C’est ainsi, et ce , après tant de festivités, de diversités ou encore une autre fois, de souhaits si bien habités de si belles intentions, ce temps de s’arrêter pour y rassembler en un seul et unique comprimé, cette réalisation en pleine expansion, à chacun finalement de tout remettre en avant plan , et ce, bien avant son propre déploiement, bien évidemment, se permettre de revenir en arrière pour en admirer ce qui dorénavant se profilera au nom de cette soie se délimitant à cette autorisation si personnalisée, du début de cette journée si ensoleillée , ou non, réhabilitation en pleine évolution , figuration le démontrant tout en souriant, bien évidemment.
C’est ainsi, et ce, quelque soit cette priorité si bien exprimée, savoir se reconnaitre comme le plus heureux des courageux si fasciné par tant de liberté d’allocution, d’une respiration à l’autre, si ébloui à tout instant par cette luminosité se permettant même de tout remettre en 3D, ce ciel si bleu se voulant fier collaborateur , toile si étendue selon ces recommandations qui, individuellement parlant y délimitera ce pâturage sans clôture ni parjure pour en profiter si surprenamment, répondant systématiquement à cette allocution en attente ou non, ce remerciement ayant tant de gentillesse à démontrer , ce laisser aller y compremettant ainsi cette manie de tout remettre à ces lendemains , pourtant si loin.
C’est alors, que toi, simple petit roi au coeur d’enfant si affamé de nouveautés, de simplicité, d’innovation à ne plus savoir comment y arrêter ces pensées qui, de toute façon se transformeront en répercussion, tympans y traduisant automatiquement, à l’heure qui lui conviendra , cette langue si entremêlée , entourée de cette matière si grisâtre en ce retour à cette modernisation, sans système autre que cette personnalité entrain de se réinventer, d’un moment de présence à l’autre, et ce, quelque soit cette nationalité, cette couleur de peau, ce talon de salaison si bien réclamée ou ce nombre de portières à cette maison si bien protégée, cette soif d’y accumuler tant de propriétés en ce lieu qui pourtant se veut toujours à se départager en une multitude de jeux de pièges et de serpents à découvrir, à chacun de toujours et toujours se permettre de faire de cette lumière du jour, la plus heureuse des secrétaires, sachant en tout temps se limiter à lui demander de se reposer en y entendant cette intériorité lui répétant que de sourire en tout temps au nom même de cette authenticité si fière enfin de tendre la main à ce moment si admiré par tant de gens entrain de se remettre à rêvasser, ce retour à cette normalité se voudra si généralisée en ces temps de probabilités si bien calculés.
Alors pourquoi se permettre d’attendre tant de temps face à cette tentation en pleine révolution?
Tout ceci se remettra à marcher, à trébucher, à se nourrir tout doucement, cette manière si particulière de tout remettre en place, cette planète ayant connu tant de moment d’épuisement, coeur d’enfant parfois oublié, négligé , abusé, et ce, face à cette automatisation de faire de son propre talent si personnalisé, laissant même de côté tous ces avoirs si chers aux yeux même de cette facette de jeu, se remettre à profiter de tous ces temps si rapprochés, sans attentes particulières autre que cette sensation de bien-être, à longueur de journée, du tout début à la toute fin, infiniment merci à toi, moment de satisfaction d’avoir eu recours à certaines recommandations tout au long de si beau parcours si illuminé, à chacun de se permettre de retrouver sa propre boussole, sans aiguillage particulier, que cette sensualité à côtoyer, coeur d’enfant si habitué pourtant à demeurer bouche bée face à tant de possibilités à y exprimer ce sourire aux lèvres, signal de départ si performant, enclenchant systématiquement ce détournement d’attention, ce déversement en toute similitude revenant d’une quelconque particule se trimbalant d’un tout autre firmament , y saluant au passage ce panneau de signalisation, cet arrêt à cette reprise qui , de toute évidence, se remettra à danser du début de cette journée si bien éclairée , ce soleil se permettant même de remettre en place , cette discussion nocturne, ce point de rencontre pour en imaginer ces manières y ayant été enregistrées sur ruban blanc, bleu ou rouge, scénario parfaitement authentifié par tant de sincérité , sourire aux lèvres ou non, à chacun finalement de transmettre cette lettre si bien chiffonnée au nom même de ce rêve d’enfant entrain de se refaire une beauté.
Pourquoi tant de divergence de peau blanche, rouge ou noire?
