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En toute sincérité

C’est ainsi, avec ou sans agent de protection, que ce soleil se rappelant à tout instant son propre serment si bien étudié, ce dernier lui ayant été si bien desservi par  tant de moments de diversification, si perdu finalement ce paysan si bien éduqué face à cette manière si révolutionnaire de se parfaire une si belle vision , nocturne ou non, à chacun de se démaquiller  que pour mieux y revenir tout souriant malgré cette force si attractive , ce précédent se voulant si stimulant intérieurement parlant bien évidemment.

C’est alors que se commettra ce tout petit doigt si bien élevé, redemandant systématiquement par où aller en ce débordement d’information, cette nature si inspirée par tant de générosité de cette partie de cette personnalité qui, de jour en jour  y peaufinera finalement ce ralentissement si attendu , cette performance si bien acquise ces tous derniers temps , avoir appris à courir si vite après son propre bout de chemise que pour mieux la retrouver à cette étape de cette vie si bien tracée par cette itinérance en ce lieu si rigoureux, ce coeur d’enfant ayant en main cette baguette si magnétisée que pour mieux lui rendre cette grâce , en 3D par-dessus tous ces superflux accumulés , cette maison si bien décorée ou ce manteau en toile si bien tissé, imperméable à apporter  que pour mieux y ressentir cette larme laissé tomber sur cette route si difficile à contourner , interprétation ainsi faite , tête si relevée ou non, à chacun finalement de se permettre d’y voir réfléchir son propre désir en devenir , là droit devant, comme à cet instant si percutant ou tout prochainement  au tout prochain tournant, bien évidemment.

C’est alors que se permettra de revenir au jeu, cette réaction en panne d’inspiration, ce ralentissement se voulant libre à chacun de l’apprivoiser, solenellement ou non, selon son propre rythme de révolution, selon ce  cycle de respiration se laissant bercer de tous les côtés, à chacun d’y rejeter ce premier caillou que pour mieux y apercevoir finalement ce qui de jour en jour se distinguera de ce moment de représentation sur ce terreau si animé de ces jours-ci, cette fleur du jour ou cet océan y démontrant  tout simplement cette soif de pouvoir y respirer tout librement cette flagrance  parvenu d’un je ne sais où particulièrement, cette ressemblance ayant prédominance sur ce paquebot mis à l’eau au tout début de ce parcours de vie pourtant si bien établi.

Pourquoi alors avoir à se contenter que de cette si belle visibilité si rapprochée?

C’est ainsi que débutera cet enseignement si inspirant, se savoir libre d’y réactiver ce qui de jour en jour  se retrouvera à cette tablée débordante de si belles activités, en temps réel  et en instantané, nous revoici actuellement entrain de rêvasser à ce jour où tour de magie et sourcillement se demandant tout simplement comment faire pour arrêter cette synchronisation, si facile  aujourd’hui de se retrouver face à cette élévation , en 3D ,  déclinée en une multitude de similitudes, cette universalité se voudrait-elle enfin libre d’y exécuter  celle ou celui qui lui aura tout simplement  lancer ce premier jeton de jeu, ce sourire aux lèvres se voulant bien évidemment si inspirant pour cette maitrise à peine surprise de pouvoir y relancer en toute intégralité ce qui lui aura été possible de rassembler instantanément, bien évidemment.

Pourquoi avoir eu tant de difficulté à y arriver,  ce point de départ pourtant si bien attaché à cette intériorité toujours aussi enjouée malgré tant de débordement de désinformation, malgré tant de douleur si bien installée à l’intérieur même de  ce vaisseau si parsemé de doutes si redoutables, à chacun  de se permettre de ralentir un seul et unique instant à la fois par mesure de compréhension ou d’appréhension, à ce tout un chacun merci de refaire le tour de ce jardin si bien arrosé , cette larme du jour qui au tout prochain contournement se voudra libre d’y humidifier ou de se transformer en cette montgolfière si colorée à transposer en tout similitude à cette intériorité au coeur si léger, cette eau gazéifiée se voulant bien évidemment si énergisante face à autant de moments de ralentissement, ce feu si articulé ayant en main cette capacité si particulière de remettre au jeu cette liberté d’expression, en toute spontanéité pour la meilleure des personnalités.

