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Flamme d’abord

C’est au nom de cette si belle affirmation, que je m’entretiendrai avec cette si belle communauté, celle qui depuis la nuit que tous ces temps,  sous entendue, mal traitant ainsi cette volonté d’y exploiter cette si belle divinité, en un rien de temps, ainsi aura été cette si belle révolution s’énergisant au rythme si insufflé d’une telle difficulté de s’exprimer, au nom d’un je ne sais quoi encore, jeune et rebelle, cheveux dans le vent, souriant en tout temps ou non, me revoici entrain de vous écrire au nom de ce tour de main en cette journée si bien ajournée par une si belle marque d’attention face à cette image de marque en pleine résolution.

Au nom de cette flamme si émerveillée, voici ce mot de gentillesse , retransmis à ton égard, en ce retour à cette ressource, universalisée et si diversifiée, en un simple moment présent à la fois, cet arrêt au puit si bien représenté, comme étant cette source de visualisation à recommander , médication par excellence face à une si belle effervescence, sans conditionnement particulier, qu’un simple décor à admirer, cette terre se révélant comme  le plus bel exemple à suivre ou à poursuivre, selon cette si belle position, sur cette ligne du temps , individuellement parlant, bien évidemment.

Flamme d’abord, ce recueillement si bien éditer de la main de ce si bel univers, là, droit devant, individualisation face à cette si belle démesure, impossible à surpasser, que cette si belle réalisation à contempler, en chair ou sans mots à prononcer, ou les deux en même temps, ceci étant bien évidemment cette succession de situations ayant été mises à la disposition de chacun, sur ce terreau si fertilisé, humidifié ou non de chacune de toutes ces larmes laissées tombées, si essouflé finalement de trébucher , de te relever, de retomber pour en arriver finalement , au bout de cette route si bien éclairée par une étincelle, la tienne, la vôtre , la leur, cette lueur si bien réunie en une immensité si bien décorée par une intériorité, en pleine extériorisation, au gré de ce séjour à chacune de  ses si belles réunions, en ce retour à la maison, comme de raison.

En cette journée si féminisée, merci de te  tenir si près de ta seule et unique prise de son, te proposant ainsi de lui sourire à belles dents , et ce, malgré un manque de culture, une pauvreté si bien autorisée, une priorité favorisant que ce si beau patron de visualisation, là, droit devant tes si beaux yeux, ce temps d’exécution se voulant cet objectif à atteindre, y réunissant ainsi ton propre coeur d’enfant si intrigué par une si belle immensité à découvrir, au jour le jour, à chacun de tous ces détours, comme quoi, ce fou du roi de coeur se retrouvera en tout temps ,face à un étalonnage  de livre à colorier, tes propres couleurs mettant ainsi à revaloriser ce plaisir de te retrouver face à ces moments présents, si personnalisés, te revoici enfin, cette chute brutale t’ayant asséné le plus gros des contrecoups, cette fessée te dessinant ainsi, cette route à suivre, à ta façon, pour la meilleure ou la pire des réalisations, celles qui à ce jour, y peaufinera ce si beau parcours, à ton rythme de compréhension, parsemé de tant de persuasion, extérieurement parlant, bien évidemment.

 

Pourquoi écrire ainsi  avec autant de poésie si difficile à comprendre, me diras-tu?

 

