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A saisir au premier bond

Alors voici!

Tel que promis lors de cette dernière altercation, cette remise en question, la tienne , la vôtre , la leur, celle qui de toute façon s’arrimera toujours et toujours à ce bout de ficelle entremêlée dès ce début de journée, ce surchargement de tâches et de descriptions se voulant finalement si fidèle à sa propre réalisation, au gré de tous ces détours en ce retour à la maison, intérieurement parlant, bien évidemment.

Tel que promis se voudra en tout temps, le plus beau serment jamais entendu et même  si attendu, si attendri par tant d’années de difficultés rencontrées ici et là, sans la moindre dévotion, que ce soleil se permettant  même d’en multiplier cette si belle démesure, cette sous évaluation qui, en temps réel se terminera toujours et toujours, par cette envolée en plein ciel si bleu, couleur préférée de tous ces amoureux de cette amitié si cher payée pour la retrouver, flambant nue en pleine ruelle ou non, ce moment de contemplation se confondant instantanément à ce remerciement si imposant en ce moment présent enfin préservé tout au long de cette journée à peine commencée.

Tel que promis, ce soupçon d’incompréhension face à cette éventualité déjà prête à y déployer  , et ce , avec une telle exactitude, s’inspirant même de ce temps de chambardement, débordement de chaleur  vive ou non, couleur en avant plan ou intérieurement, selon ce cycle de résolution à remettre en route en temps présent, bien évidemment.

Tel qu’entendu  tout précedemment, tout un chacun aura un jour la fermeté de s’élancer en toute sécurité , se baladant tout en souriant et ce, sans la moindre misère noire à contenter , ni mystérieux profiteurs de coeurs d’enfants à remercier , à chacun finalement de se permettre  à prioriser , à la hauteur de leur propre grandeur intérieure, ce temps d’acceptation se voulant finalement si onéreux à valoriser face à ces détournements de fonds, de conclusion sans démission, de tournure en rond à en faire perdre à chacun cette si belle illusion, transformant ainsi ce plaisir de se choisir à tout instant, et ce, sourire aux lèvres , ne sachant ni le pourquoi ni le comment faire pour parvenir à se souvenir de son propre code d’accessibilité à cette liberté de se suffire individuellement parlant, bien évidemment.

2017 se voudra tout simplement libérateur de ton propre code intérieur, ne voulant finalement que mieux te divertir, se voulant cette totalité enfin rassemblée en une infinité de possibilités, en toute complicité avec cette terre si heureuse enfin de se remettre à progresser, alimentant ainsi chacun de tous ces habitants, dans le respect mutuellement si responsable de cette égalité entrain de se déployer, là droit devant tous ces écrans géants, sur fond bleu si lumineux, ce soleil se départageant en une multitude de moments présents, à tout instant, cet éclair si génial favorisant cette épine endossant ainsi, ce retour à cette réalité en 3D, reprenant ce temps perdu à bûcher et trébucher, ce temps de dur labeur, coeur d’enfant parfois mis de côté, laissant tombé ce si beau talent personnalisé  face à ces difficultés toujours prêtes à mieux y transformer cette éducation au rythme de cette résolution, pour la meilleure ou pour cette mire, ce but si attendu au bout de ce tuyau noirci pour l’occasion, à chacun ce retour à la maison, sans raison particulière autre, que ce temps de relaxation si bien mérité entre deux tasses de thés si bien infusées.

 

Alors pourquoi avoir autant de moments présents à remettre et remettre de côté finalement ?

 

Tout ceci se résumera en une déformation professionnelle de la part de cette itinérance, ce qui de jour en jour y maquillera ce si beau personnage, personnalité si éduquée, sur une , deux ou quatre pattes, selon l’occasion à l’horizon, ce porte manteau en aura eu fort à se défaire de cette manigance, doigts de fée si efficaces à la fin de chacune de toutes ces journées , priorisées par tous ces remerciements, ou non, par tous ces partages , ou non, par toutes ces galanteries , ou non,  ces faits et gesticulations qui se retrouveront sur cette planche à dessiner, main élevée ou non, cette demande de rançon qui, pour un si bel équipage y influencera ce début de journée , ce lendemain matin à peine éclairée que ce coq aura été si fier de collaborer à ce réveil  tout en douceur , ce temps d’émerveillement se voulant toujours aussi surprenant quand on s’y arrête pour en vérifier son propre fonctionnement, bien évidemment.

