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A chacun son propre moment de présence

C’est ainsi, avec ou sans miroitement, ce temps de diversion ayant mis tant de tentations à la disposition, à chacun finalement de tout remettre en avant plan, là droit devant ou sous ses sabots si adorés par cette électricité, cette énergie  y défiant chacune de ces  si belles remises en situation, d’un élan de générosité à l’autre, comme nul autre saurait y satisfaire ce nouveau récipiendaire, ce savoir faire de cette intimité enfin remise sur pied après tant d’années de déboisement, si épuisant pour ce bel itinérant en voie d’y prévenir  cette décomposition, d’un moment présent à l’autre, en toute ressemblance à ce talent si retentissant, à chacun d’y remettre en route ce qui de jour en jour se distinguera de tous ces détournements d’attention, cette manière si particulière d’y savourer cette authenticité avant même avoir à y succomber, du début de cette journée jusqu’à la toute finalité de cette suite se succédant, indéfiniment, bien évidemment.

 

Pourquoi avoir à y retransmettre cette intégralité tout au long de cette journée si bien illustrée en 3D?

 

Tout ceci se veut et se voudra la plus mystérieuse des circonstances, tourbillonnant incessamment tout autour de ce soufflet qui à son tour, y renversera ce qui, de fond de cette collection si individualisée, d’une remise en question à un autre repositionnement, retenir son propre souffle de vitalisation y suffira à y dissoudre finalement, ce talent caché ou non, cette permission de se sentir si influent, transformant ce temple si renommé en une mission de visualisation en temps réel, de quoi bien vouloir se démaquiller en y entendant ce mot à dire et redire, tout doucement ou non, courir après sa propre kyrielle se voudra de jour en jour cette complémentarité à en faire succomber encore une fois ce temps si précieux, si curieux soit-il ce miroir du jour, avec ou sans contournement, si intrigué par cette façon d’y dupliquer cette hauteur qui en plein jour se permettra même d’y distribuer cette largesse débordante d’une si belle tendresse.

 

Pourquoi avoir tant de sincérité à envoyer en l’air en ce retour à cette liberté de dire haut et fort , merci merci merci à cette envergure parsemée de si belle démesure?

 

Encore une fois, tout ceci se confondra entre une tasse de thé à siroter tout en relaxant ou non,  faire de sa propre proximité la plus belle des sirènes, si heureuse de pouvoir se déplacer d’un simple coup de pinceau, y dessinant avec une telle agilité ce qui lui aura été permis de remettre noir sur blanc, ou en une multitude de coloris, incapable de s’arrêter tellement cette maximisation qui, de jour en jour, ce si long parcours si individualisé se voulant finalement se comparer à ce fil si affairé à y soutenir cette équivalence à contempler, à longueur de journée , d’un océan à l’autre, selon son propre talent d’allocution à proposer à cet étirement de tentations, cette rebellion ayant comme seul et unique objectif à atteindre, parfumant ainsi cette oisiveté , dans le plus grand des respects à considérer comme seul et unique privilège à protéger tout au long de ce si court parcours que cette visibilité aura à offrir à chacun de ces tournants , ce déversement d’information y accomplissant  tout simplement ce pourquoi d’un comment faire de cette si belle simplicité, d’un pas si dépassé par cette éventualité à peine achevée, la modifiant en temps réellement indissocié de ce temps d’arrestation, au beau milieu de ce lieu si chaleureux, infiniment merci à chacun de tous ces arrêts à cette puissance si perceptible , une fois cette reconnexion à cette liaison  datant de cette journée décousue d’heures en heures, de minutes en minutes, de secondes si secondaires  face à cette mesure de temps, d’un clignement de paupières à l’autre, retenant ainsi son propre souffle de peur même d’en effacer cette si belle intégralité, en 3D, et ce, malgré cette fin de soirée si bien arrosée.

 

Pourquoi se permettre de se limiter à déambuler de jour en jour tout autour de tous ces recommencements, là droit devant, bien évidemment?

 

C’est ainsi que se remettra en place, en temps se décomposant systématiquement de circonstances qui , en toute permanence y dévaliseront ce qui , bien entendu se résumera en une sortie de route pour y observer ce qui de toute façon se retrouvera en temps opportun, cette manière de remettre à demain ce qui, encore aujourd’hui se peaufinera à ce doigté si bien aiguisé, souriant comme un enfant le ferait , ce temps si lointain ayant permis tant de contretemps pour en arriver finalement, au même point de départ si bien éclairé, ce feu de broussaille y consumant constamment cette froideur  intérieure pour y faire givrer cette retransmission en direct de cette universalité à appréhender et ce, au tout début de cette route, tête renversée ou non, apprendre à vivre en accéléré se permettra finalement de tout remettre en avant plan, tout en respirant tout librement, bedon ou bedondine par en avant, rassemblant cette ingérence qui se voudra complémentaire à ce sourire aux lèvres y enclenchant bien évidemment ,ce branle bas de combat, seul à seul avec cette si belle réalité entrain d’y dévoiler exactement ce qui y aura été priorisé tout au long de cette journée dépourvue de légitimité, d’un point de départ à l’autre, mieux connu sous son propre nom de juridiction, infiniment merci à cette infinité de possibilité de se retenir ou non, cette appréciation se voulant si facile à majorer, individuellement parlant bien évidemment.

 

Alors pourquoi tant de recommencements en temps présent finalement?