En ce jour de libération, ce souffle de diffusion aura à faire face à toute une armée de conquérants, si bien entrainés à performer , à se donner , à tout donner à tous ces auteurs , ces coeurs  d’enfants qui  pourtant, si affairés à leur propre épanouissement, en oubliant même de te remercier pour ta générosité, te laissant ainsi tomber à la moindre maladresse de ta part, te remettant ainsi à penser à ton propre réconfort, relaxant de temps en temps, que pour mieux y récupérer cette souplesse, cette gentillesse, cette tendresse que toi-même avait mis au rancard, pensant en tout temps à cette si belle exagération, cette capacité d’ accumuler cette argenterie, ces possessions qui, de jour en jour, te détournait de cet élément si élémentaire finalement , cette amitié si bien illustrée par une simple poignée de main si attendrie, face à cette cérémonie si réceptive à ton endroit, ce droit si bien autorisé par celle ou celui qui se permettra un jour, de s’autoriser cette droiture, là, droit devant , ce cheval si combattant, se contentant finalement, que de s’agenouiller que pour mieux te laisser monter, vagabond entre deux aires de jeux, rive gauche ou droite y indiquant cette interdépendance, imagination et incompréhension, cette source de questionnement te forçant à avancer, et ce ,sans la moindre difficulté, entrant ainsi dans ce si beau mode de vivre en toute liberté, ce bonheur si bienveillant, te répondant par la bouche de ce cadeau d’anniversaire, ce savoir faire si révolutionnaire, sourire aux lèvres d’heure en heure, sans direction ni compréhension, qu’une simple inspiration à ressentir, la recentrant automatiquement comme au bon vieux temps, où apprendre à marcher te demandait que retomber pour y embrasser cette terre si chatouilleuse, là, sous tes pieds si bien adoucis par une si belle énergie, te permettant de jour en jour, de lui confier tout cet amour, lui offrant ainsi ce loisir d’en faire que de si beaux désirs, en 3D, là, sous tes yeux, te revoici redevenu amoureux de cette facilité de t’exprimer , en direct de cet universalité ,  enfin résumé en un seul et unique comprimé à ingérer, verre d’eau dans une main, et plumeau de l’autre côté, poussière d’étoile y étirant ce si bel émerveillement, visuellement parlant, bien évidemment.

 

Et si, tout ceci se voulait que cette si belle mission de vie à convoiter, par chacune de toutes ces si belles féminités, genre masculin inclus, bien entendu?

 

Effectivement , je te répondrai , en toute simplicité.

Pourquoi autant de difficulté à remettre au goût du jour, en ce retour à cette démarche si bien indiquée comme étant cette seule et unique demande en mariage, cet annuaire si bien détaillé par autant de prétendants, de représentants de bonheur, de sous entendus moments présents détournant toute cette attention, cent trente années auront suffit finalement que pour mieux y diversifier, ce tout un chacun au prise avec sa propre image de marque, cette tour si bien habilité, diplômation au cou, code d’étiquetage si bien inscrit tout au bas de cette carte de visite, règle de mensuration, redonnant espoir à toute une génération de travailleurs, au coeur si fatigué, soleil leur proposant d’en soutirer que quelques gouttes de compréhension, face à ces si belles réalisations, au nom de cette généralisation, ce complément à temps complet, face à une intériorité, ayant eu à y subir le pire des évènements, obligée de s’incliner en tout temps, ou non, au nom de cette complexité de respirer , tout doucement, y ressentant tous ces bénéfices instantanément, individuellement parlant, bien évidemment.

Alors voici , ce cadeau si bien espéré,  tel que promis en ton retour à cette liberté, cette simplicité ayant été reconnue par une majorité de prétendues, joggant ainsi en tout temps avec son propre instant présent, yoga par ici, méditation par là-bas, ce contrepoids balançant ainsi du revers de ce lendemain, si heureux enfin de pouvoir en tout temps , te redonner cette autorisation, entre deux tasses de thés si bien méritées, après tant de moments présents à contempler, ce à quoi, toi seul aura si bien voulu remettre sur pied, en toute proximité avec cette si belle excellence, ton étoile te félicitant de la réaligner avec ton propre coeur d’enfant, cette lueur qui, en plein jour, te redessinera avec une telle ardeur, cette réflexion en pleine extériorisation, si bien amplifiée par cette lumière du jour, au nom de cet amour , entrevu à tous ces détours, clignements de paupières te révélant que ton propre prince charmant, là, droit devant, te repoussera toutes ces limitations, à en perdre même cette raison, en ce retour à ta propre maison, paillasson si bien nettoyé, y attendant ainsi ce si bel invité, main dans la main, joie de vivre et sourire aux lèvres se réunissant ainsi que pour y remettre au frais, cette satisfaction à consommer, un pas à la fois, en cette prochaine faille dans un système si bien organisé, par de telles insistances, remontrances, en toute ignorance , face à cette facilité de se remémorer à quoi,  toi seul aura si bien voulu remettre en 3D, ce rêve d’enfant étendu de tout son long, que pour mieux y ressentir cette énergisation, venue d’une autre comète, cet acteur , qui , en temps réel, se voudra le meilleur communicateur, reconnectant ainsi ce soleil ne voulant qui dupliquer ce pouvoir infini de se réinventer au fur-et-à-mesure que ce si bel invité se le permettra, au bras de cet éclatement de tentation, cette illumination à ciel ouvert, manquant ce bateau  qui lui aura si bien permis , un jour, de  mettre un trait à tous ces efforts d’effacement, sur cette si belle ligne du temps , bien évidemment.

