C’est ainsi , et ce , en toute continuité, nuit après nuitées si bien inspirées, ce tourbillonnement d’auparavant ayant été si bien influencé par tant de diversification, à chacun finalement de revenir comme au temps d’avancer tout librement sans armature ni devanture à nettoyer, que ce soleil y répondant en toute distinction face à ce moment de duplication, comme de raison.
A quoi bon ressentir son propre moment de contemplation ?
C’est ainsi que se promettra d’y divulguer ce qui , de jour en jour , ou non, ce jeu de communication ayant eu vent de faire de son propre moment de synthétisation, cette communion se voulant bien évidemment le sommet à atteindre , intimement, explicitement, comme à cet instant si surprenant, se permettre de recoller tous ces morceaux de ce puzzle qui , bien entendu se verra un jour comme le plus beau des paysages à observer tout au long de cette journée si bien illustrée , cette coloration ayant eu tant de stimulation, intérieurement ou extérieurement, ou ces deux épisodes si bien rassemblées tout au creux de ce milieu si rigoureux, ce coeur d’enfant si affairé , ayant été obligé d’y laissé tomber durant tant d’années si affolées son propre chariot de bricolage débordant de crayons à colorier, cette saveur du jour se voulant bien évidemment libre d’y apprécier cette éventualité enfin arrivée à bon port, à chacun finalement de ralentir un seul et unique instant à la fois, infiniment merci à toi, moment de réconciliation de tout remettre en place et ce, malgré tant de temps à en oublier son propre patron de visualisation, comme de raison.
Pourquoi tant de moment de diversification finalement?
Tout ce qui y aura été mis sous tes pieds, si bien entremêlés de tous ces fils et filons qui parfois y parsemaient tant de différence, cette référence sur cette matière si particulière, communiquant ainsi à sa façon, sans mots ni sons à l’horizon, que ce moment de transparence à apprivoiser sans la moindre particuliarité autre que ce mot à écouter de l’autre côté de ce mur si haut ou muret si facile à arpenter, à chacun finalement d’en faire sa propre réalisation en toute intimité, merci à tous ces moments de comparaison, merci surtout de ta résilience en ces jours de retrouvailles, merci merci merci, infiniment merci à cette rencontre si pécuniaire , ce savoir faire si révolutionnaire, sans énergie à ajouter à cette touche de personnalisation en pleine expansion, là droit devant, comme à cet instant si inspirant, bien évidemment.
Pourquoi me redemanderas-tu?
C’est ainsi que se retrouvera sur ce bout de banc si bien ancré, cette manière si particulière de tout remettre en place , et ce, sans le moindre acharnement, que ce souffle de visualisation à remettre en position de force, cette évidence se voulant bien évidemment si facile à contempler en cette journée si bien répartie de soulagement, d’épanouissement, d’émancipation, de remise en question, tout ceci selon cet ordre du jour, à chacun d’en faire son propre bouillonnement tout au creux de ce lieu si généreux, infiniment merci à toi, coeur d’enfant parfois mis de côté, parfois si bien exploité , à chacun d’en faire sa propre numérisation , rappelant ainsi au bercail ces souvenirs en devenir , ce réchauffement sur cette planète ayant eu comme privilège que de devoir ralentir pour en finir un jour avec ces moments de dureté, si essoufflés finalement ce si haut prétendant à cette recette si vite faite , élaborant ainsi ce retrait de ce jeu si bien régularisé par tant de publications passées à la télé ou imprimées sur papiers glacés, cette démesure ayant eu toute une acclamation en ce début de millénaire si spectaculaire.
En ces mots parfois si difficiles à expliquer, te revoici au seul et unique point de partage ou de départage, se départir de tous ces attachements , ces derniers ayant eu tant de difficulté dans ce passé qui pourtant se voulait , bien entendu, cette invitation à ce moment de retrouvaille, individualité si bien autorisée à l’accepter ou non, à chacun de faire de sa propre destination la plus gentille des maximisation, là droit devant, comme à cet instant si inspiré, seul à seul avec son propre coeur d’enfant si affamé de nouveautés, cette instantanéité y récupérant finalement ce pourquoi d’un comment faire pour revenir au jour un, cette coupure de ruban si bien exécutée, laisser tomber cette alimentation si heureuse enfin de se retrouver, main libre pour le moment, pieds soudés en un autre instant, savoir se reconnaitre comme le plus heureux des coopérants sur ce terreau si bien nourri de remerciement, intérieurement ou non, à chacun d’en faire son propre accouplement, à tout instant ou non, cette remise en situation si inspirante en ce lieu si coloré à longueur de journée.
C’est alors que se remettra en marche cette suite si logique de moments de renonciation, savoir se reconnaitre comme le plus spectaculaire des récipiendaires, sans un sous à déposer ni intérêts si hauts à majorer, que ce souffle de visualisation à prioriser, à installer sur cette boucle de combinaisons à l’infini, à chacun finalement de se permettre de se féliciter à tout instant au nom même de cette tranche de vie, cette vision si bien éclairée enfin aperçu au loin ou non, infiniment merci à toi, trace en faïence si bien imbriquelée que pour mieux durer dans le temps, d’un moment de sincérité à l’autre, comme à tous ces instants à venir ou non, cette démesure serait-elle enfin prête à se jeter du haut de ce fardeau , cette peur d’avancer malgré cette obscurité empreinte de transformation, doigts si effilés décomposant littéralement ces mille et une secondes si secondaires face à cet éclaircissement si influent, intérieurement ou extérieurement parlant bien évidemment.
