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Ce pourquoi d’un comment

C’est ainsi et ce, en toute modération, survivre à un tel désagrément surplantera dorénavant ce moment de  présence si récalcitrant, ce qui bien évidemment se peaufinera au tout prochain tournant,   cette duplication qui bien évidemment se distinguera de tous ces éléments vus et entrevus tout récemment, ce temps de ralentissement se voulant libre à chacun de le manipuler selon son propre rythme de résolution, comme de raison.

Pourquoi un tel déploiement ?

Tout ceci se veut le jeu de cette réalité, celle qui de jour comme de nuit se parfumera de chacune de toutes ces imitations ou représentations, avoir à se reconnaitre comme cette éternité si particulière, ce flocon si léger toujours prêt à se déposer pour y ressentir finalement cette tendresse du jour au beau milieu de ce  choeur si chaleureux, cette corrélation y synthétisant littéralement cette marque d’affection face à cette démesure en pleine reconstruction, cette éducation dépourvue d’une si belle socialisation ayant fait de cet oeuvre si adoré le plus talentueux des prétentieux sur cette surface de jeu , cette remise se voulant bien évidemment la plus polyvalente des imprimantes en 3D, par mesure de sécurité,  ce qui bien évidemment se voudra libre d’y imbriqueler ces moments de tentations, un par-dessus l’autre, nul un comme cette surface si miroitante , allons-y pour ce moment si véritable en cette remise en donation, 2018 ayant été si bien prénommée véritable divulgation en ce retour à cette mission de vérification, comme de raison.

Pourquoi avoir autant de moments de tentations à mettre de côté?

Tout ceci se veut et se voudra libre à chacun de se permettre de sourire à tout moment, comme à cet instant si insistant, cette  instance de complémentarité ayant eu tant de difficulté à se mesurer à cette inégalité parfois projetée, parfois manipulée par cette instabilité bien évidemment, avoir appris à respecter toutes ces si belles consignes à en oublier son propre projet si individualisé, pourquoi finalement avoir tant envie de se comparer à ce miroitement , celui qui, auparavant se voulant libre de se limiter à cette évaluation, collant si bien installé dans le coin droit ou gauche , cette démarche ayant reçu ce premier anniversaire à ne plus savoir comment faire pour se satisfaire de sa propre universalité, tel que proposé dès ce premier regard si amoureux, ces yeux si maternisés face à ce numéro enfin sorti d’un je ne sais où tellement ces étirements de ligaments en auront fait toute une douleur si vivifiée par une telle humilité.

Pourquoi avoir autant de moments de tentation à prioriser ?

C’est ainsi, et ce , en toute proximité, avoir à tout remettre de ce côté de cette rigolade, cette dernière ayant eu tant de difficulté à se relever de ce berceau qui dorénavant se voudra fier supporteur , monter si haut pour retomber un jour, ce moment d’indifférence se voulant bien évidemment libre de se buter à cet environnement, ces jugements si  valorisés, cette surcharge de choses à faire ou à se défaire , toutes ces si belles authenticités à retrouver un jour, ce moment de vérité se voulant bien évidemment si dure à  absorber tellement long aura été cette mission de visualisation à réorienter, intérieurement parlant bien évidemment.

En cette journée de détournement, ce dernier étant si important en ces temps de détermination, avoir à se retourner que constamment pour y vérifier cette expansion en pleine résolution, pourquoi finalement avoir eu tant de temps de disponible pour y simplifier finalement cette mise à jour de cette priorisation en pleine évaluation de la part de cette répartition en pleine expansion, avoir à  recueillir tant de largesse, de sagesse,  de liberté d’expression, de remise en question, pourquoi remettre à redouter de son propre moment de duplication à longueur de journée, cette désertification ayant eu comme exemple à en indiquer finalement que tout ce qui aura, est , sera ou bien deviendra cette réalité en  toute extériorité l’aura été si bien fécondé implicitement , intérieurement en tout premier lieu, sensation du moment, dilatation en un autre temps, résurrection si surprenamment de cette énumération en toute maximisation, comme de raison.