C’est ainsi que se verra au loin cette intégralité entrain de marcher tout doucement, main dans la main avec ce coeur d’enfant si excité à tout instant, se retrouver ainsi face à cette communauté si renfermée, si protégée, avançant à pas de tortue , si rutilant ce cheval blanc se mesurant à tout instant à ce paquebot  y illustrant finalement cette limitation ou cette illustration tant appréciée, à chacun de se permettre d’y mesurer cette hauteur de talent , latent ou non, cette personnalité aura-t-elle un jour cette décision à prendre, en son nom, malgré tant d’années à avoir tant travailler, malgré tous ces médaillons au cou lui rappelant tous ces effacements sur cette si belle ligne du temps, à chacun finalement de se retrouver flambant nu face à sa propre itinérance, cette interdépendance se voulant bien évidemment libre d’y laisser couler autant de tapage ou de prototypage, se permettre de lui dire tout simplement merci de temps en temps que pour mieux y retenir finalement que ce côté si positif de cette expérimentation , ce passé si dépassé par autant de simplicité d’exécution, ralentir son propre moteur au côté si givré, tellement chaud aura été cet été de retrouvaille  sans le moindre vent à affronter ni moment  de présence à revendiquer, que ce souffle de visibilité à réintégrer , tout doucement pour l’occasion, à chacun finalement de revenir comme auparavant, tout souriant avec ce coeur d’enfant si enjoué, et ce, à longueur de cette journée si internationalisée, cette intégration ayant eu tant de raccordements à satisfaire par mesure si autoritaires à se défaire, merci merci merci à cette infinie projection, merci surtout pour cette si belle rebellion, ce milieu si intériorisé à enfourner que pour mieux y ressentir finalement cette résultante en 3D, prête à être savourer ou cajoler, infiniment merci à toi, moment de relaxation de revenir au sommet de cette route, celle si appréciée par tous ces voyageurs aux yeux si émerveillés, chantonnant ici et là à ce bonheur ainsi retrouvé au pied même de cet escalier  où unique barreau se permettra que de faire le premier saut , de si haut soit-il rendu cet acharnement à s’attacher au tout premier banc ou banquise, à chacun d’y laisser entrer cette chaleur si réconfortante , libérant systématiquement ce sourire sincèrement si influencé par autant  de liquidité, d’un porte-bonheur à l’autre cruchon d’eau à ingurgiter face à ce si haut taux de satisfaction, comme de raison.

C’est ainsi, face à autant d’émerveillement, je vous saluerai à tout instant, moi, simple moment de synthétisation, me reconnaitre comme maitre du jeu ou comme simple initiateur se voudra un jour si révolutionnaire pour cet acteur ou actrice entrain de cartonner ou de réaliser cette première ligne d’écriture, cette page blanche se voudrait-elle si facile à apprécier en ce retour à cette liberté d’expression, à chacun de se permettre d’y attraper ce qui de jour en jour se dessinera au doigt face à cet oeil si aiguisé, ce temps d’auparavant ayant perdu tant de plumage face à cette environnement y questionnant à tout instant par où est-il passé ce coeur d’enfant si enjoué,  aurait-il été oublié ou négligé au tout premier passage, cette jeunesse qui un jour aura été rémunérée pour y apercevoir au loin cette médaille de bravoure, seul à seul avec son propre miroitement, là droit devant, comme à cet instant si insistant, à toi maintenant de refaire cette route inverse pour y retrouver cette branche ou enbranchement , celui qui aura suffit à y détourner cette si belle marque d’affection à ce terreau si exténué de ces jours-ci, merci merci merci à toi, coeur d’enfant enfin remis sur son propre pied de soutènement, infiniment merci pour tout ce temps passé de ce côté de cette route pourtant si bien éclairée, merci de te permettre d’y pardonner cet appétit, cette démarcation aura-t-elle un jour ce loisir de se divertir en toute transparence, si loin et si haut cette visibilité se permettrant  finalement de refaire surface , mettant ainsi tant de profondeur à cette intériorité si fragile à recoller, merci à tous ces remerciements à venir , merci de ralentir de temps en temps , le temps nécessaire à discuter de  tous ces souvenirs antérieurs ou à venir, à chacun de se permettre d’y transmettre cette désolation face à tant de détérioration, un simple claquement de doigté face à autant de sourires si sincères y influenceront systématiquement ce moment de complémentarité entrain de se repositionner , là droit devant ou intérieurement, ou tout ceci en au même diapason, comme de raison.

Tout ceci te semble un peu trop beau te redira-t-on ?

