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Cette complémentarité à reconnaitre

En toute proximité, cette bonté qui , à elle seule aura eu raison finalement de ce moment si pertinent, cette suppléance ayant été reconduite au tout dernier rang si bien décompté de moments de présence en tout récurrence, savoir se relever à tout instant  , magasinant ici et là, te revoici redevenu cet étirement de tentations, à chacun finalement de pouvoir se surprendre en toute individualité, se promenant sacs à la main comme si tout à coup, ces demandes à répétition se promettaient de  devenir ce si beau souvenir en devenir, à chacun de peaufiner ce  si bel avenir au gré de cette discussion tout au creux de cette si belle liaison, intérieurement parlant, bien évidemment.

C’est ainsi que se rapportera ce si beau divan , lire confortablement ce livre débordant de si belles images, entrecoupées de si belles pensées, de mémos retranscris à la main de celle ou celui qui se sera même permis de les recycler à toutes occasions ou non, cette priorité lui ayant été là , disponible à tout instant, cheveux blancs, gris ou blonds  entremêlés au devant même de cette visibilité enfin remise sur pied, y élever son propre positionnement , ancré ou non du bon bord de ce paquebot lui permettant finalement que de  vagabonder entrelassé de son propre moment de satisfaction, privilège si bien décrié durant tant d’années de perception, d’impression ou d’incompréhension face à cette démesure entrain d’y soulever cette manière si révolutionnaire, ce savoir faire de sa propre orientation, intérieurement ou extérieurement, tout  ceci se voulant finalement cette réflexion en temps réel, ce ciel si bleu si amoureux de ce laisser aller, cette échappée avec ou sans rondelle , maximisant ainsi cette énergie toujours aussi complémentaire  face à ce moment de tendresse si salutaire.

Alors, nous voici rendu à ce carrefour qui autrefois se permettait en tout temps de dissuader ce temps de relaxation, cette méditation face à cette tasse de thé fraichement infusée, réchauffant ainsi ce marmiton si asséché , cette cloche ayant été assainie sans le moindre questionnement, sans pourquoi ni comment, cette éducation se voudrait-elle à contre courant finalement , propager cette si bonne nouvelle , diffusion en instantanée ou non,  ce qui dorénavant y informera cette succession d’information , sans écran informatique autre, que cette réflexion en direct de cette universalité si bien englobée, panneau solaire lui suggérant de respirer tout librement, tout doucement ou non, à chacun de revenir au goût de ce réveil si matinal, ce temple si renommé par sa sensualité se relevant ainsi de cette assemblée au bercail, soleil lui spécifiant  tout simplement que ce  chant  entendu au loin, coq perché pour une telle superposition, magie et miroir se caressant d’un simple doigté à la fois, en attendant cette finale si bien arrosée ou non, au bout de cette journée si préoccupée par tant de tâches à hachurer  , une ou plus à la fois, y oubliant systématiquement ce remerciement si influent , cette impartialité ayant comme privilège que de remercier à son tour ou non, selon son propre code d’autorisation, comme de raison.

C’est ainsi, suite à tant de discussion, chacun jouant dans sa propre cour si bien encerclée ou non, si bien protégée de cette société si perturbée de  ces temps-ci, se trompant  de  côté , suivant son propre miroitement si embrouillé, cette chaleur intérieure y laissant évacuée quelques signaux par ici  ou par de ce côté de cette rive gauche ou adroitement redéfinie, cette éducation s’arrimant à toute instant à cette répercussion, cette valorisation ou non , intérieurement ou extérieurement, parler ainsi fera de ce si beau mode de vivre en tout  premier lieu face à son propre miroir qui, en plein jour ou non, y recalibrera  et ce, sans la moindre obligation, sourire à belles dents dans cette nourriture , ce souffle de compassion ayant eu en tout temps recours à cette discussion en voiture, avec ou sans aucune voilure, savoir se retremper le bout du nez à l’extérieur de ce milieu si ratoureux, cette magie qui en pleine expansion ou non, se voudra le plus grand des remerciements à contempler avant même en avoir eu la ferme conviction que cette désorientation se voudra à toute heure du jour, ce retour à cette normalité ayant apportée tant de conflits , intérieurement parlant ou non, à chacun d’y reconduire cette enfance qui autrefois aura été reconnue comme cette étape de dispersion , figuration ou non, virevoltant de haut en bas, de gauche à droite, ce savoir faire se voulant  individuellement si important à en prioriser cette soif de pouvoir y abreuver cette brebis  y réchauffant ce point de départ, dénudé ou non, ce repositionnement sur cette lignée si bien éclairée, transformant chacun des regrets en secrets si bien conservés au chaud, du haut de cette tour si réfléchissante, merci merci merci à toi, moment de présentation en direct de cet univers si personnalisé, si bien projeté là droit devant des yeux si émancipés, ayant peine à y croire , apercevant son propre rêve en 3D,  ce point d’exclamation ayant été détourné tout doucement après tant de différence face à cette si belle interdépendance.

