C’est en ce retour à cette liberté d’y imprimer sur cette voie si bien redessinée, à chacun finalement d’y déplacer ce qui dorénavant y aura été une toute première pause, sans lactose ni sucrose, que ce moment de ralentissement à respecter, GPS entre les deux mains , ne sachant plus par où commencer , coeur d’enfant si impressionné enfin , ce temps de divertissement y soulevant tout simplement son propre horaire du temps , bien évidemment.
Pourquoi se permettre de ralentir un seul et unique instant face à cette diversité qui, de jour en jour y disposera en un temps record tant de moments de présence en toute récurrence, comme si, tout à coup, cette solitude dépourvue de cette si belle voilure en ajoutait , d’un soupçon de sincérité à l’autre, nul besoin d’en redemander tellement cette alimentation si élémentaire y dispensera à cette individualité, cette totalité de nutriments et ce, en un simple claquement de doigts, à rapprocher ou à entrecroiser pour y remercier cette immensité entrain de se disperser, intérieurement parlant, bien évidemment.
C’est ainsi que ce tout un chacun se permettra , et ce en toute légalité, cette manière de se réveiller chevelure si bien exposée à ce rayon en pleine infiltration, en 3D, surprotection ou non sur cette peau qui, en tout temps ou non, y répondra à sa manière, souriant ainsi à ce si beau moment de satisfaction, coeur d’enfant si enflammé après tant d’années d’abusement déjà oublié, repartir à la conquête de sa propre représentation sur ce parquet se représentant comme au bon vieux temps, en une multitude de limonades à déguster ou en une similitude à en faire craquer ces si beaux yeux, si amoureux de cette éventualité entrain de déambuler , là droit devant, bien évidemment.
Serait-il préférable d’y effacer ces moments si dépassés par une telle simplicité ?
En toute occasion, tout un chacun aura à se permettre de remettre en place ce miroitement d’auparavant, de ce maintenant ou de celui qui, tout prochainement refera surface, ce si beau terrain d’amusement ou non, selon ce rythme de révolution si personnalisé, à chacun d’en parfumer son propre environnement aux couleurs qui lui auront été permis de mélanger tout au long de ce parcours parsemé de tant de bûches et bûcherons, savoir se relever malgré un degré de chaleur intérieure au plus bas niveau, infiniment merci de remettre en place ce qui, de toute façon s’arrimera à chacune de ces si belles chansons à improviser tout au long de ce moment de contemplation, les yeux si détournés intérieurement pour en vérifier cette authenticité en 3D, sachant en tout temps y remanier cette institution en voiture ou non, à ciel ouvert ou non, cette sensation de satisfaction en avant plan, profitant ainsi de cette tasse de thé déposée sur ce carreau de terre cuite, tellement ce ralentissement de tentation se voudra finalement, ce retour à cette intériorisation qui autrefois se représentait comme le plus beau des chemins entrecroisés de particularités si personnalisées.
Pourquoi se permettre de ralentir un seul et unique instant à la fois finalement?
Ceci se voulant littéralement ce point de bascule à faire avancer ou à supporter tout au long de ce si beau déploiement en direct de cette universalité qui, bien entendu, se redemandera comment faire pour y satisfaire cette individualité , rassemblée ou non tout autour de cette tour qui, auparavant se voulait si salutaire à cette communauté , départageant ainsi cette intériorité de peine même à en oublier ce qui, tout prochainement se représentera au pied de cette porte , cette dernière ayant comme permission que d’y laisser entrer celle ou celui qui se permettra même d’y entrouvrir cet élan de générosité, face à ce paradis en toute proximité, soleil répondant en tout temps à ce si beau moment de duplication , d’un intérieur si bien décoré ou non, à chacun de remettre en ordre de priorité ce qui, de toute façon y enseignera à cet étudiant à temps si bien complété par ce remerciement si influent, bien évidemment.
Est-ce préférable de tout laisser aller pour une seule et unique instantanéité finalement ?
Tout ceci se veut et se voudra en tout temps , le plus beau regroupement de talents enfin retrouvé au nom même de ce qui, à chacun finalement de refaire de cette autorisation, y accepter son propre sortilège, bouchon de liège lancer sur cette marée montante ou non, bouteille d’eau enfin remplie de satisfaction ou non, y laisser tomber cette larme si agitée pour en refaire une boule de feu si lucide, si flamboyante, y éclairant ainsi ces alentours si près finalement de ce rêve d’enfant, en 3D, par dessus cette nomenclature qui, tout récemment ayant succombée à cette simplicité si personnalisée, à chacun de se permettre de refaire surface, bouche bée ou non, mâchoire si relâchée ou non , merci merci merci à toi moment de sollicitude d’avoir ainsi si bien réagit à cette demande si particulière, d’un tournant à l’autre, nul est prophète sur cette route enfin retrouvée , alignant ainsi cette étoile qui, même en plein jour y dessinera ce si beau moment de présence, souriant comme un enfant face à ce cadeau toujours prêt à y être déballer, tel que proposé en ces temps de renouvellement des voeux, infiniment merci à ces doigts si effilés face à cette agitation si rafraichie et si disposée à se laisser manipuler selon ce code de divertissement, intérieurement parlant , bien évidemment.
Pourquoi avoir à y compléter cette éducation tout en trébuchant sur cette ligne du temps ?