Infiniment merci d’y remettre en place cette récompense, cette réponse à tous ces appels revenu sans résonance, cette confiture si asséchée ayant perdue tant de vitalité ou ce porte-manteau si habitué à y suivre et poursuivre cette objectivité, infiniment merci à toi, moment de récitation, ce remerciement à dire et redire, tout doucement en un premier temps, se réapproprier ce qui de jour en jour se pavanera en toute liberté, coeur d’enfant ayant appris à se volatiliser , plume en main pour y chatouiller cette oreillette, ce sifflement se voudrait-il ce signalement à devoir ressentir , cette marque d’affection aurait-elle eu ce privilège de se faire si belle , pourquoi tant de pourquoi finalement face à autant de similitude, cette chevelure si heureuse enfin de pouvoir ainsi se laisser balancer au vent , y laissant ainsi échapper cette énergie parvenu de cette base si bien ancrée, à chacun de se permettre d’y retrouver cette allégresse face à ce vent de nouveauté et ce, à  longueur d’année décousue en une multitude de possibilités d’y exprimer cette satisfaction si individualisée, à chacun de se permettre de rêvasser à son propre  cadeau d’anniversaire si bien emballé, ce coeur d’enfant se voulant libre d’y enlever cette première couche le protégeant  de cette froidure , à cette page couverture, merci de te permettre d’y encrer ce passage si intéressant pour cette itinérance dépourvue de cette si belle ingérence.

C’est ainsi , face à autant de simplicité, je me permettrai de rigoler, de rivaliser avec ce moment de sincérité, de marcher droit devant et ce, malgré tous ces questionnements d’auparavant revenu sans réponses particulières autre que cette sensation de satisfaction à remettre en opposition avec toutes ces si belles perceptions du temps, se permettre de se retrouver en eau trouble de temps en temps se voudrait-il si périlleux pour cet amoureux de visibilité à retrouver , cette réflexion ainsi faite aura-t-elle un jour ce privilège d’y récompenser cette soif de rire et sourire à tout instant , cet île  à répertorier  sur cette mappemode ou monde, à chacun de se permettre de se balader du matin au soir face à sa propre projection si bien intitulée au nom même de cette liberté si assoiffée, à chacun d’y apposer son propre sceau d’authenticité, infiniment merci à toi, moment de reconnexion de te permettre instantanément d’y laisser décoller toutes ces étiquettes au front même de cette solidarité à cette communauté toujours aussi solidaire et ce, malgré tous ces savoir faire à étudier selon son propre code de sédentarité.

Infiniment merci à toi, moment de ralentissement si satisfaisant, y consommant tout simplement que ce rythme de respiration , inspiration ainsi faite pour y recevoir ce qui de jour en jour se dessinera au nom même de cette vision enfin retrouvée, y relançant ainsi à cette extériorité , exprimant  ce qui en un autre jour ou moment présent ce qui, tout en expirant ce qui se  voudra libre d’y confectionner ce qui y aura été ressenti ou préssenti comme étant devenu cette priorité à apprivoiser au tout prochain tournant ou non, infiniment merci à tous ces cycles de résolutions, à chacun de se permettre d’y rassembler avec une si belle agilité, dansant comme le ferait ce coeur d’enfant, bras en l’air y démontrant à cet éclatement du moment ce qui se mesurera en longueur, en largeur ou en profondeur, à chacun de se permettre d’y déplacer cette barrière qui dorénavant se positionnera au doigt et à l’oeil, à chacun de se divertir de la façon qui lui redonnera ce plaisir de respirer tout librement, sans pression intérieure ni  prix de consolation à suspendre, que ce bonheur d’y insinuer à cette immensité ce qui de jour en jour se peaufinera comme étant redevenu ce rêve d’enfant en 3D, en toute proximité et tout ceci en toute légalité, sans droit de regard sur ce bouton de réaction, sans plafond ni coffre en banque à emprisonner, que cette rivalité en toute sincérité à écouter ou écourter, ce langage si universalisé se voulant bien évidemment si difficile à prononcer ou à expliquer, un seul et unique mot suffira à y condenser chacune de ses si belles images, un énorme merci à la fois ou plusieurs si bien alignés , cette phase d’éducation se voulant bien évidemment si bien ancré pour cette population si attachée à tant de propriétés si bien décorées.

