A chacun finalement de se servir de son propre talent, celui qui tout dernièrement y aura si bien voulu se remettre en route , sans écchymose ni morosité à profaner, que ce soleil qui en toute profondeur se permettra finalement d’y souligner ce si beau moment de priorisation, avoir passé la majorité de cette journée à parcourir ici et là , sans oreillette comme toile de fond ni oreiller à suggérer à ce moment de tentation, là droit devant, comme de raison.
C’est ainsi, directement ou indirectement, savoir se relever après tant d’années de diversion, écran si miniaturisé proposant ainsi à toute cette attention de quoi se divertir et ce , malgré toutes ces si belles choses au alentour, ce qui de jour en jour y aura parfumé finalement ces moments de présence d’une si belle impertinence.
Ceci ayant été si bien décrit, nous revoici finalement au seul et unique plancher , celui qui dorénavant se permettra tout simplement de refaire de son propre paysagement , la plus jolie des parfumeries, sans effort ni effacement à remettre en avant plan, que cet émerveillement à réinitialiser sur ce pourtour de toute cette amitié si bien rassemblée en ce jour de liberté de sourire à tout instant , comme si tout à coup, ce soleil de plomb se permettait ainsi de remettre à ce lendemain ce retour d’ascenseur , si souriant, là droit devant, bien évidemment.
C’est ainsi , tout en douceur et ce, malgré tant de difficulté si bien annoncée au loin ,merci de remettre en boucle ce réveil si matinal, remerciant systématiquement ces moments à venir, cette énumération de chose à faire ou à se défaire, pourquoi alors avoir mis tant de situations de ce côté de cette route si bien éclairée pourtant, apportant toujours et toujours cette même manière si routinière de se satisfaire de tous ces si beaux articles qui, bien entendu se verront un jour y être remisés face à toute une génération d’éléments si élémentaires à ne plus savoir comment faire pour y saliver son propre moment de satisfaction, nul un comme cet avancement de tentation, encore une fois, là droit devant, bien évidemment.
C’est ainsi , et ce sans le moindre sourcillement, avoir à y complimenter son propre avenir avant même avoir à le saisir au vol au nom même de cette intégrité, y choisir son propre désir que pour mieux le manipuler dans les jours à venir, instantanément ou dans dix ans si bien décomptés, à chacun de tout remettre à cette perspective ce loisir d’y reconvertir cette soie y ressoudant systématiquement ce rêve enfin achevé face à ce miroitement, là droit, bien évidemment.
Alors, pourquoi avoir tant de difficulté à tout remanier?
Tout ceci se veut et se voudra à tout instant , le plus joli des soucis à imaginer avant même cette possibilité de sourire instantanément tellement cette réalité se peaufinera au doigté si léger, de peur même d’y abimer cette surface si étrangère, en toute transparence, qui de toute évidence y commérera ce temps de donation en ce retour à cette modernité si bien décorée, intérieurement ou extérieurement, y remettre en doute ce si redoutable moment de respiration, ce diaphragme si volontaire en tout temps , en toute immobilité ou si arrondi , cette raideur de mâchoire lui transmettant ainsi ce qui, de jour en jour se distinguera de tous ces détournements d’attention, comme de raison.
C’est ainsi que tout ce qui est, aura été ou sera si bien redéfini comme la plus heureuse des opportunités , en temps réellement indissocié de toute cette attention face à cette remise en situation, avoir reconnu cette remise en boucle comme la plus précieuse des orientations, en y attendant cette récompense du jour, cette compression de tous ces resserrements ou d’éclatements, ces sourires d’auparavant, ou non, si inspirants face à une si belle journée si bien illustrée de bande et banderole y annonçant ce raccourci si bien pressenti, intérieurement en tout premier lieu, sifflotant ou chantonnant, tout ceci étant libre à chacun d’y expulser ce surplus d’énergie si bien imposée , à tout instant, bien évidemment.
Pourquoi tant de difficulté finalement?
