C’est ainsi, comme quoi, se détourner de cette si belle destinée, celle qui dorénavant se voudra si exceptionnelle en ce retour à cette réalité si bien inspirée par une si belle personnalité, alignant ainsi sa propre étoile tout autour de cette terre si heureuse enfin de sympathiser du matin au soir avec ce miroitement, toujours là droit devant malgré quelques points de saturation , cet élan de grandeur qui en toute profondeur se mesurera en tout temps à ce moment présent si vibrant , ou non, tout ceci se voulant finalement à la discrétion de cette si belle remise en question, bien évidemment.
Pourquoi ce pourquoi de ce maintenant si percutant se veut-il si explicatif tout à coup?
Tout ceci se verra un jour le plus beau retour à cette modernité, cette course contre son propre tourbillonnement, lui demandant tout simplement de ralentir un seul et unique moment ,comme présentement , là droit devant, cette évidence se permettant même de toujours et toujours en ajouter toujours plus sur ces propres moyens de se réorienter, seul à seul à bord de cette dégringolade, celle qui par moment se verra même y être infligée d’une telle pénalité, bâton relevé pour y manifester cette si belle présence en ce lieu si rigoureux, intérieurement ou non, ou tout ceci se baladant tout souriant , bien évidemment.
Alors , pourquoi vouloir en ce moment-ci remettre en route ce si beau moment de redirection, cette marche à suivre ou à poursuivre, selon ce mode de vivre en toute simplicité, cheval de bataille se reposant après tant d’années de performance, de remontrance, d’évidence à parsemer de tous ces côtés de routes, signaux pourtant si bien éclairés annonçant même à ce réveil si matinal , que sa propre instrumentation en pleine transformation aura un jour ce retour d’ascenseur à reclasser , à chacun sa façon de revenir au jeu , d’une tourniquette à l’autre, de haut en bas, face à cette longueur du temps à remettre en perspective, si curative aura été cette remise en forme , visiblement ou non , indivise ou séparément, cette collection de possessions y dépréciant ainsi ce coeur d’enfant si affamé de nouveautés, et ce, à tout instant, bien évidemment.
Alors pourquoi se demander comment faire pour se reconnaitre comme le plus beau des missionnaires, si tout au long de cette si belle remise en doute , ce pouvoir de se détourner de cette si belle transparence, cette éducation se voulant si importante finalement, laissant ainsi à ce tout un chacun le pouvoir de se reconnecter à sa propre chandelle, cette étincelle qui vue au loin, se voulait ainsi redevenir un jour, le plus beau personnage à cajoler, là tout autour de cette si belle tour en pleine démolition, ce feu sacré se voulant finalement si orienté sur cette si belle vulnérabilité, en pleine rue ou ruelle, mélangeant ainsi cette mobilité, intérieurement vers une extériorité qui, d’un moment présent à l’autre se verra ainsi y conclure ce contrat de confidentialité, poignée de main garantissant ainsi à ce cavalier si enflammé, cette autorisation de revenir pour toujours au beau milieu de ce lieu si chaleureux, en ce retour en force, rigolant ainsi de chacune de ces si belles prouesses, cette manucure aura été si bien établie par chacune de toutes ces participations, battant en ce moment à l’unisson, coeurs d’enfants si enjoués enfin de pouvoir se régaler de cette proximité en panne sèche de complexité.
C’est ainsi que se permettra de revenir au jeu, comme au bon vieux temps, exactement au même point de départ, reconnaissant ainsi ce si simple invité, rétablissant ainsi ce lien de compassion, ce pont si étiré étant là finalement que pour y jeter cet encre ayant permis de si bien détaillé ce qui , pour ce tout un chacun si avare de possession, de mise en situations, de remises en doutes si redoutables, ce temps de diversion étant là finalement que pour mieux y complimenter , le jour de ce retour à cette éventualité déjà entrain de se souhaiter bienvenue , ce temps ayant été si bien réorienté en une tasse de thé en phase de salivation, chaudement applaudi par cet itinérant s’étant arrêté un seul et unique instant, point focal lui indiquant que ce moment présent aura été celui qui lui aura permis finalement d’en savourer chacune de ces mesures se dévoilant , comme en ce moment si percutant, là droit devant ou des pieds si bien soudés à cette terre si énergisée, ce retour à ce vent de tendresse y enverra en tout temps , cette douceur en pleine pleine grandeur, infiniment merci à ce tout un chacun finalement, avisant même son propre propriétaire que cette capacité de se réorienter en toute simplicité, intérieurement parlant , bien évidemment, ce qui de jour en jour se distinguera de chacun de tous ces princes si charmés par de si belles intériorités, coeurs d’enfants enfin déplacés en avant plan, sur cette lignée de tentations comme de raison.