Pourquoi tant de mots à dire ou à faire tourbilloner, là au bout de son propre nez pour en arriver finalement à ce point de départ qui pourtant , se distinguait par sa seule et unique qualité, cette souplesse dévalant tout doucement, bien évidemment, laissant ainsi la chance à cette si belle résidence de se laisser apprivoiser, ce milieu si chatouilleux aura-t-il un jour comme retour d’ascenseur ce sourire aux lèvres, signal si alarmant pour cette artillerie, cette enfanterie qui de jour en jour se portera à cette secousse si actualisée, directement ou non, à chacun de revenir à l’heure avancée au non même de cette individualisation, comme de raison,

Si ce raisonnement se voulait si pertinent, alors pourquoi avoir attendu autant de temps pour y  persuader cette société empreinte de divers genres, de divergence , cet agencement de complémentarités se voudrait-il une jour unifié en une seule et unique impermanence, sans remontrance , que cette si belle évidence là droit devant, souriant comme un enfant le ferait , défiant en tout temps cette limitation pour y reconnaitre finalement ce à quoi lui seul aura à faire face un jour, en ce détournement d’éventualités si bien suggérées à longueur de journées , à la télévision ou sous ce projecteur dénichant ce si beau projecteur, ce retour à cette normalité se voudrait-il reconnu en ce moment comme ce renouvellement de si bon voeux de bonté , si dévouée ou si préoccupée, cette individualité y personnifiant finalement ce pourquoi d’un comment faire si révolutionnaire, remerciant en tout ou non, ce miroitement si bien éclairé par cette proximité , ce soleil se raplombant systématiquement à cette intériorité si dépourvue de panneau réfléchissant, cette émergence en toute itinérance, à chacun de tout mettre en oeuvre d’art , cette gesticulation débordant de possession, à chacun de se reconnaitre comme la plus belle personnalité, selon son propre code vestimentaire ou ce si haut taux horaire, cette comparaison se voulant en tout si limitative ou non, merci d’en faire ce si beau tourbillonnement, ce temps d’arrestation se voulant tout simplement cette possibilité de revenir comme au bon vieux temps, souriant face à ce moment présent, d’un à l’autre, si impressionné d’y apercevoir au loin ou non , cette nomenclature y décrivant tout librement ce à quoi toi seul aura à convenir face à ce si beau souvenir, reconnectant systématiquement à cette si belle comparaison, là droit devant, bien évidemment.

Dis-moi qui est la plus belle te redemanderas-tu , un jour, celui où cette liberté d’allocution se voudra si évocateur  pour cet amoureux de cette nomination à  cette succession dépeinte d’une simple superposition, comme de raison.

Se permettre de respirer tout librement tout en souriant , cet incomparable sensation se permettra-t-elle un jour d’y remémorer ce qui de jour en jour se projètera ,là droit devant, cette incompréhension  qui apprenait à sa manière , figuration si bien dirigée par cette société qui, directement ou non, y poursuivait finalement ce rêve si éveillé, en latence ou non, tout ceci se voulant le plus respect jamais déclaré, cents millions d’années si lumineuses à rechercher ce pourquoi d’un comment faire de cette supériorité qui, numériquement ou non, cette évolution ayant eu recours à tant de temps de diversions, en attendant ce retour à cette individualisation.

