Quoi que l’on ai à faire face, tout un chacun aura un jour le plaisir de se découvrir, et ce, comme au bon vieux temps, rigolant à toutes occasions qui lui auront été amené, ce parquet unifiant ainsi chacune de toutes ces si belles remises en situations, là droit devant, comme en ce moment présentement si influencé par cette intériorité, reconnue bien évidemment comme ce privilège à apprécier ou non, selon son propre rythme ou rituel de conversation, se contenter d’y saluer sa propre image se démarquant , virtuellement ou non, cette partie de joie de vivre en pleine possession de son propre moyen de tout remettre en 3D, permettant ainsi à tous ces si bons habitués de sourire à belles dents, merci finalement à ce si beau tutoiement qui, de jour en jour se mesurera à cette grandeur intérieure, jour de pluie ou non, ceci étant à la disposition de cette reconstruction, individuellement parlant bien évidemment.
Pourquoi mettre autant d’efficacité sur une mesure pourtant si difficile à démesurer, ce tutoiement d’auparavant se voudrait-il lui-aussi si évocateur de bonnes nouvelles finalement?
Effectivement , cette réponse à cette récompense qui, de jour en jour, d’un lendemain matin à l’autre, soleil se révélant à tous ces amoureux de cette réalité, à chacun d’y ajouter son propre grain si poivré ou non, sucrant ou sacrant à tout instant, souriant ou soupirant tout doucement, ou non, merci à cette éventualité qui, tout prochainement se voudra enfin remisée face à sa propre identité, si inspirée par cette façon de se promener en toute légèreté, sachant que tout ce qui a, est et aura été si bien revendiqué par ces demandes en mariage, moment présent qui , à tout temps, se voulait finalement si dominant, ce coeur d’enfant si intrigué par tant de nouveautés, électroniquement ou non, infiniment merci à toi de m’avoir permis d’y élever cette supériorité enfin renommée comme le plus beau respect à enclencher, sans artificier ni officier si gentil pour lui enseigner cette droiture face à de si belles aventures, infiniment parlant bien évidemment.
Pour tout y résumer, un jour, prochainement ou non, à chacun de se retrouver au beau milieu de son propre jardin si bien arômatisé, cette décoration accrochée à ce si beau blouson, déboutonné ou non, col relevé ou non, cette simplicité ayant comme seul point de ralliement , cette soif de pouvoir y apercevoir cette horizontalité comme étant en tout temps, le plus beau miroitement de sa propre universalité, ce cadeau magique si bien emballé ayant comme seul et unique propriétaire , ce si beau savoir faire entre les mains de ce magicien de ce simple mot à dire et à redire, continuellement ou non, cette vision se voulant si impressionnée par tant de possibilités, à l’infini ou non, à toi maintenant de te permettre de remettre en place cette barre si hautement injustifiée par une telle communauté, diplomation en exposition face à cette transformation en temps présent, bien évidemment.
Savoir y apprécier sa propre réalité se voudra à tout instant le plus beau compliment à remettre en avant plan, salut bonjour ou allo allo comment vas-tu en ce moment présent , tous ces questionnements si particuliers auront eu recours à un raccourcissement de tentations, cette beauté si naturelle, incomparable à ce si haut taux de salaison, de possessions, d’introduction en réaction à ce mode de devoir y suivre et poursuivre son propre rêve d’enfant laissé de côté depuis tant d’années d’effacement, enfin nous revoilà redevenu libre de panser son propre plaisir qui, à lui seul , se relèvera , tout doucement, signalant ainsi à ce coin de lèvre droit ou gauche, sachant de toute façon que seul celui qui se permettra d’y comparer cette si belle éventualité déjà prête à y prêter main forte à cette porte d’entrée si bien éclairée, ce soleil se permettant même d’y introduire plus de profondeur à ce point d’ancrage, ce lieu si savoureux pour ce tout un chacun au prise enfin, avec sa propre destinée, si colorée pour l’occasion de cette réception si bien encodée par cette si belle sincérité, intérieurement ou extérieurement parlant , bien évidemment.