Infiniment merci à toi, moment de concertation, merci d’y simplicifier ce tout premier mot à dire et redire en tout temps ou face à cette occasion si personnalisée, à toi maintenant de faire de ce moment de rencontre cette facette du jour, si éblouie finalement d’y apercevoir ce point d’exclamation venir au loin ou se tenir droit debout ,  là  sous ces pieds si bien ancrés à ce terreau si énergisé, infiniment merci à tous ces moments de reconnexion, à chacun sa façon de faire de sa propre destination la plus sincère des réalisations , ce retour à cette mission de visualisation se voudrait-il si onéreux pour tous ces épargnants y recomptant à tous instants ce montant si bien accumulé, ce temps perdu ou tous ces revenus  se comparant systématiquement, bien évidemment.

A chacun de se permettre de se savoir si courageux, se permettre de se retrouver sans le moindre sous , cette liquidation qui se voudra enfin libre de se laisser tomber, si minime soit-elle redevenue cette marque de comparaison avec son propre voisinage, cette discussion si sécurisée avec sa propre intériorité se voudra-t-elle enfin retenue à  cette source  si privilégiée, infiniment merci de revenir comme au temps d’avancer tout en trébuchant tout simplement , se relever à tout instant sourire en avant plan se verra un jour y reconvertir cette permission de pouvoir se réjouir instantanément de cette amitié si appréciée par cette révolution en pleine expansion, infiniment merci à ce tout un chacun pour ce soulagement ayant comme but cette improvisation au coeur libre et léger , transformant montagnes si rusées en un buton si facile à arpenter, sans essoufflement ni ronflement, que cette facilité d’y exprimer sa propre vision de cette chose entrain d’y dévoiler  cette intériorité en 3D, ce tableau de visualisation ayant eu comme privilège de s’inspirer de ce ralentissement si chancelant, bien évidemment

A toi maintenant de faire de ce détournement d’attention le plus beau des palmarès jamais enregistrés, se savoir libre d’y enlever cette première souche que pour mieux y ressentir ce coeur d’enfant parfois si exténué, parfois si enjoué, à toi seul de  faire  de cette première cour cette pièce si parfumée de flagrances si facile à transformer en une multitude de colorations, de solidifications, à chacun de se permettre d’y  composer cette première touche de départ, cette page blanche se voulant à tout instant disponible pour y recevoir cette demande sans attachement ni agent blanchissant, que ce soleil se voulant si empressé d’y reconvertir cette recommandation en une mesure si difficile à mesurer mais si facile à embrasser ou embraser, à chacun de se permettre d’y allumer cette première mèche, feux d’artifice pour l’occasion, sans prix à payer autre que ce coup de vent y dévoilant cette transparence face à autant d’évidence, cette énumération de synchronicités ayant comme seul et unique but d’y signaler ce qui de jour en jour  y transportera à tout instant ce voyage si coloré de fleurs si bleues, blanches ou rougies pour l’occasion, à chacun de s’en faire son propre bouquet d’anniversaire face à ce si beau savoir faire si révolutionnaire en ce temps de détournement d’attention ,cet écran si miniaturisé ainsi pressurisé cette première envolée, cet émerveillement ayant su y disposer ce qui de jour en jour se voudra  un autre détour à apercevoir, ce magicien de ce mot à dire et redire ayant eu cette tendance à y disperser tout ce savoir en y attendant ce retour sur cet investissement si intéressant, intérieurement parlant , bien évidemment.