Pourquoi mettre autant de sauce autour de cette annuaire pourtant si libre de se laisser tomber, à tout instant, avoir eu le plaisir de se découvrir de toutes ces couches si lourdes à supporter, pourquoi finalement se permettre de tout laisser aller que pour mieux avoir à respirer tout librement, tout doucement, ce faisceau si libérateur venu de cette source si énergisante, comment faire finalement pour le laisser entrer par cette porte de ce côté qui, auparavant se voulait si difficile à entrouvrir, cette éducation si individualisée ayant eu comme commandement de faire de son meilleur participant de cette société le plus précieux des étudiants à diriger au fur-et-à-mesure ou non, à chacun finalement de remettre en boucle cette discussion si spontanée, regarder à longueur de journée ces si belles images si bien manipulées que pour mieux en inspirer cette société en panne sèche de création, pourquoi avoir cette envie folle de remettre sur cette glace cette discussion en phase même de ridiculisation, avoir à ouvrir son propre présent si enjoué que pour mieux y réaliser ce qui, bien évidemment se voudra si bien valorisé , sans le moindre dépouillement ni dépaysement, que ce moment de caresse à prioriser face à cette immensité y perpétuant finalement ce temps de tentation tout au long de cette initiation , jouer en tout temps à chercher par où est allé se camoufler ce moment de vérité, si facile un jour de sortir de  sa propre tanière pour y savourer cette authenticité enfin suggérée à cette communauté si colorée.

Pourquoi avoir autant de talent si simple à divulguer?

Ce jour de vérité se veut le plus grand des tourbillonnements à remettre à cette individualité, alors pourquoi avoir tant de talent à remettre en avant en ces temps de divertissements, là droit devant, ces écrans de jeux si miniaturisés y transformeront tout prochainement , ce temps ayant eu sa propre revanche en y installant son propre campement sur ce côté de cette rivière coulant tout librement , sans effort à y mettre ni ressort à comprimer, que cette élimination de médicaments à mettre de côté un jour pour revenir à cette remise en liberté de ce cheval se bataillant avec son propre écran, là droit devant, bien évidemment.

Pourquoi avoir à mettre à jour ce dénombrement en ce moment de retrouvaille?

Ce jour ayant été si bien décompté , pourquoi avoir à surmonter tant de montagnes si rusées ou porte manteau si surchargé de si bonnes volontés, tu auras à faire face un jour à ce si beau retour à cette liberté d’y exprimer haut et fort ce à quoi toi seul aura eu le plaisir de découvrir , seul à seul avec ce si bel environnement si bien promu pourtant, se retrouver flambant nu, tombé de ce nuage qui, bien évidemment se voulait si rafraîchissant , à l’ombre même ce cette lumière si expressive en ces temps de netteté enfin remise en avant plan, là droit devant, bien évidemment.

Pourquoi avoir autant de moments de tendresse à supporter?

Un jour tout ce positivisme se permettra que de remettre en saturation cette couleur de mobilisation, cette dernière ayant connu tant de moments de courage et  de rouage à apprivoiser, savoir réapproprier son propre élément de sécurité se fera dans la plus juste des expression, sans discussion particulière autre que cette  remise en positionnement de  ce miroitement à improviser avant même en observer cette immensité le dupliquant , tout précipitamment ou non, à chacun de s’en faire son propre rayonnement, là droit devant, comme à cet instant si précieux en ce lieu de commémoration, comme de raison.

Pourquoi avoir à se questionner sur sa propre évaluation ?

Sous estimer sa propre valeur intérieure se voudra bien évidemment la plus injuste des optimisations,  avoir à succomber à ce si beau désir de fertilité, instantanément ou non, infiniment merci à ce tout un chacun de se permettre de mettre de côté tous ces apitoiements d’auparavant, tous ces râlements si exigeants, toutes ces si belles mimiques du jour si inspirantes , toutes ces recommandations si succulentes de cette partie  de cette joute de poker qui, de jour en jour y laissera tomber tous ces attouchements , du bout des lèvres ou non, ce doigté si léger à menoter que pour mieux le conserver au chaud, apprendre à ralentir un seul et unique instant à la fois fera de cette nouvelle intégration la plus heureuse des démocratisation à remettre en avant plan, là droit devant, bien évidemment.

Sous estimation , ai-je entendu?

