C’est ainsi, en toute philosophie, moi , simple paysan de paix, entrant ainsi dans un univers si personnalisé, le mien en tout premier lieu, ce lieu si émerveillé face à ce miroitement, là droit devant mes yeux si amoureux de sa propre réalité entrain de tout remanier en un temps record, minimisant ainsi tous ces efforts , et ce, d’une telle efficacité à en faire rebaptiser ces moments présents si stimulants intérieurement, bien évidemment.
C’est ainsi , et ce, sur un air des plus inspirants, cette chanson apprise par coeur tout au cours de ce si long parcours, cette répercussion se voulant finalement, ce temps de réflexion en temps réel , d’une façon ou d’une autre, d’un bout à l’autre de monde entièrement remis au pied de son propre mur à escalader, agenouiller ou non, à sa propre façon finalement de tout remettre en avant plan, tout en souriant ou non, comme de raison.
C’est ainsi, en toute légèreté, que cette remise en boucle , celle qui de toute manière y ouvrira ce si bel horizon à cette humanité qui de jour en jour se peaufinera à tous ces détours si bien représentés comme solution à interpréter selon son propre rythme de résolution sur cette surface de jeu, cette terre si bien humidifiée, ce surplus de rétention se voulant finalement cette accumulation de moments présents si intransigeants, seul à seul avec tous ces coeurs d’enfants oubliés, sans remerciements si important et ce ,malgré cette générosité à départager entre deux communautés, une intérieurement parlant défigurant littéralement sa propre image, là, tout là haut , regard lui autorisant de la saluer, à sa façon comme de raison, sourire aux lèvres ou non, tout ceci étant à la discrétion de cette rebellion, cet attachement à ces moments de diversions si conscientisés comme seul point de comparaison, ce souffle de visualisation y calculant à la seconde près, cette sous estimation ou non, selon sa propre échelle de salaison, de salutation, de félicitation, si simple à faire basculer d’un bord comme de l’autre , ce bout de chandelle à réactiver , formant ainsi cet arc-en-ciel ou non, ce réparti face à cette magie du soir , ce point de ralliement, ces doigts de fées se faufilant comme au bon vieux temps, regard si évasif face à cette multitude de facilités, sourire aux lèvres, d’un point à l’autre, cette capacité de se reconnecter instantanément à ce si beau talent , ressenti intérieurement, chantonnant, écrivant, pinceau en main ou non, tout ceci se terminant toujours et toujours par un retour par ascenseur de sa propre peur ou non, amour laissant place en tout temps à cette humanité entrain de se forger sa propre cargaison de fleurs si parfumées, flagrance à la lavande de préférence en ce retour à cette appréciation en temps réel, ce privilège si bien représenté, là droit devant par une si belle téléréalité , maitre d’oeuvre y souscrivant son propre commentaire à en faire renaitre ou non, un tel goûter du bout des lèvres, de peur ainsi d’en laisser échapper un seul instant, bien évidemment.
Alors pourquoi avoir à attendre encore plus longtemps ?
Tout ceci aura et sera toujours et toujours inscrit sur cette si belle ligne du temps, bien évidemment.
Tout ceci se voudra en tout temps cette totalité de représentations en temps réel, de ces individualités qui, si bien rassemblées ou non, amourachées ou non, entrelacées ou non, tout y ternira ou non cette si belle horizontalité, ce pâturage en panne sèche de manifestation à son égard, modernité ayant délaissée cette simplicité de se nourrir tout librement de ces légumes fraichement recueillis , ressentant, manipulant ainsi cette si belle démesure qui , en toute liberté aura été reconnue comme la plus belle des pigmentations , en 3D, dégustant ainsi à ce privilège de profiter de son propre anniversaire de naissance, à tout instant , comme en ce moment présent , bien évidemment.
Alors pourquoi mettre autant d’emphase sur de telles complexités, face à une proximité à savourer à tout instant, là droit devant ou sous tous ces pieds si bien ancrés ou non, tout ceci ressemble finalement à ce mélange si vibrant de superpositions, point zéro étant cette objection, ce point de comparaison, ce revers de cette pièce si bien illuminée , ne voulant finalement que se laisser caresser le dos par le plus particulier des cavaliers, ce retour si direct parvenu à être même reconnu par ce soleil se relevant à tous les matins que pour mieux y faire resplendir chacun de tous ces désirs en devenir, en temps réel ou non, selon ce respect si bien indiqué par cette autorisation que tout un chacun aura un jour à reconnaitre comme le plus grand des instants présents, après toute une débandade de situations, de permissions si faciles à délaisser, tellement ces larmoyants qui, tout dernièrement se seront même permis de se retenir d’y laisser tomber une simple goutte au bout de ce museau si bien relevé , admirant ainsi son propre voisinage au si beau plumage, à chacun son propre nombre de portes d’entrées, lions y conservant sa propre position face à de si belles salutations de la part de ce pâturage à consulter tout gentillement, sentant ainsi ce si beau superflux d’informations , là droit devant, ce temps de remerciement ayant été si bien mis de côté , maximisant ainsi tous ces rendements , ces taux si variables, cette fluctuation d’orientation de carrière, de poste en poste, en ce temps d’extériorisation , foulant ainsi tous ces retards de paiements si bien hypothéqués par une telle rigidité face à une si belle simplicité à en faire rêver tous ces habitants si exténués, en début de millénaire des plus extraordinaires, et ce, sans aucun commentaire supplémentaire à refaire après un assouplissement de moments si virulents intérieurement, bien évidemment.
