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Le temps d’un seul instant … bien évidemment !

C’est ainsi, avec ou sans parapluie, ce tourbillon qui , auparavant se voulait si persistant face à cette humanité qui, de jour en jour y proclamait cette notoriété , admettant même en être venu à se mesurer à cette indiscipline , celle qui encore aujourd’hui , d’un moment présent à l’autre y influencera systématiquement cet environnement , touchant ainsi de si près à cette proximité aperçue au loin ou non, au fur-et-à-mesure de cette évolution sur cette route en pleine construction, comme de raison.

Alors pourquoi s’en remettre à cette si belle dissolution, qui à tout instant, selon cette si belle instance d’inspiration, ce rythme de respiration ayant été si essoufflé après tant d’années d’exténuation, au gré de cette ressource si bien mise de côté, cette éducation si difficile à expliquer à cette communauté si bien connectée à son propre écran , téléphone dans une main , se saluant ainsi du matin au soir, tellement long aura été cette émancipation face à chacune de ses si belles mises en situation, en temps réel, ainsi en est devenu ce temps de se retrouver , un jour, face à sa propre image de marque, pantouflard ou non, cette réalité se voulant instantanément ce retour d’ascenseur de cette intériorité si bien éclairée ou non, nous voici redevenu au bout de ce parcours , d’un coin de rues et ruelles à l’autre, sans indication autre que ce soleil y révélant ce à quoi ce tout un chacun aura eu le privilège de confectionner , baguette sans manchon pour la retenir tellement ce miroitement de ce moment se voudra à tout moment , libre de s’exprimer ou non,  à chacun finalement  de se permettre de se laisser aller, au gré de cette chanson du jour et de ce bouillon si réconfortant, intérieurement parlant bien évidemment.

C’est ainsi, après tant de dispersement, après avoir mis tous ces oeufs sur le même panier , de l’autre côté de ce balancier qui , un jour, te promettra de te regarnir visuellement parlant , ce paysage qui par simple respect face à ton regard si ébloui par une telle générosité, cette soif de se ressaisir au tout premier bond, ce saut si bien quantifié comme étant le plus beau moment à regretter, en ce retour à cette liberté si individualisée, merci merci merci à ces moments si gentils de s’être placés sur cette route enfin répertoriée comme la plus difficile à numéroter, à chacun encore une fois de se permettre de se valoriser selon son propre degré de chaleur intérieure, d’heure en heure ou non, tout ceci se voulant finalement le plus beau des lancers légers à apprivoiser , encore merci pour tant de gentillesse  face à de si belles promesses.

Alors , pourquoi redonner toujours et toujours la seule et unique version , celle qui de jour en jour y conduira systématiquement ce feu se déroulant en temps présent, comme en ce moment précis, tout ceci ayant été si bien approuvé par tant d’années de commandements, d’un pas si dépassé par tant de simplicité, alléguant même en être persuadé que son propre environnement si rapproché aura été, est et sera toujours et toujours cette autorisation remise de ce côté de cette montagne si difficile à arpenter ou non, ceci étant finalement cette permission de vivre tout en souriant , tout en marchant, tout en inspirant tout délicatement, de peur même d’y éveiller cette soif de s’élancer avec une telle disponibilité, gestuellement parlant, d’un remerciement à l’autre, d’une appartenance à l’autre, ce clan qui  , sans aucune destination particulière y transformera cette voilure cousue de main de maître, tellement cet acharnement d’avancer sans y regretter ce qui de jour en jour se peaufinera au gré de ces détours, d’une surprise à l’autre, cette vision enfin retrouvée face à cette immensité si colorée, soleil se permettant même d’en remettre toujours plus à ces amoureux de cette terre en pleine maitrise de tous ces moyens d’y voir progresser chacune de ses si belles participations à cette paix intérieure, débordements garantis ou particapation gratuite pour une autre tournée d’apprentissage, cette sagesse se voulant si difficile à se faire comprendre, en ce retour à cette manipulation si particulière, clin d’oeil si enivrant  , pour  ses participants si exténués , ayant à peine le temps de s’arrêter pour respirer.

Pourquoi avoir toujours l’envie de se retrouver devant la même explication, et ce, malgré une communication si directe, ce fil conducteur se voulant à tout instant à la merci de cette manifestation, si souriante  devant son propre armement du moment, cette itinérance  lui ayant été suggérée  que pour mieux y apprivoiser ce si beau dévoilement qui, en toute transparence, y remaquillera avec une telle exactitude, cette multitude de sincérité, discrétement ou non, tout ceci étant à la discrétion de ce moment d’exaltation ou de cette remise en situation, cette réponse qui pourtant se voulait si difficile à entendre , éducation ayant toujours et toujours cru à cette unification, cheval se batailllant à tout instant avec son propre mirage, si embrouillé par une telle classification, diplomation garantissant à tout instant cette limitation face à cette autorité, cette autodiscipline à remettre au goût du jour,  avançant ainsi d’un pas à la fois que pour mieux y découvrir cette totalité en devenir, là sous des pieds si bien reconnectés ou droit devant selon ces indications entendues tout au long de cette médiation entre son propre code vestimentaire et ce si beau savoir faire, demandant tout simplement de tout remettre du même côté , que si et seulement si, celle ou celui qui se permettra de le suggérer à cette individualité, tout en souriant  , bien évidemment, ce code de sécurité face à une si belle porte d’entrée si bien éclairée.