Tout ceci se veut enfin revenir du jour à ce lendemain si bien ajusté à cette intériorité qui, à sa façon, universellement parlant bien évidemment, d’un bout à l’autre de cette magnifique planète si asséchée, cette amitié enfin retrouvée après tant de séparation, de synthétisation ou encore plus de diversification, alors pourquoi avoir tant de moments à respecter, selon son propre code de véracité, à chacun de tout remettre en place, d’un moment présent à un autre instant en pleine formation, ce jeu de finalité débordant d’une si belle espérance se verra un jour promener du matin au soir, saluant chacun de tous ces habitants si accueillants, se servant même de leur propre influence si invitante, sourire aux lèvres , figuration parfaite pour une embrassade si entrecoupée de stimulations intérieures, ceci se démarquant tout simplement, là droit devant ou sous ses pieds enfin ressoudés à ce terreau si énergisé
.
Alors, pourquoi avoir eu tant de mauvaises manières face à ce si beau savoir faire?
Sourire en tout temps se veut et se voudra ce qui, de jour en jour y peaufinera cette surface si enjouée, cette terre si avare de commentaires autre que cette diversité à transformer, à transposer, ces agencements de propriétés y auront été si bien exploités, profitant même qu’à une majorité d’argentier en ce lieu se voulant si égalitaire, remettre en place cette sagesse qui ,éternellement parlant , fera de cette si belle éducation renouvelée, la plus sédentaire des participation, demandant que de relaxer face à ces paysages si colorés, du matin au soir, ciel étoilé le démontrant, reflet si direct de cette noirceur au coeur même de ce berceau y recevant ces demandes si particulières, doigts si effilés se permettant même d’y imaginer ces quelques mots si difficile à exprimer, ces remerciements qui pourtant se veut et se voudront la meilleure des répercussions , conception originale sorti de ce fanal y réchauffant cette enfantement si enivré, cette fin de soirée si bien enlassé entre les mains de cette majesté , en toute neutralité, infiniment merci à tous ces moments de caresse , coeur d’enfant se reposant après tant d’émerveillement, bien évidemment.
Pourquoi tout cela semble si simple à imaginer mais si difficile à confectionner?
C’est ainsi que le plus important des remerciements, celui qui, dès cette levée du jour, ce coq si affolé d’y apercevoir ce qui, d’heure en heure se verra revenir y harceler cette individualité entrain de se chercher son propre emploi du temps, travaillant si fort à en oublier son propre miroitement, trébuchant systématiquement sur les même blocs légaux, d’une carrure sans écorchure, allant à la perfection avec chacune de ces remarques qui, d’hier à ce aujourd’hui y aura été imaginé de toute pièce par cette vulnérabilité entrain de forger son propre ensemencement, d’une graine si chère payée pour en arriver un jour, flambant nu, bouche bée comme au bon vieux temps , complexité enfin réprimandée se demandant finalement comment faire pour se remettre à marcher tout doucement , tout en sifflotant ou chantonnant comme le ferait cette intégralité si surprise de cette remise au jeu , ce jeton en pleine réaction, souriant de temps en temps ou non, enfin merci à chacun des ces moments d’intériorisation de se permettre de remettre en toutes circonstances ces moments d’incertitude ou non, à chacun de savoir se reconnaitre comme un as de pique si flamboyant parmi tant de concurrence si loyale, redonnant tant d’espérance à cette transparence en pleine possession de son propre moyen d’y répliquer ce qui, individuellement parlant, y ira comme un gant de velours , et ce , à chacun de tous ces détours, à toute heure du jour.
Infiniment merci de prendre ce temps qui perdure et perdurera comme le plus précieux des instants à respecter , ceci fera de cette humanité si exténuée, se cherchant même son propre chef à en orchestrer ces revirements de situations à venir, tel que recommandé face à cet avenir en devenir, d’un moment de représentation à l’autre, si inspirant pour cette assemblée à ce sommet au pied même de cette personnalité entrain de sourire à belles dents, sans maquillage autre que cette poudre lui proposant littéralement si cette sortie du jour se veut à la hauteur de cette aspiration autorisée par cette intériorité si respectée, ce privilège de respirer tout doucement, coeur d’enfant entrain de s’amuser comme au bon vieux temps avec ce pinceau pour y modifier cette direction à suivre, poursuivant son propre cheminement, personnellement parlant, bien évidemment.
Alors, pourquoi se permettre de se limiter à un seul et unique chemin à suivre ou à poursuivre?
Tout ceci se veut et se voudra en tout temps la plus égalitaire des compostions qui , comme de raison, se verra un jour se remettre à s’harmoniser au son même de cette loyauté qui, à elle seule y transposera et ce, avec cette exactitude toujours présente, là tout autour , déguisée ou non en un simple troubadour, infiniment merci de faire de cette intériorité la plus réfractaire des récipiendaires, apprendre à y accepter son propre déploiement fera de cette individualité la plus respectable des présences à observer, du matin au soir, à chacun de revenir à un autre lendemain si ensorcelé, s’amuser à longueur de journée à rechercher cet indice qui , en plein jour y commérera cette nomenclature face à cette verdure si bien ensemencée, configuration en temps réellement indissociée de cette intériorité réfléchissant à chacun de tous ces changements de tonalités, qui majoritairement , y influenceront cette discussion du soir, entrelassé au coeur même de ce jardin , si chaleureux ou non, si bien éclairé ou non, à chacun de mettre de l’ordre tout au creux de ce cafouillage, tête inversée ayant subit toute une secousse, pleurer demeurera en tout temps si sage finalement, malgré cette sagesse fleurtant en tout temps avec ce si beau miroitement, cheveux blancs, gris ou blonds, à chacun de faire de son mieux pour y apprivoiser ce qui, encore aujourd’hui se verra , ce privilège d’y réclamer son propre cadeau d’anniversaire, à longueur d’années, de journées, d’heures en heures, d’un moment présent à un autre recommencement si flamboyant, bien évidemment.
