C’est en cette journée de liberté si internationalisée, décorant ainsi chacun des participants de ce médaillon si savoureux, comptant ainsi parmi toutes ses liaisons, cette intimité qui, du jour à ce lendemain y compilera ce qui en aura été que cette sommité entrain de s’élever, tout doucement, tout en trébuchant de temps en temps, se relevant ainsi, sourire aux lèvres , et ce ,quelque soit la couleur du vent à l’horizon, comme de raison.
S’il m’est ainsi si facile de vous parler de ces jours-ci, prenant ainsi mon propre rôle d’escaladeur avec le plus grand soin qui lui revient, cette éducation se voulant finalement que ce soleil te révélant finalement, ce pourquoi d’un comment faire pour se satisfaire de tous ces instants si diversifiés , sans escabeau ni porte manteau, que cette intériorité à parsemer ici et là, sans difficulté à récolter, que de si belles intentions si bien adressées à cette si belle évolution, individuellement parlant, bien évidemment.
S’il m’est si simple de tout remettre à ce pouce si bien soulevé, aimant ainsi chacune de toutes ces si belles expériences, là droit devant, ce champ de pratique se voulant tout simplement le plus haut standard de divertissement toujours inégalé, malgré des publicités y démontrant une si belle modernité.
S’il m’est encore possible de me prêter au jeu de cette vie, la mienne en tout premier lieu, me permettant enfin aujourd’hui d’y interpréter ce qui, à ma façon s’arrimera à chacune de toutes ses liaisons, en temps réel, ainsi soit redevenu cette si belle réalité faisant ainsi marche arrière , que pour mieux se repositionner , sensations du moment se voulant maintenant priorisées à cette diversification pourtant si bien éduquée.
S’il me revient encore cette maladie de m’oublier, sachez que mon propre coeur qui bat se permettra de me rappeler, en temps réel, cette reconnexion se voulant si irréelle pour un simple itinérant en voie de devenir son propre bâton de soutainement, ce sourire me proposant finalement de m’avertir à chacune des occasions, cette remise en questionnement étant en ce moment , face à cette réconciliation, menton si bien relevé , y arborant ainsi ce si beau parallélisme , de haut en bas ou non, tout ceci se voulant que la plus juste des salutations, cette terre se cherchant ainsi que ces si belles amitiés, lui permettant ainsi que de mieux y communiquer avec ce si beau soleil si radieux, encore aujourd’hui si lumineux malgré quelques manquements de sobriété , ce printemps indien lui demandant que de mieux y assécher ces larmes si bien déposées à la porte même , sur ce paillasson ayant eu comme permission que de respecter chacune de ces si belles demandes , sans objection ni autorisation particulière, que de mettre en lumière, ouvrant ainsi la porte à cette réflexion en panne sèche d’inspiration.
Si encore aujourd’hui je peux ainsi me remettre à rêver, comme au temps où mon propre coeur d’enfant si affamé de nouveauté, de familiarité avec cette nature à découvrir, brisant ainsi cette notion de temps, réveillant en pleine nuit ces tous petits doigts de fée si effilées, ceci faisant maintenant partie de cette nouvelle vision , celle de pouvoir en tout temps me propulser avant même son propre temps, face à cette mine de crayon, ce tableau de visualisation y reproduisant avec une telle exactitude, mon propre conte rendant maintenant ce moment présent si inspirant, le touchant même par la main, tellement cette réalité se voudra , pour moi en tout cas, une suite d’évènements se produisant au jour le jour, au nom d’un je ne sais qui encore, me reconnaissant ainsi comme le plus grand interprète de l’heure, face à mon propre bonheur si souriant, entrant ainsi dans un tourbillon d’actualité, de moment présent en moment présent, récoltant ainsi ce si beau paradis si bien imaginé lors de toutes ces soirées si bien arrosées, névrose dans le nez , pot de roses sous les yeux , élément préféré de tous ces amoureux de cette liberté enfin retrouvée.
C’est ainsi que ce finalement d’autrefois laissera place à ce dorénavant de ce moment présent, ce terme qui , de jour en jour , y imprimera que chacune de ses si belles allucinations, ce rêve en temps réel se tenant droit devant, le serrant si fort entre mes bras, le remerciant avec une telle insistance de sa présence dans ma résidence, ce lieu si chaleureux, le tenant si fort par la main, de peur d’en échapper un seul et unique instant , le savourant avec une telle délicatesse, caressant ainsi cette douceur du soir, devenu de plus en plus vibrant, extérieurement , bien évidemment.
Si par mesure d’incompréhension vous vous permettez même d’arrêter de rêvasser, ce coeur d’enfant si bien éduqué, laissant ainsi à chacun cette liberté de séjourner, là où cette réaction à cette éducation, ces cadres si performants, permettant à ce travailleur du soir que de s’identifier personnellement face à cette chapelle, ce porte manteau si fier un jour de tout laisser tomber, incapable encore une fois de supporter chacun de tous ces rêves d’enfants si bien oubliés, respirant ainsi comme au bon vieux temps, par cette trappe de ventilation, sans pilule à absorber ni pompe d’oxygénation à rechercher, que ce temps de relaxation à mettre priorité , faisant ainsi de son propre univers, une simplicité empreinte de souvenirs en phase terminale, falsifiant ainsi cette liste de médicaments , protections de brevets y autorisant que ce si beau déploiement en temps réel de ces temps d’arrêt au puit, ce dernier y absorbant chacun de toutes ces dettes de révolution, se détachant même de cette société , celle qui de jour en jour y préférera ce si beau retour à cette intimité enfin surprotégée.
