C’est en toute intégralité, et ce, malgré tous ces temps passés et si dépassés par cette simplicité de transmission , en temps réellement si indifférent de ce moment qui, en tout présence se voudra revenir au jeu en toute complémentarité avec cet instant présentement à l’affiche, là droit devant ou assis sur cette banquise de ce côté de cette route si personnalisée, chevauchement ou débordement de complexités au fur-et-à-mesure que cette si belle démesure en aura terminé d’y supporter cette toile si effrénée, courir en tout temps au nom même de cette si belle persuasion se terminera en tout temps par ce si beau remerciement si influent intérieurement parlant, bien évidemment.
C’est ainsi, et ce en toute connaissance de cette cause , celle laissant planer cette soif de liberté , en tout temps ou non, à chacun finalement de tout remettre en place, intériorité toujours aussi enflammée malgré tant d’années d’efficacité supposément si étrangère à cette recommandation si particulière, prendre le temps de relaxer en tout temps et en tout lieu y transformera systématiquement ce moment de ralentissement en une pause si bien méritée tout au long de cette journée y proposant si facilement tant de divertissements à en oublier son propre talent latent, à chacun d’en imaginer ce qui un jour se détournera de toutes ces manières si familières qui, de jour en jour y simplifieront , tout doucement, se réapproprier cet espace d’amusement se voudra bien évidemment, si difficile à manipuler mais si simple à apprivoiser, bien évidemment.
C’est ainsi que cette majorité, celle qui en toute proximité y comprimera en un seul et unique jeton de jeu, savoir se reconnaitre comme ce participant à cette énergisation , là droit devant, intérieurement ou extérieurement ou tout ceci en même temps se tapant dans les mains du matin au soir, ce moment de retrouvaille où doigts de fées et poussière si magnétisée se permettront en toute consonance d’y reproduire ce tableau si bien inspiré par tant de sourires et de tendresse si bien démontrée tout au long de cette mise à séjourner, de talent à remettre en avant plan, là droit devant ces yeux si amourachés de cette démesure en perte netteté, cette visibilité enfin retrouvée se voudra un jour, garantissant satisfaction ainsi à celle ou celui qui aura même prisé son propre bas de pantalon , le retournant que constamment pour en vérifier cette si belle connectivité à ce terreau si fertilisé, cette journée de commémoration se permettra-t-elle un jour d’y faire évoluer cette si belle intériorité si charmée par cette couleur si personnalisée, de jour en jour , ce signalement ayant été si bien réclamé à cette sortie de force, tête inversée que pour mieux y voir plus clair , au loin ou non, à chacun de se permettre finalement de faire de sa propre universalité la meilleure des réclamations, comme de raison.
C’est ainsi que se permettra un jour, arme de délivrance au poing, tendre la main à cette si belle itinérance qui, à sa façon y mesurera en toute légitimité cette soif de pouvoir sourire en tout temps ou non, à chacun finalement d’y laisser entrer cette luminosité pour y voir plus clair tout autour de cette tournée à plein régime ou non, sachant à partir de cet instant si percutant que seul celle ou celui qui se permettra que de se tenir debout face à cette infini possibilité d’y soulever ces coins de lèvres qui, bien évidemment y insuffleront cette incapacité d’y redéfinir à sa guise, se permettre d’y contrôler son propre environnement tout en ronronnant que constamment, ou tout en sifflotant , chantonnant, inscrivant cette démangeaison qui, comme de raison y peaufineront en tout galanterie ce paradis si reconverti en une surface de jeu si coloré, à la hauteur si bien représenté par cette intériorisation en pleine expansion, là droit devant, sur écran si bleu, en 3D et ce , sans participation imposée, que cette si belle intimité à remettre sur une, deux, trois ou quatre pattes si bien ancrées, jouer en tout temps avec son propre miroitement fera de cette si belle régénération la plus talentueuse des personnalités , si fière d’y voir évoluer tout en souriant en tout , ce prince ou princesse si habitué de s’arrêter un seul et unique instant de temps en temps pour y rediriger son propre regard si lointain ou non, à la mesure de cette curiosité enfin immunisée face à ces moments de diversions, comme de raison.
