C’est ainsi, en toute continuité, seul à seul avec sa propre carte de sonorité si personnalisée que cette si belle notoriété y influencera à tout instant son propre miroitement, comme en cet instant précis, ce temps d’exclamation ou non, à remettre sur son propre droit de cheminer , route parsemée de doutes si redoutables, doublage pour l’occasion lors de si beau retour à la maison, intérieurement parlant, bien évidemment.
Pourquoi remettre autant d’argent sonnant sur un miroir en plein déploiement me rediras-tu ?
C’est ainsi, en toute transparence que ce si beau tutoiement y impliquera ce qui, encore aujourd’hui, ces dernières années de travail au noir ou non, cette manière de faire de cette sortie de route, écoutant attentivement ces consignes si détaillées, compromettant ainsi la plus belle des certitudes, celle qui aura eu le privilège de revenir face à cette trappe de ventilation, ce sourire si chancelant , arborant même le plus beau des blanchiments de dentition, ou non, ceci étant laissé à la plus gentille des discrétion, comme de raison.
Pourquoi payer si cher pour un si beau miroitement, là droit devant, cette terre qui rigole à tout instant , tenant par la main , du matin au soir, ce temps d’émancipation en temps réel se voulant le plus sensible des participants, en autant que celle ou celui qui lui tendra la main , seul à seul avec son propre coeur d’enfant si affairé de ces temps-ci, ayant été oublié et même supprimer sur cette mappe monde, cette mode de travailler du matin au soir, sans le moindre plaisir autre que de revenir à la maison si fatigué , ayant peine à pouvoir se réjouir de ce si beau privilège, cette possibilité de tout réinventer en un temps se raccordant instantanément à cette si belle démonstration, à chacun finalement cette capacité de remettre à séjourner à tout instant face à son propre reflet si directement influencé par ce sourire ou non, selon son propre degré salaison , intérieurement parlant, bien évidemment.
Sel ou poivre te redemanderas-tu?
Cette simple implication , cet arrêt au puit si précieux, celui qui un jour se permettra que de revenir au jeu, bâton ou marchette pour se mouvoir tellement long aura été ce parcours qui, de jour en jour aura eu recours à toutes ces possibilités, doigts si féériques y confectionnant ainsi ce miroitement selon ces indications leur ayant été imposées, d’un remerciement à l’autre, d’un apitoiement à l’autre, d’une simple brassée à une autre remise au jeu , ce dé à quatre façons de s’élever après toute une pelletée de gravier à rassembler à son propre retour à la maison, ce pavé ayant perdu sa seule et unique fixation, ce point si bien ancré laissant ainsi à son propre propriétaire le loisir de se promener en toute liberté , ou non, selon cette si belle habitude de suivre ce tracé si bien identifié par une communauté pourtant si éduquée.
Sel ou poivre ?
Merci de te remettre à trébucher encore une autre fois, cette manière de faire, d’un questionnement à l’autre, d’un requestionnement revenu sans réponse lui correspondant, cette suite de pauses laissées de ce côté de cette route si clairsemée, atteignant même le sommet à cette si courte échelle, d’une marche à l’autre, d’un pas si dépassé par une telle immunité , celle de pouvoir en tout temps reculer de quelques pas pour y observer cette immensité entrain de te remercier à tout instant de bien pouvoir l’imiter, souriant à tout instant , soleil si éblouissant , capitalisant ainsi sur son propre échantillonnage , sans repassage ni remisage à la fin de cette journée si bien illuminée, que cette décomposition à déposée entre les yeux de ce prince si charmé par une telle interdépendance, intériorité ou extériorité encore une fois entrain de se jaser ce ce temps séparé l’un de l’autre, se demandant ainsi comment long prendra cette si elle installation, ce campement , celle mission de vie pour ce tout un chacun , marcher tout librement tout en souriant que constamment, décorée de cette si belle médaille au cou, soleil se regardant droit devant, entrer dans un univers si personnalisé demandera à tout moment de s’arrêter de temps à autre , menacer par son propre tourbillonnement , si ralenti par ce bruit qui, en toute profondeur te remerciera pour cet élan si débordant de chaleur .
Pourquoi avoir à y relever ce regard à tout instant si cet aire de jeu se veut si participatif à ton endroit?
Cette mise en scène se veut et se voudra toujours et toujours la plus passive des situations, atteignant même le plus haut standard de confidentialité , cette légalité qui de jour en jour se permettra que de faire profiter à sa manière, ce code si bien étiqueté par une multitude de si belles notoriétés si personnalisées, si bien élevées, répondant oui à tout instant et ce malgré des sensations lui disant que ce bout de route lui permettra que de tourner et encore retourner au même point de départ, à cette porte pourtant si bien entrouverte, incapable de se permettre d’en croire ce que ses propre yeux lui auront permis finalement que de lui proposer de ralentir un seul et unique instant, ce temps d’arrestation qui, sans contravention en main ni mention d’honneur à réclamer, que son propre souffle de visualisation à rebaptiser après tout un périple qui , selon ces remerciements ou ces si beaux châtiments , pourtant si influents à la fin de cette journée, doigts de fées se voulant enfin prêts à y récupérer chacune de ses belles denrées , ces gestes et gesticulations qui tout au long de cette séparation, coeur d’enfant se voulant tout simplement se déguisé en une remise en doute ou non, au naturel ou non, à chacun finalement le loisir de pouvoir se persuader que la couleur aperçue là droit devant, aura un jour à se regarder dans le plus profond de ce lieu qui, à lui seul se devra d’en réclamer ce pouvoir de procréation, à sa vitesse, et ce avec une telle justesse, merci merci merci à tous ces coeurs si bien rassemblés tout autour de cette cour si bien entourée d’une si belle tendresse débordant encore une fois d’une si belle largesse.
