Aller au contenu

Moments à oublier

Alors voici, en ce retour à cette réalité , celle qui de jour comme de nuit , cette si belle notion de temps, de tentations en remises en questions, cette manière de remettre sur son propre présentoir, en y attendant ce retour à cette normalité , de si beaux moments finalement à avoir trébucher, retomber, tout en s’agrippant à ce porte manteau  si bien individualisé, à chacun d’y parsemer son propre territoire, coeur d’enfant ayant été si habitué de passer son propre horaire du temps à en oublier cette manière de remettre en avant plan,  sans intuition ni reconstitution particulière, que cette si belle initiative si attentive à tous ces changements de tonalités , enfin prête à tout y dévoiler ce qui, de jour en jour, se peaufinera au nom de toute cette amitié si bien exprimée.

Alors voici, tel que promis pendant tant d’années, abusant littéralement de ce moment présent,  le lançant si violemment au fond de cette cuvette à laver, le submergeant de tant de larmes si échaudées, l’insistant même à devoir se remaquiller que pour mieux y faire apparaitre ce si beau privilège, cet instant si authentique, si romantique, magique même, cette superbe relation se voulant tout simplement, et ce en toute élégance malgré un degré de transparence y embrouillant même cet éclaircissement, à perte de vue, 2020 étant tout simplement ce code de description , ce point de départ vers une universalité  orientée que sur son propre coeur d’enfant, sans défense, sabot si adoré entrain de remettre en place cette voie à suivre , tout en courant, valsant, chantonnant ou reniflant comme au bon vieux temps, bien évidemment.

Alors voici, la fin de cette histoire qui , un jour aura si bien su se contenter que de cette si belle finalité, ce printemps étant le début de tout un siècle de misère noire, cent années de métal blanc, bleu ou vert à travailler,  bûchant si fort  à en oublier cette intériorité à retrouver, un jour en pleine formation , cette éducation en temps réel étant là finalement que pour mieux y faire apprécier ce ciel bleu , cet écran transformant en 3D cette lucidité , ce ramassis d’idéologie, de ressentis, de moments si intensifiés, ayant pris  le temps de les apprécier avant même pouvoir les apprivoiser, ce temps étant redevenu en tout égalité avec cette grandeur intérieure en proie d’une si belle chaleur.

Si ce alors voici de ce moment présent se veut si révélateur, celui-ci se permettra même d’en informer à sa manière, cette si belle matière de récupérer cette totalité si bien oubliée, tout au creux de ce lieu si rigoureux en luminosité, lui permettant  ainsi de lui tenir la main , et ce, de lendemain en lendemain, fera de ces si belles personnalités si orientées que sur leur propre bonheur personnel, terre promettant le plus beau des présents à celle ou celui qui se sera même permis de se procurer cette solution , cette clé si effilée , ouvrant même les bras à cette lueur du jour, alors me voici de retour, mon plus beau retour à cette information , tel que demandée dès cette première respiration, tape dans le dos pour y enclencher cette séparation, coupure de ruban pour l’occasion, alors voici ce compte rendu d’un tout autre point de vue, tête enfin retournée, par crainte d’y embrasser cette semelle à reconnecter à ce sous sol si fier d’y accueillir ce si bel avenir en devenir.

C’est alors que ce voici d’auparavant, ce printemps étant si généreux en élément primaire, cette reconstruction face à ce soleil qui, à lui seul , aura à remettre en place chacune de ses si belles demandes si particulières, passant ainsi tout son propre temps à y faire déployer ce qui, en toute priorité lui aura été si bien confié, tout en le mimant, visualisant, le serrant très très fort entre les mains, ce coup de pinceau ou cette mine de crayon qui, pourtant auront eu fort à se défaire de cette remise en doute, libérant ainsi tous ces effacements , et ce avec un certain talent, ce manque de reconnaissance , intérieurement parlant bien évidemment, ce coeur d’enfant  qui un jour se retrouvera face à ce si bel amour ,  à peine éduqué tellement ce moment présentement à l’affiche se terminera toujours par ce retour d’ascenseur, tête si exténuée de ne plus savoir par où commencer pour d’abord y faire avancer sa propre destination, si habituée de toujours et toujours tourner en rond, à une vitesse si affolée par une si belle génération de consommation , cette raison de vivre en toute excentricité,  garnissant ainsi les coffres de ses si bons maitres à récolter cette somme si bien accumulée, ce dirigeant si performant ,  terminant ainsi cette journée tout en y remerciant ce travailleur , ce fier collaborateur de fortune, le privant même de pouvoir ainsi se retrouver face à sa propre image , là droit devant, si fatigué d’avoir eu à en oublier son propre talent si particulier, celui  lui ayant été confié dès cette énergisation,  ovulation se voulant si difficile à convaincre, spermatozoide y projetant que cette si belle illumination à en faire éblouir cette si belle  détermination, à chacun sa propre  chanson de persuasion, comme de raison.

