C’est ainsi, et ce, en toute complémentarité, souvent face à ce vent de nouveauté , ou non, tout ceci s’harmonisant ainsi à cet environnement si rutilant, si lumineuse finalement se retrouvera cette image se démarquant tout librement comme à cet instant si insistant, avec ou sans lubrifiant pour l’occasion, ce silence se retrouvant face à cette imagination sans pagination particulière, que ce souffle de visualisation à remettre en repositionnement, là droit devant , bien évidemment.
C’est ainsi, et ce, sans le moindre parti pris, sans explication à mentionner en ce retour à cette liberté d’y exprimer haut et fort ce qui de jour en jour y peaufinera finalement le plus grand des miroitements à faire face à tout instant, à toi, tout un chacun de faire de ce moment si véritable cette si belle remise à admirer, ce moment de reconnaissance avec ou sans essence si énergisée, que ce soleil y raplombant finalement ce qui , d’un jour à l’autre , se voudra si libérateur en cette heure de retrouvaille, coeurs d’enfants si agités face à ces éventualités si bien inspirées, d’un jour à l’autre, nul un comme les autres , infiniment merci à toi, moment de sollicitude, cette terminaison ayant tant de sensibilité en ces temps de finalité , d’un recommencement à l’autre, bout à bout de ce chemin si individualisé, à chacun finalement d’y autoriser ce à quoi cette humanité aura à y absorber en une seule et unique bouchée, cette universalité se voulant à tout instant libre d’y dupliquer ces intériorités si animées de sensualité, ou non, infiniment merci à toi , personnalité se demandant à tout instant comment faire pour y décorer ce qui fera de cette proximité la plus heureuse des introductions sur ce paquet de matière y recyclant instantanément ces demandes si particulières, cette intrusion par réfraction ayant comme seule et unique ressource si vérifiable, que ce soleil de plomb en 3D, tel que proposé en ce début de millénaire si révolutionnaire.
Pourquoi parler ainsi en ce début de matinée si bien éclairée?
Tout ceci se voulant libre d’exécution, à chacun finalement de faire de son propre miroitement cette exactitude à observer au loin ou non, à contempler en toute proximité ou non, tout ce qui aura à se délimiter le sera en fonction de cette exagération au nom même de cette interdiction ou autorisation, si personnelle soit-elle, à chacun de remettre en place la plus belle des pancartes y mentionnant finalement que ce chemin de contournement se voudra le plus beau des temps de démesure, incomparable face à cette grandeur intérieure se mesurant à tout instant à ce qui se terminera ou non, par ce si joli sourire aux lèvres , comprenant ainsi que tous ceux qui se permettront d’y exprimer son propre pourquoi d’un comment se satisfaire de son propre univers avant même avoir à le départager , de la manière qui lui convient, de cette façon qui le remettra en question, infiniment merci à toi, soleil si radieux , merci surtout pour cette impartialité toujours et toujours aussi suspicieuse, que cette soif de pouvoir sourire à tout instant fasse à son meilleur moment de représentation, la plus glorieuse des orientations, là droit devant, participation en toute gratuité sur cet écran si heureux enfin de pouvoir y parsemer cette loyauté en 3D, si bleu aura été ce ciel si étoilé ,en pleine nuit ou non, merci merci merci, infiniment merci pour ce début d’expérimentation avec ou sans instrumentation autre que ce si bon coeur d’enfant oublié au nom même de ce moment de vérification, incapable de se tenir debout après tant de difficulté à y exprimer cette désolation, cette détérioration si pécuniaire, merci aura à y manipuler finalement cette intimité si malmenée depuis tant d’années à essayer toutes ces manifestations si publicisées, à ce tout un chacun de se permettre finalement de se retrouver face à cette hibernation , ce temps de recueillement si important en ce retour du printemps , bourgeons en pleine explosion, en un, deux , trois ou quatre temps, comme en cet instant si intrigant, bien évidemment.
Ce temps ayant été si bien rallongé, replié, estampillé , jalonné face à toutes ces mises en scénarios, à chacun finalement de se remettre en doute sur cette route si redoutée par toute une génération ayant eu peine à se saluer à tout instant, en oubliant même sa propre intégralité , délaissant ainsi ce paradis si personnalisé pour y concrétiser ce morceau de château de carton qui au tout prochain tournant aura que le choix de se laisser tomber tellement cette maximisation en pleine procréation se voudra si scintillante , cette chaleur si vivifiée par cette intériorité remplie à pleine capacité ,d’une épisode de larmoiement à l’autre, d’une sortie de roulière à l’autre , à chacun finalement de se remettre en doute sur cette capacité de tout réinventer en un seul et unique claquement de doigté si léger, cette sonorité se voulant bien évidemment de la couleur de ce faisceau si adoré, y transformant à tout instant ce regard si avare de commentaire , d’un simple merci à l’autre, d’un simple clignement de paupière à l’autre , cette remise en 3D si colorée se voulant instantanément renouvelée, pour la plus belle des supériorités enfin si appréciées.
Pourquoi mettre autant de mots par écrits pour une si simple remise en question en ce retour à la maison ?