 

Merci est, aura et sera en tout temps cet élément déclencheur, si facile à activer, si simple à manipuler, à dicter, à mimer, à maximiser, perdre autant de temps , de talent ou d’énergie à se faufiler entre deux pauses si réclamées, travailler si fort pour arriver au bout de son propre souffle , incapable de respirer si doucement, cette voilure qui, d’un mouvement de diaphragme à l’autre, crispé ou non, galvaudé ou non, ce temps de relaxation remettre en perspective ce qui de jour en jour se permettra finalement d’y déballer , au rythme qui lui conviendra, cet indice du jour à faire miroiter , souriant tout simplement face à cette agitation intérieure ou extérieure, savoir se reconnaitre au travers de ce paysage y transposant exactement ce qui, en un autre jour aura été inscrit, souligné, dessiné, découpé et même entrecollé sur papier glacé ou non, tout ceci étant finalement ce rêve enfanté de cette main si agile par moment, si difficile à contenter en un autre temps, cette compréhension face à de si belles situations d’y faire envoler ce souffle de visualisation, en toute légèreté, laissant tomber cette bouée y secouant à tout instant cette élégance, sans gant de protection ni pansement de racollement, que ce moment de satisfaction à ressentir, intérieurement parlant en un premier temps, le départageant au travers de ce si beau sourire, sans équivalence dans le temps ou en montagne d’argenterie, situation parfaite pour ce rapprochement à en faire scintiller cette prunelle y illustrant cette si belle évidence, parvenue de ce carreau si bien biseauté, transperçant en tout temps cette notoriété en fer forgé ou non , ce barreau à limer ou à gruger à longueur de journée ou non, libre est celui qui se permettra de revenir au temps d’avant, coeur d’enfant si émerveillé par une telle complicité, souriant à belles dents ou non, dentition se demandant comment faire pour arriver à y jointer cette mâchoire toujours prête à participer à cette collectivité entrain de se laisser aller à longueur de journée.

 

Pourquoi me redemanderas-tu?

 

Tout ceci se veut la plus juste des mesures à considérer, sachant en tout temps que tout ce qui sera à l’affiche dorénavant y aura été sélectionné de cette profondeur , en panne de chaleur ou non, ce ralentissement de tentations se voudra si salutaire face à ce si bon savoir faire de son propre univers, abusé de ce talent si important pour rivaliser en tout temps avec cette image si limitée , haute salaison, haute direction, haute diplomation, retombé sur ces deux pieds si bien ancrés y transposera ce moment de présence en une valeur ajoutée si bien assurée par ce sourire aux lèvres, service personnalisé profitant ainsi de cette sensibilité à recenser, du matin au soir, à chacun de se relever à tout instant après cette enjambée enfin soulignée.

 

Tout ceci te semble un peu trop insidieux?

 

Prendre le temps de s’arrêter le plus souvent possible, y observer son propre talent de dessinateur, cette procréation ayant comme objection ce qui lui aura été possible d’entendre ou de défendre, tout ceci étant libre à chacun de faire de son propre anniversaire, à tout instant ou non, déballer son propre rêve d’enfant là droit devant , le caressant du bout des doigts, tellement cette autorisation aura été si difficile à chambouler, infiniment merci à cette caresse du jour, en pleine expansion tout autour  ou non, cette limitation de visibilité ayant été si bien informée de cette arrivée qui, massivement ou non, se distinguera de tous ces hameçons qui autrefois avaient comme privilège de remettre en place cette évolution en pleine révolution.

Infiniment merci pour ce ton si rasssembleur, cette tombée du jour  y confirmera ce qui, tout au long de cette journée enfin terminée, y aura été relancé par en avant ou non, se sentir aimer en tout temps par ce si beau prince charmant, coeur d’enfant parfois oublié y savourant ce retour à cette réalisation empreinte d’une si belle individualisation, comme de raison.

Merci à toi, moment de sincérité préféré, ce temps de duplication qui, en un temps record y complimentera cette oisiveté pour cette si belle liberté d’impression, ce ruban se déroulant tout doucement ou non, permettant ainsi à cette si belle mise en pli, cette  sagesse débordante d’une si belle vision nocturne , se laisser aller par une autre nuitée , ce temps où magie et nostalgie se relocaliseront à tout instant, face à ce soleil y relevant tous ces défis d’ascension, d’une intériorité à un écran si bleu, couleur préférée de cette amitié enfin ressoudée à tout instant, question de  bien vouloir y laisser place, servi sur glace ou non, à chacun de ralentir pour y ressentir cette intégration,  souriant ou non, cette mission de vie à en faire trembloter tous ces sanglots si bien oubliés.

Infiniment merci à toi, instance qui, en toute impermanence y conjuguera ce qui, dorénavant se permettra si ouvertement d’y faire rassembler cette parure si illusoire à son propre miroitement, là droit devant , bien évidemment.

Merci Merci Merci 

Le tout si bien exprimé du fond de cette terrière qui, à tout instant y complimentera ce si beau déploiement, dans un environnement si rapproché, force est d’admettre qu’un simple ralentissement à la fois y recalibrera instantanément cette voilure en panne sèche d’une si belle nomenclature.

Encore merci

Signé de la main de cette magie tout autour de ce si beau parcours, fleurs assèchées laissant ainsi place à cette chevelure si bien tressée.

De cette fée des étoiles se faufilant en tout temps, pour le meilleur des recommencements, bien évidemment.

Sourire fera à tout instant le plus beau des scintillements, intérieurement parlant,  et ce,  quel que soit la couleur du temps.

Merci

Merci 

Merci

 

 

 

 

crédit photo:pixabay

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