Merci est, aura et sera en tout temps le plus fier partenaire que tous ces temps passés, dépassés et même surpassés par tant de superflux d’information, au nom même de cette réévaluation qui, comme de raison s’arrimera à chacune de toutes ces éventualités si bien interprétées, de jours en jours, d’heures en heures, de minutes si secondaires face à ce moment présent, si bien représenté comme le plus révolutionnaire des remises en questionnement, là droit devant, lui suppliant de plier bagages , ce panneau de visualisation lui permettant enfin de tout remettre à ce lendemain , marchant tout librement , enchainé ou déchainé à son propre socle si bien nettoyé, si apeuré de pouvoir se promener , sans enlassement particulier autre que ce retour au jeu de ce si court instant d’excitation, ce retour à la maison ayant tant de choses à dire et à décrire, merci merci merci de toujours et toujours te permettre de tout remettre en place, et ce, quelque soit la couleur du ciel annoncé ou le degré de méchanceté à voir arriver, tout prochainement ou non, tout ceci faisant en tout temps partie de ce si beau parcours parsemé de perception ou d’illusion au beau milieu de ce lieu si rigoureux, intérieurement parlant, bien évidemment.
Pourquoi se permettre de se féliciter pour cette si belle traversée, celle qui de toute façon en aura fait paver cette bavure , que pour mieux y collecter ce qui, d’une remise en question à l’autre, cette manière de faire de sa propre universalité, ce miroitement qui, dorénavant se voudra si polyvalent malgré quelques pas de côté sur cette route si bien éclairée, en ce jour de libéralisation, cette situation qui fera de cette communauté si bien informée, une société à part si bien départagée entre son propre pouvoir de diffusion et sa propre intériorisation à observer , en temps présent, là droit devant, bien évidemment.
Pourquoi se permettre de se concentrer que sur sa propre individualité?
Ceci se voudra la meilleure récompense, je pense, celle qui à chacun sa façon finalement, cette interdépendance si bien demandée depuis ce tout premier instant à courir, tomber, découvrir, retomber, apprendre à marcher, à démarcher, à quêter son propre dû du matin au soir, comme si , cette élévation si superficielle se permettait de se mesurer à cette grandeur intérieure, cet éclatement de joie de vivre se voudrait-il si difficile à se voir un jour se distinguer sur cette place si publicisée, ce courant d’influençabilité aura eu gain de causette, ce tout un chacun se cachant ici et là ,façonnant ainsi cette généralité entrain de se retrouver face à cette écran si miniaturisée, cette immensité si facile à contempler, pourtant, là droit devant des yeux qui, au bout de cette rencontre si permissive, sourire aux lèvres du matin au soir, cet émerveillement en temps présent, effaçant ainsi ces si beaux sourcillements d’auparavant, instantanément ou non, à chacun de se retrouver de jour en jour, en pleine transformation, d’un moment présent à l’autre, ceci étant finalement, le plus beau talent à romancer , tout doucement , au nom même de cette réalisation si amourachée sur ce plancher de verre , réfléchissant à tout instant tout ce qui lui aura été permis de réclamer, ce remerciement étant finalement ce si beau bouton d’enclenchement, bien évidemment.
Merci Merci Merci , trois simples mots à dire, redire, prédire, introduire à l’occasion ou non, selon son propre rythme de discussion, écoutant ainsi son propre discours intérieurement reconverti en une remise en doute ou non, cette autorisation à coordonner , à bout de souffle ou si bien aligné avec cette mission de visualisation, cette capacité de tout remettre en place, à tout instant, ce temps de relaxation, de contemplation, de revitalisation, cette orientation en temps réellement satisfaisant pour ce tout un chacun entrain de se frayer le plus beau des cheminements, là droit devant ou sous des pieds si bien ancrés, délibérément ou non, tout ceci se voudra en être revenu si normalisé par cette génération si habituée de tout laisser tomber et ce , sans la moindre idée vers où , ou envers qui cette remise en question lui permettra finalement de lui déterminer cette si belle perception, qui, intérieurement parlant lui demandant tout simplement de sourire belles dents, si éclatantes, bien évidemment.
Alors, pourquoi tant de remerciements à dire et redire à tout instant finalement ?
