En ce retour à cette modernité , celle qui du jour au lendemain se voudra finalement que ce si beau ruban de visualisation, là, droit devant, comme au bon vieux temps, bien évidemment, ceci transformant systématiquement ce si beau déploiement, ne sachant ni le pourquoi ni le comment en faire sa propre gourmandise, à chacun son propre désir d’y remanier finalement ce si beau talent de présentateur de nouvelles, et ce , sans écran de lecture ni demie mesure à consacrer à son propre rythme de résolution, en temps réel, ce ciel bleu si heureux enfin de se départager en une multitude de structurations, inspirant ainsi chiens savants et magiciens , leur permettant ainsi de se remettre à profiter de leur si beau moment préféré, si bien ressenti et même priorisé, te revoilà redevenu cet éléphant blanc, parcourant ici et là ce terreau si énergisé, respectant ainsi cette partie d’un tout, en tout temps, comme en ce moment , bien évidemment.
Si ceci te redit de redouter si simplement ce si beau coupon de participation à cette nuit remplie de barils de poudre qui, magiquement y confondront aléatoirement, cette manière de suggérer à ce roi lion, si négativement surchargé d’électrolytes, cette matière grise se voulant dès cet instant d’une telle magnitude sur cette échelle payée si chère après tant d’années de désinformation, à chacun finalement de se retrouver sur sa propre voie , à sa façon, sans boussole ni sondage à récolter, que son propre univers à redécorer en ce retour à cette liberté de progresser, intérieurement parlant , bien évidemment.
C’est en cette journée si bien illuminée , soleil favorisant que cette priorité , celle que tout un chacun aura , et ce dès ce réveil si évocateur, tout en râlant, tout en mâchouillant les restants de la veille, tout en se manifestant comme le plus heureux des combattants, tout en redonnant systématiquement la monnaie de cette pièce si bien expérimentée , ce parcours de vie étant là que pour mieux y apprécier finalement ce qui, de jour en jour, se détournera de toutes ces possessions ou remises en question, que son propre intérieur à reconnecter à cette réalité si fière enfin de pouvoir y retourner cette exactitude , là droit devant, sur écran géant, te revoici redevenu cet impresario , devant son propre microphone, y entendant sa propre voix, face à un miroitement en 3D, entrain de se réinventer en une seule et unique journée, d’un moment présent à l’autre, pauvreté si appréciée, laissant ainsi place à ce roman savon, comme de raison.
C’est ainsi, que ce alors d’autrefois se permettra que de remarier à ce talent si précieux, le tien, le vôtre, le leur, celui qui du matin au soir y impressionnera ce si beau sourire, déballant ainsi ce regard à en faire trembler ce pommier, laissant ainsi tomber cette pomme prête à rougir pour cette occasion, cette illumination se voulant tout simplement cet objectif à atteindre , moment de prédilection pour un arsenal qui en toute amitié se permettra même de se remettre à rêver à cette journée de réflexion, impression en réaction à ce temps de ralentissement, intérieurement parlant bien évidemment.
Alors pourquoi avoir autant de capacités à remettre sur pied, devant autant de complexité à en faire déborder ce chaudron toujours prêt à succomber à cette facilité de s’exclamer haut et fort, face à cette itinérance, cette remontrance qui, sans pigmentation particulière, sans cuillerée de sirop à mesurer, que cette si belle orientation face à cette résonance qui, d’un tour de main, le tienne en toute priorité, valorisant ainsi cette simplicité de sourire en tout temps, comme en ce moment bien évidemment, ce retour à cette réalité se terminant toujours et toujours par ce si beau détournement en toute profondeur, malgré un degré de chaleur si intensifié par une telle vulnérabilité , si appréciée par une telle complicité.
Alors pourquoi avoir autant de moments présents à gaspiller ?
