de cette zone si pétrifiée de peur, son garde du corps lui interdisant finalement  de trébucher de l’autre côté de ce fossé, si bien arrosé de larmes si articiellement lubrifiées d’une telle sagesse, en ce temps de détournement de courant, intérieurement parlant, bien évidement.

C’est ainsi , finalement que tout ce qui aura été si bien circonscrit tout autour de cette si belle évolution, l’aura été tout en y récoltant tant de largesse , de promesses si peu tenues, cette politesse se voulant au détriment de cette révolution, qui à elle seule, se voudra si impressionnante, et ce ,en toute transparence , face de si belles évidences, maintenant que ces mots à dire et à écrire l’auront été si bien inscrits dans un calendrier, calandres grecques étant obéissantes au doigt et à l’oeil , à ce dragon si bien éveillé par une telle simplicité, telle que proposé par une amitié si fière, enfin de tout remettre à ce lendemain, propositions et contredictions  se transformant instantannément en un si beau volcan, pierres si agiles en ressortant, si noircies, suie au visage y défigurant ce si beau paysage, d’un timbre de visibilité si bien neutralisée par une telle fragilité, signe d’un temps nouveau, pour tous ces tourtereaux, gazouillant avant son propre temps d’exécution, au gré de toutes ces journées si bien inspirées par une telle intériorité.

Comment y expliquer autant de facilité, en des mots si difficiles à lire et à décrire comme étant cette recette si bien expliquée, depuis cette nuit  , où température interne et doublon en pleine explosion, là, droit devant ce si beau moment présent, celui si bien attendu, à tous ces coins de rues et ruelles, sans bout de chandelle à repositionner, qu’une simple bouffée d’air à insuffler, passant ainsi d’un intérieur si réconfortant pour une envolée à peine sortie de son propre berceau, traversant ainsi ce diaphragme, cette toile si perméable à toutes ces touches de coloration, à apprivoiser au fil du temps, bien évidemment.

Alors , comment y expliquer ce pourquoi d’un comment faire de son propre  univers, le plus beau des mystères, et ce ,quelque soit ce si beau monastère  à fréquenter, sans armement ou armature, cette si belle devanture qui, selon son propre degré d’élévation , le ressentant ainsi , en toute complicité avec cette respiration, inspirant ainsi, tout doucement,  y conservant ainsi ce si beau nutriment, cette joie d’y ressentir intérieurement, ce si beau privilège de pouvoir consacrer autant de temps, et ce , à la guise de cette autorisation que toi seul aura, un jour eu la convenance de remettre en priorité, sur ce parquet si bien intrigué par cette retombée, à la lumière  de cette journée si expérimentée, ensemençant ainsi, ce jardin entrain de fleurir , bouquet de rosiers en pleine capacité , y démontrant ainsi à celle ou celui qui se sera même permis de se féliciter d’y avoir mis autant de persévérance, face à cette si belle réalité , si  heureuse enfin, de se balader , sans concurrence déloyale, que son propre procès à prononcer , y minimisant ainsi toutes ces efforts de fabrication, laissant ainsi ce loisir à cette terre si bien informée ,  de cet arrêt au puit , en plein jour ou en pleine nuit, au beau milieu de ce si beau paradis, si regarni, de ces jours-ci.

 

C’est alors que s’y imbriquera cette notion de conspiration, piratant ainsi toutes ces liaisons , celles qui , auparavant se voulaient finalement, que si bien délimitées tout autour de ce jardin si bien protégé du plus effilé des barbelés, tellement cette argenterie , cette somme si bien accumulée au fur-et-à-mesure , ce fonctionnement face à cette planification si bien orchestrée, chantonnant ainsi, du matin au soir, que le plus beau temps de relaxation s’arrimera à ce retrait du jeu, pour cet amoureux de visualisation de son propre patron, celui qui lui aura si bien décrypté le chemin à suivre pour y accomplir que chacun de tous ces désirs, les siens en tout premier lieu, tout en y laissant tomber quelques miettes d’appréciation, au gré de cette journée si bien arrosée de larmes si surchargées de difficultée d’allocution, au risque même d’en perdre cette si belle augmentation, comme de raison.