C’est ainsi que ce alors voici, ce temps de dévoilement se voulant en ce moment si fier de remettre en place ce qui, de jour en jour, et ce , malgré tous ces détours à rencontrer, vous ai-je déjà dit de vous maintenir en tout temps prêt à y recevoir la totalité de vos démonstrations,  de vos remises en questions revenues sans réponse pertinentes,  savourant ce moment présent du bout des lèvres, en y attendant cette immensité, cette joie de vivre à peine emballée de pouvoir enfin se remettre à y décorer ce si beau décor, ce coeur d’enfant le reconnaissant ainsi de si loin , le rappelant même par son propre nom, te revoici  enfin se voulant ce si beau signal de départ, vers une si belle destination, la tienne, la vôtre, la leur, à chacune sa propre lumière du jour à retrouver, à sa façon,  avec ou sans chandelle, avec ou sans encensement, avec ou sans luminosité à contempler en 3D ou non, tout ceci étant toujours la bienvenue dans une universalité parsemée d’une si belle infinité.

Si encore aujourd’hui, cette notion de temps étant toujours la même mesure à apprivoiser, le lançant là droit devant tout en lui mentionnant de toujours et toujours lui montrer respect, ce mot si simple à remettre en priorité face à une si belle échelle à remanier, ce remerciement réparateur à toutes ces heures de gloire à favoriser, seul à seul avec son propre talent qui, tout en coloriant, peinturant, souscrivant comme en ce moment, en chantonnant, en sautillant, comme je le disais tout précédemment, à chacun sa seule et unique porte de sortie à identifier, lui donnant ainsi cette main si irritée par tant de journées à oublier, une fois que cette sévérité maintenant si appréciée aura su si bien y identifier son propre interlocuteur au bout de ce lien de communication, sans mot à dire autre, que ce merci merci merci très cher ami, qui du fond du coeur, ce lieu si heureux enfin d’y absorber tant d’efficacité, face à cette réalité , ce bon vieux temps, d’hier à un autre temps , celui qui encore aujourd’hui se traduira toujours et toujours , d’un remerciement à l’autre, et ce ,d’un océan à l’autre, si bien entendu par ce langage si universalisé, ce sourire aux lèvres, si accueillant pour de si beaux imitateurs de satisfaction, cette institution en pleine transformation se voulant finalement, ce moment présent  dans un trois ou quatre temps, respiration y démontrant de si beau talent , enfin retrouvé pour la meilleure des traversées, à en oublier toutes ces années d’effacement sur cette si belle ligne du temps, bien évidemment.

 

 