Infiniment merci à toi, temps de conversation, celui qui  depuis la nuit où, parti de je ne sais où, y proclamera forfait face à tant de coupures de sonorité, cette intériorité ayant en tout temps priorité sur cette élégance entrain de marcher , si bien agencée , maquillage pour l’occasion,  se camouflant ici et là, perturbée par une telle intimité, savoir se nourrir de cette si belle évidence permettra à ce tout un chacun , d’un jour à l’autre,  sachant en tout temps que ce retour à cette parité lui permettra que de s’admirer entrain d’y entraider son prochain moment de présence, intérieurement parlant en tout premier lieu, cet indicateur de vitesse y défonçant tous ces raccordements qui, auparavant se limitaient à tourner en rond à longueur de journées, jurant ou jugeant ainsi cet affrontement , au lieu de le féliciter que pour mieux le peaufiner, cette minutie ayant été mise au courant même , cette reconnexion si participative à toute heure du jour, face à de si beaux détournements, bien évidemment.

Merci Merci Merci à cet infini possiblité, merci surtout de tout y déclarer à  cette  itinérance si bien positionnée sur cette ligne de départ, en tout temps ou non, reculer de temps en temps son propre aiguillage  y transformera bien évidemment cette tentative , introspective ou non, au nom même de cette stimulation se questionnant en tout temps sur ce qui lui arrivera tout prochainement ou instantanément, tout ceci se voulant cet apprentissage à considérer comme le plus beau  retour  à la réalité, cette diffusion en temps réellement incomparable, cette modernité si parsemée de pupilles si intriguées par une telle proximité, ressentie ou présentie, ce temps de comparaison se retrouvant littéralement à dormir dans le même berceau, le temps d’un seul et unique instant, merci d’en faire ce si bel univers, personnifiant son propre lubrifiant, savoir y économiser cette énergie si contemplative y permettra à ce tout un chacun d’en libérer ce soupçon de situations, déjà arrivées avant même en avoir parler à ce qui ou à ce pourquoi, infiniment merci pour ton accueil, ce temps de salutation se promettant à tout instant de toujours en redonner à profusion à celle ou celui qui aura voulu  y suggérer  à cette si belle dimension, visiblement ou non, ou les deux en même temps, y embrasant ce si beau moment  se représentant comme le plus gentil des essouflements, bougie dans une main pour y faire évacuer ce surplus de douceur si vivifiée par cette alimentation à la source même de ce si beau déploiement, là droit devant, d’un instant à l’autre, cette longueur de discussion se voudra de jour en jour le plus beau des raccourcis à emprunté, le temps d’un seul et unique clignement de lumière, paupières si persuadées d’y avoir aperçu  cette si belle personnalité à pas de course ou entrain de relaxer, y empochant ce si beau retour d’ascension, apprendre à y recevoir exactement ce que ce tout un chacun aura eu le privilège de laisser aller fera de cette si belle génération, une société en phase se terminant  à tout instant par un si bon remerciement, ce nutriment si calorifique à consommer  à sa guise, sans raison d’en gaspiller , sachant en tout temps que ce temps d’enchantement y composera systématiquement ce si beau  temps à venir, et ce , sans prévenir.

Infiniment merci de lire et relire ces quelques lignes de formation, ces dernières ayant  été si bien autorisées par cette communauté sans voix ni courbature, cette simplicité de communiquer sans mots à se dire fera de cette discussion ce si beau retour à cette communion, intérieurement ou extérieurement parlant, là droit devant, bien évidemment.

Un tout dernier merci à cette intériorité entrain d’y divulguer cette sincérité si véritable, cette mise en terre se voudra enfin le plus beau des contournements à remettre en avant plan, sincèrement ou non, à chacun de tout remanier à sa façon, face à cette si belle divulgation, ce secret si bien conservé y  lessivant cette surface vaporisée aux oubliettes, le temps d’un remerciement, si gentillement , bien évidemment.

Merci à toi, amitié si personnalisée ayant eu à y subir cette intimidation tout au long de cette si belle remise au jeu, cet amoureux de la visibilité se voulant parfois long à y décoder ce qui de jour en jour lui permettra que de ralentir de plus en plus , soutirant ainsi ce surplus de sensation pour y parfaire cette si belle imagination.

A toi de me relancer cet appel du jour,

De ce moment si surchargé de tendresse,

Merci

 

 

photo:crédit pixabay

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