Pourquoi avoir autant de moments à être présentés comme étant tout simplement ce si beau miroitement, là droit devant, derrière cet écran si miniaturisé, cette immensité aura-t-elle le plaisir de revenir au jeu, comme quoi, ralentir d’un instant à l’autre , en toute proximité, ce coeur d’enfant si souriant aura-t-il un jour ce privilège d’en parfumer cette surspécialité, dans la douceur de la couleur du jour, à chacun finalement de se tenir debout face à cette image se démarquant, littéralement ou non, personnalité si bien accoutumée de suivre et poursuivre cet ordre du jour si bien détaillé à en oublier cette lenteur qui, du matin au soir, selon sa propre évolution ou révolution, respirant tout doucement savourant chacun de ses moments présentés sur écran si lumineux, format si agrandi pour des yeux si éblouis.
Pourquoi avoir autant de suppléments si élémentaires à absorber, pour arriver un jour à se moquer même de sa propre allure si égarée, cherchant en tout temps par où serait bien passé cette tasse de thé qui dorénavant se permettra même d’y faire infuser ce brin de gazon si asséché, cette culture si généralisée ayant eu tant de barrières à démonter transformant même cette illusion en panne sèche de procréation, cette réalité étant en tout temps ce simple signalement s’harmonisant même à chacune de ces respirations, diaphragme se laissant bercer par une telle légèreté tant appréciée en ce jour de retour à cette réalisation, ce dévoilement spéculant même avec chacune de ces remises en route , moments présents y proposant même cette si belle tenue qui, en plein jour y stimulera finalement cette verdure débordant d’une si belle chevelure si adorée, flocon de blé enfin prêt à se laisser transformer.
Pourquoi avoir tant de moments présents à oublier finalement?
A chacun d’y répondre à sa manière, selon son propre code vestimentaire, selon tous ces jalons qui de toutes façons se déguiseront dorénavant, cette universalité qui auparavant se voulait cette règle à mettre en pot, si bien scellé, en toute occasion, travailler si fort face à ce but placé au loin, cet objectif minimisant ainsi cette capacité de tout réinventer en un tour de clé tout au creux de milieu si rigoureux, intérieurement parlant , bien évidemment.
C’est ainsi que se dévoilera, tout doucement, selon cette si belle rétribution qui lui reviendra, du matin au soir, ce temps de relaxation aura finalement eu le dessus sur toutes ces courbettes , tourniquettes, clochettes à faire sautiller ces sourcils qui, d’un moment présent à l’autre, y disposera cette eau si bien infusée de pétales de roses , à en faire rougir tout ce voisinage admirant en tout temps ce si beau paysage, au loin ou non, infiniment merci à ces moments de purs bonheur qui , à toutes occasions y déplaceront cette cloison vu au loin, savoir se détourner de cette permission de visualisation fera de ce tout un chacun une humanité entrain d’y construire systématiquement cet écran si bleu, lieu de projection à personnaliser, entourée ou non de cette étrangeté à personnifier , cette sensation du moment lui indiquant de sourire au nom même de cette spéculation , bouton à réactiver face à cette fatalité enfin alitée.
Infiniment merci à toi, moment présent de t’être prêté au jeu même de cette réalisation qui, en tout temps se voudra le plus heureux des concurrents à ficeler, tournant en rond depuis un certain temps, cette source si questionnable se voulant finalement cette complicité à appréhender, lui demandant tout simplement de répondre par la bouche de ce canon à peine informer de cette capacité, ce noyau qui, intérieurement parlant y formera ce qui, de jour en jour, y élèvera cette tour de diffusion, signal de départ enfin décrié par une telle inflammabilité, ce courant intérieur ayant repris tant de valeur aux yeux même de cet environnement si percutant, extérieurement parlant, bien évidemment.
Alors, pourquoi tant de difficulté d’allocution en ces temps de tourbillonnement finalement?
C’est alors que tout se remettra en marche, avançant d’un pas si dépassé par tant d’éventualités qui, de jour en jour y dessinera ici et là, cette exactitude et ce, avec une telle démesure, ce miroitement se voudrait-il tout simplement cette réflexion si bien autorisée par cette individualité qui, d’un moment présent à l’autre y aura appris ce comment faire de sa propre réalité , cette immensité dépourvue de sa propre limitation, savoir s’entourer d’une si belle compétence y rapportera à son balcon cette corbeille du jour, si colorée, si parfumée , alors pourquoi avoir si bien appris à arrêter de rêver , allant même à en oublier ce plaisir d’en faire ressortir ce sourire si bien représenté par cette authenticité qui , en toute permanence se voudra en être redevenu cette si belle évidence en toute transparence.
Alors, pourquoi avoir appris à attendre après son propre porte bonheur?
C’est ainsi que reprendra vie cette composition en phase même de procréation, ce qui dorénavant y déclarera avant même avoir mis sur pied ce qui, de toute façon se voudra la plus belle résultante du moment, cette appréhension, ce lancer légèrement orienté là, droit devant , libre d’y faire bouger ce décor cachant parfois cet étirement au nom même de cette responsabilité enfin redonnée à celle ou celui qui , d’un jour à l’autre, se déplacera de côté, à gauche ou à droite, adroitement ou non, tout ceci se voulant enfin redevenu ce plaisir de se redéfinir , appelant même cette levée du jour le plus heureux des spectacles à contempler, en tout temps ou non, tout ceci ayant été maximiser au fur-et-à-mesure, cette immensité ayant été décorée de tant de spéculations, accumulations personnelles y témoignant même ce à quoi, tout prochainement cette personnalisation aura à faire face, partager sa propre individualité redonnera vigueur à cette performance qui en plein jour, y déclarera forfait , ralentissement à prévoir au tout prochain tournant, 2018 se voulant finalement ce tout nouveau signal de départ, dévoilement si intriguant pour une génération ayant appris à suivre et poursuivre son propre rêve d’enfant, lancer si loin de peur même de devoir le décrocher , tellement longtemps aura été cette mesure d’interdiction, cette poussière qui en plein jour ayant peine à y soulever cette accumulation si asséchée par une telle source d’obligation, comme de raison.