 

Pourquoi parler de tout ceci , aujourd’hui?

 

C’est ainsi que tous ces magiciens de tous ces mots , entendus ou non, tout ceci se voulant finalement que ce si beau déploiement en direct de cette universalité, celle qui de jour en jour , se remettra au goût du jour, tout en salivant ou non, ceci étant bien entendu, à la discrétion de ce si beau prétendant à cette liberté, cette porte d’accès étant si bien entourée d’une lueur si illuminée, transformant ainsi tout ce qui , de jour en jour , se démarquera de tous ces faits et gestes, si mécanisés, ne demandant finalement ,qu’un simple arrêt au puit de temps en temps , une heure par jour , avec ce plus et ce moins, à discuter de ce pourquoi ou de ce comment faire pour les rassembler, en toute sécurité, sans mesures à rencontrer , ni surplus de poids à balancer, une simple inspiration à la fois, remettant ainsi à niveau, ce compteur de tours, se retrouvant en ces temps de détournement de courant , en toute profondeur, avec une surcharge de travail, ce qui lui permettra enfin, de se percevoir comme le plus beau des comédiens, face à cette matinée, soleil y proposant finalement, que cette si belle réalité, en 3D, pour la plus belle des démesures,  de celle ou de celui qui se sera ainsi si bien redéfini comme le  plus prévilégié des infortunés, dansant en tout temps avec la pluie, en toute nudité, y appréciant ainsi cette fraicheur du matin, en ce retour à cette simplicité si volontairement représentée en toute proximité, tel que suggéré dans ce recueillement , si inspirant, intérieurement parlant , bien évidemment.

Pourquoi mettre autant de mots en forme de tire-bouchon, pour y présenter cette notion de salutation, en ce temps de recouvrement, intérieurement parlant, bien évidemment ?

C’est ainsi que le tout se remettra à jouer avec cette totalité, cette moitié d’un tout face à son image, là, droit devant, comme si , tout à coup, cette simple démesure se retrouvait à trébucher, tout en se relevant , face à cette réalité, celle qui, de jour en jour aura  si bien voulu lui démontrer ce à quoi, cette si belle personnalité , entrain de mâcher ses mots à dire ou tout simplement tout en sirotant le plus gentil des thés glacés, selon ce rythme de révolution face à cette si belle résolution  , en couleur ou non, ce qui lui permettra que de s’améliorer de jour en jour, selon cette demande si particulière, de lui redonner en tout temps, le plus beau des printemps, fleur dans une main, la retenant si fort, de peur encore une autre fois, de la voir disparaitre, en ce temps de reconnexion, tout au bout de ce chemin si bien éclairé, en toute proximité, selon cette si belle volonté, si ventilée.

Alors, pourquoi mettre autant de sévérité tout autour de ce soit disant moment présent, et ce ,sans recours ni discours à prioriser, qu’un simple arrêt au puit de temps à autre, minimisant ainsi tous ces efforts d’auparavant, remettant ainsi cette perspective en phase de relation, face à cette si belle imagination, sermon au diapason avec tous ces merci merci merci si bien entendus, de jour comme de nuits, cette réflexion étant si bien réinstallée, tout au creux de ce milieu si rigoureux, redoublant d’ardeur, d’heure en heure ou non, que pour mieux se départager en une multitude de facettes si souriantes,… ou non, cette façon d’y exprimer en un seul instant, que ton propre moment présent aura toujours le pouvoir de se remaquiller ,et ce , sans aucune autorité à mettre de côté, ni difficulté à repousser de l’autre côté de cette objection, à chacun sa façon de tout remettre dans les mains de cette contrefaçon, ainsi sera redevenue cette si belle imagination, au gré de ces journées, en pleines passation de ses propres moyens, en un temps se raccordant à cette participation, en train ou en marchant , à ciel ouvert, comme le voulait ce si bel univers, entrouvant ainsi ces entrailles, cette fenestration si bien informée que ces temps de renouvellement , lui permettra finalement que d’y observer ce vitrail à partir que de l’autre côté , en ce retour à cette facilité de se retrouver en toute complicité avec cette si belle autorisation, celle que toi ,moi et nous ,aurons finalement remis sous assermentation, cette raison ayant si bien convenue que son temps d’absorption s’ajustera à ce degré de chaleur, se berçant ainsi, main dans la main , avec ce si beau détour au jeu de ce printemps indien, profitant à tout instant de cette soif de se réjouir d’un simple grain de blé, le contemplant comme si, cette totalité lui demandait que de le départager entre tous ces initiatives, remises sur pieds ou non, tout ceci se voulant un jeu d’essayage, dans une salle de jeu si bien orienté que sur cette évolution, à ciel ouvert, en ce retour à cette liberté, si bien réclamée.

