C’est ainsi , et ce en toute modernité, se retrouver tout à coup face à chacune de toutes ces si belles mesures de représentations, médaillon au cou ou capuchon en pleine effervescence à projeter, à chacun de se permettre de rigoler au nom même de sa propre exploitation si sécurisée, cette source de retenue serait-elle parvenue enfin à y laisser couler ce qui de jour en jour se peaufinera en toute complémentarité avec ce prince si charmeur, ce coeur d’enfant si bien installé tout autour de cette tablée dépourvue d’une si belle limitation, à chacun de s’en faire sa propre chanson, comme de raison.
C’est alors que se permettra de rêvasser à tout instant cette possibilité d’avancer tout en souriant que constamment , comme au bon vieux temps à trébucher, à se relever, à retomber, à se mesurer à son propre élan de dispersion, à chacun de se permettre de remettre en route ce qui de jour en jour se verra au tout prochain tournant , là droit devant ou comme tout récemment, sous ces pieds si bien soudés à ce terreau si fertilisé, serait-il possible de revenir au jour où moment de présence et source de revenu s’assemblent pour récolter finalement son propre dû?
Tout ceci se veut et se voudra à tout instant libre d’y accumuler ce qui, tout au creux de ce milieu si rigoureux, ce fond de casserole à récurer ou ce plafond si haut à observer, à chacun sa propre façon de se permettre de tout remettre à ce lendemain , cette accumulation d’information ayant eu toute une frousse en ce passage à cette minorité, alors comment faire pour y délier finalement ce cadeau si bien attaché au pied même de cette porte si difficile à entrouvrir, ce cadenas ayant toujours eu cette possibilité de se laisser tomber après tant d’années d’interprétation sur cette planche à en dessiner sa propre sensation, intérieurement parlant en tout premier lieu , extérieurement en un deuxième temps d’appréciation, à chacun finalement de se permettre d’y laisser échapper ce soupçon de persuasion , à ne plus savoir par où commencer, alors serait-il temps d’y découvrir tout simplement cette fleur si asséchée au fond même de ce jardin pourtant si humidifié, cette larme d’auparavant se voulant bien évidemment à l’image même de ce cadeau d’anniversaire à apercevoir au loin en ce réveil si matinal, ce soleil remettant ainsi en 3D tout ce qui lui aura été mis à sa disposition pour la plus juste des superpositions, comme de raison.
À chacun finalement de se permettre d’y entraver ou de souligner cet accord contresigné au tout premier baiser avec cette si belle réalité, ce passage si renversant se voulant libre d’y transmettre ou d’y omettre quelques recommandations, ce départ sur cette ligne de visualisation se voulant bien évidemment si bien encré, à chacun de se permettre de la déplacer à sa guise, selon ce rythme de régularisation, selon ce rythme de visualisation, selon ces mythes et mitaines à rencontrer tout au long de cette route , celle où éducation et remise en positionnement se verront un jour y communiquer cette manière si particulière de reculer que de quelques pas en arrière, se regarder à tout instant nez à nez , les yeux dans les yeux, embrassant ainsi son propre miroitement, à chacun finalement d’y savourer cette sensualité, cette douceur du jour à contempler à longueur de cette journée si enivrée de particularités si bien proposées par ce participant si intéressé finalement à y reconnaitre son propre talent de vulgarisateur, ce remerciement si influent face à cette éternité toujours aussi excitée de pouvoir rêver à son propre déploiement, comme à cet instant si exigeant, pour la majorité des habitués à y écourter son propre plaisir de sourire intérieurement ou non, à chacun d’y redessiner sa propre voiture en métal blanc ou si bien endossé à ce moment de récupération, comme de raison.
Pourquoi mettre autant de mots pour une si simple expression?