Au nom de cette terre si bien enjouée de ces jours-ci, ce temps de détournement se voudra, de jour en jour , ce si beau retour à ce coeur d’enfant si intrigué, encore aujourd’hui, malgré tous ces malheurs, malgré ce manque de chaleur à son endroit, malgré tous ces degrés de transpiration, malgré toutes ces situations manquées, malgré ce manque de  connaissances, ce manque de croissance si personnalisée, malgré tous ces malgré à venir, cet avenir étant là que pour mieux y faire découvrir finalement, cette féminité à repenser de temps en temps, qui, sans elle, ces ailes si bien déployées te permettront finalement que de te laisser bûcher si fort, allant même à y comprimer cette insatisfaction, cette décompression te proposant, en multiples facettes, de ralentir de plus en plus, que pour mieux te remettre sous les pieds, deux simples bottines à enchausser, ton apprentissage se voulant finalement, cette vie à te réaliser , à ta façon, au gré de tous ces détours te ramenant à tout instant  à la maison, et ce ,quelque soit la longueur de la route empruntée ou l’inclinaison de ce buton à dévaler,  comme seul toi aura si bien su le prénommé comme le plus gentil des partenaires de vie, de bonne humeur ou non,  ce bonheur à proposer à cette extériorité, de peine à devoir le redéfinir, le remettant ainsi de jour en jour, dans la boite à souvenir, ce  plaisir de se tromper de temps en temps, que pour mieux y arpenter ces nuits et jours, ce retour à cette réalité si bien redécorée de ses si belles couleurs empreintes d’une telle authenticité, merci merci merci belle amitié de m’avoir si bien soutenu, en pleine rue, et ce , à la vue de ce tout un chacun, face à leur propre destination, à chacun finalement de se divertir, en ce retour à la raison.

Au nom de cette terre si féminisée, merci de lui proposer ce qui, un jour, tu auras si bien voulu lui confier, tel un secret si bien enveloppé d’une telle simplicité, sachant à tout instant, que son propre intérêt te reviendra  centupler de perspicacité, sachant très bien  que tu n’y verra que le dixième de cette grandeur, tellement cet enchantement , bouche bée ou non, cette béatitude en pleine exactitude te laissera si perplexe, cette joie de récolter tant de gentillesse, ce retour d’ascenseur venu de cet hôte si heureuse enfin, d’y détecter ce à quoi, toi seul aura si bien voulu lui léguer, cette délégation , ces doigts si bien affirmés te tenant la main, tel un éclair si génial, y éclairant ce moment présent, entre deux pauses ou non, tout ceci se voulant finalement redevenu ce temps à cette normalité  si bien reconnue comme cette participation à ce si beau marathon, menton si bien relevé, inspirant et expirant tout doucement, tel une générosité à en faire trembler cette si belle extériorité, en toute simplicité.

Merci à toi , coeur d’enfant si performant, intérieurement, finalement.

Merci surtout de t’amuser en tout temps avec cette mesure du temps, ce moment présent si intrigant,  intérieurement, bien évidemment.

Merci Merci Merci à cette gratitude, celle qui de tous les temps, aura eu à remettre en face, tous ces acharnements, cette dualité si bien autorisée par tous ces habitants de cette communauté en pleine apprentissage, ratissant ainsi tous ces recoins, à la recherche de ce bonheur si bien enjoué de se savoir si apprécié par une telle simplicité, une fois cette rodage sous ce soleil y reproduisant avec une telle justesse, roulement de tambour, remettant en boucle ces journées si bien préprogrammées par un horaire de travail si surchargé.

Infiniment merci à toi, étoile se faufilant, de temps en temps , ou non, entre deux aires de feux, permettant ainsi à celle ou celui qui se l’aura si bien permis, d’y reconnecter cette énergie si positivement surchargée de complicité , son ami de coeur qui, à lui seul , se contentera que de lui infiltrer cette application de solution, en un temps record,  répliquant à tout instant, à la seconde près, sourire aux lèvres ou non,  ce visage si bien inspiré par une si belle manière de faire de son propre univers, la plus personnelle des affaires à départager , à cette réalité , si bien éclairée par une si belle intériorité, enfin remise en évidence, et ce , en toute transparence, ce porte manteau ayant laissé tombé ses gants si bien imbibés de diversion, cette salutation si bien orientée sur cet entrainement des plus personnalisés, composé de quelques moments de bascule, de haut en bas, de bas en haut, ce balayage du regard, de long en large, remettant ainsi à profiter de ce paysage, si bien ressenti comme le plus beau des paradis, encore merci merci merci à ce moment présent, si insistant, finalement.

