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Ainsi ira ta vie

C’est ainsi, et ce, en toute intimité, ce tout un chacun se voulant libre à tout instant d’y imaginer son propre moment de sincérité, seul à seul tout autour de son propre carrefour si bien orienté systématiquement sur cette si belle harmonisation, en toute tranquillité, sous toutes ses formes et leçons de visualisation , infiniment merci à toi , moment de dédoublement, là droit devant, comme à cet instant si libérateur , à chacun d’y manipuler finalement son propre talent de metteur en scène avec ou sans permission particulière autre que ce si beau consentement, bien évidemment.

Pourquoi avoir tant de talent latent à mettre de l’avant?

Tout ceci se veut la plus belle histoire de toute une vie, sachant en tout temps que ce tout un chacun aura un jour le plaisir de se découvrir comme l’arme la plus personnalisée face à son propre porte manteau , infiniment merci à toi, talent latent pour ta personnalité si diversifiée, merci surtout de te permettre de toujours et toujours y écouter , et ce avec une si belle persévérance, y laissant ainsi tomber cette impermanence, ce temps si bien éclairé , reconnexion en toute légitimité de son propre code de sécurité, seul à seul avec son propre coeur d’enfant enfin exploité, ce dernier ayant été remisé de l’autre côté de cette fosse fabriquée de toute pièce, recyclée ou non, infiniment merci d’avoir un jour ce privilège de toujours et toujours faire de  cette envie folle  cette porte à entrouvrir , cette permission de visibilité à observer un jour, tout au ralenti de peur même d’y obliger cette itinérance de s’abstenir de commentaires, après tant d’années de moments de représentation sur ce terreau si performant, bien évidemment.

Pourquoi et comment faire pour se satisfaire de son propre savoir-faire si révolutionnaire ?

C’est ainsi que se permettre d’y exprimer ce à qui, à quoi, envers qui ou envers quoi ce tout un chacun, si pressé de se limiter à une seule et unique remise au jeu , cette infinité se voulant pourtant si permissive, alors pourquoi avoir tant de difficulté à y observer son propre horizon, déplaçant ainsi son propre écran si miniaturisé que de ce côté de ce regard qui, de jour en jour se requestionnera sur ce pourquoi d’un comment faire pour en oublier cette si belle possibilité de rigoler à longueur de journée sur ce lieu si rigoureux, délaissant ainsi chacune de ses si belles préoccupations, ces anticipations d’auparavant se voudraient-elles si limitatives en ce retour à cette modernité, ce courant enfin réinitialisé en ce début de millénaire si spectaculaire.

Pourquoi et comment faire finalement?

C’est alors que je me permettrai, je étant bien évidemment cette liberté de s’exprimer, haut et fort, selon cette si belle intériorité, exténuée ou non, cette remise en situation se voulant à tout instant si particulière , ce savoir faire ayant été submergé de publication à la télé et autre médium, enfin merci à toi , recouvrement si sécuritaire d’y avoir mis tant d’attention de l’autre côté de cette rigole qui, d’un moment à l’autre, ce privilège de se retrouver seul à seul avec ce si prétentieux coeur si affolé de pouvoir ainsi revenir y jouer son propre rôle de magicien sur cette route si bien éclairé, 2020 se voulant libre de droit d’y soulever finalement cette incapacité de pouvoir ainsi y projeter ce à quoi, à qui, envers quoi ou envers qui ce tout un chacun fera face en toute intégralité, ce désaveu ayant eu comme jeton de participation d’y nettoyer finalement cet écran de jeu qui, de jour en jour y parsèmera face à cette si belle résidence ce qui, bien évidemment , se reflétera instantanément sur ce miroitement, là droit devant, et ce , à tout instant, bien évidemment.

En une seule et unique journée, tout ce qui  y aura été interprété , mimé, salué ou non, impressionné ou non, ces si belles manières d’y remercier sa propre personnalité entrain de faire de son propre moment de sincérité la plus belle circonstance à imiter, ce lendemain se voulant à l’image même de tous ces enregistrements qui, selon chacune de ces si belles instructions se permettront d’en inspirer ces doigts si effilés, recousant ainsi ce tableau de visualisation, en temps présent ou non, à chacun de faire de sa propre universalité la plus judicieuse des ressourceries , formulant ainsi ce remerciement enfin remis sur un, deux ou quatre pieds, chevauchant ce qui, de jour en jour y renfermera cette humilité si bien retrouvée tout au creux de cette résidence si secondaire depuis tant d’années de priorité si bien affichées sur ce carton de notes à hachurer durant la journée.

Alors, pourquoi avoir mis tant d’années  pour y dévoiler ce pourquoi d’un comment se satisfaire de sa propre universalité?