C’est ainsi que cette vivacité, celle qui en toute répercussion, arrimant ainsi son propre port, là où toi seul l’aura si bien ancré, en le laissant se balader au gré de cette éducation si bien encadrée, au gré de cette devanture si bien respectée par une telle communauté, cette latitude de pouvoir en tout temps se balader , tout en respirant tout librement comme au temps où ce tout petit poupon se permettait ainsi que d’y soulever cette cage en pleine transformation, bedon de laine ou bedon tout rond, cette façon d’y prononcer son admiration à une éternité entrain de lui proposer cette si belle liaison d’amitié , après cette coupure de ruban à reconnecter, un jour, à la guise de cet itinérant, laissé ainsi en toute liberté, caleçon si bien épinglé, commençant ainsi son propre chemin si bien entrecroisé de difficultés, d’embûches si bien représentées par une éventualité toujours prête à se remaquiller en un apprentissage , récoltant ainsi ce moment de recul, d’un jour à l’autre, au bout de cette ficelle qui aura eu que le privilège de s’être allumée par mesure de sécurité, tel que recommandé dans ce registre si individualisé à ce porte manteau enfin revenu sur son propre socle de porte, appréciant ainsi chacun de ses moments présents, là sous ses pieds si bien embrasés de solicitude, te revoici finalement au point de départ pour un autre tintamarre à écouter de l’autre côté de cette récolte si bien accumulée, en toute comparaison à cette accumulation, inégalable régal à écouter, goûter ou toucher, le ressentir intérieurement se voudra en tout temps, la plus belle des impressions, à chacun son propre suçon à laisser couler de manière à en faire son propre bâton de marche, enrobage parvenu à y sculpter cette base si épanouie , ce point d’appui pour un aujourd’hui des plus remplis.
C’est alors que toi, et oui, toi seul aura à faire face à son propre oratoire, Frère André ayant eu que le privilège de démontrer finalement , après tant de guérison en pleine action, après tant de demandes particulières à remettre à cette perspective, lui savourant chacun de ces moments de contemplation, du haut de cette colline à engendrer, à tous ces matins que cette réalité lui aura permis finalement de démesurer à cette prise de son, intérieurement parlant, bien évidemment, ce plan de corail lui disant tout simplement de ralentir à tout instant que pour mieux y apercevoir ce talent entrain de se retrouver flambant nu face à cette statuette, cette image si bien sous estimée, cette réflexion de cette intériorité se relevant ainsi tout doucement, impressionnant ainsi cette capacité de respirer tout librement, du haut de cette tour en fer forgée, entrain de replier face à cette image se démarquant , depuis un simple instant, ce moment présent se voulant littéralement la plus virulent des contagions, à chacun finalement de se retrouver un jour, face à ce si beau mur si bien insonorisé, de peur d’y laisser entrer cette simplicité, te revoici redevenu cet orateur face à cette bonne humeur, et ce, quelque soit l’heure du jour, ou ce coup de minuit à en faire déborder ce vase ayant accumulé chacune de ses si belles manières, souriant, chiâlant, tuant ici et là ce tout roi lion en panne sèche d’inspiration face à toutes ces si belles désillusions, ces facilités de rendre heureux ce major d’homme en perte nette d’illustrations, à chacun sa seule et unique façon de se promener face à ce vent d’été entrain de propager ce soleil se réveillant à tout instant , cette éternité toujours prête à te tenir la main, d’un jour à ce lendemain, face à ce tout petit rien d’un simple tout éparpillé un peu partout.