Au nom de cette flamme , charnière de toutes ces portes si bien verrouillées, depuis tant d’années de surcapacité, débordant ainsi de l’autre côté de cette échelle, cette captation en temps réel  qui se voudra la plus réaliste des tâches à remettre en avant plan, de jour en jour, au nom de cet amour si apprécié par tant de si gentilles personnalités, enfin réunies , soleil levant leur diffusant en temps réel, ce rêve d’enfant si bien détaillé, blanc sur noir, encollé ou découpé, parsemé de cette étoile filante, laissant ainsi présager que ce moment de réflexion, en direct de cette intériorité se voudra y être reconnu comme la plus grande des réalisations, tellement chacune de toutes ces si belles difficultés auront amassés de si belles recettes à distribuer, tout en respectant ce droit à chacun, à se reconnaitre comme un être à part entière, de cette rivalité avec cette  si belle supériorité, cette étirement de sensation, la remodelant de temps en temps, en ce jour de révélation, ce temps de discussion se voulant ainsi, reconduit à cette actualité, si dépréciée par cette si belle communication, en temps réel, ainsi soit-elle.

En mon nom, merci à cette étoile montante, ce signal qui , en toute sécurité, y embrasera ce parquet si bien oxygéné par ce sourire au coeur, tellement cette intériorité se retrouvera en tout temps, face à cette élévation, cet amour inconditionnel, enveloppant ainsi d’une telle gentillesse, cette tendresse  qui, de jour en jour, se remettra  à rêver à  ce détour , là , droit devant, bottine si bien délassée que pour mieux y ressentir cette énergie, qui, sous tes pieds, se voudra le courant le plus virulent de tous les temps, tellement sa dispersion y verra ce feu, ce courage de se redemander, comment faire pour y reconnecter cette soif de sourire en tout temps, malgré quelques sources   divertissements, dans cette demeure , en plein coeur de ce lieu si rigoureux, influencé par une telle légèreté, sa majesté se réveillant à tout instant face à ce souffle de vie, cette inspiration et expiration du moment , dans la douceur de cette si belle attention, mis en doute ou non, ceci reformulant  ainsi cette certitude en une multitude de versions , applicables ou non, selon ce rythme de révolution, à chacun de se tenir debout, au tout dernier tournant, celui qui te redonnera cette espérance d’y apercevoir cette lumière tout au bout de ce faisceau si argenté, venu de cette profondeur, cette féminité enfin reconduit au bras de son  amoureux si fragilisé par tant de complexité, impression de rancoeur, résolution en piètre état, sous cette draperie, cet habillement si important pour cette collection de médaillon, si bien suspendu en arrière cour, malgré tous ces détournements de fondations, ce balancier à remettre sur pied, en ce jour d’ajustement de tonalité , pourquoi finalement avoir tant de  difficulté à tricoter son propre chapelet , ce chemin de vie qui te permettra que de rappeler, cette si belle route empruntée , t’ayant permise de te réveiller face à cette intériorité , cette femme si permissive, te laissant aller de plus en plus loin, au risque même de s’évanouir, tellement cette froideur lui produisait que de si belles raideurs, à toutes heures du jour, en retour d’un simple remerciement de temps en temps ,bien évidemment.

Au nom de cette femme si compréhensive, je me permettrai de conclure ainsi, en vous demandant que de vous arrêter de temps en temps, ce temps d’abusement aura été pour elle, si difficile à supporter, tellement ce soutirement en toute profondeur, lui aura valu, cette marque de reconnaissance, ce balancier étant au bout de sa propre ficelle, lui redonnant ces lettres de noblesse, y inspirant finalement , ce mot à dire et à redire, à son égard ou non , tout ceci étant cette appréciation à revendiquer, en ce retour à cette intériorité, cet exemple à suivre, là, droit devant, survivant à cette reconnexion, d’un océan à l’autre, fission , fiction, frisson  et toutes remises en question , profitant ainsi de ce moment de réflexion, à admirer en ce lieu si privilégié par tant de réfugiés, coeur d’enfant comme image de marque, souriant en tout temps, y attendant son propre jeu de collection, cette passion , ce monteur de son face à cette si belle simulation, venue d’une toute autre univers, à embrasser à bras ouvert, en pleine rue, à la vue de tous ces passants, face à leur propre impression, cette visualisation leur redemandant si la hauteur  de ce gazon se veut à la  hauteur de cette si belle distillation, en ce retour à ce mélange de sensation, à apprivoiser, à court de mots, face à ce déroulement le plus important de tous les temps, bien évidemment.