Tout ceci se veut la plus jolie des comédies à se remémorer, d’un jour à un autre lendemain, serait-il possible de se permettre d’y encourager sa propre distinction que pour mieux y faire découvrir finalement ce qui lui sera possible d’y rassembler, ce coeur d’enfant si fervent de tous ces vents y renouvelant systématiquement cette visibilité , cet embrouillement d’auparavant se voulait-il finalement si fier collaborateur de cette rumeur du jour , celui si bien décrié par tant de religions si légitimes soient-elles, infiniment merci à cette loyauté d’y valoriser finalement ce qui de jour en jour se voudra si douce à écouter en ce retour à cette résolution en 3D, à rapprocher ou à empocher, ce soupçon de divulgation étant en tout temps libre d’y apprivoiser cette tourelle si bien éclairée de l’extérieur , se sentir si bien protégé par autant de détecteurs et directives se verra un jour si dépourvu face à une si belle présence en toute ressemblance avec cette intériorité entrain d’y déballer finalement ce coupon de participation à ce banquet à ciel si ouvert sur cette mondialisation, à chacun et chacune de lui remettre ce remerciement qui lui reviendra au centuple, ce coeur d’enfant lui offrant ainsi ce loisir d’y rejeter cette difficulté que pour mieux y apprécier ce côté si positif se tenant au beau milieu de cette main si détendue, à chacun finalement de se permettre de remettre en boucle ce moment de dérision ou de se permettre d’y relancer ce premier jet de procréation, infiniment merci d’y saluer son propre moment de représentation , le tout premier indice ayant été diffusé en réaction à ce sourire si alléchant pour cette couleur si bleue , se permettre de tout remettre en 3D lui vaudrait-il un simple applaudissement de temps en temps ?
A quoi bon d’y poursuivre cette discussion, tout ce qui restera à voir et entrevoir tout prochainement se voudra bien évidemment libre à chacun de l’imaginer ou de le retracer, cette perte si consciencieuse se permettant même d’y souligner cette force ou cette faiblesse, selon ce rythme de respiration, si douce finalement après tant d’énergie à répandre , physiquement ou non, à chacun de se permettre de relaxer à chaque occasion qui lui sera possible , cet étourdissement d’auparavant, ce sifflement à l’oreille , cette présence si insistante se voudrait-elle au bout de son propre parcours, à chacun de rêver à son propre dévoilement, selon ce code d’émancipation à retrouver au fond même de ce bac d’eau salée ou non, infiniment merci à ce tout un chacun de se permettre d’y découvrir son propre présent si adoré au beau milieu de ce jardin si sécurisé, y laisser passer ce soupçon de lumière que pour mieux y faire réfléchir ce qui de jour en jour se voudra à tout instant libre d’y exprimer cette si belle intimité, ce soleil lui révélant instantanément ou non, cette manière si particulière d’y projeter en accéléré en temp réellement si provocateur, à chacun de lui tendre cette première flamme , cette duplication d’information, ce sourire si récalcitrant vu au travers de ce vitrail entrain d’y transformer cette intériorité toujours prête à y propager cette soif de liberté et ce, à toute heure du jour , en fonction ou non , ce carillon si séduisant à écouter à l’approche même de ce tournant si intrigué par autant de moments de diversion, comme de raison.
Si cette tendance se maintenait ainsi , à bout de souffle ou au bord de cette ruine, cette terre si généreuse se verrait un jour se permettre de devoir ralentir son propre rythme de diversification, à quoi bon alors d’y écourter cette ligne d’affluence si de jour en jour cette discussion se verrait à tout jamais y retenir ce souvenir en devenir, d’un lendemain à l’autre, nul un comme cet anniversaire de naissance à célébrer à tout instant, si souriant ce célébrant y promettant ce retour de cette délivrance, à chacun de se permettre de le recevoir comme le ferait ce si bon vouloir, ce pouvoir de diligence remis en concurrence à tout instant avec cette résilience , si pertinent de s’arrêter un seul et unique instant à la fois que pour mieux y valoriser finalement ce privilège de pouvoir y confectionner son propre cadeau à déballer tout prochainement, tout en souriant que constamment , bien évidemment.
Infiniment merci à toi, moment de remerciement pour cette diligence, avec ou sans cet accordéon, avec un ou trois accords à son arc, cette couleur si vivifiée par autant de sincérité se voudrait-elle un jour se limiter à y scinder en une multitude de longueurs d’avancement ou non, à chacun de se permettre finalement d’y découvrir son propre moment si solennel, que ce soleil regagne sa propre grandeur de diffusion, à raison de une , deux , trois ou plus de pas en avance, se permettre de rêvasser de temps en temps à son propre miroitement si souriant fera de cette nouvelle génération de participants, un monde à contempler à tout instant, comme en ce moment d’orientation à l’intérieur même de cette si belle résidence dépourvue de cette si belle intransigeance, de tout évidence.