C’est ainsi que je donnerai comme pur défi, de remettre par écrit, que ces moments présents des plus persistants, ceux qui de jour comme en pleine nuit, ses rêves se voulant cette remise en route , imaginant ou non ce qui dans les prochains jours, le temps étant devenu ce qu’il aura toujours été, que cette réalité à remettre au bout de son propre nez, ou sous tes pieds si proches de liens d’ajustements de tonalité, celle que toi seul aura si bien voulu lui divulguer, sourire aux lèvres ou non, tout ceci se voulant finalement, que ce rêve à remettre du bon côté, là droit devant, cette remise au jeu étant cette teneur en doute, redoutant ainsi cette magie de bien vouloir toujours en remettre toujours plus, à celle ou celui qui lui permettra de se surprendre à se réveiller en tout temps face à ces si beaux moments si attendus, pendant tant d’années si absorbées par toutes ces tâches et taches à récupérer tout au creux de ce milieu si attentif à tous ces regards de travers ou non, ces imitations en temps réel étant finalement, ce moments à répliquer , allant même à y compresser en un seul et unique jeton de jeu, ce qui de jour en jour, y peaufinera que ce si beau parcours.
Si de jour en jour je me permettrai de tout remettre en 3D, avec une telle fébrilité, le sachant si heureux finalement de me redonner cette coquette somme d’éléments si fondamentaux , ces sourires aux lèvres à voir et apercevoir, là droit devant, en tout temps ou non, cette tentation étant remise à l’ordre du jour, dans ce journal de bord , si bien identifié à chacune de ces si belles proximités, si bien habillées.
Merci Merci Merci à tout un chacun de tout remettre en avant plan, avant même son propre déploiement , sourire aux lèvres, cette sensualité , cette liberté, cette réalité enfin retrouvée, faisant ainsi de ce si beau paradis, sa propre suite d’élaboration ,en 3D ou non,, poursuivant ou non cette si belle révolution de pouvoir en tout temps ou non, se réaliser en temps réel, cette notion de temps étant la seul et unique source de revenu à reconnecter, résultat même de cette émancipation face à chacun son propre poste de distribution, coeur d’enfant si fier de pouvoir y éveiller ce soupçon, ce bout de bâton si bien oublié, tête si étourdie par une telle série de divertissement, là droit devant, bien évidemment.
Infiniment merci à toi, mon moment présent préféré, comme toi seul sait si bien le saisir, me transmettant à tout instant cette soif de vivre en toute simplicité ou non, merci finalement de m’avoir laissé aller, et ce, sans aucune méchanceté , telle que démontrée lors de ce retour à cette réalité enfin retrouvée.
Enfin, merci à mon propre coeur qui bat, merci surtout de toujours et toujours battre cette mesure du temps, ces coups de tambours me démontrant finalement de m’arrêter que pour mieux le reléguer à ces oubliettes du soir, ces doigts si agités transformant ainsi , chacune de ces si belles manières de me promener, aidant ici et là, à ma manière, souriant par ici et par là, sans dentition ou non, tout ceci faisant maintenant partie d’un tout autre ordre d’idées à rassembler, aidant ainsi cette si belle magie de la vie à y confectionner avec une si belle filature, ce rêve d’enfant d’auparavant entrain de devenir ce souvenir en devenir, là droit devant, sous tes propres pieds si bien ancrés, révélant ainsi ce qui fera de tout un chacun, à sa manière, le plus missionnaire de ce temps incertain, ne sachant plus par où commencera ce rêve devenu réalité.
Merci surtout de rêver, même éveiller.
Merci surtout de te réveiller face à ce moment présent, là droit devant, en profitant sans limite particulière autre, que cette autorisation à cette bonification, ce bonheur y caressant ces étirements de sonorités, de touchers, de visionnements, d’illumination , ces redirections d’attention se voulant finalement si simpliste à concrétiser, une fois ce coeur qui bat se sera permis même de s’imposer, en temps réel, selon cette ouverture, paillasson y électrisant instantanément ce temps de recouvrement, sourire aux lèvres, face à cette aire de jeu, à respecter avant même pouvoir en profiter.
Avec tout le respect qui lui revient, merci simplicité , que la vie te permettre de te disperser, et ce ,sans la moindre pression ni persuasion à mettre sous les pied, comme quoi , voyager léger sonnera toujours plus de clochettes à ses portes même , déjà entrouvertes à pleine capacité, permission de pénétrer ayant été soulignée lors de ce passage dans un millénaire si révolutionnaire.
Merci Merci Merci
Il me semble que tout a été dit,
De ta simplicité , là dans ta vie,
Merci
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