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Cette répartition prise au piège

C’est ainsi,  si débordante en ce moment, ce printemps lui spécifiant que cette notoriété de pouvoir à tout instant et ce, sans limitation ni repositionnement dans le temps , tellement ce privilège de respirer tout doucement se voudra à tout instant le plus heureux des répondants face à toutes ces inondations ou tremblements de dents, bien évidemment.

Ainsi se voudra en être redevenu ce si beau moment présent, celui si bien oublié depuis tant d’années, à travailler tout en y obligeant ce coeur d’enfant si émerveillé face à autant de spécificités, là droit devant, cette reconstruction en temps réel parvenue à se mesurer à cette intériorité, si bien encadrée tout autour de son propre jugement , si durement altéré par une telle universalité, celle de pouvoir ainsi ,à tout instant  bien évidement, y remercier cette si belle simplicité pour son encouragement, ce remerciement si difficile à prononcer  en ces jours de floraison en pleine expansion, comme de raison.

C’est ainsi que se permettra de se retrouver, seul à seul ou non, tout ceci se voulant ce moment présent à remarier à ce ruban si coloré, cette soif de pouvoir  sourire à belles dents et ce, sans contravention à contresigner ni convention à remanier , faute de connaissance face à cette si belle reconnaissance, intérieurement parlant, bien évidemment.

C’est ainsi que tout ce qui se remettra à y insuffler ce si beau mode de compréhension, cette remise en question qui , autrefois se voulait si formative pour une tournure d’évènements, là droit devant , à devenir ou non , selon son propre rythme de révolution, à reculer ou à avancer, en rampant ou en trébuchant, cette vie si bien remplie d’une si belle inspiration, contredisant ou non cette contemplation à ciel ouvert, ce privilège ayant été si souvent mis de côté, travailler si fort pour y construire cette si belle forteresse à entreposer un jour, en ce retour à cette liberté de s’exprimer , haut et fort, avec ou sans microphone en main, te revoici parvenu à y embrasser cette satisfaction , en temps présent, intérieurement parlant , bien évidemment.

C’est ainsi, que ce moment présent, ce temps étant redevenu qu’une simple notion d’orientation, montre en main ou non, démontrant ainsi à celle ou celui qui se sera même permis de se questionner sur comment faire pour en mesurer ce temps passé et si dépassé à avancer sans le moindre ressentiment, cette sensation si influente, instantanément ou non, tout ceci se voulant si important par moment, présent ou non, question se répondant à elle même, sur cette capacité de réaliser son propre décor intérieur, et ce, quel que soit l’heure du jour, le taux d’échec inscrit à l’agenda, la hauteur de cette échelle de salaison, la longueur de ce passage obligé d’y être dévoilé, tout ceci étant si bien redevenu cette capacité de se réinventer, en temps présent bien évidemment, ce privilège à reconnaitre , à sa façon comme de raison, comme si tout à coup, ce printemps indien y propulsera cette limitation, cette envolée qui à elle seule y soulèvera mer et mode , ce savoir faire si révolutionnaire, si bien expliqué depuis tant d’années, de parabole en farandole, d’une danse à l’autre, ce monastère à débusquer avant même pouvoir en faire valoir sa propre grandeur intérieure, si chaleureuse en cette endroit si aéré, accueillant ainsi , cette évidence en pleine transparence, d’une manière si cavalière, en y apposant son propre respect , dans la discrétion de cette remise , celle où questionnement et moment présent auront eu à se commettre, flambant nus ou non, tout ceci se voulant si facile à imaginer, et si long à en dessiner sa propre destination, au bout de cette si longue route, en ligne droite ou non, merci à cet échantillonnage , sans maquillage ou non, ce temps de reconnaissance se voulant à tout instant, ce point d’ancrage à une si belle vision en pleine action, tellement ce ralentissement dans le temps en aura valu son propre bout de chandelle à réactiver, en ce jour de liberté si personnalisé, pour la meilleure des mires à admirer, droit dans les yeux, bleus ou non, tout ceci se terminant toujours et toujours, par ce si beau sourire aux lèvres, reflet direct d’une réception en directe de cette universalité, enfin expliquée.

 

 

