C’est ainsi, et ce, sans la moindre orientation particulière autre que cet élan si retentissant, là droit devant cette cuvée à peine relevée, cette dernière ayant eu tant de talent à mettre de côté face à ces moments de réaction malgré tous ces panneaux de signalisation lui démontrant finalement que tout ce qui est, aura et sera si bien représenté en toute légitimité sur ce terreau si énergisé de ces temps-ci, cette immensité se voudrait-elle en être devenue si émancipée , si virulent en sera mesuré cette image se démarquant tout simplement de ce moment de complémentarité si assoiffé par une si belle intériorité entrain de se remettre en place, sur écran si bleu encadré ou non, selon son propre degré de regénération, comme de raison.
C’est ainsi , et ce, malgré tous ces malgré qui autrefois se permettaient même d’y déplacer cette remise en doute sur cette route si bien redessinée au fur-et-à-mesure que cette élévation , avec ou sans prénom, que ce cette synthétisation en temps réellement si intriguée face à tant de revirements de situations, à chacun finalement d’y apprivoiser son propre cheval se bataillant que constamment ou non, à chacun sa propre façon de lui demander par où et comment faire pour se laisser porter sur son propre dos sur ce lieu si généreux en évènements si impressionnants, en temps réellement si indissocié de cet appel au calme, cette accalmie si difficile à remanier en ces temps de diversifications, à taux d’intérêt si abaissé par une telle calamité, cette réalité se voulant à tout instant libre d’y démontrer ce à quoi, à qui, envers quoi ou envers qui toi seul aura convenu comment en apprécié ce privilège d’en informer instantanément, sourire aux lèvres pour cette occasion si personnalisée, infiniment merci à ce tout un chacun de se permettre finalement d’y injecter son propre ingrédient si secrètement influencé par ce moment de régularisation, intérieurement parlant, bien évidemment.
C’est ainsi, ce lieu de culture qui , bien évidemment se voudra si libérateur , tant de labour à mains nue , ce recueillement si stimulant aura-t-il un jour le plaisir d’y découvrir ce miroitement, là droit devant ce moment de synthétisation à reculon ou non, avoir monter si haut pour y apercevoir ce qui de jour en jour se voudra littéralement le plus beau des regrets face à cette terre si émancipée et ce, malgré tous ces manquements d’attention en son intention, cette accumulation si généralisée ayant pris tant de place , cette remise au jeu se voudra bien évidemment la plus grande des surprises à se dévoiler en ce retour à cette normalité toujours aussi superstitieuse, enfin voici redevenir ce soupir en devenir après tant d’années d’effacement ,si impressionnant aura été cette manipulation d’informations , à chacun sa propre visibilité à remettre en avant plan, là droit devant ces yeux si émerveillés par une si belle luminosité si savoureuse à observer.
Enfin se voudra cette tombée du jour , qui dorénavant se mesurera en tout temps à ce moment de complémentarité, cette majesté, ce coeur d’enfant si avare de commentaires depuis tant d’années, infiniment merci à ce moment de réveil si matinal ou non, tout ceci se voulant libre à chacun de se permettre d’y remercier avant même en avoir profiter , cette si belle manière d’y prononcer mot clé, cette barrure si individualisée se voulant si facile maintenant à y enclencher son propre bouchon de circulation, intérieurement ou extérieurement parlant, là droit devant ou sous ces pieds si bien reconnectés à cette magie du jour, infiniment merci à ce remerciement si influent, intégrant ainsi cette manière de faire de sa propre universalité la plus talentueuse des remises en positionnement, sans effort à ajouter ni rapport à rédiger, que cette situation à ressentir comme le plus beau des moments de présence, à venir ou non, merci merci merci à toi, moment de ralentissement, cette tentation du jour se voulant finalement que cette envie folle d’y voir évoluer ce qui, tout récemment ou non, instantanément ou non, y dévoilera finalement et ce avec une telle exactitude ce qui y aura été si priorisé face à chacune de ces si belles opportunités de se révéler sous un angle différent, intérieurement parlant, bien évidemment.
