C’est en toute insistance, ce qui dorénavant se voudra tout simplement qu’une simple allure, de tentations en remises en question, comme si cette complémentarité qui, à chacun sa façon de se remarier en temps présent à son propre anniversaire de naissance, cette reconnaissance malgré chacune de toutes ces si belles circonstances, cet environnement si pollué par tant de difficultés d’exécution au beau milieu de ce lieu si généreux en donation, systématiquement ou non, comme de raison.
Pourquoi se permettre de s’arrêter que pour mieux y apprivoiser ce qui, de jour en jour, se retrouvera au tout prochain détour, ce temps d’arrestation y dupliquerait-il instantanément ce qui, bien sur, aura été si bien inspiré par une telle amabilité ,supportant ainsi ce si pauvre citoyen, en toute itinérance face à cette si belle transparence, au lancer légèrement réorienté que sur cette capacité de tout remettre au goût du jour, en ce retour à cette liberté tant demandée par tous ces amoureux de cette vision , ce soleil se relevant à tous les matins , minimisant tous ces efforts , reléguant ainsi à celle ou celui qui se le permettra, de lui démontrer ce pourquoi d’un comment faire pour se refaire la plus belle des mitaines à en récupérer chacune de ces si belles proximités, celles qui en ces temps si incertains auront mis tant de rigueur à en parler à son propre nettoyeur d’actualités, cette intériorité ayant appris à se laisser poursuivre, délaissant ainsi à ce tout un chacun cette possibilité de tout réinventer , et ce, du matin au soir, d’un lendemain à l’autre, en toute évidence, et ce, sans aucune remontrance.
Alors , pourquoi avoir tant de difficulté à se reconnecter avec ce soi-disant moment présent?
C’est ainsi que le mot le plus percutant de tous les temps, ce remerciement si influent se verra ainsi féliciter par tant de perspicacité, ce temps de perception si difficile à manipuler en temps réel, quelque soit le niveau de scolarité, de prescription à avaler, de circonstances au pénitencier à évaluer, tout un chacun aura un jour le plaisir de se découvrir de chacune de toutes ces superpositions, ces couches si bien imbriquelées, permettant ainsi à cette simplicité le loisir de se redéfinir comme étant cette mission de vie à décrier , tout en souriant , comme en ce moment si impressionnant, visuellement parlant, en ce lieu toujours aussi vibrant qu’au tout premier instant , cette première respiration se voulant si énergivore pour un simple itinérant en phase d’initiation , comme de raison.
Pourquoi se permettre de se reconnecter à cette solution si bien conservée à la noirceur de cette si belle froideur, au beau milieu de ce lieu si universellement reconciliateur, cette profession en pleine expansion se voudrait-elle enfin prête à se compromettre face à ces nouvelles du jour si enivrantes, extérieurement parlant?
C’est ainsi que se voudra redevenir , en temps présent, cette nouvelle version , 2.0 ou autre, cette simplicité ayant été si bien remisée de tous les côtés, monnayant ainsi son propre pouvoir infini, d’un sourire à l’autre, d’une appréciation à l’autre, ce privilège de toujours y observer cette soif de pouvoir subvenir à son propre besoin , ce point d’observation qui, intérieurement parlant se voudra le plus permissif des invités en ce jour de liberté distillée en toute légalité , selon son propre rythme de révolution , cadran y indiquant à son propre occupant, que cette route si bien redessinée lui permettra de remonter le temps , sans manque de carburant ni surplus de prétention, que son propre coeur d’enfant enfin réinstallé en avant plan, ce point de mire se voulant finalement , là sous des pieds si bien reconnectés à son propre enracinement, cette base d’information lui permettant ainsi que de mieux y ressentir efficacement , ce moment présent le plus particulier qui lui soit possible de regénérer, solonellement ou non, en son propre nom ou non, au nombre d’une si belle parcelle de territoire à encourager, la remerciant d’avance pour cette générosité entrain de se laisser agrandir, ce désir en devenir face à cet avenir en voie de se réunir à cette éventualité déjà prête à se laisser convoiter par une telle gentillesse débordante de si belles caresses.