Si je comprends, un jour ce retour à cette éventualité entrain de se perfectionner , cette réalité si personnalisée, ce moment de réalisation ayant été si bien inspiré par un si beau moment de représentation, simple autorisation y spécifiant si tout ce si beau paysage se voudra à la hauteur de cette si belle intériorité, cette réflexion si spectaculaire ayant été si oubliée, depuis tant d’années de performance, de négligence, qui bien évidemment, aura été cette révolution au nom de ce savoir faire qui, selon son propre code d’étiquetage, se demandait comment faire pour y inverser, pour une fois, une seule et unique , que pour y essayer cette robe de velour, ou ce gant si élégant, tenue du jour à laisser aller en toute sincérité pour une soirée si bien adossée à son propre temps de reconnexion, en panne sèche de comparaison, comme de raison.
En d’autres mots plus éclairants, ceci se veut finalement le plus beau des détours à remettre en place , là droit devant ou dansant en même temps avec cette limonade du jour, sucrée ou non, surette ou non , tout ceci se veut-il cette réponse à tant d’années de discussion avec son propre menton, le caressant tout en me questionnant sur ce pourquoi d’un comment faire pour remettre en mots ce qui , intérieurement parlant se voulait si permissif en ce milieu de jardin si bien arrosé par une telle intensité, courant à vive allure contre ce mur d’une telle sonorité, performance en avant plan pour la meilleure ou la pire des migraines à consulter, retournant à la maison pour y écouter ce qui, un jour se voudra si sécurisant pour un si bel étudiant, bien évidemment.
Pour tout y simplifier ce qui, depuis le tout début de cette allocution, vous savez , ce jour de retour à cette normalité se voudra , et ce, de jour en jour si difficile à manipuler pour un habitué de se laisser dire par où aller, du matin au soir, écoutant sa propre partie patronale, les nouvelles du soir ou encore cette remise en question revenu pour discuter de cette source de questionnement, celle d’auparavant déjà oubliée, laissant ainsi place à ce renouveau d’actualités, les même que celles ayant été remis du même côté de cette route en phase de terminant en tout temps par le plus beau des remerciements , cette terminaison y activant systématiquement ce moment de cette galanterie , lissant ainsi cette toile si étirée , pour la meilleure de projection, là droit devant, comme en ce moment si persistant, une fois cet amour du jeu se voudra si valorisé pour une éternité entrain de te redire bonjour ,et ce, à chacun de tous ces détournements d’attention, comme de raison.
Te voir entrain d’y observer ce qui , un jour , cette réalité ayant été toujours et toujours là pour te supporter, malgré ton propre degré de scolarité , de difficulté d’apprentissage, tissant ainsi des liens si serrés avec chacune de ces si belles possibilités d’expansion, ce qui bien sur se voudra cette permission à remettre au goût des alentours, lui autorisant systématiquement de lui redonner cette entièreté , si étrangère à cette nouveauté du jour, refermant ainsi la porte à ce prince charmant, ce coeur d’enfant si écoutant en ce temps de réflexion , situation idéale pour y décorer cette si belle intériorité te demandant finalement de lui en redonner toujours plus, sachant très bien que ce refus si généralisé prendra quelques jours, mois ou années d’implication, individuellement parlant, cette rêvasserie se mélangeant ainsi avec ce temps de contemplation , duel gagnant à tout instant, collaboration garantie pour celle ou celui qui se l’aura même permis d’y accueillir ce privilège d’y confectionner sur mesure cette si belle devanture, d’une telle élégance en retour à cette itinérance.
Pourquoi tout à coup un tel tutoiement?
Tu auras un jour le plaisir de te découvrir de toutes ces superficialités, celles que toi seul aura eu la conviction de te parfumer, cette étape d’apprentissage ayant été si bénéfique, étalant ainsi sur cette place si publicisée ce qui de jour en jour se voulait finalement le meilleur cheminement si personnalisé pour une personnalité , étiquetant ainsi son propre environnement, bon , pas bon, beau pas beau, couleur de peau blanche, jaune ou noire, grandeur de maison, une , deux, ou trois portes de garages, patron défrayant les manchettes pour tant de possibilités de s’éclater, toi qui, devant autant de possibilités, cette terre si généreuse à chacun des endroits, son propre renversement se voulant en tout temps si débordant de tendresse face à cette maladresse, laissant ainsi courir ce soit disant conquérant de cette liberté à retrouver, morte ou vive, retraitant ainsi chemin face à cette facilité d’allocution, ce remerciement si influent, intérieurement parlant , bien évidemment.