Tout un chacun se veut libre de toucher à son propre miroitement, du bout des lèvres au tout début de ce si bel éclaircissement, tout ceci se voulant libre d’y explorer son propre fonctionnement, mille et une manières de se retrouver d’un jour à l’autre, après une, deux, dix, vingt, et même encore plus d’années d’embûches à contourner, à dévaler, cette notoriété ayant pris pourtant tant de place sur ce parquet qui, de toute façon se voudra le plus contemplatif des retournements, ces derniers étant en tout temps le plus fier collaborateur , retournant à tout instant ce qui lui permettra un jour de te saluer, tout librement, droit dans les yeux, retombant ainsi sur ses deux pieds si bien reconnectés à ce terreau si énergisé, énervement en temps présent, sifflet entre les deux dentiers , cette mâchoire enfin empreinte d’une telle souplesse, caressant ainsi cette facilité d’y exprimer tout librement, souriant à tout instant face à une immensité toujours prête à y distribuer finalement, cette loyauté à ce tout un chacun lui ayant demandé de redonner sa propre dualité, enfin remisée.
Merci, Merci , Merci d’avoir enfin omis d’y distiller cette portion de temps et de tentations, ce temple si renommé pour son impartialité se voudra finalement le plus stimulant des revirements d’instants présents, intérieurement parlant ou non, à ramasser ou à rassembler , selon son propre rythme de respiration , ce temps de contemplation se questionnant , bien évidemment, sur ce pourquoi d’un comment faire pour y imprimer chacune de ces sensations , si intentionnellement impressionnées par une si belle légitimité si appréciée par une telle communauté, indépendamment ou non de la couleur du clan gouvernant ainsi ce si beau parti si prisant par cette individualité, se dédoublant ainsi en une touche si personnalisée.
Merci infiniment moment présent si inspirant, laissant aucune place à cet étirement de questionnement , intérieurement ou extérieurement, cet enchantement se voulant à tout instant le plus beau stimulateur de coeur d’enfant , cette jeunesse à retrouver malgré quelques courbatures ou quelques points de saturation, couleurs primaires à revaloriser, cette simplicité à savourer du matin au soir, au revoir à cette cotisation hebdomadaire, bienvenue à ce tour de dromadaire, tout doucement , ingérence en toute évidence, redonnant ainsi à celle ou celui qui lui aura demander de lui indiquer comment faire pour se satisfaire de sa simple cuillerée de sel ou autre nutriment à consommer selon sa propre volonté, cette dualité se voudra en tout temps , la réplique même de sa propre consommation de salivation , ou non, à chacun finalement de tout remettre en place sur son propre parquet, au bout de si long tourbillonnement , ce temps de divertissement aura été , est et sera à tout instant cette amitié à départagée , soulevant poussière au passage ou non , ce noyau si bien rassemblé en une pincée de poudre qui, devant ces yeux si amoureux de cette légèreté d’exécution, dansant tout en chantonnant le plus beau refrain lui indiquant finalement, que ce remerciement d’autrefois, ce temps ayant perdu tant de répercussion, ce coup de tambour si bien synchronisé ayant tout à coup, repris des forces face à cet étirement de tentations, à pointer du doigt sur ce tableau à visionner à tout instant ou non, marchant à reculons ou non, si émerveillé face à ces éventualités entrain de se transformer que pour mieux y déclencher cet éclatement de sourires si radieux, infiniment merci à chacun de tous ces remerciements , merci d’avancer tout doucement ou non, ce qui de toute façon vous reviendra à chacune de ces si belles occasions d’y observer sa propre réalité, si éveillée à tous ces changements de tonalités, enfin écourtées.
Si un jour, ce tout un chacun se permettait de revenir à sa propre cour , face à sa propre porte d’entrée si bien éclairée ou non, l’ouvrant avant même savoir si de l’autre côté de cette muraille à escalader, la hauteur ayant été surprise par tant de moments de diversion, selon un horizon de une, deux, trois, cinq ou dix années, cette planification se voulant finalement le plus haut taux d’acharnement, retirant ainsi de son propre carnet de commandements, ce livret de visualisation, ce point de liaison se demandant envers qui, quoi ou ce comment ira cette mire qui, au loin se voudra à tout instant, la plus belle des objections, cette négativité si performante, si arrogante, retournant à son propre propriétaire ce qui lui voudra sa propre gifle sur les doigts, ou son propre sourire à cajoler, si bien installé sur ce fauteuil si confortable, pieds nus dans un sable si bien réchauffé par cette brisure si adorée, ce soleil ayant en tout temps , ce lien de compassion avec cette intériorité , en noir et blanc, fracassant tous ces records d’éloignements , au nom de cette valorisation à accrocher sur ce mur de collection, adieu moments présents pour un instant d’évasion fiscalement incomparable à cette valeur intérieurement insoupçonnée par cette majorité entrain d’y oublier son propre rêve d’enfant à remettre sur pied.