C’est ainsi , en toute simplicité , que je me permettrai que de dire merci merci merci à toutes ces fins de journées,  ces dernières étant que ce privilège de se retrouver en pleine possession de tous ces moyens de se pavaner , tranquillement ou non, à chacun son propre rythme de révolution, cette évaluation en temps réel de se percevoir comme le plus volatile des papillons , de nuit ou non, ceci étant bien évidemment à la discrétion de ce commentateur de ces  si bonnes nouvelles, laissant ainsi son propre voisin profiter de ce temps de conception, cette évolution ayant été si bien préprogrammée par cette si belle étrangeté, cette itinérance, sans carte à épingler à son blouson, sans titre particulier à engendrer, sans aucune étiquette à lire pour en vérifier cette authenticité, sans aucune amertume à régurgiter, ni moment présent à remettre en avant plan, que cet instant de satisfaction, cette ampleur si vulnérable face à cette si belle image, la dévalorisant, allant même à le retrancher de ce si beau cheminement, ces temps incertains ayant été si parsemés de si bons commentaires , du primaire au secondaire, cette corrélation en temps réel , tenant ainsi en otage ce coeur d’enfant si habitué d’attendre  que son propre tour soit un jour, au frais de toutes ces oubliettes si exaspérées de devoir à tous instants, remettre en avant plan, exactement ce qui lui aura été si bien expliqué, de long en large, cette hauteur de salaison, sur une échelle de dix, onze, douze ou toute ordre de se faire réprimander , ceci faisant maintenant partie d’une toute autre histoire, une fois cette mine de craie  , blanche ou non, celle qui conviendra le mieux à ces yeux si amoureux de cette réalité, en toute proximité, intérieurement parlant, bien évidemment.

Alors voici ce résumé se terminant toujours , toujours et toujours par le plus beau remerciement, si influent pour cette si belle rééducation, cette possibilité d’y faire fructifier , et ce ,avec une si belle exactitude, cette galanterie se voulant disponible à tout instant, ce moment présent se voulant si réactif à toutes ces modifications en temps réel, sourire  aux lèvres ou non, fierté indirecte ou non, fermeté si bien démontrée ou non, politesse si bien inspirée à cet environnement, ronronnant à tout instant face à ces si belles caresses mise à sa contribution, en ce lieu de culture si personnalisée , pour la meilleure des prospérité , si individualisée, à chacun sa manière de se reconnecter à ce si beau savoir faire, face à ce si bel univers, reflet collectif de cette relation avec son propre mur du son, là droit devant,  si chancelant en ce retour à cette facilité de s’orienter, droit devant , intuition à l’unisson ,  en ce retour à la maison de son propre dessinateur d’histoire, ce coeur d’enfant si affamé de sourire aux lèvres, tel qu’expliquer depuis tant d’années  à en avoir mis du même côté, son propre regret face à cette glace de jeu, cette terre si généreuse  pour celle ou celui qui se sera même permis de la remercier pour  de telles possibilités, enfin observées.

Alors voici que ces moments à oublier se présenteront sous une nouvelle armature, permettant même d’y projeter ce qui, de jour en jour, y influencera cette si belle démesure, cette notoriété, cette proximité  si bien ressenti , en plein milieu d’après-midi ou non, en pleine rue ou ruelle jamais empruntée , ou non, ce milieu de culte ayant été si bien départagée en une lumière du jour, à caresser en tout temps ou non, tout ceci étant maintenant entre les mains de ce magicien de ce mot à dire et à redire, à chacun sa propre manière d’en récolter cette si belle discipline à répertorier, au beau milieu de cette liaison, coeur d’enfant enfin prêt à y révolutionner ces si belles manières de penser, collectivement ou non, ce renoncement à cette uniformisation, diplomation si bien accrochée , en y attendant cette remise à niveau, horizon si bien alité que pour mieux y recevoir ce recueillement , cette admiration en temps réel , face à un soleil si rafraichissant, là droit devant , en 3D ou non,  cette manipulation à apprivoiser, allant même à vouloir le développer  directement sur cette tablette   dépoussiérée , cette trappe de ventilation se voulant finalement , cette objectif à rencontrer au bout de ce tunnel si difficile à traverser.

En ces mots si difficiles à remettre entre les mains de cette perspective, merci merci merci se retrouvera en toute temps  sur cet ordre du jour, qui de lendemain en lendemain, ne voudra que lui relancer cette balle si colorée, se contentant même de l’identifier comme étant cette liberté à se présenter, en 3D, au tout prochain détour, te revoici revenu , mon si beau retour à cette intimité, accouchant ainsi d’un tout nouveau poupon, talent enfin reconnu par celle ou celui qui l’aura si bien soutenu tout au long de cette si longue évolution, personnellement parlant, bien évidemment.