Tout ceci ayant été si bien décrit lors de toutes ces dernières écritures, merci de te permettre un jour d’y rassembler ce qui, bien évidemment , se voudra si grand, si coloré, si maximisé, à chacun finalement d’en faire son propre champs si praticable en ce retour à ce ralentissement de tentation, ce qui, de jour en jour se voudra libre d’y exprimer sa propre joie de sourire en tout temps ou non, comme en cet instant si prisant, intérieurement ou extérieurement , ou les deux entrelacés profitant même de cette générosité si légendaire, ce laisser aller ayant comme seul et unique point de ralliement en main cette destination avec ou sans finalité, cette itinérance à temps complètement déconnectée de cet environnement si pollué, si exténué, si assoiffé de représentation si calorique, ce retour de balancier ayant eu comme seul et unique mission de visibilité son propre devoir de révélations au fur-et-à-mesure que ce relevé de transmission lui permettra finalement d’y révéler ce qui lui aura été possible de remettre en 3D, seul à seul avec son propre porte-manteau si déprécié face à une si belle dimension à applaudir, là droit devant, à tout instant, d’un moment de sincérité à l’autre, tout doucement, infiniment merci à chacun de tous ces tout et chacun, cette collectivité se voulant à tout moment, libre d’y déplacer ce tas de terreau du même côté de cette route si bien nettoyée, d’un grain de poivre à l’autre, éternuant ainsi par pure politesse, cette poussière ayant su y protéger finalement ce cadeau toujours aussi bien éclairé en ce retour à cette liberté d’expression, comme de raison.
C’est alors que se permettra , avec ou sans contrefaçon de se satisfaire de son propre moment de sollicitude, ce cadeau si bien protégé , ce coeur si enfantin se voudrait-il finalement cette permission de jeu à contrarier, face en bas ou non, merci à toi moment de notification pour ton seule et unique savoir faire , cette persuasion qui , bien entendu se voudra si difficile à écouter, savoir se reconnaitre comme la plus grande des personnalités et ce, malgré ce nombre de dents tombées, malgré ce nombre de diplomations si bien encadrées, malgré tous ces allongements de tentation toujours aussi bien ancrés, infiniment merci à toi, moment de diffusion, à temps réellement si bien associé à ce retour à cette intériorité toujours aussi heureuse de se regarder droit dans les yeux, couleur bleu, blanc ou rouge, ce temple si renommé par son propre agencement si personnalisé se voudrait-il un jour redevenir ce qui lui aura été permis de devenir, d’un simple claquement de doigté si léger, ce moment de contemplation ayant eu comme seul et unique objectif à observer, ce soleil , ce référent en la matière, cette donnée lui ayant été parsemée ici et là, d’un éclatement de joie de vivre à l’autre, merci merci merci à toi, moment de popularité de pouvoir ainsi se balader en toute authenticité, ce si succulent moment à déguster du bout des lèvres, si agacé par ce passé si bien infiltré de moments de publicisation à en faire perdre cette raison de devoir devenir un jour la plus heureuse des représentations à engendrer, d’un moment à l’autre, nul un aussi important que l’autre, en ôtant ainsi cette pression indument si déplacée sur le dos de cette société entrain de tout laisser tomber, tel que proposé par cette argumentation, à chacun de s’en faire sa propre mission de diffusion, comme de raison.