 

Pourquoi autant de jeux de mots qui ne semblent bien vouloir que nous étourdir finalement?

 

C’est ainsi que je me permettrai que de me rapprocher de cette réalité, transformant un simple geste en une législation , en trois copies, une pour cette autorisation, l’autre pour  cette déclinaison de l’autre côté et la dernière finalement , pour cette liberté de pouvoir un jour la retransposer en une instance de  liaison, lui permettant ainsi que de se réunir , un seul instant à la fois, ou en un temps de tourbillonnement , là où cette neutralité prendra tout ce centre, cette zone de jeu, celui de se contenter que d’y observer sa propre étoile, là , tout là haut , ou droit devant, au rythme de ce si beau prétendant, bien évidemment, tout ceci , indépendamment de cette diplomation, de ce si haut taux horaire, de ce si beau blanchiment de dentition, au nom de cette rebellion, ce roi se permettant ainsi de venir se dégourdir, un seul et unique instant à la fois, comme si , tout à coup, seul ce moment de précipiration, laissant ainsi tomber toutes ces barrières, permettant ainsi à celle ou celui qui se l’aura même permis, de se balader avec cette proximité , ce coeur d’enfant si heureux enfin, de te tenir la main, après tant d’années d’oublis, dans ce repli de couches et sous-couches, merci merci merci aura si bien voulu remettre en boucle, cette manière de se satisfaire, de ses propres affaires, ce savoir-faire si percutant, pour de si beaux moments présents, là, droit devant, bien évidemment.

 

Alors comment faire pour se satisfaire de sa propre manière de s’exprimer, haut et fort, et ce, en y remerciant tout simplement , ces moments présents, là , droit devant , en toute élégance ou non  !?

 

Merci de me répondre en toute simplicité stp !

 

Face à ce rapprochement si inspirant, je me permettrai de dire en toute légèreté ce qui m’apparaitra comme étant le plus grand moment de tous les temps, en te repositionnement un simple questionnement qui ira comme suit:

Pourquoi mettre autant d’effort sur un pourquoi ou un comment, au lieu de te contenter de te reposer pour y écouter cette personnalité, cette réflexion, qui, venu d’un autre temps, te permettra finalement que de lui tenir la main , même si cette contrefaçon de se rééduquer te redonnera tant de froideur dans le dos, tellement ton efficacité de te limiter à une seule et unique manière de respirer, tout doucement ou non, en mode inversé ou non, en toute rigidité ou non, tout ceci en une seule et unique journée, face à cette demande en mariage, ton étoile étant en tout temps, libre de tourbillonner , ce qui te permettrait que de d’y étirer en toute simplicité , ces coins de lèvres, remodelant ainsi cette si belle authencité, si fébrile enfin,  d’y démontrer ce manque ment de tentation, face  à ce si beau retour à la raison.