Bien évidemment aurais-je répondu de la bouche de cette rebellion, souriant comme en ce moment si précieux, au ralenti sans le moindre mot à dire autre que ce remerciement si récurrent, y nettoyer son propre clavier avant même avoir à  clavarder avec ce pourquoi d’un comment se satisfaire de son propre miroitement, intérieurement , là droit devant, comme à cet instant  de présence si insistance, souriant comme le ferait un enfant au moment même où celui qui, bien évidemment le retrouvera à  ce lieu même de ce recommencement, cette boucle en arrondie ou non, cette infinité de possibilités à prioriser, saluant ainsi cette intégrité ayant eu tant de difficulté à se prononcer sur ce parquet si bien orienté sur cette possession si bien éclairée, extérieurement, bien évidemment.

Pourquoi finalement?

Ce simple mot à dire et à redire, en toute persévérance et ce, malgré ce degré d’incompétence, ce niveau de transparence , ce manquement de tolérance face à toutes ces mise en scène qui un jour  y détermineront ce roulement de tambour que pour y indiquer que cet apprentissage se terminera un jour par ce si beau détournement d’attention , cette dérision si particulière , cette comparaison face à cette autorité qui, bien évidemment y proposait  que de si belles recettes si vite faite, ce  bonheur instantané se retrouvant à tout instant, intérieurement avant même avoir à en profiter, tel un projet de société à remettre en priorité, en toute légalité.

À ce tout un chacun en panne sèche d’épanouissement, merci de mettre en avant plan ce visage si souriant malgré tant de difficulté à départager avec ce voisinage  sans plumage ni mise en cage de plumeau qui, dorénavant y nettoiera bien évidemment cette simplicité si bien obstruée de poussière, si longue aura été cette  rééducation à remettre en question,  comme de raison.

Avoir à succomber  à son propre retour  à  cette réalité si facile à réinventer, d’un simple claquement de doigt, pourquoi mettre autant d’effort à bien vouloir lui suggérer une autre plage de  rebondissement sur ce lieu si amoureux de cette indication si particulière, merci merci merci, cette image de marque pour cette environnement si  bien autorisée de ces temps-ci à devoir remettre directement ce à quoi, à qui, envers quoi  ou envers qui cette si belle attention si bien individualisée aura apporté tant de difficulté ou de moment de sincérité à déverser dans ce coffre à en récolter finalement son propre dû, merci à cette itinérance de refaire de ce si beau commentaire la plus sécuritaire des retombées à longueur de journées ou non, infiniment merci à ce tout un chacun de toujours faire de son meilleur jour la plus heureuse des amoureuse au cou même de cette sédentarité si bien approuvée par cette collectivité qui, visiblement ou non, répondra à tout instant à cette prière enfin entendue au loin en ce matin si silencieux, infiniment merci à toi, moment de ralentissement si important pour moi, intimement ou chaleureusement  parlant, merci d’en faire cette si belle étoile à contempler à longueur de journée, ce soleil se prévalant de son propre pouvoir si discrétionnaire à ne plus savoir quoi en faire de si beau savoir faire si révolutionnaire, et ce ,sans aucun commentaire à émettre ni ticket d’infraction à compromettre tellement cet enchantement de ce moment de contemplation se voudra, bien évidemment le plus scintillant des revirements, là droit devant, instantanément ou non, à chacun de se permettre de saluer sa propre position sur cette lignée de comportements, bien évidemment.

 

Merci, Merci, Merci, trois simples mots à remettre en boucle pour la meilleure des réalités à apprécier

 

À toi maintenant d’y proposer à cette réalité ce à  quoi toi seul aura à supporter ou à apprécier, te revoici au pied de cette égalité si bien  orienté sur cette mission de visualisation, comme de raison.

Infiniment merci à cette réinitialisation, comme de raison,

À chacun de s’en faire son propre rayonnement, bien évidemment,

De cet élan de chasteté, dans le  plus grand respect de cette individualité

Merci pour cette si belle loyauté

Le tout si bien décrié par cette universalité …pourquoi  pas   s’offrir ce luxe d’en profiter ?

En toute régularité,

Merci

 

crédit photo: pixabay

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