 

Pourquoi mettre autant de mots si difficiles à complimenter , cette simplicité est-elle si difficile à convaincre finalement ?

 

Tout ceci se voulant que la plus libre des expressions, d’un remerciement à l’autre, ce coup d’éclat qui à lui seul y énergisera cette corpulence, celle qui encore aujourd’hui, inégalable visuellement, inébranlable intérieurement une fois cette sommité  aura eu le privilège de se sentir aimer , formant ainsi le plus beau des arc-en-ciel , mesurant ainsi le temps à récolter sa propre médaille, instantanément ou non, ceci se voulant cet objectif à atteindre, émerveillement garanti à celle ou celui qui se demandera en tout temps, si cette horaire du temps lui permettra d’en apprécier cette intériorité si colorée, réfléchissant ainsi à cette si belle proximité entrain de se manifester , forgeant ou non cette articulation sans rémission ni remise en question, comme de raison.

 

Si je comprends bien cette dernière intervention, merci aura été, est et sera en tout temps cette porte d’entrée pour le plus beau des paniers à en récolter la totalité de chacun de tous mes faits et gestes si bien démontrés tout au long de cette journée entrain d’évoluée sous mes pieds si bien ancrés ?

Effectivement te répondra ce moment présent si virulent, y compromettant en tout temps ce bonheur si bien réclamé par chacun de tous ces concurrents, individuellement parlant , bien évidemment, ce temps d’arrestation ayant été toujours suggéré à ceux-ci , minimisant ainsi tous efforts de performance, diluant ainsi dans cette matière si peu appréciée de ces jours-ci, cette intégralité ayant eu le pouvoir de s’effacer face  ces journées si fatigantes , permettant à peine de se reposer  avant ce coucher de ce soleil pourtant toujours prêt à collaborer , à sa manière, ce savoir faire étant si bien expliqué en ce retour à cette réalité , en 3D,  ou non, tellement cet enchantement aura été si souvent sous évalué, même en plein été débordant de sources d’inspiration si colorées.

Merci se voudra en tout temps ce mot à dire et à redire, tout en souriant intérieurement ou non, sachant ainsi en faire connaissance un jour, en ce retour à cette modernité , sans câble à reconnecter ni prise de son à ajuster, que son propre souffle de visualisation à apprivoiser, le saluant par son propre prénom, cette prononciation si facile à prononcer, te revoici redevenu ce maitre d’oeuvre d’art , d’un pas à l’autre, d’une remise au jeu à l’autre, d’un sourire à l’autre, à chacun finalement de se permettre de cultiver sa propre conductivité, cette religion ayant été si difficile à faire entrer dans un aire de festivité si bien décoré, cérémonie toute particulière pour une grandeur d’amitié si appréciée par une telle proximité.

Merci se veut en tout temps le plus beau des compliments à entendre et à demander de se détendre sur cette surface de jeu, ce ballon homologué pour sa complicité avec tous ces invités  si souriants,  félicitant ainsi ce tout un chacun pour son évolution malgré quelques pas de côté et même de reculon tout au long de ce segment d’expérimentation, au gré des saisons , cette floraison se demandant même pourquoi  devoir se limiter à y exécuter seulement ce qui lui aura été permis de visualiser après cette nuit qui , d’un jour à l’autre y comprimera ce qui , bien entendu , aura été pourtant d’une telle dureté envers cette personnalité en plein atterissage,  avion en réaction avec tous ces faits et gestes qui quotidiennement, y influenceront finalement ce lendemain mettant ainsi la main dans ce pâturage, plumage pour se protéger d’un tel train entrain d’y arpenter ces va-et-vient , de haut en bas , de gauche à droite, tout en dansant, tout en trébuchant, tout en souriant ou non, tout ceci aura, est et sera toujours ce signal de départ pour ce terrain plein de réjouissance, intérieurement parlant ou non, ce doublon d’information y supprimera systématiquement ce point d’interrogation de cette équation , 1 + 1 égalera toujours et toujours cette totalité si bien rasssemblée sur le seul et unique balancier , incapable de trancher entre deux grandeurs , intérieures et extérieures , ceci se voulant en tout temps le plus beau des miroitement, là droit devant, ou sous ces pieds si reconnus comme la plus belle prise  à apprivoiser, en ce retour à cette liberté d’y exprimer sa propre admiration, adorant instantanément ce si beau paysage  d’une telle profondeur, quelque soit l’heure du jour et le degré de coloration , comme de raison.