Si un jour vous vous demandez , pourquoi avoir tant de temps de disponible pour en arriver à y concentrer tout cette attention sur un seul et unique brin de tourbillonnement, ce souffle de visibilité se voudrait-il si avare de commentaire face à cette simplicité si personnalisée, cette dimension si particulière qui, en toute résonance se voulant si sensible à cette remise en doute , en route , en dédoublement, en débordement d’agilité, tenir au bout de son propre nez ce ballon tout rond , si léger et ce malgré ce nombre de campements à supporter, se sentir si léger face à cette immensité qui , bien évidemment, se permettra en temps et lieu de faire de son propre élan de persuasion la plus heureuse des réalisations , celles qui lui aura été permises d’y imager tous ces temps de relaxation ou non, à chacun de se permettre d’y autoriser cette soif de liberté de se convertir en un jeu de passe-partout, entrant ainsi en toute profondeur , ce lieu si généreux ayant eu comme seul et unique commandement d’y laisser libre d’exécution à cette individualisation, comme de raison.
C’est ainsi , tout simplement ou non, à chacun de faire de son meilleur jour la plus chaleureuse des rencontres tout en se détournant ou non de cette image débordante de stimulation, de lamentation, de rivalisation, de valorisation , en tout temps ou non, savoir se contenter de son propre moment de régularisation fera de cette société si exténuée par tant de tâches et taches à récurer, y savourant que par moments si précis cette présence qui de toute évidence y contemplera finalement son propre environnement si ensoleillé ou non, en y attendant ce retour si attendu, l’ayant si bien demandé années en années de tournage, ce court métrage se comportant littéralement comme le plus fier compétiteur, à ces heures de diffusion sur cet écran si élancé , de long en large, de haut en bas, en blouson ou non, merci merci merci à cette grandeur intérieure de se permettre finalement de faire de ce si beau décor extérieur cette réplique si particulière , si révolutionnaire, inégalable , inébranlable, incomparable, à chacun de faire de cette si belle élévation la plus précieuse des recommandations à cet arpenteur de si bonnes nouvelles, infiniment merci à toi, moment de comparaison de faire de cette instance de divorce ou de renforcement si individualisé, la plus sédentaire des reconnaissances ,face à ce lieu sans précédent ni succédant, que ce sourire à remettre en avant plan en y entendant ce moment de rassemblement, intérieurement, extérieurement ou toutes ces mains y reconnaissant cette façon de faire de cette complimentation, cette tenue si individualisée et ce, en toute modestie laissant ainsi place à ce surplus de compassion d’y voir évoluer son propre moment de satisfaction, là droit devant ou comme à cet instant si prisant, intérieurement parlant, ce coeur si léger de se balader tout en virevoltant que constamment , bien évidemment.
Infiniment merci à toi, moment de sincérité de refaire de cette histoire si coutumière ce qui de jour en jour se dessinera comme le plus grand des tourbillonnements , intérieurement et extérieurement si bien rasssemblés en y entendant de remerciement si enveloppant, intimement parlant bien évidemment.
A toi, moment de sollicitude de faire de ton propre raccordement cette grandeur de démarcation malgré la longueur de ce parcours , ce niveau de difficulté à rencontrer , cette hauteur si bien projetée sur ce mur à escalader, cette dureté d’évolution, de niveau d’éducation à avoir dû encaisssé, ces sommes dû à cette institution si dépensière, à cette révolution en panne sèche de moments de diversification, à toutes ces recommandation qui , comme de raison y auront fait dévié cette route et roulière ayant eu comme privilège d’y assister à cette reconnaissance, cette persévérance sur deux pattes, torse gonflé face à cette marche enfin prête à se laisser tomber que pour mieux y laisser libre course à cette expression de qualité si bien ressentie , ce participant ayant été convaincu d’y déposer son propre sac d’armements que pour mieux y éblouir ce paysage toujours prêt à redonner tant de largesse, de caresse, d’allégresse, savoir se regarder droit dans les yeux en tout temps et ce, quelque soit la couleur de ce nuage à l’horizon, ce dernier se voulant si rafraichissant à cet aire d’arrivée, si courageux aura été ce si beau coureur perdu dans ce boisé que lui-même aura si bien voulu laissé pousser en dèche ou si amouraché que pour mieux le retrouver en toute permanence face à cette si belle évidence.
Infiniment merci à toi, moment de tendresse d’ avoir mis ton propre grain de poivre si sucré en y stabilisant ainsi ce qui un jour se peaufinera comme le plus judicieux des parcours à appréhender, tel que proposé par cette individualisation, comme de raison.
Merci merci merci
Le tout si bien décrié par cette personnalisation, comme de raison.
Infiniment parlant,
De ton propre prince charmant, ce coeur d’enfant si enjoué,
Encore merci
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