C’est ainsi, et ce , en toute simplicité, ce temps où roi lion et désillusion s’affronteront simultanément ou non, en fonction de cette nomination, domination ou institution lui reprochant littéralement que de retenir ce premier sanglot, ravalant tout en dévalant cette pente si douce, d’un tourbillon à l’autre, à chacun finalement de revenir comme au bon vieux temps, ce temple si renommé pour sa sincérité reprenant ainsi place exactement là où , seul à seul avec sa propre rémunération, ce remerciement si important face à cette porte, entreouverte ou non, ce tout nouveau recommencement se voulant finalement le plus heureux des moments présents , si bien rassemblés tout autour de cette luminosité enfin appréciée par cette communauté si pressée de devoir arriver en tout premier lieu, travaillant à en perdre sa propre fragilité, coeur d’enfant toujours et toujours émerveillé par une telle disponibilité de s’amuser, du matin au soir, voici revenu ce temps où miroitement et moment de réflexion s’arrimeront instantanément à chacune de toutes ces circonstances parfois insignifiantes, parfois si persistantes, ce temps se voulant y dédoubler cette notoriété, itinérance en toute évidence et ce, en toute évidence malgré un degré de curiosité si orientée envers et contre tous ces malheureux consommateurs de télévision ou autre, cette diversification si présente à en étourdir cette mémorisation en panne sèche d’intériorisation.
Ceci se déplacera de jour en jour, détournement en toute profondeur, cette infiltration qui dorénavant se voudra si révolutionnaire, ce savoir faire de sa propre universalité, souriant que constamment, si vulnérable face à cette nomenclature, cette voilure ayant eu comme commandement de tout laisser tomber, travailler jour et nuit au nom même de cette superposition, le jour venu, soleil y révélant tous ces secrets si bien conservés en toute sécurité, promesse du jour tenu , maximisant à tout instant ce si beau talent de propension , à chacun encore une fois de rêver à son propre avenir en devenir, là droit devant, bien avant son propre déploiement, cette sécurité d’emploi en aura fait oublier finalement , cette manière d’y élever sa propre maison si bien décorée, cette muraille ayant été si bien supprimée, laissant ainsi place à cette transparence qui de toute évidence arrivera toujours et toujours au seul et unique point de départ, seul à seul entre deux falaises à observer , au loin ou non, appréhender chaque journée comme la plus heureuse des reconnaissances favorisera cet élan de générosité, merci merci merci à toi, magie entrain de manipuler à la demande de ce tout un chacun au prise avec sa propre surprise du jour, souriant constamment ou non, argumentant sur cette manière d’y relever cette si belle intériorité si renfermée depuis tant d’années d’exploitation, comme de raison.
Ceci se voudrait-il la réponse à tous ces questionnements qui depuis tant d’années, d’une révolution à l’autre, battant ainsi en retrait, bouton de manchette se demandant par où est passé ce mannequin qui , dorénavant se devra tout simplement d’accompagner cette légèreté, ou encore avec plus de flair, savourant ainsi chacun de toutes ces impressions, en 3D ou non, cette machination fonctionnant tout doucement , au nom même de ce privilège, celui qui bien entendu en aura faire jouir tant de femmes si habilitées , enfantant ainsi chacune des participations à cette mode de se servir en tout premier à cette source si énergétique, à en faire déborder tout excédent, procurant ainsi une répartition uniformément diluée, à chacun de profiter de ce moment d’émancipation, si privilégié pour chacun de ses participants si souriants, bien évidemment.
Est-ce qu’un jour quelqu’un à quelque part, se permettra de remettre en haut de ce si beau présentoir cette liste de choses à faire pour se retrouver face à sa propre image, en tout temps ou non, ceci aura été ce qui , à chacun sa façon de s’inviter à cette assemblée, demandant tout simplement de s’arrêter un seul et unique moment présent à la fois, seul avec son propre coeur d’enfant toujours prêt à toujours recommencer, malgré ces difficultés , sachant que le premier pas à mettre à l’opposé demandera toujours et toujours plus remise en questionnement, cette manière de valoriser cette personnalité entrain, à tout instant ou non, selon sa propre intention de valser instantanément , au nom même de cette intériorité se prononçant avec une telle exactitude, cette élévation en 3D faisant partie de cette réalité entrain de déambuler là droit devant, bien évidemment.
C’est ainsi, tout simplement, tout doucement, et ce, sans la moindre tache sanguine, sans la moindre demande de libération, que ce soleil se permettant même d’en refléter cette limitation ou non, ceci ayant été toujours et toujours cette si belle réalisation, cette interprétation en temps réellement indissociable de ce sourire aux lèvres, à chacun d’en faire sa propre route pavée ou non, imbriquelant systématiquement ce miroitement au nom même de cette gentillesse du jour, ou de ce sacrement , cette communication en temps présentement de plus en plus appréciée , une fois par jour ou plus à se permettre de relaxer , profitant ainsi de cette magie tenu entre les mains de ce tout un chacun, si polyvalent , talent si personnalisé, à chacun de se retrouver flambant nu ou non, cette itinérance, cette façon de remettre son propre calepin de leçon entre de si belles manières de le proposer, en toute intégrité, tel que stipuler sur ce carnet d’étudiant à temps complet, cette route à suivre ou à poursuivre, arpentant ainsi à tout instant cette escalade ou non, tout ceci étant laissé libre de s’exprimer selon ces recommandations, personnifiant ainsi ces réalités s’accouplant ici et là , pour en faire un missionnaire , un démissionnaire, un millionnaire, ou un récipiendaire si heureux, malgré des habitudes de consommations en surplus de contemplation, en ce retour à la maison , intérieurement parlant, bien évidemment.