Tout ceci se veut et se voudra libre à chacun de se permettre de sourire à tout instant ou non, ce qui comme de raison fera de ce moment de sincérité la plus généreuse des opinions, sachant à tout instant que tout ce qui y aura été exprimé, chantonné, galvaudé, détourné, retrouvé là droit devant, cette illustration en 3D ayant comme seul et unique source à convaincre que ce renouvellement de voeu face à cette diversification en pleine expansion , ou non, à chacun de lui permettre d’y exposer ce à quoi, à qui, envers quoi ou envers qui ce tout un chacun aura eu le plaisir d’y exprimer ce privilège de se lever à tous les matins pour y voir plus clair, plus loin ,plus haut et surtout plus large, cette passerelle de tentation ayant comme seule et unique objectif que d’y éloigner temporairement cette sensation si rafraichissante, intérieurement ou extérieurement , ou les deux si bien inclinées sur cette horizontalité, cette pontification à cajoler , après une, deux , trois et même encore plus de compassion face à cette itinérance sans aucune remontrance, instinctivement ou non, à chacun de se permettre de rigoler face à toutes ces occasions manquées de se moquer de ce à quoi toi seul aura reconnu comme le plus heureux des moments à apprécier à longueur de journée ensoleillée ou non, comme de raison.
Pourquoi me redemanderas-tu?
C’est ainsi , du bout des lèvres ou non, infiniment merci à toi, moment d’incompréhension de te permettre à tout instant de semer ce si redoutable moment d’arrivée sur cette ligne si bien tracée, là où toi seul aura si bien voulu la déposer, ne sachant plus par où commencer ou aller, cette participation si réactivée à tout instant par ce soleil si odieux, si prétentieux en soit-il redevenu en ce retour à cette normalisation, cette délimitation ayant succombée à ce niveau de pertinence, cette génération ayant comme seule et unique température à ressentir, cette soif de pouvoir à tout instant y modifier instantanément ce cheminement si percutant, d’un claquement de doigté à l’autre, nul un comme cette suite de choses à déballer tout prochainement , mention d’honneur pour ce survivant si compréhensif, se reconnaissant ainsi comme le plus heureux des coopérants sur ce terreau si inclusif, bien évidemment.
Alors, pourquoi finalement ?
C’est alors que ce prince si charmé par ce temps d’auparavant, celui qui pourtant lui aura permis que de se reposer dans la froideur de cette si belle ardeur, se retrouver tout à coup face à ce soleil si chaleureux, si généreux, se félicitant à tout instant d’avoir continuer ainsi et ce , malgré toutes ces difficultés rencontrées, malgré tous ces sacrements si bien exprimés, malgré tous ces désagréments enfin remisés tellement cette tentation du moment se limitera à se retrouver seul à seul à se questionner sur ce qui y est là , déjà installé avec ou sans talon haut à supporter tellement ce moment de solitude, raccourci ou non, c’est alors que ce temps de plénitude avec ou sans voilure à déplacer , que cette douceur du jour à reconvertir en un si beau sourire au nom même de cette discussion si intimidée par cette reconnaissance dans le silence de cette si belle résidence, infiniment merci à toi, moment de reconversion de votre si belle intimidation, se permettre d’y ressentir ce à quoi tous ces moments de modulation y auront finalement si bien su en faire face à cette tourelle en fer si solidifiée, sur une deux ou quatre pattes si bien ancrés, infiniment merci à toi, moment de retrouvaille, ce maillon manquant enfin retrouvé sur ce terreau toujours prêt à tout y dévoiler en une seule et unique bouffée d’air si inspirée.
Infiniment merci , moment préféré, ce temps de réflexion face à son propre miroitement se distinguant de cette immensité, en toute transparence, qui de toute évidence se résumera en ce si gentil remerciement , intérieurement ou extérieurement, si bien allongé sur cette ligne de temps si bien redessinée, sans sonnerie particulière autre que ce fou rire à entendre ou à écouter tout autour de cette cour si éclatée, cette démesure se voulant enfin libérée, cet attachement si possessive d’auparavant ayant eu vent de ce changement de mentalité en ce retour à cette personnalisation en pleine transformation, comme de raison.
Pourquoi?
La seule et unique question encore possible de remettre en place , se voudra bien évidemment celle que ce tout un chacun aura la permission de supporter ,encore une fois ou non, cette dimension si difficile à mesurer se voulant si facile à observer , intérieurement parlant, bien évidemment, à chacun d’en faire sa propre priorité en ce retour à cette résidence, sans panneau de signalisation autre que ce soleil lui indiquant de sourire un seul et unique instant à la fois, de peur même de devoir succomber à cette tentation d’y faire éblouir ce si beau désir en devenir, cet étirement de tentation qui, tout au long de cette saison de plafonnement , sans comparaison , cette salivation face à ces possibilités infinies fera de cette remise en question que ce si simple moment de discrétion à remettre en 3D , verre d’eau glacée ou non en main, face à cette si belle destination , sans boussole ni console de jeu, que ce souffle de visualisation à remercier , cette occasion si particulière de remettre en place ce plaisir d’y découvrir ce à quoi, à qui, envers quoi ou envers qui toi seul aura eu ce désir de voir sourire, là droit devant, bien évidemment.
C’est ainsi que se permettra de se terminer cet entretien si enfantin, ce moment de vérité se voulant libre à chacun finalement de l’exprimer.
De ton propre moment présent préféré, si souriant, là droit devant, cette résultante enfin exprimée, suffirait-il finalement que de le saluer, tout simplement? … Là est la question !…comme de raison .
Infiniment merci pour toute cette attention ,
De cette anniversaire de renaissance,
Merci, Merci, Merci
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