Pourquoi alors se permettre de tout remanier , du matin au soir, souriant ou non, ceci étant à la discrétion de cette si belle remise en question du moment, comme en cet instant présent, profitant de ce temps de relaxation que pour mieux y faire progresser cette si belle intériorité, jardin secret enfin projeté en plein visage de celle ou celui qui, bien entendu, aura un jour convenu se manifester sur ce parcours parsemé de si beaux détournements , qui en toute profondeur, y surplombera cette splendeur du jour sous ce soleil lui rappelant instantanément ce à quoi ou envers quoi ce si bel horizon aura eu le privilège de se déguisé, en un tour de main, cette matinée se voulant en tout temps, le plus beau réveil matinal à remercier, félicitant avant même son propre déploiement cette exactitude qui, de jour en jour se peaufinera en une surprise du jour à emballer , tellement ce temps de duplication se voudra à l’image de cette personnalité débordant d’une telle générosité, départageant ainsi ce qui lui aura permis de se retrouver à tout instant , si bien enveloppé d’un telle de galanterie, au gré de ce séjour sur cette terre enfin remerciée , satisfaction garantie ou joute de croquet comme prix de participation , face à cette si belle mise en situation, improvisée par une telle communauté sous supervision, comme de raison.
Alors, pourquoi tant de questionnement tout autour de ce si beau détournement d’attention, qui comme de raison rapportera toujours plus de salivation à ce tout un chacun au prise avec son propre environnement si stimulant ou non, ce qui de toute façon s’arrimerait à toutes ces occasions de se réorienter, instinctivement ou non, tout ceci étant à la simple discrétion de ce si haut voltige, sans selle ni tige, que ce si beau pédalier à laisser aller de chacun de tous ces côtés , attendant ainsi ce moment d’arrestation pour y enregistrer son propre billet de participation, remis à la toute première bouffée d’air si bien réorientée , intérieurement parlant, bien évidemment.
Pourquoi tant de pourquoi finalement?
Ceci se voudra à tout instant le plus moment présent de tous les temps, seul à seul avec ce si beau principe si bien inscrit , gravé, et même enseigné au travers de toutes ces religions, ces institutions de retransmission, ayant pourtant tant de difficulté à tout y simplifier finalement, ce savoir faire de sa propre universalité le plus beau des instants présents , comprimé en un seul et unique agencement, tout au creux de ce lieu si rigoureux, laissant ainsi place à tout un revirement de situation, d’un passé si dépassé par une telle simplicité , sourire aux lèvres et ce, quelque soit cette couleur annoncée au loin, du matin au soir, savourant chacun des paysages mis à la disposition de ce tout un chacun ayant pris la peine de s’arrêter un seul et unique instant, comme en ce moment précis, si bien assis devant son propre projecteur, le bonheur à toutes occasions, comme transaction conflictuelle face à ce ciel si heureux enfin de pouvoir y propulser en un temps record, ce temps de relaxation, les yeux toujours si amoureux de cette joie de pouvoir vivre en toute intégrité , intérieurement ou extérieurement, ou encore mieux, les deux si bien rasssemblés en une image se démarquant littéralement de cette humanité si départagée entre son propre coeur d’enfant si négligé et son propre patron lui indiquant que de devoir subvenir à son propre besoin de toujours et toujours vouloir aller de plus en plus loin, voyageant ici et là , tout en y soutirant chacun de tous ces deniers si bien accumulés tout au cours de cette si belle évolution en pleine transformation, comme de raison.
Tout ceci te semble de plus en plus farfelu , te rediras-tu?