Face à cette diminution, partant ainsi d’un simple point d’appui, ce parapluie ayant perdu son propre reflet sur cette terre si asséchée, semant ainsi chacune de toutes ces si belles grenailles, ce poids qui depuis tant de fermeté aura fait de cette éducation une réduction de masse, affirmant même avoir à y subir un traitement si électrisant , voguant ici et là , au gré de ce retour à cette réalité enfin requestionnée, te revoici devant ta propre image ,en marche arrière ou non, sans point d’appui ou non, tout ceci fera ainsi parti de cette nouvelle vision, ce bouton à comprimer, tout en relaxant, tout en souriant, tout en offrant cet aide si bien réclamé par un voisinage perdu sur son propre nuage numérique, tous ces faits et gestes portant ainsi ombrage à cette évaluation qui, en plein ciel te remettra exactement cette particule, non monnayable, cette négation ne faisant plus le poids face à cette évolution en pleine réaction à cette rémunération, la tienne , la vôtre ou encore et encore, face à cette sommité entrain de se repositionner , intérieurement parlant, cette cathédrale à redécorer de chacune de toutes ces couleurs de peaux, du blanc au noir, passant aussi d’un jaune y préservant ainsi cette authenticité une fois cet automate en aura fait fuir cette flagrance si arrogante en cette présence débordante d’un tel colori , souriant ainsi à cette luminosité , si fière enfin de collaborer à cette si impressionnante réaction à en faire rougir chacun de tous ces si beaux désirs en devenir en pleine floraison.
Merci à chacun de tous ces tout petits rois , déliant ainsi son propre collier de liaison , se permettant même de ralentir que pour mieux y ressentir cette éventualité, là droit devant , comme au bon vieux temps, cage thoracique le démontrant par son assouplissement, diaphragme y ouvrant ainsi son propre orifice , favorisant ainsi cette entrée en tout liberté de cette oxygènation si regénératrice, matrice enregistrant chacun de tous ces moments de réflexion, le remettant en main propre à ce champs de fertilisation, apprêtant ainsi ce champs de pratique, le tien, le vôtre , le leur, à chacun finalement d’y cultiver son propre univers , récoltant ainsi de cette totalité, exactement ce qui, de jour en jour, y parfumera que chacun des détours , ce feu roulant de moments présents, inspirés par chacune de ses difficultés d’y exprimer ce remerciement, intérieurement parlant ou non, tout ceci étant maintenant parvenu à tes oreilles, bourdonnant de satisfaction, comme de raison.
Infiniment merci à tous ces petits de doigts si féériques, ce qui de jour en jour, y peaufinera que ce si beau retour à cette réalité , celle qui se permettra finalement que de s’objecter à cette devanture, en toute transparence, parapluie si ébréché , en ce retour à cette liberté de se balader, sans crème de protection ni maquillage d’occasion, que cette libéralisation en voiture rouge, feu roulant la décorant d’une telle simplicité, telle que récupérée en ce retour à cette amitié enfin retrouvée.
Merci Merci Merci à tous ces amis au coeur si affairés, merci de ralentir que pour mieux y ressentir cette satisfaction en pleine floraison en ce printemps indien, débutant toujours par un remerciement face à ce moment présent, le tien , le vôtre , le leur, cette récolte en temps réel, face à un ciel si bleu, écran projecteur si impressionné par cette itinérance ne sachant par où aller pour y demander une seule offrande, tellement cette comparaison se voulant ce si beau talent à démystifier, intérieurement parlant, c’est magique finalement cette vision en réaction à cette impressions, ses sensations, ses temps de contemplation, ces moments de valorisation ou non , sous estimation étant maintenant la responsabilité de cette personnalité se réinventant instantanément, bien évidemment.
Encore merci, moment présent de faire partie de chacune de toutes nos vies!
De ta double personnalité, qui en pleine nuit ou non, selon ton propre rythme de respiration, intérieurement parlant bien évidemment, à chacun finalement de souscrire présent à cette chorale débordante de ressemblance à cette itinérance, en toute transparence face à une si inspirante fumée d’étirement, là droit devant, nous revoici en pleine restructuration, cette communication en temps réel étant parvenue à se remettre en marche , suffira-t-il finalement de prendre le temps de l’écouter de temps en temps, seul ce si beau talent en temps présent nous le dira finalement, simple question à proposer à ce simple temps, bien évidemment.
Merci Merci Merci
Ton amitié qui depuis la nuit des temps te permettra de te régaler de ton propre talent si valorisant intérieurement, bien évidemment.
De ce talent qui te représente si bien,
Merci