C’est ainsi , et ce avec ou sans précision, à chacun finalement de se permettre de se retrouver face à ce moment de contemplation, celui qui comme de raison lui aura si bien enseigné tout au long de cette journée si ensoleillée, ce face à face à affronter du matin au soir, à chacun de tout simplement y remercier tout ce temps d’arrestation en son propre nom ou non, comme de raison.
Tout ceci se veut simple illusion?
Tout ceci se veut et se voudra simple source d’inspiration, ce jeu sans limite de temps, sans mesure ni démesure, tout ce temps passé à avoir ainsi oublié de le remercier lui aura valu tout ce temps de réception en faveur de ce retour à cette raison de fuir ou de réunir sur le même balcon chacun de tous ces propriétaires de cette mission de visualisation, en temps réellement indissocié de ce regard au travers de ces yeux si émerveillés, en un seul et unique claquement de doigté si léger ou tout en souriant intérieurement ou non, à chacun sa propre raison d’y voir de plus en plus clair en ce retour à cette normalité si bien alimenté par cette permission d’y inscrire présent à chacune de toutes ces si belles occasions, comme de raison.
Tout ceci se veut un peu trop permissif?
Tout ceci se veut et se voudra à tout instant libre d’exécution , libre d’abandon selon ce si beau cycle d’acceptation, selon tous ces selon d’auparavant, ceux qui comme de raison y auront mesuré avec une telle précision la longueur d’ondulation autorisée face à une telle objection de projection, à chacun de s’offrir cette luxure en toute légalité et ce, sans limite de tentations ni remise en question, comme de raison.
Est-ce possible de revenir que de quelques pas en arrière en ces temps si étourdissants extérieurement?
Ces rythmes et rituels se verront un jour redevenir au goût de cette actualité entrain de se balancer du matin au soir en direct ou non, à chacun de se proposer comme simple agitateur de mouvement , intérieurement parlant bien évidemment, tout ceci se comparera tout prochainement à ces vents si violentés ou ces moments de tension tout autour de ce si beau canal de télévision, à chacun de se frayer son propre chemin face à cette remise à nu, cet intrus dans cette vie se voudra bien évidemment cet invité à recevoir du matin au tout dernier souffle si bien éveillé à cette tranquillité intérieure, cette mer ou cette marée à retenir en cage aura fait tant de ravage sur ce terreau toujours aussi réceptif en ce tournant de remise en question, comme de raison.
Comme de raison se verra dorénavant redevenir simple interlocuteur de tous ces coeurs d’enfants, si simple de tout simplement y écouter ce message qui de jour en jour se peaufinera au nom même de cette amitié enfin retrouvée en toute profondeur , infiniment merci à tous ces moments si charmés par cette stimulation intérieure, à chacun de se limiter à un seul et unique instant à la fois, tout ceci ayant été si bien proposé au tout début de cette levée du jour magasinant ainsi son propre cadeau d’anniversaire face à ce si beau savoir faire.
Comme de raison, tout ceci se voudra libre d’y être apprivoisé, à chacun de se permettre d’y récolter sa propre commande d’épicerie, cette moisson enfin informée que ce talent latent si attentif à tous ces changements de tonalité, infiniment merci à ce tout un chacun si charismatique, à chacun de se remettre sur pieds après toute une enjambée, ce parcours pourtant si individualisé se voudrait-il un jour si aplani ou en fer forgé, à chacun d’y réaligner sa propre cible d’affectation en ce retour à ce temps si régularisé au nom même de ce distributeur de si bonnes valeurs intérieures, colorant ainsi ce paysagement de ce sourire si enlevant, bien évidemment.
Se voudrait-il finalement que ce temps de coopération se lie enfin au main même de cette si belle recette du bonheur?
Tout ceci se veut et se voudra simple jeu de mots à dire et redire, à chacun d’y remercier du matin au soir cette éducation qui à sa façon y aura si bien su y persuader tout doucement cet itinérant qui , sans mesure particulière ni lumière à activer, que ce souffle de visualisation à animer que pour mieux y apercevoir au loin cette impression enfin prête à se laisser surmonter tellement ce mur ou cette muraille de protection y aura si bien su avancer au nom même de cette instruction lui demandant d’y délimiter ce si beau territoire pourtant sans contrainte de conception ni manque de diffusion, comme de raison.