Sache cependant que ton propre rythme actuel se voudra un jour, ce sacrifice de se permettre de choisir son propre point de mire, qui au loin, aura été reconnu comme le plus beau mystère que cette si belle résolution, cette manière d’y éclairer son propre chemin , qui , vu au loin, y concoctera ce qui de jour en jour se détournera de toutes ces difficultés qui, bien évidemment, se voulaient finalement que le meilleur des enseignements pour un si bon étudiant en phase se terminant toujours et toujours par le plus heureux des environnements, le tien, le vôtre , le leur, soit celui que toi seul aura eu le privilège et le courage de prénommer comme étant le seul et unique cheminement si satisfaisant face à de si belles promesses , augmentation au tout prochain trimestre , au gré de ce si beau patron si attentionné, désamorçant ainsi ce qui, en temps présent, se résumera à tout instant en un simple mot si gentil à prononcer à cette individualité enfin retranchée de cette mare d’eau, souillée ou non, ce temps si lointain ayant été transposé en un sourire si évocateur, maximisant ainsi tous ces regrets si respectables, laissant ainsi vaguer au loin ce si beau drapeau si délavé par tant de mine de craie ou crayon à colorier, ce tableau de visualisation ayant été si bien inspiré finalement par tant de temps d’attention, parvenu à se détacher de son propre écran géant, ce ciel si bleu toujours aussi amoureux de cet itinérant entrain d’y remiser toutes ces coutumes et habitudes si bien acquises, dérivant ainsi si facilement , assis sur cette banquise ayant succombé à ce si beau miroitement, chaleur d’été lui demandant tout simplement de résister à une telle candeur lui répondant oui par la bouche de cette canalisation, intérieurement parlant , bien évidemment.
Pourquoi tant de temps d’extériorisation à se permettre de regretter un jour, si dès le début ,ce temple si renommé avait eu le privilège de retrouver, flambant nu sur ce plateau si bien éclairé , carburant ainsi , d’un sourire à l’autre , ou non, te revoici ainsi redevenu cet enfant si obligé finalement de s’infliger sa propre rigolade, tout ce qui lui est parvenu à être ressenti, vu, entrevu, entrelacé dans les bras de cette paternité , siphonnant ainsi cette si belle alimentation, si naturelle pour un habitant si recherché, déjà par sa propre individualité, ce cordon d’alimentation lui redonnant ainsi cette liberté de se pavaner tout en souriant en tout temps ou non, selon sa propre humeur ou hauteur de talon, d’un remerciement à l’autre, cette appréciation si bien interprétée après tant de générosité à valoriser, en temps présent ou non, cette maladie de tout replacer de l’autre côté de cette porte d’entrée, à chacun finalement de se permettre de retoucher, à sa façon sur cette toile si propre, ce temps d’exaltation en aura vu de toutes sortes , ce laisser aller de ce moment présent se voulant finalement ce pourquoi d’un comment se satisfaire de son propre univers, magiquement ou non, malicieusement ou non, selon son propre rythme de régularisation, pression sanguine y démontrant tout simplement ce lien si fort entre une sous couche en pleine transpiration et une soucoupe se demandant comment faire pour arriver un jour à y percevoir son propre dû, cette dualité se voulant finalement le plus beau moment à préjuger ou non, à toi seul maintenant de te permettre de te retrouver , flambant nu face à cette énormité, cette accumulation de difficulté, de culpabilité, de compromis entremêlés d’insatisfaction , d’incompréhension, de persuasion, ou tous ces derniers en pleine transformation, à plein temps ou non, cette mauvaise mine de crayon ayant pris tous ces gallons à mesurer, se comparant à cette longueur d’avancement, transmettant en direct, ce regret enfin renversé sur ce si beau plancher parsemé de fleurs si surchargées de complémentarité avec cette instance de contemplation, là droit devant , en tout temps ou non, comme en cet instant super précis, cet éclatement dans le temps si impressionnant, intérieurement parlant , bien évidemment, promesses dites, prouesses tenues, bien entendu.