Ce temps d’éducation se veut et se voudra libre à chacun d’y tracer ce qui, dorénavant ou non, sortir de sa propre demeure si sécurisée, ce coquillage dépourvu de chacune de ces si belles images, repartir au point zéro que pour mieux y redessiner finalement ce ralentissement de tentations, d’un simple souffle de visualisation, ce qui comme de raison y fusionnera ce moment de valorisation à une image se démarquant littéralement de cette association de faits et gestes si routiniers, à en oublier ce feu si ardemment allumé depuis tant d’années, respirer si fort aura toujours et toujours cette capacité d’y faire diverger ce regard si avare de commentaire en ce retour à cette normalité enfin retrouvée en ce début de route si bien éclairée.
En réponse à ce questionnement, avoir à se retrouver un jour face à cette intériorité, ce coeur d’enfant toujours et toujours aussi curieux de nouveautés, passant d’un simple sourire à un éclatement de rire, ce festival qui auparavant se voulait si intrigué par tous ces jeux de mots et de modestie, infiniment merci à toi moment de concentration de faire de cette si belle intégration la plus heureuse des mobilisations, en toute discrétion, comme de raison.
Comment faire pour avoir à se retrouver face à cette si belle duplication ?
A chacun de se permettre de s’arrêter un seul et unique instant à la fois, ressentir cette sensation qui en plein jour y convertira systématiquement ce moment d’arrestation en un éclaircissement à contempler, merci de suivre et de poursuivre cette si belle voix, celle si bien entendu tout au creux de ce lieu si bien cultivé de fleurs si colorées, merci de te permettre finalement de revenir au tout premier creux de cette vague d’évolution, et ce, malgré ce nombre d’années d’éducation, ce nombre de diplomation, ce nombre de portes d’entrée à cette si belle demeure, tous ces si nombreux moments de perfectionnement se compareront un jour à cette rivalité qui de jour en jour y mesurera automatiquement ce nombre de jours passés à trébucher sur cette route si prononcée, cette inclinaison ayant eu tant de temps à proposer en attendant ce retour à cette capacité de tout réinventer en un tour de main, d’un simple doigté ou d’un simple claquement de doigts , cette entrée dans cette matière si particulière se voudra pour chacun cette mission de vie à remettre au pied de cette souche si bien ancrée , si inspirant finalement cette nature morte ou non, à chacun de se permettre d’en profiter tout au long de cette journée si bien débutée par ce remerciement , si influent, bien évidemment.
A chacun finalement de tout remettre en place, tout au creux de ce milieu si effréné ou comme en ce moment si insistant qui, comme de raison y commèrera systématiquement à tous ces doigts si effilés, ces derniers se voulant bien évidemment profiteurs , maximisant ainsi chacun de tous ces moments de fraternité avec cette si belle illustration, là droit devant, comme à cet instant si percutant, individuellement, bien évidemment.
C’est ainsi que tout ce qui aura à faire face à ce moment de tentation, avoir le loisir de tout consommer d’une seule et unique bouffée d’air ou profiter de ce moment d’exagération qui de long en large, de haut en bas, de si loin ou de si près aura à se démesurer à tout instant à chacune de ces si belles manières de savourer cet élément y déclenchant systématiquement cet épanouissement , ce rêve d’enfant enfin persuadé de pouvoir y afficher chacun de tous ces temps de remerciement si simplement, sans arrière goût à camoufler ni mauvaise allure à insinuer, que cette complicité à remettre sur pied face à tant de moment d’expansion, là droit devant, les pieds si bien énergisés par cette universalité entrain de clavarder avec ce souffle de réalisation, baguette magique y soulignant que ce temps de participation se voudra enfin orienté sur ce parcours si bien décoré, si réfléchissant finalement cette intériorité sur cette toile si bleue, couleur préférée de tous ces amoureux de cette visibilité enfin proposée.