Alors pourquoi avoir autant de temps à se regarder droit dans les yeux, en plein contemplation ou non, intérieurement ou non, ou les deux en même temps, ce talent se voulant si bien entendu par celle ou celui qui, de jour en jour y aura si bien parvenu , du haut de sa propre tour, à y laisser tomber son propre bouclier, si bien adressé à cette société , se  comparant à tout instant à ce si haut taux  de complication, de synthétisation, d’incompréhension, cette dernière ayant subi toute une enjambée en ce réveil si bien retrouvé, en pleine transformation, millénium se demandant comment faire pour y réparer tous ces pots cassés, d’un bout à l’autre de cette planète terre si affamé de sourires aux lèvres, d’un moment présent à l’autre, nous voilà peut-être redevenu au bout de chacun de tous nos propres tunnels, lampes de poches au front même de cette luminosité  entrain d’y éclairer ce temps de réception , en voiture ou non, tout ceci se terminera un jour par une si belle légèreté , d’une respiration à l’autre, d’un regard perçant ainsi cette si belle voilure, celle qui encore aujourd’hui se permettra que d’y abuser ce si beau coeur d’enfant, perdu dans la froideur de ces si belles heures du jour à travailler à en oublier son propre talent si important,  d’un moment présent à l’autre, d’un printemps indien à l’autre, ce temps de réflexion si performant face à ce ralentissement de  pas, inspirant et expirant en toute douceur, nous revoici parvenu à se rassembler sur un terreau si fertilisé d’anticipation, ce privilège qui, de surprise en surprise, cette remise au jeu de son propre boulet , gravé au fer rouge ou non, tout ceci se voulant à la libre discrétion, cette autorisation ou non de devoir en faire son propre univers , ou non, cette convention ayant été si bien détaillée un de ces jours parfois oubliés, ce réveil à tous les matins se voulant le plus grand de moments présents, ne sachant nullement ce que ce pourquoi ou ce comment , ce questionnement finalement si perspicace, en cachette ou en couplet, cette répétition dans le temps aura été la plus belle éducation, face à une cour  de récréation si spectaculaire, à ne plus savoir s’en défaire.

Merci Merci Merci , trois simples mots à dire et à redire, à méditer ou à réciter, de prière en prière, tout ceci étant la seule et unique phrase encore aujourd’hui, ce point de départ pour un simple nénufar, nouvellement installé sur cette barque à peine isolée, traversant ainsi cette mer à peine éveillée , permettant ainsi à ce tout un chacun de se pratiquer à naviguer léger, face à une démonstration en temps réel, ce privilège de pouvoir à tout instant , respirer  tout doucement, sans pression ni persuasion, que son propre univers à respecter, dans le réconfort de sa propre tour si bien éclairée, phare y indiquant présent face à cette océan, cet horizon qui au loin, te tendra la main et ce, dès ce lendemain matin ou non, tout ceci se voulant cette libre course à engendrer sur cette eau si vivifiée par une telle intégrité si vulnérable, en ce printemps où ces érables y révèleront finalement, ce comment faire pour en soutirer son propre nutriment si influent, d’une lichette à l’autre, dévorant ainsi ce moment printemps du bout des lèvres, pour en conserver cette justesse, là droit devant,  sur cet écran si coloré, réflexion si directement immunisée par une si belle simplicité.

Infiniment merci à ce paradis des étoiles qui à lui seul, en aura fait voir de toutes ces couleurs si personnalisées à celles ou à ceux qui, bien malgré eux, auront eu recours à ce cours d’improvisation , mixant ainsi moments présents mis de côté et intériorité si camouflée par une telle obligation de se projeter face à sa propre communauté , déguisé en un mannequin sans argent en main, travaillant  à y remanier ce rêve d’enfant qui, de jour en jour , face à son propre respect, celui ayant été si bien recousu de toutes pièces, ces doigts de fées si effilés, reconnectant à tous instants cette capacité de se retrouver instantanément ou non, selon cette humeur du jour, souriant comme un enfant face à cette rétribution si exhaustive, cette limitation y démontrant finalement ce si beau talent , en pleine rue ou ruelle , entrain de se pavaner avec le plus beau des cruchon vide de satisfaction, cet itinérant lui démontrant finalement , ce comment faire pour se satisfaire que de son propre univers , d’un moment présent à l’autre , souriant sans dentition , réalisation en temps réel inspirée par une telle légèreté ou non, tout ceci se voudra en tout lieu, la plus belle mire à recentrer que pour mieux la propager, artisanalement ou non, cette bombe en pleine réaction à cette simplicité qui un jour se détournera de toutes ces dispersions que pour mieux y concentrer cette facilité de s’offrir le plus beau des bouquets si bien arrosées, par tant d’années d’effort et d’effacement sur cette si belle ligne du temps, bien évidemment.

C’est ainsi, face à cette si belle évidence, celle qui te dira en tout temps de danser sur cette pointe des pieds  que pour mieux y préserver cette terre qui  , de jour en jour te redonnera cette totalité , en direct de ton propre écran géant, si fond plus, perspective en pleine violation , transformant ainsi ces directives qui, bien entendues y propulsera ce retour d’ascenseur , cette fleur du jour qui à tout instant se verra y contempler sa propre image si bien éclairée, d’un moment présent à l’autre, cette gloire de pouvoir ainsi y respirer cette coloration , en 3D ou non, ceci ayant été si bien reconstitué de toute pièce, de fil en aiguille, ce filon enfin décrié comme étant ta seule et unique porte de sortie, baguette magnétisée en main, pour un autre lendemain si inspirant, intérieurement parlant, bien évidemment.

