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Sans repli ni mise en pli

C’est ainsi , et ce sans la moindre évidence à revamper, que cette si belle remise en liberté de ce coeur d’enfant rendu majoritairement si interdépendant finalement, ce moment de caresse, de tendresse et tant de gentillesse parvenu et encore entrevu tout près ou à côté de ce paysage entrain de lui démontrer tout simplement ce privilège d’y admirer ce à quoi ou à qui, ou encore mieux, envers quoi ou envers qui toute cette si belle marque d’affection y manipulera en ce temps ou en ce lieu , cette garde si rapprochée se voulait-elle si incisive finalement, là droit devant ces yeux si amoureux de cette visibilité à en perdre sa propre orientation, itinérance en prédominance face à ce manquement de tentation, comme de raison.

C’est alors que se permettra de revenir au jeu cette amitié qui, en toute proximité se permettra même d’y installer ce bateau sans armature particulière ni bavure à improviser, que ce temple si renommé à proposer  intérieurement parlant , bien évidemment, cet ère de légèreté aura-t-il un jour le plaisir d’en faire découvrir ce si beau désir de séduction, de remise en situation si personnalisée, de moment de contemplation à prioriser, à chacun de faire de son propre commentaire du jour le plus beau des remerciements sans agents particuliers à déplacer ni structures à déménager tellement cette simulation en temps réel se verra un jour devenir ce si beau souvenir en devenir tout au long de cette si belle remise en question, d’un repositionnement à l’autre, nul besoin d’en épuiser sa propre coupe à boire à tout instant, la lever pour y festoyer cette victoire en temps réellement indissocié de cet accompagnement en temps présent,  ce coeur d’enfant si émerveillé enfin d’y apercevoir au loin cette comédie si bien imaginée l’an dernier ou tout récemment, selon ce si beau cycle de révolution, comme de raison.

C’est alors, et ce , sans question ni remise à revisiter, celle où bucheron et ferblantier qui autrefois se permettaient ainsi de se distinguer par cette cambrure ou cette voilure si solidifier, ayant tant de peur à se départir de cette évaluation si personnalisée, cette éducation qui y apportera tant de médaillons à apporter au front, cet étiquetage si particulier y transposant ainsi si systématiquement cette volonté de se retrouver seul à seul avec son propre moment de ralentissement, savoir se reconnaitre comme le plus grand initiateur de si bonnes nouvelles à venir ou à vernir selon cette passion ou non face à cette simplicité d’y voir se relever tout doucement cette image qui autrefois se cachait  tout au creux, sereinement avec ou sans sédimentation, tellement long aura été cette rebellion à engendrer un jour, celui qui aura comme privilège d’y enlever cette doublure de ce blouson beaucoup trop long pour un simple itinérant en temps complètement si indifférent à cette résolution sur écran géant en cette occasion de réunion, individuellement parlant bien évidemment, bien avant d’en départager à cette société cette duplication sans voilure ni filature, que cette si belle évidence en toute transparence, là droit devant ou comme en cet instant si prisant, se regardant droit dans les yeux de cette si belle personnalité entrain de se féliciter à tout instant, bien évidemment.

C’est ainsi  que s’élancera cette profession qui parfois y énumérera cette façon de faire, de remettre en doute ce qui pourtant se voulait si permissif, si évolutif à ce tout un chacun ayant comme seule et unique mission de vie que de ralentir un seul et unique instant à la fois que pour mieux y voir plus clair face à cette permission d’en profiter ou non, à chacun finalement de reprendre son propre titre de propriétaire de ce paquebot si bien installé face à ce marécage qui de toute façon y soulèvera en toute facilité ce morceau de verre ayant été si bien nettoyé, cette apparence se voulait-elle si informelle face à ce manquement de talent à retrouver , intérieurement parlant, bien évidemment.

C’est ainsi, avec ou sans artificier à aborder, que cette rumination ou non  à reconnaitre comme cette inspiration du moment, se savoir en toute complicité seul à seul avec sa propre démission ou non, sa propre désillusion ou non, son propre temps de reconnexion ou non, infiniment merci de faire de ce si beau savoir faire la meilleure des vitrines à observer au loin ou non, infiniment merci pour cette sincérité à déménager tout au creux de ce lieu si rigoureux  face à tous ces changements de tonalités enfin répertoriés en toute priorité , à reculon ou non, manette en main pour y modifier ce sourire face à cette si belle démesure qui, intérieurement y relatera automatiquement cette netteté dépourvue enfin de cette si belle ambiguité.