Infiniment merci à toi, dévoilement si intriguant, merci d’avoir omis de temps en temps d’y voir opérer cette intériorité en si bonne santé malgré tout ce temps  d’intimidation ou de remise en question, se comparer à tout instant à ce si haut taux de salaison, à cette assurance collectivement si chère payée, à toutes ces mascarades si bien costumées, à ce tout un chacun , cette journée de retrouvaille se voudra à tout instant digne d’être célébré de la façon qui te conviendra, de la manière qui te recentra, tout ceci ayant été si bien décrété au tout premier souffle de vitalisation, cette respiration si douce ayant été retrouvée en ce début de millénaire se comparant à tout instant à ce revers de cette poche si bien déposé au beau milieu de ce jardin si coloré, infiniment merci  à toi  , moment de divulgation de toujours et toujours y rejeter tout ce qui te sera possible d’émettre comme commentaire, merci pour tout ce plaisir de te réjouir  de cette possibilité d’y remercier ce référent sur cette matière si belle,  à ce tout un chacun, bon anniversaire au travers de tous ces commérages à écouter ou non, à chacun de suivre cette si belle ligne si bien tracée, là sous tes pieds nus si pétillants, incapable de s’arrêter d’y prononcer ces remerciements si influents, intérieurement ou extérieurement, ou si bien réunis sur ce diaporama, bras dans les bras de cette nouveauté qui à ce jour se verra à tout instant si libérateur pour tous ces coeurs se détachant de tous ces liens et liasses si lourdes à transborder de l’autre côté de ce mur si élevé, à chacun de se permettre d’y insinuer ce qui de jour en jour  se voudra si inspirant pour ce soleil en pleine possession de cette si impressionnante personnalité, infiniment merci à toi, si solonnel soit-il, coeur d’enfant enfin libéré , sourire comme au bon vieux temps et ce , sans attachement ni impression à mimer à cette jovialité, que cette résolution en pleine expansion se permettant de remettre en boucle ce loisir de se divertir au beau milieu de ce champs de miroitement , mire ou charbon comme cadeau de retrouvaille,  seul ce sourire aux lèvres y balancera de l’autre côté  ce poids si engagé depuis tant d’années d’enfourchement , se sentir si libre enfin de pouvoir y retrouver sa propre image y clarifiant instantanément cette eau si vivifiée aura en tout temps ce si précieux temps d’y absorber cette matière si limpide , gorgée par gorgée, y délaissant cette accoutumance de devoir y consommer cette ration du jour si bien mesurée,  à chacun d’y recalculer cette distance ou cette programmation à écourter ou non, tourner en rond tout autour de son propre bouton à réaction aurait-il été à effacer sur ce microsillon si facile à égratigner .

En un seul et unique mot, infiniment merci de faire de ce moment de sensation la plus explosive des réalisations, y apercevoir au loin cette luminosité entrain de se préparer à toutes ces festivités se voudra un jour se concentrer en une communauté si heureuse d’y partager ce talent si particulier enfin retrouvé au bout de cette ficelle si flexible au nom même de cette montgolfière se laissant ainsi emballer par autant de chaleur et d’amitié, ce coeur d’enfant ayant appris si facilement à y projeter sur  cet écran si bleu ce qui de jour en jour se distinguera de cette société si recentrée sur son propre déploiement, un certain temps  d’adaptation se voulant nécessaire à ce si beau savoir faire, vaut-il mieux toujours rêver en grand, bien évidemment !

Merci , Merci, Merci…trois simples mots à condenser à l’intérieur même de cette résidence si indépendante en ce temps de réconciliation si généralisée, à chacun de se retenir auprès de cette falaise , si haut finalement aura été maximisé ce mur d’escalade par ce figurant en pleine réaction à cette opposition, se permettre de se lancer sans voilure ni devanture se voudra un jour si révélateur pour chacun de tous ces coeurs d’enfants si émerveillés, jouer avec cette roulette si rusée à longueur de journée se proposant comme seul et unique source à apprivoiser, seul à seul ou non avec son propre bouton à y réactiver cette immensité si fière enfin de  pouvoir coopérer à cette expansion, d’une communauté à une autre association avec sa propre impression , là droit devant   ou comme à tout instant, directement sous ces  cieux  si bleus, ce ciel se voudrait-il si révérencieux sur cette terre lui redonnant le goût d’y chantonner ce premier air de musique , celle que ce tout un chacun aura le plaisir de déclarer comme ayant été entendu tout récemment, bien évidemment.

Tout ceci se veut et se voudra libre à chacun de se permettre de faire de cette surface de jeu la plus justifiée des remises au jeu, à chacun d’en profiter selon sa propre candeur du moment, bien évidemment.

Le tout si bien décrit de la main de ce magicien de ce mot à dire et redire, ce tableau de visualisation reprenant cette première place après tant d’années à y observer ce si beau déploiement, sans prédisposition ni remise en question, que ce réalignement se fasse sans étirement de temps, cette mesure de tentation ayant convenu répondre systématiquement à  cette demande si individualisée, à chacun de se permettre de se rappeler de ce tout premier rapport si imposé, ce numéro de connexion ayant été si bien souligné au tout premier jet de procréation, comme de raison.

Merci à tout instant d’y suivre et poursuivre cette si belle impression,

De ton propre talent latent te demandant à tout instant de lui proposer cette première poignée de main,

A ce sourire aux lèvres qui te revient,

Ton propre talent si particulier enfin retrouver,

Merci infiniment ,

crédit photo: pixabay

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