Te tutoyer me permettra finalement de me rapprocher de cette si belle possibilité de te démontrer , en toute intimité que seul à seul avec ton propre droit de parler haut et fort, intérieurement parlant ou non, à ta guise, selon ton propre rythme de respiration, au ralenti ou encore aujourd’hui , sans moment de ralentir ce tourbillonnement, dès ce réveil si brutal, ce soleil te demandant tout simplement de le remercier pour cette journée débutant instantanément par le plus beau sourire aux lèvres, sachant que ce dorénavant de ce moment présent y dupliquera systématiquement ce à quoi ou envers quoi ce temps d’appréciation y enverra sur cette arène de lutte ou non, frappant sur cette extériorité entrain de te démontrer exactement ce à quoi toi seul se procurera au tout prochain détour, si amoureux de ce beau parcours en pleine orientation sur ce pourtour décoré d’une si belle tendresse, terre engorgée depuis tant d’années d’amusement, bien évidemment.
Si ce tutoiement se veut si particulier pour moi, pourquoi évitons-nous d’en faire profiter à notre entourage si rapproché finalement?
C’est ainsi que cette si belle situation, d’un partage à l’autre, d’une étape à l’autre, d’une génération à l’autre, cette transmission de connaissance ayant été si universalisée , permettant ainsi à ce tout un chacun d’y apprécier , à sa hauteur , sans performance , sans épuisement , que ce souffle de visualisation à apprécier, sans questionnement particulièrement essouflé de ces temps-ci de devoir rebrousser chemin à chacune de toutes ces pauses , cette étape de vie ayant été si bien programmée et ce ,dès ce premier jet sur cette toile de fond, si bleue pour une diffusion en temps réel , si exceptionnel , canal privé garantissant cette authenticité, sceau d’approbation faisant ainsi marche arrière , maximisant cet élan de générosité à peine retrouvée par une telle communauté si fatiguée de devoir se retrouver à chaque jour face à cette image si récurrente, quarante ans se voudra ce tournant si important pour cette féminité tourbillonnant tout autour de cette si belle difficulté, enfin remisée.
Pourquoi évitons-nous de se laisser guider par une si belle légèreté finalement ?
Tu verras un jour, si lointain ou non, tout ceci se voudra en tout temps le plus beau des remerciements qui te sera permis de ressentir, à ta façon, et ce , sans la moindre discrétion, cette étoile qui , en toute profondeur te dira comment faire pour y intégrer sur cette ligne du temps , ce temple si renommé par ces communautés , allant à la pêche pour y découvrir finalement ce qui un jour, aura comme privilège de te faire sourire, du matin au soir, enregistrant ainsi chacun de toutes des gesticulations, négatives ou positives, ces dernières ayant été priorisées, sourires aux lèvres le demandant, passe gratuite pour ce tour de manège en ce lendemain si bien influencé par cette somme de moments présents , accumulant ainsi ce pointage du jour, pour y fabriquer en pleine nuit, ce pâturage en 3D ou non, face cachée ou non, moment de solitude si intéressant pour une extériorité si influencée par une telle intimité, intérieurement parlant bien évidemment.
Ce jeu de mots te semble un peu trop compliqué à absorber?
Sache que toi seul aura un jour le privilège de te mesurer à ta propre grandeur intérieure, quelque soit ton propre code d’étiquetage, quelque soit cette couleur du jour, quelque soit le nombre de blousons suspendus et si bien cousus, quelque soit le nombre de renversement de situations, tout ceci ayant été si bien imaginé au fur-et-à-mesure de cette appartenance ou non, cette rebellion, belle pas belle, ce point de comparaison y cumulant ainsi ce qui, un jour se verra y destituer ce manquement d’attention, ce privilège de se tenir debout tout en souriant, profitant de chacun de tous ces moments présents si disponible à tous instants, ce temps ayant été si bien manipulé par une telle ingérence, d’une tentation à une autre, d’un remerciement à l’autre, d’un simple débordement de larmes à l’autre, à chacun de revenir au jeu de cette amitié , souriant instantanément face à cet environnement si bien inspiré par ce merci merci merci , cette contre participation offrant ainsi récompense instantanée à ce tout un chacun voulant se laisser remercier pour une telle simplicité d’exécution, comme de raison.
Merci de t’offrir cette luxure, là droit devant, comme en ce moment si méprisé, te permettre de le repriser aura autant de bénéfices que tous ces sacrifices , ce caprice d’attachement à ce fauteuil entrain de te demander d’aller te promener pour y ressentir ces feux artificiels si bien allumés par ces tout un chacun au prise avec son propre miroitement, chaleur lui demandant de le réconforter, et ce, sans la moindre autorisation de sa part, laissant ainsi tombé son propre gant de boxe si bien installé , lessivant ainsi toute une raclée face à cet élan de générosité entrain de se relever à tout instant, bien évidemment.