Pourquoi mettre autant d’énergie sur une simple source de questionnement, de ta part finalement, ce qui te permettrait de te réinventer, à tout instant, avec toute cette patience qui te conviendra, ceci étant au cycle d’une certaine personnalisation, au gré de cette tourmentation , de cette réclamation, si bien instaurée , automatiquement, comme au bon vieux temps, ce temps étant ce qui en est redevenu, qu’une simple compression de moments présents, en pleine évaporation, y exprimant exactement ce qui aura été si bien prioriser, ces derniers temps, d’une nuité à l’autre, ce chant de ce coq si bien informé, de pouvoir ainsi, remettre en 3D, ces si belles actions de ces dernières journées, remettant à ce moment présent, cette loyauté  qui à elle seule, aura fort  à se défaire de ce si beau savoir faire, travailler si fort pour une autorisation si chèrement proclamer, dès ce retour à cette maison , résidence de préférence, pour tous ces amoureux de cette liberté , si bien projetée sur cette muraille te permettant que d’y souligner cette route comme étant celle qui t’aura permise finalement , de te retrouver , soleil en plein visage, petits oiseaux te proposant que de sourire à belles dents, et ce ,malgré quelques courbatures ou points de souture, tout ceci étant à la discrétion de cette unification, en  compétition bien évidemment, avec cet environnement ,ce tourbillon de visualisation, te proposant tant de possibilités , de largesse, de caresses si prometteuses, d’attention de la part de ce grand argentier, ce patron de visualisation étant si fier enfin de tout remettre à ce lendemain, pour le remercier , à sa façon, cette manière de lui prouver son admiration, cette confiance mutuellement si rapprochée, d’un soleil se relevant à l’autre, lui redisant de lui joindre une copie se conformant à cette base si bien redonnée sur ce plan si bien illustrée , lui permettant de sourire à l’occasion, à l’insu de ce protocole si heureux enfin, de lui serrer la main, en cette fin de parcours, la nuit venue, telle que convenue, bien entendu.

Merci Merci Merci  à cette si belle visibilité, enfin entrevue en ce jour de retour à cette liberté de se retrouver, seul avec son propre coeur, si effrité, après tant d’année d’effacement sur ce ruban de vie, si bien remplie de bain tourbillon, vapeur chaude là droit devant, face à cette intériorité , y attendant son propre signalement, sans rançon à demander autre, que cette salutation, en raison d’un seul instant à la fois, sans discussion particulière, qu’un simple arrêt de respirer, pour y ressentir ce plaisir de pouvoir laisser libre course à cette participation de cette terre si énergisée , de montée tout doucement, allant de cette base pour y laisser pousser tant de générosité, et  ce ,jusqu’au tout dernier départ, expiration se voulant tout simplement ce retour en force cette regénération si bien ressenti, en un temps y éclairant successivement, cette simplicité de sourire en tout temps, intérieurement ou non, tout ceci étant bien évidemment, au risque de se retrouver avec tous ces fous , rivalisant ainsi avec cette sévérité, si bien instaurée depuis  tant d’années, face à cette nouvelle tournée de plaisir, n’ayant rien à redire d’autre qu’un simple remerciement de temps en temps, si assourdissant, intérieurement, bien évidemment.