Pourquoi mettre autant de temps de côté sur ce terreau si invitant finalement ?
C’est à chacun d’en faire son propre raisonement, d’un son de cloche à l’autre, infiniment merci à toi, moment de coopération sur ce terrassement si doux à regarder, si simpliste à cajoler, cette chaleur intérieure y jumelant systématiquement ce qui dorénavant se prénommera comme le plus gentil des miroitements , cette collaboration si insistante ayant débuté au tout premier souffle possible à ressentir, tout en pleurant ou non, infiniment merci pour cette confidence en ce début de millénaire si exemplaire, reculer de temps en temps se voudra libre à chacun de se limiter à son propre moment de contemplation , un seul et unique à la fois, chacune de ces si belles inspirations se voudront finalement si douces à écouter , ces remerciements qui se laisseront toucher du bout des lèvres si bien humectées par cette salivation, cette passion enfin retrouvée en ce début de journée si illuminée.
Tous ces moments déposés de ce côté de cette route , sans pavé ni trous à colmater, que ce souffle de visualisation à remanier sur le retour, ce dernier se voulant libre d’y communiquer finalement ce à quoi, à qui, envers quoi ou envers quoi toi seul aura mis tant d’attention ou non, à chacun de tout remettre en place selon cette régularisation sans bouton à détacher ni blouson à repasser, que cette vulnérabilité à mettre sur son propre pallier, tout là haut ou là bas , sur ce socle lui indiquant d’entrer à l’intérieur de cette cavité qui, de jour en jour se convertira en une cathédrale si bien ancrée, infiniment merci à toi, moment de conversation, celle qui bien entendu se permettra un jour de revenir au tout premier pas si dépassé par une telle simplicité d’allocution, en toute comparaison avec ce souffle de visualisation en pleine réalisation, là droit devant ou sous ses pieds si bien reconnectés à ce fuseau horaire si intriguant, en direct de cette universalité y déclarant instantanément ce qui se manifestera au bout de cette distillation, bouillonnement ou non, à chacun d’en faire sa propre réalisation, comme de raison.
Infiniment merci à toi, moment de vulnérabilité pour ta patience, te persévérance, merci surtout à toi pour cette inspiration de ce moment de conversion, cette étincelle qui un jour, y aura cru ou su, sans y ressentir cette interdiction au nom même de cette individualisation, savoir dire non de temps en temps que pour mieux se permettre de retrouver cette lumière du jour en devenir, cet avenir si incertain par moment se voulant en ce jour de liberté , le plus talentueux des imprésarios , sachant à tout instant que tout ce qui aura été si bien gouverné à l’aveugle se verra un jour si bien glorifié par cette si belle personnalisation entrain d’y découvrir ce si beau désir enfin remis en 3D après tant d’années à avoir laisser tomber ce temps si divertissant, intérieurement parlant bien évidemment.
À toi maintenant de te permettre de tout remettre en place, d’un simple claquement de doigté au nom même de cet émerveillement, là droit devant, avec ou sans éclatement de cette intériorité toujours entrain de tout réinventer, ce coeur d’enfant si enjoué en ce retour à cette normalisation enfin reprogrammé en ce début de millénaire si spectaculaire.
Infiniment merci à toutes ces participations activement influencées par cette si belle immensité si colorée, d’un éclaircissement à l’autre, nul un comme les autres, personnellement parlant, bien évidemment.
À tous ces détournements d’attention, qui auparavant se voulaient libre d’y voir bifurquer ces si belles personnalités si volubiles , si souriantes et ce malgré ce degré de sévérité à l’intérieur même de cette four à buriner , à chacun de faire de ce moment de popularité ce qui, individuellement parlant se verra un jour si scintillant, là droit devant, de haut en bas, de long en large, infiniment merci à toi, expansion en pleine réaction, ce soleil se permettant ainsi d’y faire réfléchir ce tout un chacun au prise avec son propre sortilège, savoir naviguer si léger se voulant libre à chacun ,infiniment ou non, merci merci merci à toi, source si redoutable de te permettre de rigoler en ce début de millénaire si sécuritaire, connexion si bien indexée , du bout de ce doigté si agité.
Merci merci merci, infiniment merci, ce tout dernier moment d’exclamation en y attendant le prochain retour d’ascenseur du haut de ce ciel si bleu, inspiration en cette occasion de retrouvaille, cette maximisation ayant tant de choses à déclarer clôturant ainsi ce discours qui depuis tant d’années de contournement de voudra tout simplement si souriant, intérieurement ou extérieurement, ce ralentissement de tentations en pleine explosion se comparant ainsi à ce jour de réclamation, sans attente particulière autre que ce souffle de visualisation à remercier en tout temps ou non, si incomparable à cet ardeur qui autrefois ne demandait que de pouvoir ralentir que pour mieux y ressentir cet avenir enfin arrivée au bout de son propre souffle, si rigoureux y aura été cette discussion en pleine conversation avec ce si beau moment de duplication, comme de raison.
Infiniment merci,
Le tout si bien décrié par cette si belle intimité si respectée,
Merci Merci merci
De cette éclair qui en plein jour se voudra si foudroyée par cette si belle personnalité,
De son propre sourire t’appréciant tant, bien évidemment.
merci infiniment