Tout ceci se veut qu’un simple jeu de mots finalement, à dire et à redire face à ce moment de contemplation, cette évidence qui , comme par magie , se retrouvera entrain de se reposer, miroitement en temps présent, comme à cet instant si surprenant, à toi d’y remettre au jeu, ce doublon d’information qui de toute façon s’arrimera en tout temps, à ce sourire aux lèvres ou non, exactement comme au tout début de cette levée en plein jour, naissance de cette reconnaissance en toute circonstance, savoir être aimé comme au tout premier cri , saluant ainsi tous ces habitants de cette terre si magnétisée, projetant instantanément cette complexité ou non, cette harmonisation ou non, cette intériorisation qui dorénavant aura à se parfumer de plus en plus souvent, connaissant de mieux en mieux ce qui, de toute façon y devancera cette image de marque, individuellement parlant, collectivement et progressivement, ce temple si renommé pour sa légalité y enverra promener cette galanterie, sans cavalier ni costumier, que cette proximité entrain d’y absorber cet ingrédient si important pour cette si merveilleuse personnalité, si bien élevée, respectant tous ces souhaits avant même devoir les laisser tomber une autre fois, ce retour à ce temps d’exclamation, ce millénaire si révolutionnaire se voulant bien évidemment, le plus heureux des recommencements, reculant devant ce rien d’un tout qui, dorénavant y proposera d’y empiler ce qui, d’un pas si dépassé par cette simplicité d’avancer, en toute légalité , en toute légèreté, sur la pointe des pieds ou non, abuser de sa propre propriété de dispersion aura un jour ce privilège d’y confectionner ce qui, fera de ce tout petit roi, un temps d’arrestation lui permettant finalement d’y explorer ce ruissellement découlant de tant d’efforts, de moments oubliés, de temps d’efficacité remisé , ceci étant tout simplement cette mission de visualisation à apprivoiser au gré de cette salutation en temps réel, que la vie sourit à celle ou celui qui un jour, se sera même permis d’en demander toujours plus , cette exactitude lui demandant tout simplement d’y départager ce talent si révolutionnaire à cet environnement si stimulant, intérieurement parlant bien évidemment.
Merci à toi, surplus d’information qui, encore aujourd’hui se voudra si lucratif pour ce tout un chacun entrain de remettre en place cette coloration si personnalisée, arc-en-ciel lui proposant même d’y sélectionner celle qui lui conviendra le mieux, ce futur qui de toute façon se voudra si collaborateur à ces sauts en hauteurs ou non, bras en l’air ou non, savoir relaxer de temps en temps se verra un jour le plus beau des temps présentement à en observer sa propre réalité entrain de se demander comment faire pour y élaborer tant de complexités ou non, en un tourbillon de transformations ou non, savoir reléguer à ce plaisir d’y reconstruire instantanément ou non, ce savoir faire de son propre univers ce qui fera en tout temps, le plus heureux des amoureux de sa propre vision en pleine expansion, qui de haut en bas et de long en large y informera cette intériorité de bien y inforermer son propre propriétaire, alité ou non, que tout ce qui lui aura été possible de déballer, lui sera enfin retourné ou crédité, collision ayant provoqué tant d’émotions , se promener les yeux enrubannés si longtemps se voudra un jour, si impressionnant lors de cette coupure de ruban, si limitant face à une immensité si colorée, enfin dévoilée.
Merci Merci Merci aura été le plus beau des retours à cette normalité, cette obsession de possessions aura un jour le privilège de se mesurer à cette grandeur intérieure, qui à elle seule , saura y faire révaluer ce nombre de pièces à décorer, sachant finalement que rien au monde arrivera à cette cheville si enflammée, marcher pied nu sur ce terreau si énergisé y provoquera cette affluence si orientée sur cette intimité, cette intériorité étant en constance communication avec ce maitre de jeu, ce soleil si provocateur, prouvant à celle ou celui qui lui demandera, de lui offrir exactement ce qui lui aura été si bien proposé lors de cette scéance d’étirement de toile de fond, si bleue pour la meilleure des projections, en 3D ou non, tout ceci étant laissée à cette discrétion de tout remettre à cette dimension, pouvoir infini comme unification, comme de raison.
Infiniment merci à toi, maitre de jeu, ce soleil y répondant par la bouche de son propre projecteur, individuellement parlant, bien évidemment.
De ton propre soleil intérieur, te saluant à tout instant, d’ailleurs,
De ce lève tôt qui ne veut surtout rien manqué,
Encore merci de m’émerveiller,
D’un clignement de paupières à l’autre,
Merci