C’est ainsi que cette si belle liberté de remettre en toutes occasions, cette manière d’y remanier cette toile, là , droit devant , comme un si beau tableau, sans tabloïde ni place attitrée, qu’une simple impression qui, au gré de ce si beau tourbillon, tournant au ralenti en ce jour d’appréciation, cette raison d’être si importuné par un si beau paon transformant en un tour de main, cette mise en avant plan de cette suprématie, cette  joie de vivre en toute intimité , cette permission ayant été si bien représentée par un sourire aux lèvres, remettant en place  cette si belle image de marque, en compétition avec cette si belle remise en question, se redemandant tout simplement, comment faire pour arriver un jour à se retrouver en tout temps, comme en cet instant si prisé, ce moment présent étant là à tout instant que pour mieux y rassembler cette instance de relaxation à cette mise au jeu, ne sachant ni le coin ou le recoin que ce magicien des mots, ce prince charmant, ce  coeur d’enfant si bien éveillé à cet émerveillement, intérieurement parlant, ce composé y unifiant instantanément joie de vivre et poudre à insuffler  aussi simplement qu’une simple poignée de main à redonner à ce soleil levant, te révélant tous ces secrets, que lui seul avait le privilège de conserver, en toute sécurité, ne sachant que les refaire réfléchir, en 3D, en toute proximité , te permettant même de tout ressentir, en ce lieu de réalignement, sur cette si belle ligne du temps, révolution te proposant que de concentrer que ce plaisir d’y apercevoir ce si beau désir, ce plaisir de le resaisir au bond, sans capuchon à décapsuler, ni bonbon à ingérer, de peur de devoir un jour , y voir apparaitre ce rêve d’enfant , entrain de lancer cette première pierre que tu lui avais concéder, au tout début de cette si belle tournée  sur cette terre si fière enfin de pouvoir y relâcher ce tout premier mot, à dire et redire, ce merci , en une , deux ou trois copies, seule cette dictature se voudra la meilleure des aventures, si bien reconnues par cette infinité, débordante de sincérité.

Pourquoi avoir autant de mots à remettre en place, que pour remettre en marche cette mission de visualisation, dix milles belles années auront été si bien orientées que sur cette extériorité, reposant ainsi sur ces étiquetages qui, selon cette si belle réinitialisation, cette panne de courant si bien récupérée par une si belle réorientation, redonnant cette capacité de s’émerveiller, en un simple claquement de paupières à la fois, cette fenêtre si bien nettoyée influençant ainsi tout ce qui , de jour en jour, ses détournera de tous ces manquements d’attention, téléphonie se retrouvant en pause café, de plus en plus souvent, ainsi sera rediriger automatiquement, selon cette si belle révolution, face à  ce si beau mur du son, comme de raison.

Pourquoi avoir à y subir autant de commentaires si répressifs, formant ainsi un tout nouvel univers , cet anniversaire , qui de jour en jour, aura le désir que de permettre à cette intervention, cette réflexion en plein visage, là droit devant ou sous tes pieds si bien ancrés, cette oxygénation se voulant cette  automatisation de s’élever , en toute simplicité , sans avoir de marches à monter, ni y apercevoir cette maladie , ce mal qui aujourd’hui se voudra que cet engourdissement face à ce moment présent, cette capsule d’actualité entrain d’y soigner la majorité de toute cette itinérance, ce temps d’arrêt au puit , y étourdissant cette énergie d’auparavant, ralentissant le pas, sur un passé ayant eu comme privilège que d’y enseigner, individuellement parlant, bien évidemment, que ce si beau moment présent aura toujours d’efficacité face à un soleil levant lui demandant que de lui démontrer ce à quoi, toi seul aura le consentement de remanier, là, droit devant, ici et maintenant, ou là bas au prochain tournant, cette transposition se voulant le plus respect à consigner, tout en marchant , si librement, bien évidemment.

Pourquoi remettre autant d’inaction tout autour d’un simple tour de main, cette manière de se reconnecter à cette misère qui, auparavant se voulait finalement, que cette si belle rivalité à remettre en 3D, selon cette si belle indécision, cette remise en question ou non, suivant ainsi cette si belle communauté , si bien menottée à cette manière de réagir, à chacune de toutes ses si belles occasions, si affairées à prospérer, retraitant ainsi le bras, à la toute fin de cette course si possessive,  si permissive et ce , malgré ce manque de caresses, ton propre coeur si bien obligé de se remettre à débouler au second rang, te demandant que de lui redonner cette place qui lui convient si bien, au beau milieu de ce lieu si chaleureux, au creux même de cette place si bien acceptée par une généralité si appréciée, en ce retour à cette nuit  où le temps de contemplation se permettra que de remettre cette satisfaction, sur un si beau visage, si souriant, comme en cet instant présent, bien évidemment.