Pourquoi être si dur envers son propre univers finalement ?
Tout ceci aura , est et sera en tout temps cette courroie de transmission à ajuster pour ce tout un chacun entrain de se rendre au bout de son propre compte d’énergisation, si fatigué, si abusé, si bien alité, cette façon de tout donner à son propre patron avant même avoir remercier cette tablette de visualisation, cette immensité se voulant , tout simplement ou non , ce lieu à cultiver , intimement , individuellement, cette manière de se satisfaire de son propre ingrédient secrètement indissociable, ce sourire indiquant si simplement que ce souvenir en devenir aura à faire face à une intégrité si appréciée, du matin au soir, image se démarquant de ce auparavant qui, dorénavant se voudra si accueillant , connaissant ainsi tous ces sujets de l’heure, cette itinérance qui de toute évidence prendra sa place au fur-et-à-mesure, face à cette si belle démesure, là droit devant ou intérieurement , si bien rasssemblée en un point se caractérisant par son propre soulignement en temps présent, bien évidemment.
Est-ce que cette évidence se permettra-t-elle un jour de se démarquer de cette si belle société si colorée de complexité?
Un jour, tout ce qui aura, est et sera remis au pied même de cette porte d’entrée, éclairant instantanément son propre socle sur lequel il lui était indiqué , noir sur blanc ou non, que le commencement de ce bourdonnement d’information lui permettra finalement , de se retrouver au beau milieu de cette cour d’école, ce terrain de jeu se voulant finalement le plus facile à parcourir, à chacun sa façon de se retrouver avec son propre ami si fatigué ou non, ce coeur d’enfant ayant en tout temps la permission de se révéler à son propre voisinage, cet environnement qui ronronnera un jour, cet avenir en devenir se voulant si positivement surchargé de possibilités d’évoluer, infiniment merci à tous ces remerciements qui, dorénavant se voudront la récompense à tous ces maux , ces mots à dire et à redire, merci merci merci d’en faire votre propre capacité de vous réinventer, en toute complémentarité avec cette souplesse qui de jour en jour aura comme contournement, cette voie d’évitement à sa portée, cette évidence en toute pertinence se voulant finalement, si fière enfin de tout remettre à ce lendemain , d’un moment présent à l’autre, d’un bout à l’autre de ce ballon si bien inspiré par de si belles intimités.
A toi maintenant de tout remettre à cette perception, tendant ainsi la main à ce lendemain , cette notion de temps et de tentations se voulant finalement si bien ficelée que pour mieux y apprécier cette éventualité déjà là, sous des pieds si bien intrigués par une si belle légèreté.
Infiniment merci à toi, moment préféré, le meilleur copain à saluer , de jour en jour, et ce ,quelque soit la hauteur de cette tourelle en carton ou en béton, amortir son propre coussin de protection se voudra un jour confronté à cette remise en situation en pleine expansion, comme de raison.
Merci Merci Merci, un pour ce temps d’exécution, un deuxième pour cette tentation de tout remettre en question, et un dernier pour celui entrain de se réinventer , sans difficulté d’allocution, que cette relocalisation , prétextant ainsi ce qui lui sera possible de rencontrer , d’un jour à l’autre , tout prochainement ou non , tout ceci se veut le plus tour de passe-passe, recevoir son propre dû fera un jour de ce tout un chacun, le plus dur revirement de situation à remettre en place après tant d’années d’obligation au nom même de cette intégration à ce cycle d’éducation en plein évaluation.
Merci Merci Merci…si ton propre coeur te le dit !
De ton propre coeur d’enfant si affairé en ce moment …présent bien évidemment .
Merci infiniment
Tout ceci ayant toujours été inscrit tout au creux de ton propre fort intérieur, à toi maintenant de te permettre de le découvrir que pour mieux le lire et relire.
De cet amusement en temps réel, cette joie de pouvoir à tout instant sourire à belles dents, bien évidemment
Bon séjour tout autour de cette si belle tour si bien éclairée,
Merci