Pourquoi autant de mots si difficile à comprendre en ce début de centenaire empreints d’une si belle légèreté à faire miroiter, sur son propre écran déjà réintialisé?
C’est ainsi que prendra fin cet entretien si particulier, laissant à ce tout un chacun le loisir de se choisir, ou bien de choisir de s’oublier encore une autre fois, à la demande générale, tout ceci étant cette partie de jeu à remettre là et en tout lieu, figurations par excellence de cette si belle évidence, tout en dansant bien évidemment son propre mouvement si inspirant, en pleine stabilité ou non, à chacun sa propre façon de retransmettre en temps réel ce reflet mis en priorité face à ce lieu de culture si bien entretenu depuis ce tout premier lancement, répondant instantanément à cet appel si bien entendu tout au creux de ce milieu si coloré, à son image, ce coeur d’enfant enfin retrouvé , en pleine forme, se relevant de toutes sortes de floraison ou non, soleil se permettant même d’y injecter exactement ce qui, de jour en jour aura été reconnu comme le plus bel espace de jeu , à qui le pourra le deviner, se retrouvant ainsi toujours et toujours , face à ce point de départ, à tous les matins que ces magiciens de ce mot à dire et redire, ce remerciement si bien influencé par une si belle intimité avec son propre propriétaire en phase se terminant à tout instant, point zéro se retournant de temps en temps ou non, pour y joindre son propre club de jockey, tapant ainsi des mains , se reconnectant instantanément à cet engouement qui, selon le taux de collaboration du jour, face à cet amour inconditionnellement si attaché à cette terre si heureuse enfin de pouvoir se départager en une multitude de possibilités à encocher sur son propre mur de collection, à chacun sa propre chanson à écrire , et ce, malgré ce talent si incertain d’en faire un farandole si sympatique , si romantique , si drastique ou non, tout ceci ayant toujours et toujours cette capacité de se réorienter de tous les côtés entre ces deux points zéro à jumeler, tout ceci faisant maintenant partie de ce si beau langage à apprivoiser, tel que recommander dès cette première fessée à en faire démarrer ce rythme de respiration, en pleine formation , comme de raison.
Merci Merci Merci à tous ces rythmes de visualisation, tout ceci y transformera systématiquement cette masse si critiquée par une telle inflammabilité, intérieurement parlant , bien évidemment.
Merci de faire de votre propre sortie, une similitude à contempler et ce, à toute heure du jour, selon son propre retour de respiration, énergisant ainsi cette forteresse y appréciant tant de caresses démontrées par tant de délicatesse, à chacun son propre conte de fées finalement, là droit devant, bien évidemment.
Infiniment merci à ce talent si personnalisé, que tout un chacun se permettra d’y célébrer cette si belle liberté d’y remarier à tout instant, ces points zéro, ce point de départ entrain de se féliciter en ce moment présent de s’être si bien comporter face à cette instabilité , ce tourbillonnement à dresser , ce temps de révolution se voulant finalement qu’un simple passe de tentations à absorber, coupe aux lèvres ou non, découragé ou non , tout ceci se terminera toujours et toujours par un détour à redécorer selon son propre code d’accès à cette intégrité à cultiver , intérieurement parlant ,bien évidemment.
Merci Merci Merci, en ce printemps 2017 se démarquant par son élégance, bien évidemment.
Le tout si bien inspiré par cette si belle intimité enfin retrouvée , individuellement parlant bien évidemment
De ton étoile filante, d’un point zéro à l’autre, cette parenthèse se voulant ce point de ralliement pour deux êtres si opposés, ce point de jonction y illuminant si simplement cet émerveillement , cette terre enfin si respectée à la hauteur de sa propre générosité , tout un retour à cette faculté d’en cultiver son propre jardin secret, dans le réconfort de son propre accord, pôle nord y démontrant ce ressentiment si éclairant, visuellement parlant , bien évidemment.
De toute évidence,
Ton propre coeur d’enfant, si souriant , bien évidemment
Merci Merci Merci
Que ce lieu te réjouisse!
Merci