Si un jour le désir de te laisser aller se veut d’une telle ampleur, merci de le laisser entrer par la porte enfin nettoyée, ceci te permettra systématiquement d’y instaurer cette authenticité sur son propre porte manteau enfin dépouillé de cette évolution, résolution se voulant si évasive en ce temps de reconstitution, comme de raison.
Et si un autre jour, ce si beau désir de te laisser aller se voudra si éclairant , intérieurement parlant, bien évidemment, merci de lui permettre de te raconter cette fable , cette fontaine si joyeuse enfin d’y nourrir ce coeur d’enfant si courageux, après tant d’anniversaires oubliés, dix, vingt, trente, cinquante ou soixante dix années à se promener , flânant ici et là, sans scrupule ni sculpture à remanier, que son propre élan de joie de vivre qui, en toute sérénité , se mesurant à tout instant à son propre revers de manchette du jour, ainsi se verra revenir au jeu, cette intériorité en phase débutant à tout instant par une présence si sécuritaire, seul à seul avec son propre univers si personnalisé, enfin proposé à ce parc , là où discussion et remise en questions s’arrimeront à cette complicité , d’un moment si souriant à l’autre, si facile à interpréter, et ce , malgré un degré d’apprentissage à improviser, intérieurement ou visuellement, si bien installé devant de ce si beau projecteur si bien calibré.
Merci à toi, moment présent de ta présence , avec tous ces lieux de recouvrements , cette tentation qui à cet instant précis se voudra de jour en jour si valorisé par une si belle humanité entrain de se reposer, souriant à cette itinérance imprégnée d’une si belle pertinence.
Infiniment merci à ce finalement , qui auparavant se voulait ce point final à cette marche à reculons ou non , tout ceci laissera place dès maintenant à ce dorénavant si stimulant, comme quoi , un simple jeu de mots à dire et à redire se voudra , bien évidemment, le plus beau comportement à fréquenter face à cette facilité de tout réinventer, simple claquement de doigté si bien redirigé , fréquentation instantanée y ralentissant systématiquement ces coups de canons, ce coeur d’enfant qui, depuis un certain temps se veut si heureux de pouvoir s’amuser à tout instant, si émerveillé face à ces possibilités , cette immensité aura été enfin mise en avant plan, là droit devant, bien évidemment.
En toute évidence, merci de te permettre de rigoler à tout instant avec cette manette si personnalisée, tu sais, un jour ce retour à ta propre réalité te permettra enfin de te déguiser en une princesse , baguette si magnétisée, cochant présente à tout instant , cadeau d’anniversaire à déballer , découvrant ainsi ce rêve enfin remis en 3d par la voie y déclarant mission accomplie, comme prix de participation à cette si belle remise en situation, comme de raison.
Terminer cette allocution sans te remercier ferait de cette mission de vie, une obligation de te retenir encore une fois au même poids de départ, en toute légèreté ou non, tout ceci se voulant finalement cet accomplissement à apprivoiser, sans bouée de secours ni détours annoncés à l’horizon, que cette compréhension à écouter, cette intériorité ayant tant de difficulté à y prononcer un simple mot te garantissant ainsi d’avancer , comme en ce moment, face à ta propre décoration, flocon de neige comme point d’intérêt, cette chaleur si vivifiée par une telle simplicité laissera en tout temps le loisir d’y observer au loin, cette trace de pas si légers , malgré un point de départ si bien ancré.
Infiniment merci à ce tout un chacun, ce tutoiement se voulant finalement que cette généralité à enseigner à cette si belle communauté , si souriant et ce, malgré un environnement si chancelant, bien évidemment.
Que le plaisir vous offre le loisir de vous divertir à profusion, avec toute l’élégance que te convient si bien,
Ta propre propriété de te retrouver à tout instant face à ton propre miroitement si éclatant, bien évidemement!
Prête pas prête …j’y vais !
A toi maintenant de me tenir la main,
Ce magicien de ce mot à dire, redire, lire et relire,
Ton coeur d’enfant si virulent, apaisant toutes ces si belles blessures , pâlissant à tout instant , guérison instantanée en cette pause garantissant , d’une marche à l’autre, Frère André ayant eu que le privilège un jour d’y articuler cette si belle manière d’avancer, à genou ou non, tout ceci étant à la discrétion dorénavant de cette itinérance , sans hauteur de chapeau particulière, que ce sourire aux lèvres à proposer à cette instance de perception, donation reproduisant ainsi ce retour au jeu de ce si beau jeton de jeu, sur cette air de chanson, apportant en tout temps la plus des complimentations.
De ton propre coeur d’enfant si agité,
Infiniment merci
De ton sourcillement du moment ,
Merci
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