 

Se permettre de relaxer tout en se berçant, tout en souriant, tout en y observant chacun de toutes ces étoiles si bien alignées, apportera toujours plus de couleur à ce lendemain matin, que toutes ces possessions, ces remises en questions continuellement entrain de tourner en rond, ceci se voulant finalement cet objectif à atteindre pour y voir plus clair au travers de cette universalité enfin remise en priorité sur cette liste d’épicerie, si dispendieuse à mettre sur cette marche d’escalier, emballage par -dessus sur emballage, préservation à reculon sur ce tout nouveau  rythme de résolution, comme de raison.

C’est ainsi, sans pression ni persuasion que tout un chacun aura le plaisir de se découvrir comme le seul et unique maitre d’oeuvre de son propre univers, si difficile à remanier  en ce retour à cette liberté déjà ouverte à tous ces changements de colorations, intérieurement parlant , bien évidemment.

De jour en jour se terminera toujours et toujours par ce retour à cette réalisation, en direct de cette universalité, ce retour d’ascenseur qui , à lui seul , y reflétera ce manquement de temps face à ce dur labeur, ce divertissement se déroulant de plus en plus , sous des pieds de plus en plus soudés à cette terre si énergisée , depuis cette nuit où le temps si important en aura reconnu son propre privilège, d’une respiration à l’autre, d’un battement de coeur à l’autre, à coordonner à ce moment présent si inspirant pour des doigtés si effilés, et ce, à la fin de ce tintamarre, ces chants d’oiseaux  entendus au loin, ou non,  transporteurs d’étoiles au beau milieu de lieu si sécuritaire , à chacun finalement de se retrouver au beau milieu de ce jardin si généreux envers son propre propriétaire sur cette terre lui redonnant en exemple, au centuple, tellement cette répartition y verra que ce si beau rêve d’enfant en chair et en ossature entrain de se réinventer un tout autre monde, visuellement parlant , bien évidemment.

Merci à cette maternité, cette  féminité qui à elle seule, y enfantera à tout instant de cette révélation , à coeur ouvert ou non, transformation garantie ou à demain pour un autre lendemain face  à ton image, la tienne , la vôtre , la leur, coeurs d’enfant se tenant la main , ou non, tout ceci se voulant à y être retransmis de génération en génération comme de raison, à la file indienne ou non, cet entraide si bien autorisée par dessus tous ces marchés, déboursant qu’un seul jeton à la fois, ce sourire aux lèvres , mémorisant ainsi ce temps d’exaltation à la manière si cavalière, égoïstement ou non, à chacun sa propre façon de se retrouver à reculer avant même avoir compris son propre fonctionnement, bouton à réaction à remettre à sa seule et unique position, coeur d’enfant si excité de pouvoir enfin s’amuser à y faire éclater ce si beau bouchon de champagnette, éclatant instantanément, au risque même d’y apercevoir ce si beau présentoir, si illuminé après tant d’années à s’être perdu tout autour de sa propre course à obstacles, tel que recommandée au tout début de cette remise sur pied  face à cette hauteur de projection, à chacun sa raison d’y envisager sa propre reconstruction, comme de raison.

Infiniment merci à ce coeur d’enfant si affolé, laissant ainsi à cette communauté cette loyauté de se balader à son propre rythme, sur ce parquet si absorbé par tant de générosité, d’une pêche à l’autre, poisson se baladant d’un océan à l’autre,  congélation le préservant ainsi jusqu’à sa  source de transformation, ce point de départ ayant été en tout temps, un temps de dur labeur emballé tout autour d’une si belle source de chaleur, point de congélation se voulant ainsi, cette neutralité à remettre entre les mains de cette matinée, ce  printemps indien, soirée si arrosée de fièreté , ce remerciement si influent face à ce moment présent si polyvalent, ainsi ira ce temps de résolution en pleine communion à cette remise en question sans tiraillement ,   que ce miroitement en plein ciel, en 3D que pour mieux le ressentir, le goûter, le sentir et même le prévenir de devoir revenir dès ce lendemain prochain, tellement cet acharnement se retrouvera sur cette planche à redessiner , sur papier glacé ou non, tout ceci se voulant finalement que ce temps de conspiration entre deux aires de jeux à apprivoiser selon sa propre réalité si bien élaborée.