C’est ainsi que je vous aurai représenté votre propre réalité, face à face à ce mur si bien ancré ou non, l’agrippant par le collet que pour mieux lui démontrer finalement, que sa propre tournée de collation aura pris fin en ce réveil si généralisé, cette humanité se tenant la main en ce début de millénaire si révolutionnaire, récipendiaire en toute récurrence , nettoyant instantanément son propre parquet que pour mieux en faire profiter à son propre voisinage se questionnant à son tour, sur ce pourquoi d’un comment faire pour se retrouver en toutes circonstances, face à sa propre ressemblance, sans javellisant ni neutralisant, que son propre rythme de respiration à remettre à jour, en ce retour d’école , beignet aux pommes pour l’occasion, point de départ pour une autre secousse si exceptionnelle, main dans la main de son propre rêve d’enfant, tout en souriant tout librement , bien évidemment.

 

 

Merci à cette magie que cette vie aura si bien su mettre en priorité, disponible en tout temps pour celle ou celui qui , de jour en jour ,  en aura pris qu’une simple bouchée ,dédoublant ainsi cette capacité de se retrouver avec à ses côtés, ce soleil si vibrant intérieurement , main dans la main avec son propre lendemain, coeur d’enfant si affamé, ou non,  d’amplifications en pleine reproduction, cette universalité qui à elle seule, y déplacera mer et montées des eaux si énergisées, que pour mieux y abreuver ce côté de rouleau à peinturer, coloriant ainsi ce paradis si bien inspiré par une si belle vulnérabilité, enfin repositionnée sur son propre pied d’escalier, chemin de fer lui proposant que de le supporter sur cette route si belle à contempler.

 

A chacune de toutes ces si belles manières de s’informer, merci à toutes celles qui auront répondu à tous ces appels de secours, de secousses en secousses, de courses folles ou non , ce temps ayant été toujours si difficile à intercepter, malgré des feux rouges lui indiquant de ralentir un seul instant à la fois, ce respect mutuellement provocateur, à toute heure du jour, et ce, quelque soit la grandeur de cette cour extérieure, reflet direct de cette distillation en pleine ébullition, ce parfum y humectant sa propre flagrance avant même avoir eu à y subir cette émancipation en temps réel, colorant ainsi son propre verre d’eau de cette couleur si personnalisée, comme quoi, seul à seul avec son propre coeur engorgé de satisfaction ou non, y engendrera en tout temps, ce revers de ce porte-monnaie si bien rembourré de moments présents parfois oubliés, jusqu’à se retrouver bredouille face à cette amitié enfin retrouvée, d’une valeur incomparable autre, que cette soif de la laisser te démontrer finalement , ce à quoi toi seul lui aura fait subir, en temps présent, comme en ce moment présent, naturellement parlant ou non, y injectant toujours  et toujours sa propre touche de personnalité, souriant ou non , cette démonstration en temps réel se voudra cette projection la plus injuste des représentations , en ce retour à la maison, comme de raison.

 

Face à cette si belle démonstration, merci de te retrouver en plein jour, face à ton propre retour d’ascenseur , débordant d’une telle chaleur ou non, d’une si belle flagrance ou non, d’un si belle indulgence ou non, tout ceci se limitant instantanément à cette capacité de te réveiller à tout instant, ce rêve étant si vibrant intérieurement, comme en ce moment présent, tout en souriant tout doucement comme le ferait cet enfant au coeur si généreux face à cette émerveillement , là droit devant, bien évidemment.

 

En ce retour à cette neutralité, merci de te tenir droit debout, tout ceci te permettra que de regarder au loin, ce lendemain entrain de s’informer de ta venue, y admirant tous ces moments passés entrain d’y soutirer cette difficultée qui, de jour en jour se transformera en ce si beau discours,  d’un remerciement à l’autre,  un à la fois , tellement cet enchantement se voudra si évocateur en ces temps de transmission instantanée , d’un job à l’autre, souriant à tout instant face à son propre miroitement,  bien évidemment.

 

Infiniment merci  à tous ceux qui se permettront de se réinventer à tout instant, respectant ce si beau talent d’y illustrer en 3D cette si belle intériorité si inspirée.

 

Une merci à cette féminité qui, depuis cette nuit des temps aura eu à y accueillir cette intimité , cette légèreté si difficile à remettre en place, regard si détourné vers cette solution si facile à enjamber mais si difficile à saluer, d’un moment présent à l’autre, au coeur même de ce recueillement si influent extérieurement, bien évidemment.

Enfin , merci à chacune de ces si belles étoiles qui, de jour en jour y illumineront ce parcours tracé, là droit devant, tout en souriant comme un enfant, face à sa propre nouveauté du moment, gloire du matin à tenir en main, d’un jour à l’autre, paix dans nos coeurs, satisfaction garantie , tout en ralentissant, intérieurement parlant  bien évidemment.

En ce  début d’été si bien arrosé, merci de te tenir la main face à cette si belle destination , sans titre ni nomination particulière, que ton propre savoir faire de ce moment présent, à l’affiche en ce moment présent, bien évidemment.

Merci Merci Merci

De ton propre univers te saluant , comme en ce moment présent, bien évidemment.

Merci à l’infini

Avec tout cet amour qui te revient,  universellement parlant bien évidemment.

À un autre lendemain

Ton univers si fier de te retrouver en toute proximité

Merci

 

crédit photos: pixabay

 

 

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