Le temps ayant été toujours et toujours si particulier, cette mesure de tentation ayant toujours eu priorité sur cette explication, toujours en avoir toujours plus , ce devoir de pouvoir participer à ce si beau développement, cette manière d’en maximiser que son propre moment à venir, dans  cinq, dix, vingt ou encore plus d’années d’embrouillement, c’est alors que se faufilera un jour , ce metteur en scène, ce dernier entendant  avec une telle efficacité, ressentant ainsi cette chaleur au front , sifflotant ce plaisir de découvrir cette fleur du jour si colorée, chaleur du vent sur son propre visage , cette peau si douce transformant ces marécages en une mer si agitée , d’un simple claquement de doigté si léger, à toi de faire de ce si beau paysage cette remontrance qui, de toute évidence se distinguera par sa sincérité si légendaire, ce savoir faire si révolutionnaire y manifestant systématiquement ce ralentissement de tentation, respiration au ralenti, ce diaphragme remettant au loin cette image se démarquant par sa personnalisation, comme de raison.

En cette journée de diversification, infiniment merci à toi, moment de description qui, en directe de cette universalité se permettra un jour d’y commenter ces si bonnes nouvelles enfin parvenues à se laisser écouter, cette cage sous vide ayant été conçu pour y faire évacuer si facilement ce surplus de désinformation entendues, entrevues, aperçues même, avoir eu recours à tous ces raccourcis durant tant d’années fera de si beau parcours à reculon la plus heureuse des sensations, si raisonnables soient-elles.

À  cette maximisation si particulière,  infiniment merci de remettre en place tous ces morceaux de ce château si personnalisé, cette manière de faire de sa propre facette du jeu , au nom même de cette régularisation, si élégante y sera redevenue cette si belle demeure qui, de jour en jour y peaufinera finalement ce revirement de situation, seul à seul , bras dans les bras de son propre miroitement, cette unification se voudrait-elle finalement cette mission de vie à prioriser en ce retour à cette notion de temps, comme  à cet instant si prisant, intérieurement ou extérieurement, ou ces deux si belles identités se regardant droit dans les yeux, bleus ou non, à chacun de se permettre de refaire son propre tour de propriété , désamorçant ainsi cette étincelle du jour toujours prête  à se laisser pousser de tous les côtés, seule et unique façon de faire de son propre court métrage, vouloir plaire en tout temps à ce voisinage aurait-il été possible sans cette éducation à encourager tout au long de ce développement si important aux yeux même de cette humanité si bien encadrée.

Merci finalement à ce si beau dévoilement, qui dorénavant se permettra de transmettre tant de données à remanier, à sa façon, sans raison particulière autre que cette écoute de son propre coeur d’enfant si bien installé depuis tant d’années , lançant des flèches de temps en temps,  cancer et toutes autres maladies pour y laisser planer sur ce parcours cette mesure de stimulation, là droit devant ou non, à chacun de faire de sa propre ligne de départ cette remise au jeu de ce premier pas si léger face à une si belle immensité à privilégier.

Merci à toi, moment de réception, merci surtout de te permettre de refaire surface après tant d’années d’études, cette façon d’y construire cette performance face à ce lieu  si entreprenant, sur demande ou non, à chacun de faire de son propre code de permission la plus talentueuse des personnalités  face à son propre moment de concentration, comme de raison.

C’est ainsi que se terminera cet entretien qui, tout prochainement se voudra libre de se laisser aller de gauche à droit, gouache dans les mains que pour mieux y redessiner finalement cette soif du jour , cette ressource qui, en toute quiétude se voudra si énergivore, laissant ainsi  à ce tout un chacun ce loisir de se découvrir un seul et unique instant à la fois, ce luxe de se  reconnaitre comme le plus privilégié des constructeurs de cet univers, à sa façon, selon cette si belle leçon de visualisation, sans permission à demander autre que ce si beau remerciement à en englober finalement ce si beau miroitement, là droit devant, bien évidemment.

Infiniment merci à toi , moment de solitude, merci de faire de ces retrouvailles la plus belle arme à manipuler, en toute insistance, ce recueillement dans la douceur de cette couleur du jour, infiniment merci à toi, infinité possibilité de dire merci merci merci, en toute sincérité, en toute humilité, à chacun d’en faire son propre code de conduite, écran de jeu si agrandi pour y apprivoiser ce à quoi, à qui, envers quoi ou envers qui toute cette si belle attention du moment y aura été si influente, bien évidemment.

Un tout dernier merci à cette itinérance, cette manière de se refaire une beauté à longueur de journée, cette polyvalence se voulant finalement si impressionnante sur ce ruban de plomb, nul besoin de se protéger, ce soleil se voulant libre d’en soutirer chacune de ces si belles impressions, comme de raison.

Merci merci merci à tous ces moments si singuliers.

De tous ces embrasements si percutants, là droit devant, bien évidement.

Le tout si bien décrié par toutes ces belles personnalisations, comme de raison.

Face à ce si bel unisson,

Merci à l’infini

 

crédit photo:   pixabay

 

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