Tel que promis, 2020 remettra  à jour cette source d’électrification, ce qui fera de cet engraissement une application à stimuler sans exagération , manger sa propre  émulsion  demandera toujours et toujours de se nourrir de son propre sourire , cette complexité ayant été remisée que pour mieux y voir profiter son propre jardin qui , encore aujourd’hui, se parfumera de chacun de tous coups des sourcillements, si émerveillés devant autant de souhaits à revendre, cette surcharge d’énumération se voulant en tout temps, le plus beau regard à projeter sur cette terre enfin reconnue comme la plus belle source d’exploitation à ciel ouvert, merci merci merci pour cette étoile  ayant subi tant d’années d’abusement en y attendant cet amusement instantané , tellement long aura été cette légèreté à soulever

Pour terminer, merci à toi , miroir  qui en plein jour y dupliquera en tout temps, ces si belles manières d’y exprimer sa propre appréciation face à cette générosité si bien représentée en temps réel, la savourant, lui proposant même de la laisser pousser que pour mieux la partager avec son propre voisinage, ce supplément d’indication fera un jour de ce bout de route de gravier, le plus beau des pavés à faire reluire , éblouissement garanti à celle ou celui qui aura eu que le temps de se lever le bout de son propre nez pour y inspirer cette odeur du jour,  gloire du matin y décrivant ainsi ce à quoi  ce tout un chacun aura un jour le plaisir de ressentir, si surprenant soit-elle cette si belle image en pleine transformation, là droit devant ou encore remise de ce côté si manipulé par cette peur d’avancer à sa vitesse, selon son propre degré d’éducation sur cette ligne sans destination précise autre , que cette appréciation à revoir un jour de l’autre côté de cette rivière si difficile à traverser, comme quoi apprendre à s’élancer sans apprécier son propre voisinage demandera toujours plus de recul une fois parvenue au bord de ce bouchon tourbillonnant tout autour ce cette cuvette , évacuant ainsi  de chacune  de ces si belles journées tout  ce surplus flux d’information, en conservant finalement que le plus important , ces remerciements ou non si bien exprimés tout au long de cette journée si parfumée, ou non, tout ceci ayant été si bien expliqué depuis tant d’écrits , d’un manuscrit à l’autre, à chacun sa manière d’y détailler ce qui aura fait de cette médaille à deux faces, si identifiables au loin, par cette authenticité enfin remise sur le  rebord de cette chaloupe, sans veste de flotaison ni bas de compression, que ce feu roulant de visualisation , en 3D ou non, nous revoici rendu au bout de ce tourbillon , baleine ayant eu tant de difficulté à y conserver son élément si essentiel à son évolution, créer du remou dans un fond de poubelle demandera toujours plus de difficulté , figuration en temps réel d’une mise en scène retransmise en plein ciel, d’une vague à l’autre,  angoissé ou non, tout ceci aura été si bien improvisé par une majorité mise en quarantaine, le temps nécessitant toujours et toujours ce moment de fécondation , éclosion en panne d’inspiration, à chacun à partir de ce maintenant si influent de  reconstruire à sa manière cette universalité qui, de jour en jour y dessinera le plus beau des sourires sur ce fond si bleu,  cette grande surface se voulant incomparable au niveau du prix à mettre pour en apprécier que la moitié  de sa propre  personnalité.

 

Infiniment merci à ce tout un chacun face à sa propre image se démarquant en tout temps de ce si beau tourbillonnement de ce moment.

 

Merci à toi , moment présent préféré pour ton intégrité tout au long de cette révolution en panne d’inspiration.

 

Un tout dernier merci à toi, surprise du jour, celle qui encore aujourd’hui permettra à chacun de s’amuser à y réinventer ce à quoi ce rêve d’enfant aura mis de côté un jour, ce retour à cette légèreté mettant tant de plaisir à ressentir , ce balancier ne sachant plus comment faire pour y faire pencher son propre déploiement , tellement heureux aura été retransmis cette chaleur d’amitié à cet environnement, soeur jumelle  y maitrisant avec une telle exactitude, ce dédoublement d’information à remettre à jour en ce retour à cette intimidation, ne sachant plus comment faire pour s’arrêter de sourire face à cette image en 3D, si haute  et si longue à regarder, merci moment présentement là droit devant, réplique parfaite pour un si jeune participant.

 

D’heure en heure, de minute en minute, de seconde en seconde, d’un moment présent à un autre lendemain, merci de te dire et redire merci  à tout instant, le plus souvent possible, ce balancier se voulant des plus égalitaires face à de si beaux missionnaires au beau milieu d’un si beau dispensaire.

 

De ta joie de vivre qui  te conseillera toujours de sourire à cette individualité entrain de se laisser bercer par tous ces évènements, là droit devant.

 

De ta joie de pouvoir sourire à tout instant,

 

Merci infiniment, bien évidemment.

 

 

 

crédit photo: pixabay

 

 

 

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