Au nom de cette étoile filante, si brillante, merci merci merci à toi, moment présent de tout remanier, en un seul et unique instant, bien évidemment.

Vous aurez sûrement compris, que seul un coeur ouvert à cette devanture, cet horizon qui , à tout instant se voudra la plus belle des réflexions, sans persuasion ni déformation, que cette source d’inspiration à découvrir, comme étant le plus beau des plaisirs à ressentir, passant à travers ces bas de soutainement, pour y accrocher au passage ce si beau diamant , si réfractaire à cette douceur du moment, transposant ainsi en diapason avec ce mur du son, ce ciel si bleu qui, de jour comme de nuit, se voudra si réjoui d’y fait réfléchir en 3D, cette si belle intériorité, telle que proposé par cette intégrité , et ce, sans droit de regarder ce à quoi, tout un chacun aura si bien voulu lui demander de diffuser, sur cette planche à dessiner, ce mode d’emploi étant possible de résumer en un seul et unique mot à dire et redire, en tout temps ou non , tout ceci étant bien entendu , à la discrétion de cette répétition ou non, bouton à quatre trous se voulant se contracter en une seule et unique orifice,  si rayonnant face à cette couleur du temps, si généreuse en ce retour d’attention , ce regard si émerveillé face à de cette si belle immensité.

En ce retour à cette réalité si enjouée, merci à cette éternité , qui , à elle seule , aura été celle à imiter,  en tout temps ou non, et ce ,quelque soit ce niveau de salaison, cette rivalité entre deux classes si affairées, ces niveaux à ajuster, ces cadres à renommer, ces coups de pinceaux à rafraichir, ces manques d’attention ou non, cette inattention laissant place en ce moment, qu’à y admirer ce qui, un jour, se retrouvera au beau milieu de cette ruelle, te demandant de lui indiquer ce à quoi, toi seul aura si bien voulu lui proposer , ce remerciement , ce pousse en l’air, ce sourire aux lèvres, ces indicateurs de bonnes nouvelles, lui disant tout simplement que cette image se démarquant de cette collectivité, aura à faire face à cette démesure, ce privilège de respirer tout doucement, coeur d’enfant y démontrant , battements de tambour si énergisés par une si belle admiration , cette compréhension étant maintenant au menu du jour, en ce retour à ce détournement d’attention, en ce retour à cette façon de communiquer si efficacement, seul au micro ou non, d’un bout à l’autre de cette universalité , cette candeur à impressionner, au gré de ce séjour , ce rapprochement se voulant si surprenant, pour ce nouvel étudiant, bien évidemment.

Tel que lu dans cette revue,  en ce si beau visionnement du moment, merci de remettre en tout temps,  cette disposition qui, à elle seule en fera le plus romantique des  présents, à cajoler avec une telle allégresse, cette terre si heureuse ainsi, de se départager en une immensité de possibilités, d’un soleil à l’autre, profitant ainsi de chacun des instants, à sa manière, caressant ainsi ce si beau rêve de s’épanouir, sourire aux lèvres, et ce ,quelque soit le code rouge sur ce bouchon de déclenchement, si inspirant, bien évidemment.

Au nom de cette étoile si éveillée, merci à toi, mission de vie de te tenir debout, malgré toutes ces années à chercher par où est allé se percher ce pincement de temps, ce moment présent à retrouver, vibrant intérieurement à tout instant, suffit-il finalement de le ressentir, que pour mieux le redéfinir ? … à tout un chacun d’y remédier, probablement, bien évidemment !!!

A ce coeur d’enfant remis en avant plan, merci de me saluer de temps en temps, comme au bon vieux temps, bien évidemment.

Ton étoile te défiant en tout temps,

Ton amour de jeunesse,

Avec toute mon affection,

Infiniment merci

Ce moment positif , signal à redéfinir comme étant le plus compétent des représentants, là, droit devant,

Avec toute mon attention,

Ta complice de vie,

Cette flamme si éternelle

Merci

 

 

crédit photo:pixabay

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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