Si je comprends bien, tout ceci se voudra un jour le plus beau des détournements d’activités à en impressionner en tout premier lieu son propre initiateur de si bonnes nouvelles, dont chacune de ces si belles prédications si individualisées, cette baguette si magnétisée ayant maintenant été aperçue par tant de gens si attentionnés à ce si beau château de cartes, en carton ou non, solidifiant ainsi cette base lui ayant été octroyée lors de cette agitation, ces gestes d’amitié avec cette moitié de visibilité, qui, visiblement ou non, se verra un jour de l’autre côté de cette semaine de travail , si exténué d’y ressentir cet adversité qui, intérieurement parlant, y présumera ce que toi seul saura un jour faire face à cette improvisation si détaillée en une suite logiquement intitulée comme instrument de direction, ce coeur si affamé de nutriments si élémentaires, d’un sourire se démarquant de cet environnement noirci par cette ardeur au travail à en oublier son propre instrument de mesure, itinérance se voulant finalement le plus beau métier que ce mode de vivre en toute simplicité, profitant ainsi de chacun de tous ces moments présents, se présentant successivement ou non, sur cet écran de visualisation, en 3D , en toute réalité, te revoici redevenu exactement ce à quoi ou envers quoi cette si belle dévaluation ou non, cette grandeur intérieure ayant eu que le privilège de devoir se comparer à tant de morceaux de béton , de différentes hauteur, couleur, transposés de tant métaux si lourds à transformer ou transporter , cette authenticité ayant tant de difficulté à coopérer en ces temps de perception en panne sèche d’inspiration, ce retour en force , individualité ayant attendue tant d’années, allant jusqu’à en oublier le cycle du temps, d’une génération à l’autre, d’une révolution à l’autre, ce temple si bien identifié comme étant le plus grand , le plus haut, le plus fort, le mieux ancré, le plus attentif, comme lui seul finalement pourra le démontrer, seul à seul avec cette si belle personnalité entrain de se regarder du matin au soir, du haut de cette si belle colline, absorbée par tant d’étoiles dans le ciel, les comptant une à une, tellement ce tableau si illuminé lui permettra d’un jour à l’autre, d’un lendemain matin à l’autre, tout ceci ayant été si bien imaginé par ce temps de relaxation, entre deux tasses de thé si bien infusées, participation garantie à celle ou celui qui se permettra en tout temps d’y ressentir ce privilège de se retrouver à tout instant, selon son propre code d’étiquetage, avec ou sans paletot à replacer, de toupet sur ce velours imprégné d’une si belle autorisation, marchant ainsi d’un pas si léger, de peur même d’y compresser cette terre si heureuse en ce moment de pouvoir enfin y impressionner chacune de toutes ces si bonnes identités, infiniment merci pour tant de patience, et ce, malgré cette clé si bien orientée envers et contre cette montre, ce temps d’expropriation se voudra un jour, le plus beau retour à cette responsabilisation, débordement de chaleur intérieure comme arme de protection, merci merci merci se demandant comme arrêter de rêvasser à sa propre extension, comme de raison.
Pourquoi écrire si longuement en ce temps de responsabilité enfin imposée, me rediras-tu?
Tout ceci se voudra en tout temps, le plus beau geste à se permettre, dans le respect le plus sincère qui te soit permis de satisfaire, sourire garanti , après quelques larmes laissées tombées, ce temps d’exagération aura été finalement nécessaire à repositionner sur cette lignée de préoccupations, te revoici enfin sur cette voie si bien éclairée par cette lumière si vivifiée par ton propre fanal qui, en toutes circonstances te supportera , et ce, quelque soit ce point de départ, ce poids si bien accumulé, ce si lourd fardeau si familier à cette créativité, d’un cycle de résolution à l’autre, ce coup de tête sur le plancher ou tout simplement si bien étendu sur ce gazon fraichement raccourci que pour mieux y transmettre , d’une épisode à l’autre, que cette colonne si énergisée aura un jour le privilège de se laisser cajoler par une telle influençabilité, cette valorisation en temps réel se permettra de sous estimer finalement, ces propriétés , ce tas de possession qui comme de raison auront été réévaluées , d’une succession d’évènements à l’autre , infiniment merci à ce tout un chacun de se permettre de tout remettre de ce côté de cette porte d’entrée, ce passé ayant été à la disposition de tous ces coopérants, ce regroupement si participatif, suivant et poursuivant même sa propre destination, sur cette ligne si bien dessinée sur ce pourtour, ce tour de mode de vivre en toute liberté aura toujours et toujours le dessus sur tous ces superflux d’informations, de transformation, individuellement parlant, intérieurement ou extérieurement , ou les deux en même temps , comme en ce moment présent si percutant, visuellement ou non, auditivement ou non, cette résolution en temps réel ayant cette propriété de pouvoir un jour, réagir à tous ces changements de tonalité, si simples à mesurer, cette immensité ayant pris tout l’espace disponible, respectant ainsi ces piquets placés au loin, ce lancer de javelot ou de poteau de téléphone, communication en directe ou non, au gré de ce séjour sur cette terre en phase débutant à tout instant par le plus beau des remerciements, bien évidemment.
