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En ce printemps indien

Si par magie, vous vous retrouvez en plein jour, face à cette si belle maturité, ce qui encore une fois te proposera d’y illustrer ce si beau sourire, cette si belle horizontalité t’y indiquant finalement , là droit devant,  ce privilège de s’y inspirer  et ce,  sans la moindre difficulté , que ce moment présent à remettre en avant plan en y attendant cette si belle autorisation , si bien vu à l’horizon , comme de raison.

Si par manque de modestie, cette journée si bien parsemée de tant de dépassement face à ce manquement de tentations, cette remise en route se voulant si dépréciée , face à cette notoriété,  transformation en temps réel  son propre univers , si permissif en ce retour à cette téléréalité  enfin reconnectée.

Si par mesure de sécurité, votre propre coeur d’enfant si barricadé tout au creux de ce lieu si amoureux de cette liberté d’allocution, cette sensibilité ayant tant été délaissée , se trompant même de nom, ce chapeau melon pourtant trop grand, pour une si petite personnalité, en pleine transformation, seul avec sa propre image se démarquant, là droit devant, bien évidemment.

Si un jour, cette journée qui , à elle seule aura si bien voulu y élever cette si belle intériorité, allant jusqu’à lui instiller ce qui, de jour en jour se détournera de toutes ces si belles difficulté, ces romans savonnant ainsi tous ces moments présents,  remettant à tous ces lendemain cette possibilité de devoir ainsi se remettre à trembloter face à ces éventualités si bien décriées, sur papier gaufré ou non, cette manière de s’exprimer étant là, à toute occasion , ce remerciement si influent ,intérieurement bien évidemment.

Si par insécurité , seul avec ce si beau souvenir en devenir, ce moment de tendresse qui, de jour comme de nuit, cette dernière étant toujours là que pour mieux y comprimer chacune de toutes ces expressions, complimentations, salutations ou duplication, ce qui aura fait de cette journée si bien orientée que sur cette priorité du moment, enfin te revoici encore aujourd’hui face à cette démocratisation, cette individualisation, celle qui t’aura permis finalement que de mieux y exprimer ce qui aura été cette suite logique de moments présents, si bien entourés ou non , si exténués ou non, en pleine liberté, ou non, tout ceci se voulant finalement que la résultante la plus personnalisée que ce tout un chacun aura à rencontrer un bon matin, soleil se permettant même de tout remettre en 3D, que pour mieux  y retransformer cette loyauté entrain de progresser, tout simplement.

C’est ainsi finalement, que ce moment présent, si impatient de pouvoir un jour y exprimer ce si beau retour d’ascension, cette énergie qui, partie d’un je ne sais où, se retrouvera dans une assiette si bien présentée d’une telle attention, ou face à cette éternité qui, là sous ses yeux si émerveillés, y distribuera individuellement , cette capacité de remettre autant d’attention tout en souriant, tout simplement, ceci faisant maintenant partie de cette visualisation, en temps réelle, cette lumière si bleue redevenue en matière si solidifiée, encore capable aujourd’hui de se retransformer en une si belle boite d’allumette , se comparant ainsi à cette si belle flamme si énergisée, indéfiniment parlant, bien évidemment.

C’est ainsi que ce moment présent, celui qui de jour en jour se recourbera ou non, face à ces si belles démonstrations en temps réel, cette notion de temps se terminant toujours par ce si beau remerciement, intérieurement parlant ou non, cette façon de remettre en avant plan, cette incapacité de s’arrêter un seul et unique instant, de temps en temps ou non, tout ceci se voulant que cette objectivité à contempler , individuellement parlant, selon son propre coeur d’enfant si enjoué, après cet élan de générosité, cette terre si énergisée, ne voulant finalement que remettre en place cette permission qui, dans le fond de cette si belle tanière, en aura à dire et redire, une fois que  cette matière si bien acquise s’envolera face à ce tableau si bleu, miroitant ainsi cette si belle pédagogie, sourire aux lèvres, yeux si émerveillés, comme au bon vieux temps, bien évidemment.