Se pourrait-il que chacune de ces si belles questions aboutissent un jour à ce retour sur cette voie d’exploration?
Un jour , tout ce qui sera possible d’y être imaginé se voudra si facile à concevoir tellement cette sensation de mouvement intérieur se verra en plein jour à y cajoler son propre moment de bonheur, à remanier son propre mouvement extérieur à l’image même de cette improvisation venant du fond de cette rigueur, infiniment merci d’y apercevoir au loin cette touche de projection en fonction ou non, à chacun de se permettre de l’enfoncer, avoir appris à peser sur son dos tout ce fardeau d’auparavant, ce moment de ralentissement lui demandant tout simplement d’y ressentir ce plaisir d’y retenir son propre souffle après tant d’essoufflement sur cette si belle ligne de temps , bien évidemment.
En de si simples mots à dire et redire, infiniment merci à toi, si belle heure d’ensoleillement, cette tombée du jour y dédicaçant cette toile qui en toute profondeur se voudra libre d’y être modifiée , cette heure de réveillon ayant été si bien insufflée de si belles expressions durant cette journée dépourvue ou non de complimentation face à cet environnement lui ronronnant à l’oreille de devoir ralentir au tout prochain tournant face à ce mur à escalader de haut en bas ou de long en large, à chacun de le redessiner à l’image même de cette compréhension face à autant de moments de satisfaction, comme de raison.
Précédemment se voulait-il si important finalement?
Effectivement te redira ce moment de recueillement, cette résistance ou cette si belle évidence se permettront à tout instant d’y alimenter cet éclair si géniale ou non, à chacun de lui tendre sa propre main si adroitement, sans tension ni relation à améliorer, que ce souffle de vitalisation à apprivoiser d’une simple respiration à une autre secousse si secondaire, intérieurement ou non, à chacun de se laisser libre de rêver à longueur de cette journée se distinguant de tous ces moments passés à penser ou à dépenser, cette entrée et cette sortie de route ayant comme seule et unique objectif que de se retrouver tout prochainement face à une autre pause où questionnement et moment de présence se limiteront à y remercier finalement tous ces détournements d’attention , transformant ainsi cette source de réunification en une marée haute en pleine possession de son propre moyen d’émerveillement, là droit devant, bien évidemment.
Qu’à cela ne tienne finalement ce brin de fil si relatif, serait-il possible un jour d’y voir ce courant y alternant systématiquement en un mode intérieur pour se terminer sur ce mur où projection sans aucune protection y diffusera en temps réel cette incapacité d’y arrêter ce sourire aux lèvres , si intriguant finalement de pouvoir un jour se limiter qu’à y proposer son défilement si réellement indissocié de cette personnalisation à peine capable d’y embraser à tout moment son propre retour d’ascenseur en cette heure sans limite de dispersion, comme de raison.
En d’autres mots, impossible y sera redevenu cette mission de persuasion à contourner tellement cet enchantement de ce moment se voudra si facile à embrasser , à chacun de se permettre d’y encercler au crayon de plomb ou non cette signature si personnalisée sur ce tableau en pleine expansion, libre est enfin redevenu cette si belle personnalité entrain de se permettre d’y souligner tout ce qui lui aura permis d’y enregistrer tous ces titres et sous-titres , cette pagination y reflétant si intimement chacun de tous ces moments de laisison si stressants, intérieurement parlant , bien évidemment.
A chacun de se permettre d’y rassembler ce temps passé à trébucher tout en y mijotant ce parcours suivant et à suivre tout en souriant à belles dents bien évidemment, seul celui qui se permettra d’avancer sans le moindre souci ou sourcillement se verra un jour remercié à son tour pour cet accueil si retentissant, infiniment merci de te permettre de rêvasser à tout instant , le temps qu’il te faudra, cette nécessité de respirer au ralenti se veut-il simple dénonciation à remettre en question finalement ?