Celle-ci se voulant libre de se déplacer à sa guise, au nom même de ce qui , encore aujourd’hui, deux milles si belles années d’incompréhension, de remises en questions, ces manières de faire se voulant si individualisées, à chacun finalement de se permettre d’y élaborer cette nomenclature, acquisition ou réquisition à distinguer face à cette diversité à respecter à chaque instant, cette distillation se voulant si réparateur en cette heure de légalisation, généralement ou personnellement, cette fumée y favorisant ce sourire aux lèvres ou non, synthétisation en pleine révolution , seul à seul avec ce coeur si enjoué, d’une telle pureté , figuration parfaite pour ce nouveau départ sur cette ligne de départ ,là sous ces pieds si bien ancrés , à tout instant ou non, libre est celui ou celle qui, bien entendu se permettra d’y respecter cette stimulation intérieure en tout premier lieu, favorisant cette simulation à cette industrialisation, cette contrefaçon ou encore, à cette dispersion d’informations, comme de raison.
A chacun finalement de revenir comme au bon vieux temps, coeur léger face à une si belle simplicité?
C’est ainsi que se permettra de se relever ce soleil qui, à tous les matins qui lui sera permis d’y faire chanter ce coq si énervé d’y voir plus clair, cette nuit où doigts de fées et droits si autoritaires y confectionneront cette priorité ou non, à chacun de remettre à ce lendemain , en le mimant, en le remerciant d’avance, en le jugeant que constamment, en lui donnant des ordres d’activations, à chacun de se permettre finalement de revenir à son propre point si bien attaché tout au creux de ce lieu si généreux, si chaleureux, savoir y reconnaitre ce privilège de se promener tout doucement, tout librement, comme au bon vieux temps, mains dans les poches , ressentant ainsi cette accumulation de satisfaction au nom même de cet intérêt qui, un à la fois y aura valu cette peine d’en oublier cette éducation qui autrefois y entrevoyait des brèches , là où cette épine du pied y enseignait de ralentir un seul et unique moment de présence à la fois, à chacun encore une fois de remettre en doute cette route aux rebords si veloutée ou non, à chacun d’y arrondir cette fin de moisson à sa façon, comme de raison.
Pour y simplifier cette orientation, merci merci merci de faire ou refaire le chemin inverse de temps en temps, revenir à son propre de départ , ce poids si léger ayant eu fort à faire pour se défaire de cette muraille si enrubannée , moment de discernement à apprivoiser en ce retour à cette modernité, sans câblage à installer ni habit de camouflage à enfiler, que cette sensibilité à interpréter tout au long de cette distillation ,en temps réel, sous ce ciel si bleu ou non, soleil y éblouissant même cette participation si bien activée par une si belle authenticité se demandant par où aller face à autant de moments d’interprétation, individuellement parlant , bien évidemment.
Sacrer à la journée longue après tant de difficultés ou s’enrager après tant de fil à conduction si entremêlés aurait-il fait rebondir cet avenir en devenir de son propre aveux ?
Libre est et sera celle ou celui qui se permettra finalement de faire de son mieux face à cette réinitialisation, cette coupure de ruban ayant fait tant de dommages, tête inversée pour y accueillir cette mondialisation en concentrée, qui , miraculeusement ou non, y aura été reconstruite de toute pièce , en une dizaine de semaines ou de mois, tout ceci se voulant finalement si précieux à observer à longueur de journée ou non, liberté à redonner un jour à celle ou celui qui en sentira le besoin de revenir au jeu, après 5,10,15 ou encore plus d’années de divertissement à ne plus savoir comment y reconnecter son propre élément si sécurisant, intérieurememt parlant , bien évidemment.
Infiniment merci à cette individualisation de se permettre d’y respecter cette si belle individualité , tout ceci se voulant finalement si séduisant, fleurtant si poliment avec cette similitude , sans chevelure ou non, cette évidence reprenant ainsi place à cette case de départ, visuellement parlant , bien évidemment.
Serait-il préférable d’en oublier son propre horaire du temps actuel si énergivore intérieurement parlant ?
Cette manière de voir cette chasse à ce trésor qui, dès le retour à la surface se dispersera en un temps si éclairant ou non, y embrouillant systématiquement cette mission de visualisation, savoir y voir de plus en plus clair fera de cette communauté si exposée à toutes ces actualités , hypnotisée ou non face à cet écran de divertissement, à chacun de tout remettre en place pour en faire émerger cette intériorité si reposée, si bien exposée tout en longueur, en largeur, en saveur, en couleur, cette marge de manoeuvre et oeuvre d’articulation se voudront libres d’y infliger cette rafle, ce coup de fouet nécessaire à chaque instant, répétant merci merci merci à tout instant possible de le faire, cette mission de valorisation se voulant finalement si imposée d’avance, savoir y accueillir cet avenir en devenir d’un meilleur oeil si aiguisé se voudra tout simplement, la plus recette du jour à apprécier d’un moment présent à l’autre, annulant tous ces instants précédents pour en faire une éducation en pleine passation de ce besoin de se réinventer selon son propre code d’identité enfin retrouvé.
Un tout dernier merci à cette valorisation de remettre en marche cette distinction, intérieurement parlant, bien évidemment.
À cette si belle évidence, merci de faire de cette noirceur, la plus belle histoire personnelle en devenir.
Le tout si bien décrié de cette cour intérieure, qui de toute évidence, se voudra si transparente dès ce retour au jeu de cette douceur du jour aperçue au alentour.
En toute amitié avec cette touche si velouté,
Merci