C’est ainsi, si bien alité dans son propre berceau, que ce tout petit poupon, né d’une mère si attentionnée, y ayant accueilli le fruit de cette excitation, si appréciée au nom même de cette révolution qui, de jour en jour se permettra même d’y influencer cette éducation si personnalisée, cette marque d’attention à côtoyer se verra un jour, et ce ,quelque soit cette sévérité autorisée ou cette nomination à longueur de journée, savoir y reconnaitre cette sensation du moment, tout en le transformant tout en souriant , comme à cet instant si prisant, ce lieu de culture se voudra un jour si révolutionnaire face à ce si beau savoir faire, d’un moment de relaxation à l’autre, d’un instant d’inspiration à l’autre temps d’exposition, cette superposition en pleine formation, ce claquement de doigté si agité se voudra un jour le plus beau des retours d’ascenseurs, à toute heure du jour, en temps réel, sans revirement ni contournement, que ce soleil se demandant comment a-t-il pu faire pour remettre au jeu ce jeton si parfumé après tant de moments à en oublier sa propre supériorité, numériquement ou non, la force de cette nomination se voudra en tout temps la seule et unique façon de remettre en place ce miroir enfin entremêlé de tentations de sourire en tout temps ou non, ce champs de pratique se voulant le plus facile à contenter , le respectant en tout premier lieu que pour mieux le départager à cet environnement se manifestant littéralement , là droit devant, bien évidemment.
Merci, merci, merci à toutes ces générations à venir, savoir y apprécier sa propre individualité fera de votre procréation la plus belle des valorisation, parole de cette terre si persuadée d’avoir à y absorber tant de simplicité , en ce jour de liberté à remettre sur pied, d’un pas si dépassé par une telle authenticité.
Le tout si bien décrit comme le plus beau message à lire et à relire, se remettre à avancer sans nécessairement savoir par où aller fera de cette communication la plus sédentaire des remises en questions, comme de raison.
Infiniment merci, très chère évidence de te permettre de respecter cet enfantement qui, de jour en jour y transformera ces si beaux discours, microphone en main ou non, à chacun de faire de son mieux pour en arriver un jour au seul et unique point de ralliement, individuellement parlant , intérieurement , solonnellement ou non, à chacun sa propre manière de se satisfaire de son propre univers si personnalisé, reconnaitre finalement que seul celui qui aura un jour le privilège d’y apprécier cette immensité intérieure, profitera finalement de ce moment présentement si bien affiché , souriant tout en sachant que ce livre si imagé y aura été si bien inspiré par chacune de ces si belles pensées d’autrefois, bras croisés ou non, ce signal si alarmant y miroitant systématiquement ce paysage en pleine transformation , instantanément ou non, à toi maintenant de faire de ce moment le plus merveilleux des temps d’embrasement, réchauffant ainsi cette magnitude sans voilure ni courbature, que cette similitude entrain de remettre sur pied chacune de ses si belle manies d’y saluer sa propre intériorité, réfléchie sur écran géant si bleu, en 3D, toujours prête à se laisser toucher du bout du doigt , cette appropriation se veut et se voudra, libre de discussion, comme de raison.
Merci à cet infini possibilité de s’exprimer,
Joyeux temps des fêtes à cette humanité en pleine transformation, si souriante face à ces moments de tentations, là droit devant, à chacun d’y inscrire sa propre limitation, comme de raison.
Que ce soleil vous éblouisse à toute heure du jour, avec ou sans abat-jour,
De tous ces intervenants , libre d’y côtoyer celle ou celui qui se sera même permis de s’arrêter un seul et unique instant, si nécessaire, face à ce beau savoir faire.
Merci , Merci , Merci…individuellement parlant , bien évidemment.
Se permettre de remettre ses lettres de noblesse à la suite de ses choses à faire , permettra à ce tout un chacun de se pratiquer à y améliorer son propre discours, et ce, tout au long de si beau parcours.
A toi de faire de cette magie de moment, le plus beau des sourires si étincelants, bien évidemment.
Encore merci,
De cette totalité démesurée en une simple personnalité.
Merci