C’est alors que tout se remettra sur cette marche ayant permis d’y élever ce roi ou cette reine qui, auparavant se devait de plaire à ce voisinage, récoltant ce médaillon au cou ou ce collant si bien installé dans le coin supérieur de ce cahier d’apprentissage, tout ce temps passé à y écouter cette revendication aura eu gain de causette sur cette mission de persuasion, d’un pas si léger après tant d’années d’efficacité à en oublier son propre moment de comparaison, comme de raison.
Infiniment merci à toi, soleil y récupérant systématiquement chacune de ces si belles discussions, à chacun finalement de se permettre de tout y déclarer et ce, sans la moindre limitation, comme quoi, y encadrer son propre environnement y transformera cet avenir en devenir en une incapacité de sourire , ce signalement à rechercher à tout instant et ce, malgré cette longueur ou cette hauteur de cette marche à enjamber, ces ponts en fer forgés se voudraient-ils finalement si bien inspirés par cette procréation si difficile à étaler sur cette place si publicisée, merci merci merci à toi, moment de récupération de faire tous ces taux de fer marqués de rouge ou de blanc, si anémique aura été ce pas si léger , implication à temps partiel face à ce sourire si évident , là droit devant, bien évidemment.
Pourquoi avoir à y retrancher chacune de ces si belles surfaces de jeux pour y retrouver un jour ce parcours si bien éclairé?
À chacun de faire de son propre cheminement le plus précieux des commandements, un jour ce tout un chacun aura à se retrouver face à cette si belle mimique du jour ou non, ce temps d’arrêt , maladie ou autre pour y faire prononcer en retour ce remerciement si polyvalent, et ce ,quelque soit cette couleur de peau, cette épaisseur de liasses si bien accumulées, ce pourquoi d’un comment faire de sa propre universalité y avouant finalement ce à quoi, à qui, envers quoi ou envers qui ce tout un chacun y aura mis tant d’attention , ce retour d’ascenseur si bien illustré ayant appris par erreur tout au long de ce contournement , bien évidemment.
Infiniment merci à tous ces temps d’arrestation, cette gestation en direct de cette universalité y transposera ce plaisir de pouvoir sourire à tout instant en une citrouille si colorée toujours prête à y laisser tomber ce fragment de participation au fur et à mesure , ou non, et si tout à coup ce rêve si éveillé devenait si bien imité à longueur de journée ?
Un énorme merci à toutes ces si belles personnalisations en pleine phase de commémoration, si bien endormie tout au creux de ce fauteuil se transformant en ces temps de regénération en un élément de décoration à l’extérieur même de cette cavité en 3D au seuil même de cette porte entrouverte ou non, à chacun de se permettre d’y laisser couler quelques larmes de temps à autre pour y lubrifier cette barrière entrain de se laisser tomber.
Un tout dernier merci à toi, moment de rencontre si sécurisant, ce signal si personnalisé se voudra à tout instant libre de fonctionner ou non, au nom même de cette intimité à imaginer entrain de se lever à tout instant sourire aux lèvres face à toutes ces occasions , cette infinité possibilité d’y accrocher cette manière d’y refléter cette face cachée si bien exposée.
Courir en tout temps après son propre bonheur aura eu tant de temps à libérer pour cette orientation qui un jour se détournera de toutes ces possessions ou accumulations, à chacun de se permettre de voyager léger en tout temps au nom même de cette sincérité entrain de tout remettre sur pied.
Se reconnaitre comme le plus grand coopérant à cette société si bien endossée fera de ce rassemblement si important un des évènements des plus souriants, comme à cet instant si séduisant , bien évidemment
Merci à toi pour ta détermination, ce retour au bercail aura à y initier ce qui fera de ce moment de revirement le plus poli des miroitement , là droit devant , bien évidemment.
Merci Merci Merci à cette infini toujours aussi inspiré par tant de finalité.
De ton propre moment de départ sur cette ligne si bien déplacée de l’autre côté de cette rigolade si bien exprimée.
Infiniment merci
A un autre lendemain
Merci