Deux milles si belles années d’évolution, pour en arriver à mesurer son propre moment de satisfaction à un écran si miniaturisé, électroniquement parlant ou non, cette manière de se satisfaire que des affaires des autres, laissant ainsi libre de courir ce voisinage si souriant, chemin se transformant sous des pieds si bien habilité à cette douceur qui , en plein jour ou non, merci merci merci à ce tout un chacun de revenir à cette intériorité qui y déversera en tout temps, toujours plus de salaison à cette proximité si appréciée par cette génération entrain de se réinventer, cette mise sur pied, ce cadavre qui auparavant se levait à tous les mations pour y épuiser son propre temps de compression, pour en faire finalement cette nomination qui, sous un ciel si radieux, une patère si bien décorée extérieurement, ayant mis tous ces oeufs dans le panier adverse, vidangeant ainsi ce talent si merveilleux dans le compte bancaire de ce patron heureux d’en retenir à la source, une quote part à la faveur si populaire, ce chacun pour soi qui autrefois se voulait si généralisée, redonnant ainsi des ailes à cet ouvrier, qui , d’un ruche à l’autre offrira de plus en plus d’aide à son prochain, d’un moment se succédant à l’autre, pauvre ou non, tout ceci étant maintenant surplanter par cette intériorité, inébranlable, incomparable sensuellement, cette mesure de tentation ayant maintenant eu comme habitation cette infini possibilité d’y aventurer ce si beau regard si émerveillé par une telle évidence, remontrance, infiniment merci à ce moment de présence, qui en toute récurrence y influencera synthétiquement cette communauté enfin prête à y apprécier ce si beau savoir faire, remettant ainsi la clé à ce bonheur du jour, réchauffé par ce soleil si enjoué, si parfumé, si coloré.
Infiniment merci.
Tout ceci se veut la seule et unique tasse de thé à déguster, remettant à cette liberté d’expression de proposer à cette réalité exactement ce à quoi ce tout un chacun aura eu le plaisir, le désir et même la tendresse de le saisir au bond, savoir remettre autant de satisfaction en ce moment présent demande tant de savoir faire, à chacun d’y apprivoiser sa seule et unique façon de tout remettre en floraison, pour le meilleur des recueillements, donner et redonner se veut, se sera toujours cette mission de vie à accoupler avec ce soleil y dédoublant systématiquement ce cadeau si bien emballé, coeur d’enfant encore si enchanté de pouvoir y ouvrir ce rideau bleu vert ou rouge, tout ceci se voulant finalement une combinaison de saveurs en toute grandeur, de longueur ou largeur justement orienté vers cette porte entrain d’y laisser entrer son propre miroitement, là droit devant ou sous des pieds si bien ancrés, encore merci à tous ces amoureux de liberté si individualisée, face à cette réalité si énergisée.
Pourquoi tant de revirements?
C’est ainsi ,que ce tout nouveau millénaire si révolutionnaire se permettra enfin de remettre en place cet écran solaire, celui qui depuis tant de savoir faire à avoir abusé, abreuvé, absorbé, dévoré, tous ces mots qui de toute façon redonneront toujours et toujours cette double personnalité à ce tout chacun entrain d’y réinventer sa propre résolution, comme de raison.
Pourquoi?
Alors , c’est ainsi que se dévoilera ce qui, dorénavant se voudra que ce si beau projecteur, qui auparavant , et ce tout dernièrement tout particulièrement, retranchant ainsi cette capacité d’y faire éblouir ces yeux si évocateurs, ces derniers ayant été informés que tout ce qui se retrouvera à l’extérieur de cette cavité si perfectionnée, se devra d’y être projeté avec une telle exactitude, cette mesure de sensation étant finalement, cette génuflexion à observer , dans le silence de cette si belle résidence , cet élan de galanterie pouvant faire mentir toutes ces projections qui, comme de raison, se retrouveront à la manchette du soir, ce dévoilement si particulier laissant ainsi profiter tous ces raccordements , ces filières se consacrant en ce temps d’évidence, d’impermanence, de pertinence, de présence, de silence, …cette performance se retrouvant en ce moment, sur le bac se recyclant en personnalité si heureuse enfin, malgré un taux de diplomation , cette réquisition se voulant demandée à son propre présentoir, cette tenue du jour qui, face à ce soleil si bien relevé de sa propre fonctionnalité, aura comme seul et unique objection, celle de ce tout un chacun , ce sourcillement si influent en ce temps de repositionnement, intérieurement ou extérieurement parlant, bien évidemment.
En un seul et unique mot, merci merci merci , qui en un seul et unique tourbillonnement aura à faire face à ce point de satisfaction ou non, à chacun de se permettre de sourire au nom même de cette capacité , ce privilège si généralisé , personnalisé et même orienté sur cette immensité toujours prête à supporter ce miroitement, là droit devant bien évidemment.
De ce dévoilement si important, bien évidemment.
Merci
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