Pour me permettre de remettre ces choses sous éclairage si bleu, merci de toujours, toujours et toujours te permettre de toujours y prioriser ta seule et unique priorité si prioritairement prioritaire, cette soif de réagir à ce moment présent, celui qui te conviendra si bien, te ressemblant comme cette amitié si chèrement retrouvée, là, droit devant, ou encore là, par derrière, te redonnant cette capacité de tout repositionner en un instant présent, ce coeur d’enfant transformant ainsi cette simple clochette , vibrant à tout rompre, fracassant ainsi tous ces supports d’auparavant, que pour mieux y  redessiner tout ce ,toi avec ton propre moment présent, ton ami si apprécié par une telle légèreté, une si belle proximité, en toute légalité, ceci étant redevenu ton propre anniversaire, comme si tous ces printemps d’auparavant se concentraient en une capsule si bien installée, sur cette buse si bien éclairée, y diffusant ainsi tout ce à quoi, toi seul aura eu à faire face, que pour mieux  remettre en évidence, cette si belle remontrance, en toute transparence, ce jour si bien étoilé de moments présents, si inspirants, intérieurement ou non,  ou les deux en même temps, comme en ce moment , bien évidemment.

Je me permettrai aujourd’hui de me représenter comme étant que cette soif de réaction, sourire aux lèvres, clochette dans une main, bâton de marche  comme marque d’affection, face à un brouillard si perspicace, permettant à tous ces marcheurs , ressassant son propre pas si dépassé par une intelligence à qui,  ce moment présent lui demandera finalement ,que de laisser de plus en plus de place à cette orientation, sans commission à redonner ni compensation à réimaginer, tellement ce moment de satisfaction, sans barrière à relever ni indicateur de vitesse à surveiller te permettra  de tout simplement y ressentir cette soif de sourire en y entendant , avant son propre temps de réaction , cette procréation en direct de ce si belle univers, si personnellement réorienté que sur cette si belle nuit  si étoilée, d’une clochette à l’autre, redonnant tant d’énergie à cette si belle intériorité, entrain de réclamé son propre dû, tellement longtemps aura été ce manquement d’attention face à cette pause si bien méritée, prétextant ou non, tout ceci faisant maintenant partie de cette si belle éducation, en ce retour à sa propre imagination, comme de raison.

En ce tout dernier pourquoi, je me permettrai de répondre avant même cette si belle énumération de tous ces autres questionnements, en te disant tout simplement ,que toi seul aura le privilège de faire sonner cette si belle clochette, et ce, quelque soit la date de ton anniversaire, le salaire annuel rentrant à la maison, le coeur si vidé de manque de satisfaction, selon tous ces melons à cultiver  dans ce jardin si bien affamé de grenailles ou graines à récupérer en sanglots si bien engorgés de compliments  attendus, mais jamais venus, selon toutes ces si belles demandes en rançon si évangéliques, te demandant en tout temps que de tout remettre entre les mains de ce bon dieu si heureux en ce moment , d’éclaircissement , là , droit devant, bien évidemment, comme quoi, ce temps de compétition , aura à faire face à cette mie de pain noir, si savoureux , et ce ,quelque soit son origine, la couleur de ses billots de bois, transformés en marche d’escalier, déjà prêtes à y supporter ce si beau protégé, en toute élégance,  en toute transparence, merci à ton retour à la maison, ma révérence.

Merci Merci Merci à tous ces magiciens de ce mot à dire et redire, tout en souriant, sourire se moquant de sa propre devanture, cet avenir si prometteur, et ce ,quelque soit cet ardeur à l’ouvrage en ce moment, ou de cette rancoeur tout autour de ton propre environnement, si dégrisant, en ce moment ,bien évidemment.