Tout ceci se veut libre d’y être exploité, en toute sincérité selon ce méritas reçu au tout dernier tournant , si maladif cette manière de courir de plus en plus vite pour y accumuler tant d’expérimentation, comment se fait-il que cette communication arrive un jour à y recevoir ce médaillon de bravoure, infiniment merci à toi moment de recueillement, merci de toujours et toujours y annoncer ce retour à cette liberté d’expression , pouvoir à tout instant y inspirer ce si bel environnement si rapproché, ce gardien si bien informé de tous ces changements de sensations y ouvrira cette porte d’entrée si bien éclairée à chacun de tous ces invités à cette fête si particulière, à chacun de se présenter sous son meilleur tour de taille, impossible d’y cacher son propre moment d’ensoleillement, intérieurement parlant, bien évidemment.
Serait-il un peu trop optimiste ce langage si particulier?
Si ces cent trente dernières années se sont même permises d’y imiter toutes ces populations au prise avec son propre tourbillonnement d’information, alors ces cents prochaines années se permettront-elles d’y réinitialiser ce plaisir d’y observer au loin cette immensité lui demandant que de la respecter tout simplement ?
Tout ceci se voudrait-il cette conception intérieure à percevoir comme si prioritaire pour ce si beau révolutionnaire?
Ce courant intérieur ayant été toujours supérieur à toutes ces annonces sur cette rapidité de distribution , sur cette flexibilité de reconnexion, sur cette réduction annoncée dans chacune de ces revues si bien illustrées, à chacun de se permettre de remettre sur son propre socle la plus judicieuse des solutions à en mesurer instantanément cette si belle profondeur, à chacun de se permettre d’y annoncer son propre retour à cette actualité sur écran géant, cette réflexion ainsi faite pour y apercevoir en 3D tout ce qui y aura été possible d’y projeter selon ce si beau langage intérieur, quel bonheur de pouvoir à tout instant offrir ce bouquet de fleur y transformant cette tache de fond en une si belle source de chaleur, y alimenter ainsi son propre écran de jeu pourrait-il un jour y abaissé ce si haut taux de taxation ?
Tout ceci ayant été si bien transposé en de si simples mots à dire et à redire, à chacun de se permettre de rigoler face à tous ces moments de sincérité, un jour tous ces moments de satisfaction y collectionneront cette pierre angulaire si prétentieuse, ce coeur d’enfant ayant en main cette clé du bonheur à redécouvrir de toutes ces couches et sous-couches, à chacun de se permettre d’y soulever toute cette poussière si bien accumulée tout au creux de ce milieu pourtant si bien informé de toutes ces manières d’y relancer son propre couronnement en un seul et unique instant à la fois, à chacun d’en profiter au maximum tout en sachant que ce retour d’ascenseur se mesurera à tout instant à cette capacité d’y apprécier sa propre étoile, en plein jour durant cette nuit si bien inspirée par tous ces moments de démonstration prioritairement démontrés par toutes ces façons de faire de son propre savoir faire, d’une simple pause à une autre possibilité d’y remercier cette infinité possibilité de sourire instantanément, bien évidemment.
Serait-il parvenu à y être exposé ?
Cette personnalisation en temps réellement si particulier , se savoir libre d’y élaborer son propre environnement tout en souriant que constamment ou tout en relaxant tout en y observant au loin , cette notion de temps ou de tentation se voulant bien évidemment sous-entendu face à autant de dissolution , instantanément ou indifféremment, à chacun finalement de se réapproprier son propre élan de dispersion en ce tournant si séduisant, volontairement ou non, à chacun d’y remanier cette si belle proximité tout en y auscultant ce passé si difficile à recenser intérieurement au nom même de cette expérimentation, cette obligation ou cette acceptation enfin provoquée par une simple touche d’attention, comme de raison.
Pourquoi avoir à toujours y repenser?
Tout ceci se veut et se voudra libre à chacun de se promener face à ce vent si rafraichissant, perdu dans sa propre universalité au travers de ce communiqué lui renotant systématiquement que son propre moment de sonorisation se limitera qu’à une seule et unique trousse de maquillage, celle qui lui appartiendra du tout début de cette promenade sur cet aire de jeu si bien illustré selon cette si belle remise en donation si personnalisée, à chacun de tout remettre à ce lendemain, celui qui se permettra de tout simplement faire de ce meilleur jour la plus belle des interprétations à remettre de ce côté de cette route pourtant si impressionnée par autant de possibilités d’y exprimer cette si belle individualité.