Merci Merci Merci se voudra en tout temps, cet exemplaire si extraordinaire à remettre au goût du jour, sourire aux lèvres ou non, yeux si émerveillés ou non, tout ceci étant à la discrétion de cette remise à jour de ce si beau mystère , qui depuis tant d’années, en aura faire fuir ces habitués de toujours  recommander la même histoire, de crainte de devoir y habiliter son propre collier de liaison , à la souche même de son propre retour à la maison, comme de raison.

Infiniment merci de remettre en boucle, ces gestes et caresses à mon égard, ton propre coeur d’enfant y affirmant à tout instant , son attachement envers cette ressemblance en toute transparence, là droit devant tes yeux redevenus si amoureux de cette simplicité, ce terme si difficile à reconnecter à cette hauteur de marche pied, en fer forgé de si dur labeur ,et ce ,quelque soit cette si belle beauté naturelle, intérieurement ou extérieurement parlant, ou les deux en même temps, comme en ce moment présent, bien évidemment.

Un tout dernier merci à cette fraternité entrain de se reprendre en main, en ce matin de détournement de fond, en toute profondeur, dans la douceur de cette chaleur si débordante de coloris répartis à chacune de ces si belles images si souriantes, à chacune de ces occasions mises sur cette route, d’un moment à l’autre, d’un pas à l’autre, de moments passés et si dépassés à l’autre, face à cet avenir en devenir au gré de cette satisfaction si bien exprimée, ou non, à toi maintenant de me tenir la main, et ce , de lendemain en lendemain, ceci favorisera toujours et toujours, ce retour à cette amitié enfin répertoriée dans un inventaire de bébelles , ne servant plus à cette réalité en pleine exclamation en ce retour à la maison, comme de raison.

En un seul et unique mot à dire et redire, merci  fera toujours  plus de dommage à ce matériel pour toutes ces années à avoir eu que le courage de me laisser de côté, sache que le temps aura eu recours à toutes sortes de manigances pour en arriver à ce retour à cette dualité enfin remise en place, en plein coeur de cette retrouvaille, embrasant même cette froideur que pour y abreuver ce nourrisson, si souriant , emmitouflé par la chaleur de toutes ces brebis entrain d’y illuminer à leur façon, cette remise en doute , fabriquant ainsi son propre miroir du soir, le touchant même du bout du doigt, par crainte de devoir à le nettoyer, tellement cette image de marque se voudra finalement, ce moment de contemplation dont la hauteur et la grandeur se voudra infiniment admirable, et ce, jusqu’au tout dernier souffle de cette respiration, à bout de souffle tellement cette éloquence en aura mis plein la caisse, chaleur humaine en avant plan face à cette  splendeur intérieure  à pleine valeur.

Si je me le permettais, je pourrais continuer ainsi à l’infini, mais je vous en prie de remettre à jour, votre propre base qui vous aura été donnée lors de votre assermentation, cette coupure de ruban , tape dans le dos comme récompense après cette descente aux enchères, ce niveau de contemplation à remarier à ce temps de relaxation en voie de disparition, comme de raison.

Je terminerai toujours par ce si beau bonjour, à cette humanité entrain de se relever de ces cent dernières années de durs labeurs, transformant métal en métaux lourds,  médecine douce en laboratoire de médication, travaux légers en panne d’autonomie, cette économie de temps se voudra de jour en jour, un gain d’énergie face à cette infinité de possibilités à profiter du bout des lèvres ou des doigts, sans gaspillage ni remaquillage, ce plumage étant là finalement, que pour y dépoussiérer ce surplus de fermeté en ce retour à cette souche , ce coeur d’enfant enfin reconnecté par les pieds à cette terre qui , de réalité en réalité en redonnera toujours à ce voisinage, en pleine réflexion face à cette si belle remise en exposition, comme de raison.

Infiniment merci, moment présent de ta présence tout autour de chacune de ces si belles résidences, et ce, en toute permanence.

Merci

De ton ami de coeur, qui de tout évidence t’invitera toujours à danser  tout autour de ce flambeau d’amitié si universalisé.

De ton coeur d’enfant que te voudra respect en tout temps , bien évidemment.

A+

De toute  amitié 

 

 

crédit photo: pixabay

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