Merci Merci Merci,  nous revoici partis sur une autre voie de servitude, aidant ainsi son propre prochain, le tien , le vôtre , le leur, d’un lendemain à l’autre, d’un moment présent à l’autre, cette liberté si habituée de devoir se concentrer en une simple projection, visuellement ou non, ceci formant ainsi cette démocratisation, cette interdépendance à réconforter après tant d’anniversaires , de printemps indiens, de bougies à allumer, ainsi se retournera cette si belle indication, renversant ainsi cette vapeur du jour en une bouffée d’air frais à effiler, ces doigts de fées en profitant même pour y confectionner ce rêve d’enfant enfin à prioriser, sur cette terre si fragilisée par un consommateur si désabusé.

Alors voici, ce dernier remerciement à toi, moment présent , ce prince charmant déguisé en instant à charmer , un jour, en ce retour à la maison, dans la noirceur de cette si belle profondeur , par un temps glacial, cette chaleur vive se réactivant , y apercevant cette simplicité en  avant plan, là , droit devant, bien évidemment.

A toi maintenant de te tenir debout ,savourant chacun de tous ces instants présents, là droit devant , ou sous tes pieds si bien ancrés, cette reconnexion  si facile à préserver,  la ressentant instantanément entre deux cycles de respirations, intérieurement et extérieurement, cette bulle technologique à remettre sur pied, responsabilité garantie à cette individualisation en pleine transposition, comme de raison.

Infiniment merci , à toi aussi, amitié  y affichant cette si belle mine, sourire se départageant à cet environnement , reflet direct de cette sollicitude, en pleine amplitude, en covoiturage ou non, sur rail lustrée ou non, à chacun son propre souffle de vie à exposer à cette authenticité face à sa propre dualité, coeur d’enfant d’un côté, main droite si bien relevée lui indiquant que lui seul aura su se retrouver au beau milieu de ce jardin si bien redécoré  de tous ces tableaux que cette vie lui aura si bien voulu lui faire subir, miroir te saluant en tout premier lieu, à toi maintenant de  lui démontrer à quoi aura-t-il à faire face, chaleur si débordante, parfumant ainsi ce si bel univers d’une flagrance en pleine résonance, et ce , en toute transparence, comme quoi, se remettre à observer cette lumière du jour, admirant, contemplant, respirant tout simplement avec une telle douceur, cette manière de remercier ce mode de vivre en toute liberté, inspirant à tout instant ce moment présent, si énergisant intérieurement, te revoici revenu au pied de cette falaise, si bien ancré à ce pôle si attrayant, au coeur même de cette résolution, en pleine expansion, terre engorgée de satisfaction, en ces temps de détournement d’attention, en ce lieu si précieux pour de si beaux amoureux.

Alors  te voici rendu au bout de toute cette information, à toi maintenant de se sentir de plus en plus vibrant, intérieurement parlant , cette toute petite voix se voulant la plus sécure à séduire, tellement son élargissement en temps présent se voudra d’une si belle présence, et ce, en toute permanence, tel que convenu dès cette remise à nu.

Merci Merci Merci à ce paradis si étoilé, inspirant ainsi tous ces habitants d’y surplanter son propre drapeau blanc, flottant au vent, là droit devant, sur cette colline si facile à escalader, en ce jour de liberté si individualisée.

Alors merci à ce revoici me revoilà revenu au jeu, avec une toute autre humeur, sourire aux lèvres le démontrant à cette si belle affirmation en temps réel, cette image de marque se tenant là, droit devant, ce manifestant d’une telle agilité, d’un moment présent à l’autre, comme au bon vieux temps, coeur d’enfant y souscrivant présent à tout instant, sous cette lueur du soir, après une journée de démonstration de ce si beau savoir faire, appréciant ici et là  ce qui fera de ce si beau lendemain, une partie de plaisir à recenser comme la plus belle des qualités à maintenir sur pied, respectueusement parlant, bien évidemment.

Avec toute cette affection qui te  revient,

Ton coeur qui bat et qui battra tous ces records, et ce, à ta manière de faire  si révolutionnaire face à ce si bel univers.

Encore merci, bien évidemment !

De toute amitié,

Ton coeur qui t’apprécie et t’appréciera en tout temps,

Merci

 

 

crédit photos: pixabay

 

 

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.