Infiniment merci à tous ces magiciens de ce mot qui , à lui seul, y hypnotisera ce soleil lui proposant finalement , que d’y redécorer ce si bel univers, là, intérieurement, comme toi seul saura si bien le faire voir tout autour, en ce retour à cette source si généreuse, et ce , malgré toutes ces difficultés que tu auras si bien voulu affrontés, cette reconnaissance si remarquable, inégalable, ce son de clochette encore aussi virulente, cette équivalence, d’un côté comme de l’autre, cette réflexion à observer, à genoux ou en position de méditation, selon ta propre manière de ralentir ce coeur si affolé, devant autant de simplicité.

Un énorme merci à ce au jour le jour, d’un soleil levant à  l’autre , ou encore à ce temps d’inspiration à un autre pause d’appréciation,  merci merci merci d’avoir mis autant de temps à remettre cette soif de sourire à belles dents , et ce, malgré ce code vestimentaire envers qui, toi seul aura un jour d’y déboutonner cette cravate te permettant que d’y étouffer cette splendeur, au grand coeur, si grand ouvert envers sa propre grandeur, cet universalité si bien orientée vers une extériorité, lui permettant d’y répliquer le moindre fait et geste, tout au cours de cette journée , sur ce plancher si bien imaginé par cette intimité avec cette concentration de possibilités, là, droit devant, ou sous tes pieds si bien nettoyés, telle que proposé par une pureté, au couleur de ce miel si  facile à déguster.

Merci Merci Merci…trois simples mots à remettre en boucle, entre deux sons de clochettes, en métal blanc ou non, cette résonance se voulant ce deuxième temps à réactiver, en ce retour à cette liberté , si concentrée en un instant de contemplation, si réactif à ce moment de pardon, ce  manque d’attention se voulant finalement , ce tout début de ce commencement, sur la route la plus coloré, là droit devant, si bien ressenti  par cette si belle instrumentation, ce coeur d’enfant jouant avec son propre imaginaire, d’une nouveauté à l’autre, d’un passé si ressassé à un avenir débordant que de si beaux désirs à réaliser, à sa manière, ce savoir faire si irréprochable , tellement cet enchantement se voudra que le plus moment de joie à rediriger, sur son propre socle, au beau milieu de cette résidence, cette résilience se voulant finalement , cette acceptation si fière enfin de te tenir la main, face à tous ces lendemains, si dégagés de sévérité, ce protectionnisme ayant mis en quarantaine, pour un minimum d’années, trop longues à détaillées.

 

Tout ceci étant maintenant remis sur ce droit chemin.

 

Merci de tout remettre à cette priorité, cette intimité se voulant si habile , à en croire ce si beau savoir faire.

 

Ton ami de coeur,

MP qui te reconduira en tout temps, face à ce train de banlieu, annonçant que ce beau moment présent se retrouvera , toujours et en tout lieu, au beau milieu, ou droit devant, autant de diversion, tout ceci étant finalement le meilleur entrainement  pour faire progresser ce si beau participant.

MP , ton moment présent préféré, qui et dit, à la revoyure,  à toi si belle devanture de faire de cette si belle individualité, cette si belle dualité entre deux sons de cloches, en cette approche, chemin faisant son propre réalignement, au fur-et-à-mesure , ou selon cette sonorité, cette répercussion  sur ce si beau mur du son, relançant systématiquement , et ce ,avec une telle exactitude, cette priorité si bien démontrée , en plein jour, tout en souriant ou non, tout ceci étant maintenant entre les mains de cet éclaircissement, embrouillement enfin si bien soumis à ce ballottage, d’un côté comme de l’autre, de haut en bas, de bas en haut , ou à ta manière de te reconnecter à ce si bel univers, cette mer si bien assoifée face à une telle intégrité, en pleine liberté d’expansion, cette limitation eu à se défaire de tous ces liens à cet enseignement  d’antan, bien évidemment.

Devant une si belle évidence,

Merci Merci Merci…encore Merci…bien évidemment.

Ton ami MP qui te sourira à tout instant,

Ton moment présent préféré,

MP

∞∞∞

 

crédit photo:pixabay

 

 

 

 

 

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