Alors, pourquoi avoir autant de sensibilité à remettre  de côté, en tout temps ou non, tout ceci se voulant que cette si belle authenticité en phase d’interaction face à cette vulnérabilité , celle qui de jour comme en pleine nuit, se retrouvera en panne de courant, cette éducation si bien encadrée ayant eu à y indiquée ces manières d’y arrêter cette autorisation , à coeur ouvert, main en l’air que pour mieux y desservir ce retour d’ascenseur, si surchargé de tâches si détaillées, y délaissant ainsi ce pouvoir si particulier, écoutant son propre coeur qui bat, entre deux arrêts au puit, cette source si excitée finalement de pouvoir ainsi collaborer à ce réveil, en pleine rue ou ruelle, bouleversant ainsi cette si belle sensation, cet accomplissement si bien adressé à celle ou celui qui se sera  même permis de s’expliquer ce pourquoi du comment faire pour en arriver un jour à ne se complimenter, enfin te revoilà redevenu ce si beau superflux d’information, en temps réel, sans chandelle ni bout de ficelle ,que ce soleil te rappelant ce à quoi toi seul aura si bien voulu remettre au devant de ce si beau déploiement, là droit devant tes si beaux yeux si illuminés, réflexion indirecte de cette intériorité en phase d’exagération tellement cette chaleur si bien alimentée d’une si belle intégrité se voudra finalement  des plus insistant , visuellement parlant , synchronicités si bien orchestrées, réalité si heureuse enfin de tout remettre à ce lendemain, jeu de carton si détaillé d’explication, de démonstration , de sourires ou non, à toi maintenant de remettre en place cette si belle destination, sans passeport ni maitre à bord de ce paquebot, naviguant sans  but à atteindre autre, que de te revoir sourire à belles dents, et ce, quelque soit cet environnement si déprimant, en ce moment.

 

Alors pourquoi tant d’insécurité?

 

Tout ceci se voulant  finalement, cette résultante à tant d’années de difficulté, de dure élaboration si sécurisée, de si belles falsifications, celles qui de jour en jour auront eu comme discours que de remettre entre les mains de cette diplomation entre autre, ce cadre de porte à carreaux tissés si serrés , ne laissant ainsi à cet étudiant si attentionné, que cette perspicacité de se reposer de temps en temps , ce temps d’arrêt qui pourtant, se voulant si réparateur de toile en pleine expansion, soleil se voulant d’une telle complicité avec tous ces êtres à peine dévoilés, cordons de liaison ayant fait part de cette participation à ce retour à cette liberté de pouvoir un jour, se retrouver en toute évidence, face à son propre miroitement si bien individualisée, comme quoi, cet enseignement de ce matin, se terminera toujours et toujours par ce si beau discours, découvrant à sa façon cette horizontalité en pleine floraison, et ce, quelque soit ce moment précis dans la saison, comme de raison.

Merci Merci Merci à toutes ces étirements du matin, ceci enclenchera    instantanément cette arrestation, le temps d’une simple inspiration face à cette multitude de possibilités, enfin nous revoici face à chacun sa propre manière d’avancer, tout en souriant ou non, à chacun finalement de se questionner ou requestionner, cherchant en tout temps cette réponse qui , un jour, se retrouvera si bien accroché au cou de cette intériorisation  sur cette voie si bien éclairée, fleurs  si bien arrosées de chacune de toutes ses larmes laissées tomber tout au long de ce parcours si difficile à concrétiser.

Infiniment merci finalement à ce printemps que tout un chacun aura à remettre en place, cette hibernation, cette maladie, cette remise en place ou non, ce marque d’attention se voulant tout simplement cette si belle source de vitalisation entrain d’y exprimer son état de froideur, face à cette immensité si chaleureuse  pour chacun de tous ces participants, sur ce sol si vibrant, bien évidemment.

Un tout dernier merci à cette multitude d’exactitude, cet éblouissement se voulant finalement, que cette humanité faisant ainsi face, à tout instant à ces réalisations, ces metteurs en scène en pleine formation, individuellement parlant, bien évidemment.

Merci Merci Merci

Filo qui se relèvera à tous les matins, sourire aux lèvres, face à son propre univers, observant au loin, cette autorisation y interdisant finalement, ce si beau copier-coller d’auparavant, bien évidemment.

Filo Zoff si souriant,

Merci

 

crédit photo: pixabay

 

 

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