Merci Merci Merci, … trois simples mots à dire et redire, tout doucement ou non, tout en souriant au nom de cette nomenclature entrain d’y voir évoluer cette façon de faire, d’une intériorité à une immensité, revenir pour y remettre en perspective ce désir d’y découvrir ce débordement d’information, sans mot à dire autre que ce rallongement si attentif , cette oreillette ayant eu comme privilège d’y écourter cette discussion face à ce silence si retentissant, intérieurement parlant, bien évidemment.
Serait-il venu le temps de discuter tout librement de sa propre généralité?
Cette générosité aura été à tout instant libre de se propager, à chacun finalement de se permettre d’y relancer cette marque de commerce, ce sourire généralement si apprécié par tous ces habitants et habitations, à ciel ouvert, à coeur ouvert, à chacun de se permettre d’y prioriser ce qui de jour en jour se promènera tout en sautillant , ce coeur d’enfant enfin libéré de tous ces liens et liasses de papiers ou de métaux si lourds à transformer, cette modernisation serait-elle parvenu à y rassembler à cette tablée du jour , cette référence et ce vétéran , à chacun de se permettre d’y proposer ce décor si délicieux, ce gâteau d’anniversaire se voulant bien évidemment si beau à regarder au loin ou à déguster avec les deux mains si bien entremêlées à ce tout un chacun, merci merci merci d’y respecter cette limitation si bien imposée, à chacun d’y déplacer cette démarcation qui ne demande qu’à disparaitre face à autant de commentaires si positifs, si jouissif finalement ce retour à cette résidence et ce , en toute récurrence.
Pour terminer sur cette note si musicale, merci de faire de ce réveil si matinal le plus porte manteau que cette génération aura un jour le privilège de rencontrer, à chacun finalement d’y privilégier cette remise en doute ou en route, que ce soleil remette en boucle ce réseau de rencontre, à tout instant ou non, à ce tout un chacun d’y remaquiller cette soif de liberté de la couleur qui lui permettra de la maximiser, infiniment merci à toi, moment de receueillement, y accueillir ce souvenir en devenir avant même y avoir pêcher cette première prise fera de ce retour à la maison la plus souriante des concurrentes, ce jeu de cache-cache ou de passe-passe fera de ce moment de récupération la plus généreuse jamais rencontrée depuis cet appel au calme, cette intériorité ayant été si étourdie par tant de développement, son propre dévoilement ayant maintenant que cette tentation d’y voir revivre cette capacité de s’arrêter de temps en temps pour y observer au loin ou non, cette visibilité à peine voilée tellement cette horizontalité aura été reconnue de toute pièce, si théâtrale finalement ce moment de dispersion en direct de cette douche d’eau glacée ou non, que ce tout un chacun se remette à rêver ou rêvasser, selon son propre bon vouloir, selon son propre rythme d’évaluation, selon tous ces jalonnements à rencontrer ou à écourter, infiniment merci à toi, simple source de retenu, merci surtout pour cette nuit passée à y tricoter finalement ce qui se verra entrer en scène lors de cette levée de bouclier, ce soleil se voulant toujours aussi fier d’y voir ouvrir ces yeux si émerveillés face à cette journée à peine débutée.
Que ce soleil se permette de réfléchir de temps en temps, ces moments de discussion dans le réconfort de cette si belle forteresse intérieure se verra un jour dans l’obligation d’y divulguer cette recette de ce succès instantané, infiniment merci pour cette écoute si attentive , à chacun de lui permettre d’y voir grandir cette vision si enfantine, ce souvenir d’autrefois ayant su y propager ce sens de responsabilité à chacune de ces si belles individualités.
Merci merci Merci à tous ces coups de minuteries, d’un moment de présence à une autre écoute si bien sélectionnée et ce , tout au long de cette journée si bien illustrée.
Le tout si bien décrié par cette remise en route de cette facilité d’y imprimer son propre billet de participation, comme de raison.
Infiniment merci,
A toi maintenant d’y faire tourner cette roulette si rusée, d’un porte bonheur à une autre source d’émerveillement , bien évidemment.
De cette tournée si généralisée,
Merci infiniment