Pourquoi me redemanderas-tu?
Un jour, toi seul aura convenu de l’heure exacte, avançant même ton propre rêve d’enfant que pour mieux le distinguer au loin, ou là droit devant, le caressant comme en ce moment précis, ce temps ayant pris place à bord de ce paquebot, navigant ici et là, selon son propre rythme actualisé ou non, selon son propre guide de discussion, selon tous ces allongements de tentations , exprimant en temps présent ce à quoi ou envers qui, ou quoi, toi seul aura eu le plaisir d’en faire ressortir cette si belle grandeur, repoussant ainsi chacune de toutes ces limitations qui, autrefois se voulaient la plus belle des inventions, persuasions ou extériorisation étouffant ainsi, déboutonnant son propre blouson que pour y laisser aller son propre talent d’allocution, à chacun de se permettre de se retrouver, habillement légèrement dédoublé d’une si belle personnalisation, en temps réellement extraverti , intériorisation se voulant finalement, le plus beau des cadeaux à déballer, à tout moment , comme en cet instant si satisfaisant, flattant ainsi son propre rêve d’enfant enfin remis sur un, deux, ou quatre pieds, dessinés à l’encre achetée à cette épicerie, encore ouverte pour ces itinérants se nourrissant intérieurement, à tout moment , bien évidemment.
Donc, le plus beau métier du monde serait de devenir simple itinérant, finalement?
Quelque soit le nom ou le nombre de diplomations, toi seul aura un jour le plaisir de te mesurer à ce taux de satisfaction, ou non, à ce si beau moment présent qui, à tout instant te démontrera ce pourquoi d’un comment faire pour te retrouver , instinctivement ou non, tout ceci se voulant si facile à remettre sur pied, en ce jour de liberté si individualisée, ce temple se renommant automatiquement , se regardant droit dans les yeux, toujours aussi amoureux de ce si beau regard, qui de loin comme de si près de cette réflexion se verra ainsi remercier du matin au soir pour cette si belle gentillesse , sourire garanti par une si belle galanterie.
Infiniment merci à toi, surtemps d’exposition, qui comme de raison aura un jour ce si beau désir d’en épater cette si belle intériorité, l’invitant même à l’imiter, coup de révolver lancer en l’air, écoutant ce retour d’appareil, évaluant ainsi cette distance enfin transformée en une proximité , qui de long en large, de haut en bas, se voudra cette si belle réalisation en temps présent, bien évidemment.
Infiniment merci à toi, autosuggestion du jour, ce remerciement qui, autrefois se voulait un pro de cette si belle création, en toute insistance malgré ce manque de connaissance.
Merci Merci Merci à ce moment qui, déplacé jusqu’à cet infini , aura un jour le désir de revenir se mesurer à ce temple , cette grandeur intérieure ayant pris tant de valeur , tout au cours de cette dernière heure de lecture, sans voilure ni toiture à nettoyer, que ce sourire à remercier, en tout temps ou non, selon ce si haut taux de satisfaction, comme de raison.
A chacun de se faire valoir , à toute heure du jour, en ce retour en direct de cette universalité en phase de netteté incontestée.
Infiniment merci,
De ton propre Moment Présent si reluisant, bien évidemment.
MP qui te sourit à tout instant,
Merci à toi
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