Infiniment merci à toi, moment de compréhension, avec ou sans cohésion particulière autre que cette excitation à remettre sur son propre pied si adroitement déplacé, cette rigole ou rigolade se voudrait-elle finalement cette si belle retrouvaille à embrasser en ce retour à cette normalité si généralisée, sans armature à démonter ni filature à repenser, que cette authenticité à envoyer en l’air, cette manière si particulière de se questionner sur ce pourquoi d’un comment faire pour tout simplement faire de son meilleur jour, la plus jolie des facettes à observer, du matin au soir, ce coucher du soleil se voulant finalement si bien inspiré par tous ces moments de complémentarité , ou non, cette accumulation de données , ces poignées de main à son propre voisinage, ce sourire parsemé ici et là sur cet alentour toujours aussi avare de commentaires , ou non, merci à toi moment de rassemblement qui, durant toute une nuit y redessinera , à l’unanimité ou non, à chacun de se féliciter pour cette décision finalement de pouvoir y apercevoir au loin cette destination, ce talent si inspirant, dessinant ou coloriant son propre moment de satisfaction à longueur de journée au nom même de cette divulgation, ce remerciement si bien ressenti face à cette réalité entrain de se permettre une habitation en toute transparence, cette luminosité si révélatrice face à cette grandeur intérieure débordante de si belles saveurs.
Merci Merci Merci, le tout si bien décrié par ce retour à cette normalité, celle qui de jour en jour se promettra finalement d’y reproduire chacune de ces si belles mimiques, grimaçant comme le faisait cet enfant qui, tout récemment se voyait au travers de ce faisceau si bien redirigé sur ce rêve si éveillé de devenir la seule et unique personnalité envers qui ce langage si amoureux y persuadera finalement ce spiritueux , cette bulle de savon s’envolant à tout instant que pour mieux y observer ce à quoi, à qui, envers quoi ou envers qui cette remise en boucle, avec ou sans blocage , fil entremêlé que pour mieux y prolonger cette éducation en pleine possession de son propre moyen de diffusion, comme de raison.
A chacun de se permettre finalement de se réjouir de son propre moment de présence, coeur d’enfant enfin remis sur son propre socle , main dans la main avec sa propre destinée, ce talent latent qui, d’un jour à l’autre se voudra libre d’y exprimer ce qui lui aura été permis d’avancer ou non, selon ce cycle de révolution, à plein régime ou en pleine communication avec cette intériorité lui enseignant à tout instant ce qui fera de cette devanture, la plus souriante des représentantes et ce, malgré tous ces degrés de températures annoncées sur mesure ou non, à chacun finalement de se permettre de se balader sans destination particulière autre que ce retour à cette intériorité, cette dernière ayant eu comme seul et unique mission de vie , que de remettre en avant plan ce à quoi, à qui, envers quoi ou envers qui ce tout un chacun aura eu le privilège de confectionner, seul à seul ou non avec son propre prince si charmé , ce coeur d’enfant si enjoué se répétant à tout instant que le tour de magie le plus inspiré demeurera en tout temps celui que ce tout un chacun aura lui-même su fabriqué, d’un tour de main, les yeux si écarquillés de peur même de devoir en oublier , le ressentant , de salivant, le visualisant instantanément, comme à ce moment précis, cette diffusion en temps réellement si satisfaisant, sans code d’accès à privilégier ni passe de papier à montrer face à cette porte d’entrée toujours aussi polyvalente , reconnaissant par son propre prénom chacune de ces si belles recettes du jour, ce remerciement si imposant , entrant ainsi dans une universalité toujours entrain d’y reconstruire cet environnement à l’image même de cette intégration en pleine ébullition, comme de raison.
Merci à toi , finalement.
Merci à vous tous, cette humanité se voudra un jour la plus heureuse des sensations à ressentir, d’un moment de présence à l’autre représentation en temps réel, ainsi soit devenu ce temps à raccourcir ou non, selon ce cycle de révélation, comme de raison.
Ceci se voudra à tout instant la seul et unique source à en inspirer son propre environnement, bien évidemment.
A chacun de bonifier sa propre valeur intérieure,
Infiniment merci,
De ton propre talent d’évaluateur,
De ce remerciement si souriant, bien évidemment
Merci
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