Si tout se veut enfin si appréciée, cette terre qui à ce jour aura eu à y subir cette répercussion, d’une perforation à l’autre, d’un chantier d’élévation à l’autre, d’une remise en question à un autre repositionnement de salaison, ce taureau sans corne d’abondance en aura finit de mettre autant d’inefficacité pour en arriver au bout de cette route si peu éclairée, ce soleil intérieur ayant été oublié de l’autre côté de cette rigole ou rigolade, à chacun ce plaisir d’en découvrir cette beauté qui, intérieurement parlant se voudra encore une fois, la plus belle mire à éclairer, au loin ou sous des pieds si bien ancrés, ce gazon y stimulant littéralement cette plantation en phase même de comparaison, cette hauteur de mur à escalader ayant été si bien décompté en fonction de cette impression face à ce paysage dépourvu de si beau plumage.
Alors , pourquoi avoir autant de difficulté à y impressionner son propre miroir du jour?
A chacun de remettre en place cette rumination ou non, ce qui de jour en jour y apportera tant de révélations à celle ou celui qui y aura consenti tant de moments de réflexion, sans effort particulier ni effacement à effectuer, que cette rumeur du jour qui, dorénavant se comparera en tout temps à cette intériorisation si bien illuminée , réflecteur se déplaçant tout librement pour y faire miroiter exactement ce à quoi , ce sourire aux lèvres aura fait mine de remettre en 3D, infiniment merci à toi de toujours et toujours y observer ce qui se voudra le plus heureux des recommencements , instantanément ou non, au nom même de cette individualité enfin raccordée à cette source d’énergie qui, personnellement parlant y embrouillera cet écran si miniaturisé, cette technologie ayant été récupérée laissant ainsi place à cette démarcation, là droit devant des yeux si éblouis par un tel éclaircissement de situations, répondant ainsi à tous ces questionnements, si récurrents, bien évidemment.
A chacun finalement de faire de cette sortie du jour, la plus heureuse des concrétisations, à sa façon d’y accomplir cette incompréhension , se laisser aller se voudra littéralement le plus beau cadeau à faire à soi-même en tout premier lieu, pour en faire déborder cette satisfaction, sourire à belles dents de temps en temps ou non, fera de sa propre réalité la plus belle des personnalités , légèrement vêtue ou non, ce porte manteau qui autrefois se permettait d’arrêter d’avancer face à ce patron de visualisation , qui noir sur blanc y indiquera exactement ce qui fera de ce prochain festival, le roi ou la reine même à sélectionner selon cette régularisation si universalisée, ce retour à ce pouvoir caché de l’autre côté de cette voilure , cette chevelure artificielle ayant été sanctionnée par cette génération en phase même de révolution, intérieurement parlant, bien évidemment.
Merci Merci Merci de faire de cette collaboration, la plus belle recette du jour, entourée de tout cet amour qui, chaleureusement parlant, y déclarera en tout temps, douanier déjà informé que tout ce qui séjournera à l’ intérieur de ce milieu si illuminé se devra d’y être expatrié vers ce ciel si bleu, toucher à son propre rêve en toute réalité passera en tout temps sous ce radar qui , auparavant y diffusait tout simplement, ce qui encore aujourd’hui aura à apprendre à ralentir pour y reconstruire ces années à venir, parsemant ainsi, ici et là, ces soupçons de réactivité, de simplicité, de timidité, de perspicacité, réussir à y ressentir sa seule et unique sensation , qui , intérieurement parlant , réagira systématiquement face à cette réalité en 3D, ce point de départ se voudra enfin , la plus belle des synthétisations, sans murs de son à calfeutrer, pour une meilleure sonorité.
Infiniment merci à tous ces dédouanements, cette valise si lourde à transporter se verra de jour en jour, si futile à rééquilibrer, penchant ni à gauche, ni à droite, cet alignement de tentations ayant de plus en plus envie de collaborer , ce point d’appui ayant disparu laissant ainsi place à cette pointure du jour, à ce tout un chacun, merci de prendre le temps d’en faire ressortir cette récompense, sourire en tout temps au nom même de cette intériorité fera de cette regénération, un terreau si énergisé à en faire déborder cette concrétisation, cette lumière du jour y dédoublant ainsi exactement ce à quoi , à qui , envers quoi ou envers qui toute cette attention aura eu le plaisir d’en éblouir cette pause toujours prête , et ce, sans en prévenir son propre conquérant, indépendamment parlant, bien évidemment.
Encore un énorme merci,
Le tout si bien inspiré de la bouche de cette canalisation d’informations, à chacun d’y mettre sa propre oreillette pour en faire sa propre priorité, tout au cours de cette journée si bien décomptée de moments présents entourés de satisfaction, ou non, à toi d’en faire cette si belle remise en situation, comme de raison.
De cette lueur du jour, te démontrant tout son amour,
Infiniment merci
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