Cette permission finalement serait-elle au bout même de cette ficelle débordant de cette si belle recette?
Ce bonheur à retrouver un jour au beau milieu de ce porte manteau déguisé en un je ne sais quoi au juste tellement cette diversification lui aura enseigné à y redessiner si rapidement cette demande si particulière, à chacun de toujours et toujours se permettre de s’arrêter un seul et unique instant selon son propre rythme de réalisation, seul à seul avec son propre moment de représentation à l’affiche à tout instant, comme en ce temps où rythme cardiaque se mesurera à cette si belle dimension y réclamant vers où, vers quoi , envers qui ou envers quoi cette rigolade de ce moment se reflètera finalement , en toute similitude avec ce si bel environnement lui répondant instantanément , bien évidemment.
Quelle est cette recette du jour finalement?
A chacun de se permettre d’y résumer en une seule et unique journée, ce qui lui sera possible d’y être imaginé au tout prochain tournant ou non , cette longueur de temps se voulant bien évidemment libre d’y être projeté successivement ou en temps réellement absorbé par tant de complicité , cette sincérité ayant compris tout récemment à y divertir à sa façon cette horizontalité qui de jour en jour y construira , pièce sur pièce ou brique après brique, tout ceci se voulant libre à chacun de se reconnaitre comme cet artisan de paix sur ce terreau si énergisé, cette terre si heureuse enfin de pouvoir y représenter cette intensité enfin retrouvée à l’intérieur même de cette maison si bien décorée aux couleurs de ce coeur d’enfant y redessinant sans y penser , à doigt levée ou non, à chacun de se permettre de revenir à tout instant sur cette ligne de départ , y écoulant ou écourtant cette notion de tentation , comme de raison.
Quelle est cette recette finalement?
Tel qu’entendu au tout premier segment de vie, tout ce qui y sera entendu intérieurement se verra un jour redevenir cet avenir en devenir, si souriant ou si accablant, infiniment merci à ce tout un chacun de se permettre d’y réclamer cette première pièce de monnaie en échange de cette nomination tout en haut de cette tourelle qui en toute permanence y balancera de tous les côtés ces instances de divorce ou de rassemblement, à chacun d’y initier cette réunion au beau milieu de ce lieu de culture toujours aussi sécurisant pour cette si belle initiation à ce rituel se voulant bien évidemment enfin libre d’y saluer sa propre étoile filant à tout allure sur cette route lui permettant de s’arrêter de courir comme à cet instant , bien évidemment.
Ralentir serait-il parvenu à se faire ressentir?
Bien évidemment te répondrait ce si généreux coeur d’enfant si étourdi depuis tant d’années de tourbillonnement, cette sonorisation y récupérant tout ce qui lui aura été possible de résumer en une seule et unique compression, ce ballon si léger ayant comme seul et unique personnalité , ce souffle courant après cet arrêt au puit, 5, 10 ,20 ou encore plus d’essoufflement pour arriver un jour au bout de son propre parcours lui proposant d’y modifier cette allure si échevelée, à chacun de se permettre de ralentir un seul et unique instant à la fois, infiniment merci d’y remercier à tout instant ce moment de centralisation au beau milieu de ce lieu si rigoureux, vouloir aller toujours plus loin avec les moyens au bord de ce gouffre qui de jour en jour se redessinera au doigt et à l’oeil si aiguisé, cette perception de cette chose si difficile à provoquer face à autant de diversification proposée en instantanée sur ces écrans géants ou si miniaturisés, y comparer à journée longue cette démarcation en tout temps transformée par cette si belles dimension si éloignée ou non, ce coeur d’enfant y questionnant à tout instant comment faire pour y voir plus clair au travers de ce mur si embué, cette remise en doute ou en route de cette résolution y arpentera si facilement cette assiduité à pouvoir toujours et toujours y persuader son propre étirement y écoutant attentivement chacun de toutes ses mesures si égalitaires sur ce terreau si solidaire.
Pourquoi se permettre de ressentir son propre soupir finalement?