Pourquoi mettre autant de mots si compliqués pour une si simple remise sur pied , te rediras-tu?
Tout ceci se voudra à tout instant à l’image de cette si belle intériorité qui, dorénavant te surprendra à te redemander à tout instant si cette route empruntée te permettra de te soulever , cette élévation qui encore aujourd’hui, ce temps de dépréciation aura été si bien acquise, sans permission particulière autre que cette intégration à un savoir faire si universalisée, d’une communication à l’autre, d’une communauté à l’autre, cette généralité se voulant si persuadée que seule cette marche à suivre ou à poursuivre te permettra de gravir les plus hauts des échelons et ce, sans recours en collections une fois redevenu si influencée par une telle vulnérabilité.
Pourquoi se voudra un jour le point de bascule à remettre de même côté de ce remerciement, finalement ?
Effectivement, te répondra ce si beau déploiement, là droit devant.
Pourquoi tout à coup, ces mots si compliqués se permettent-ils de tout simplifier ?
Bien évidemment, ce ralentissement sur cette ligne qui, de temps en temps se permettra que de s’aligner avec son propre miroitement, cet équilibriste qui, d’un bout à l’autre , cette destination qui de jour en jour lui aura permis d’en imaginer cette horizontalité comme étant si large et si solide, comme quoi, ces tous petits doigts si effilés auront toujours cette capacité de tout relativiser, y persuadant ainsi ce si beau figurant, face à son propre univers, que lui seul pourra , et ce malgré le nombre de tous ces détours qui, une fois redevenus amoureux fous de cette splendeur, ces senteurs au toucher léger, profitant de cet instant précis pour y récolter tout simplement ce mot si provocateur, ce merci merci merci qui en une seule et unique pause, y rassemblera ce temps passé d’un futur déjà descendu de cette si belle démesure, tellement cette manifestation en temps réel se voudra si exceptionnelle, ainsi soit-il, ce doublon en pleine floraison, et ce, quelque soit le niveau de sel ou de poivre , ce taux de complexité ayant perdu ce si beau plumage face à ce si beau paysage.
Merci à toi, moment présent de revenir comme avant , cette présence se voulant finalement si facile à récupérer , seul à seul avec ce si beau coeur d’enfant si affamé, si enflammé, embrasant à tout instant ce si beau paysage, énergisation garantie en toute totalité ou argenterie remise dans le même pot au bout de cette journée, doigts de fée encore ouverts à cette image se démarquant , individuellement, Mère Marie les aura si bien comprise ,en ouvrant les bras à tous ceux et celles qui , de jour en jour se seront même permis de se regarder, coeur grand ouvert face à son propre miroitement, là droit devant, bien évidemment.
Mer et marée, ou Mère Marie, tout ceci aura été si bien interprétée finalement , selon le réplique du jour de cette statuette , ancrée ou non, ce niveau de sobriété se voulant à tout instant la recette parfaitement pour y écouter ce qui parviendra de fond de poubelle, en pleine maturation, si explosive face à un milieu si réceptif.
A tous ces si hauts taux de scolarité, merci de vous permettre de composer à tout instant avec ce ralentissement de tentations, à chacun de pouvoir un jour se regarder droit dans les yeux , y affrontant même son propre remerciement, qui , sincèrement dit en toute profondeur, y ramènera instantanément cette duplication en pleine remise en repositionnement, si confortablement installée , et ce, depuis ce début de si belle constitution, en panne sèche d’inspiration, comme de raison.
Merci aura, est et sera toujours et toujours le plus beau des retours d’ascenseur , le répéter des millions de fois , fera de ce tout un chacun ce point de mire à admirer, tellement joli se portera ce bouton si réactif au beau milieu de ce lieu si réconfortant, intérieurement parlant , bien évidemment.
De ton propre coeur d’enfant enfin si apprécié,
Merci Merci Merci…un pour ce temps si dépassé par cette si belle simplicité, un autre pour cette intériorité entrain de se laisser bercer, et le dernier pour ce lendemain entrain de se croiser le doigts face à ces démonstrations qui , en temps réel y accumuleront ces jetons de jeu qui permettront à ce moment si énergétique, cette nuit si étoilée se voulant à l’image de ces clins d’oeil parvenus à être vus tout au long de cette si belle journée.
Infiniment merci à tous ces remerciements si imposants, intérieurement ou extérieurement, ou les deux bras par dessus tous ces superflux d’information, possédant ainsi la recette magique pour une journée si bien inspirée, d’une respiration à l’autre, d’une instantanéité à l’autre, tout ceci étant à la merci de ce si beau personnage si dénudé, en toute sobriété, cette itinérance en toute remontrance, face à une si belle transparence, sourire aux lèvres y embrassant son propre bouleversement, là droit devant, bien avant son propre déploiement , bien évidemment.
Merci Merci Merci pour ce surplus d’information, en toute simplicité, sache que toi seul aura en main cette manette te permettant à tout instant de revenir au jeu , si souriant bien évidemment.
Merci pour ta générosité,
Tes amis préférés,
Mer et Marée , ou Mère Marie, deux féminité annuleront en tout temps ce manque de caresses dépourvues de si belle tendresse, en pleine action face à cette si belle réinitialisation, comme de raison.
A vous deux,
Infiniment Merci…Et encore merci…bien évidemment
??? … !!!