Tout ce qui se voudra libre d’y être expulsée au sommet même de ce tourbillon en pleine transformation, à chacun d’y soutirer ou d’y souligner tout ce qui de jour en jour se distinguera de toutes ces si belles indications ou recommandations, cette conformité ayant comme seul et unique objectif au loin ou en lecture rapprochée que ce si beau retour à cette réalité en pleine dualité avec ce moment de compassion ou de comparaison, avoir appris à tout instant à toujours mettre de ce côté de cette route si bien éclairée par ces projecteurs y annonçant successivement que ce temps de diversification se résumera un jour à ce retour à cet aboutissement si inspirant, à chacun d’y dessiner son propre environnement au gré de ce séjour tout autour de cette résidence si secondaire en ce temps de détournement d’attention , comme de raison.
Est-ce possible de voir revenir ce si beau sourire en devenir en un simple claquement de doigt?
Bien évidemment te répondra ce temple si renommé par cette si belle proximité, avoir à tout instant cette capacité de reculer au nom même de cette personnalité entrain d’y apercevoir au loin son propre rêve d’enfant ou imaginé sur ce tableau vertical ou horizontal, à chacun d’y mesurer son propre émerveillement sur cet écran si bleu par mesure de sécurité, seul à seul avec son propre miroitement à remercier du matin au soir, à chacun de se procurer sa propre étoile sur cet étirement de tentation, là droit devant ou sous ce soleil si réconfortant, bien évidemment.
Alors, pourquoi avoir à mettre autant de temps pour arriver un jour à se retrouver face à son propre mur si durement aligné ?
Tout ceci se veut et se voudra libre à chacun d’y éliminer ou corriger cette si belle originalité , se savoir libre à tout instant d’y exprimer haut et fort selon son propre échelon sur ce tableau ou échiquier , infiniment merci de toujours et toujours se balader tout en souriant que constamment, comme à cet instant si inspirant pour cette universalité entrain d’y réaligner ce sourire en devenir avec cette personnalité si émerveillée , ces yeux si éclatés le démontrant , littéralement ou intégralement, infiniment merci à ce tout un chacun d’y saluer cette lueur du jour à réclamer à tout instant, libre y sera ainsi redevenu cette intimité à l’intérieur même de ce si beau paysagement si intrigant finalement.
A tout instant , libre est celui qui se permettra de réunir sur cette tablée si bien orientée sur cet éblouissement, infiniment merci à toi pour cet ensoleillement qui se voudra si réducteur de consommation à l’image même de cette introduction par infraction sur ce terreau à peine remis de tous ces chamboulements si persistants, à chacun d’y déclencher cette première rafle de pierres si durement ramassées tout en y prononçant ce remerciement si inspiré par ce retour à cette liberté d’allocution , comme de raison.
Infiniment merci à toi, moment d’arrestation d’avoir ainsi mis à tout instant disponible cette illustration en 3D, cette source de divertissement se limitant à tout instant d’y diluer cette si belle diversité que pour mieux y ressentir ce moment de concentration , intérieurement ou extérieurement , ou les deux les bras entrelassés, infiniment merci pour ce réveil y révolutionnant ce temps d’assermentation sur ce parcours y rapportant tant de moments de rassemblement, bien évidemment.
Infiniment merci à chacun de toutes ces participations à cette actualité offrant tant de superflux d’activation, comme de raison.
A chacun de toujours et toujours y reconstruire en temps réel son propre contournement, à raison d’une seule et unique poignée de main ou d’un seul et unique cycle de respiration, infiniment merci à ce tout un chacun pour cette initiation , à chacun d’en faire son propre miroitement si intéressé de pouvoir un jour arriver à son propre but , d’un simple saut de corde où danser et y remercier cette si belle intégralité à la mesure même de ce son de cloche entendu au loin au levée de ce soleil se proposant même d’y ancrer en toute profondeur cette amitié enfin remaniée du matin au soir, à chacun de faire de cette manière si particulière d’y alimenter son propre couronnement, si polyvalent finalement ce trait se caractérisant automatiquement, bien évidemment.
Merci Merci Merci, trois simples mots à réciter à tout face à autant de complémentarités.
Le tout si bien décrié de la bouche même de ce canon si réactif à tous ces changements de sensualité.
Que ce tourbillon d’information fasse le tour de cette planète terre en pleine reconstruction.
De ton propre couronnement,
Merci infiniment, bien évidemment
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