C’est ainsi que se permettra de revenir au bercail, cette limaille de fer qui tout au long de cette reconstruction, tu sais un jour tout ce qui aura été si bien retransmis en direct de cette universalité l’aura été si bien imaginée, ressentie, décrite, et même entreposée si longuement de peur même d’y déranger ce comportement qui de toute façon se rangera du côté de  ce fossé si bien tracé face à ce front à l’oeil si aiguisé , marcher en toute noirceur sans la moindre peur de trébucher tellement cette guidance qui de toute évidence se permettra ainsi que de te tenir la main de jour jusqu’à ce lendemain , à toi, tout un chacun de faire de cette remise en évidence ce voyage si personnalisé , cette manière de se satisfaire de son propre univers avant même vouloir le partager à cette humanité si épuisée , cette dualité se voudrait-elle finalement ce renversement de situation à venir en ce retour à cette intériorité enfin remise en avant plan, deux milles si belles années d’évolution auront-t-elles un jour cette capacité de remettre en force cette si redoutable poursuite de ce rêve d’enfant à en oublier son propre moment de concentration, cette fonction si particulière de refaire de ce mode de fabrication , cette installation en temps réel de ce campement qui, en toute permanence se voudra se distinguer finalement de cette émergence de talent si satisfaisant, intérieurement parlant, bien évidemment.

Alors, pourquoi se permettre de courir en tout temps et ce , malgré toutes ces écritures sur ce sujet si particulier, cette recherche de plaisir , là où seul ce porte bonheur aurait eu le désir d’y construire cette si belle demeure, ce porte manteau aura-t-il un jour cette incapacité de se relever par pure amitié avec son propre ressentiment si percutant, intérieurement parlant, ce  porte manteau  y facilitant ainsi ce manquement de tentation que pour mieux en faire oublier ce travail qui , tout au long de ce discours battant de l’aile , ce raccourcissement de temps  se voulait finalement cette objection à remettre en point d’interrogation, tourner en rond en tout temps au nom même de cette éducation qui à sa façon se permettait touts simplement d’y cataloguer cette individualisation entre deux jeux de médaillons si reluisants ou non, à chacun finalement de se permettre d’y relativiser sa propre grandeur intérieure, personnellement, intimement, authentiquement, cette démesure si inébranlable se comparera un jour à ce nombre de possessions, de maisons aux portes barricadées à double tour, à ces diplomations décorant ainsi les murs de cette entrée à cet environnement si bien créé de toute pièce, seul à seul avec son propre tourbillonnement ou non d’informations parvenues à y persuader cette intimité encore ébranlée de cette simplicité d’allocution, ce remerciement si influent ayant comme seul et unique fonctionnement que d’y imiter finalement ce visage si souriant , savourant ainsi cette victoire si dure gagné, ces mains enfin déliées pour y redessiner son propre paysage dépourvue de si belles couleurs à apprivoiser, tout doucement après tant d’années d’obligation, comme de raison.

C’est ainsi que je me permettrai enfin, moi, cette si belle remise en doute, si redoutable, à redouter de jour en jour, savoir y manipuler son propre environnement fera de cette anniversaire de  renaissance, ce trophée à soulever à toute occasion qui lui sera possible à ce  tout un chacun au prise avec son propre miroitement, là droit devant, bien évidemment.

C’est à toi maintenant de revenir comme au temps où, coeur d’enfant si émerveillé se permettait que de s’arrêter un seul et unique instant présent que pour mieux y découvrir ces milles et une histoires que cette vision enfantine voulait si bien lui proposer avant même avoir à y subir ce revirement de tentation, cette volonté de plaire à cet entourage parsemé de rouage à en faire oublier ce plaisir d’y éblouir cet environnement , là droit devant, bien évidemment, cette remise en fonction de cette capacité d’y imaginer en tout temps ce paysage qui à lui seul y fera sourire instantanément cette personnalité si émerveillé en ce retour à cette liberté de dire merci merci merci à tout instant, comme à ce moment si présent, bien évidemment.

Infiniment merci à toi, moment de certitude de faire de ton propre temps de fabrication la meilleure recette à en redonner toujours plus à cette amitié entrain de se tenir la main face à ce soleil si heureux enfin de pouvoir y projeter à sa guise cette duplication, et ce en toute exactitude, cette similitude se voulant  se distinguer de cette combinaison si spéciale, cet habillement qui auparavant en profitait pour y inventer tant de sorties de routes en y attendant au coin de cette ruelle , ce compagnon à reconnaitre comme cette valorisation à un seul et unique exemplaire, cet imaginaire se voudrait-il redevenir refaire cette si belle remise  à jour, infiniment merci étirement de tentation pour cette instance qui de toute évidence se voudra un jour en faire ce moment de relation à en inspirer cette si belle installation de culpabilité ou non, merci merci merci à ce tout un chacun de  faire de sa propre universalité la plus belle des universités, en communication directe ou non avec son propre professeur si inspirant, là droit devant, bien évidemment.

Un tout dernier merci à ce sourire si réjouissant de faire de cette histoire du jour la meilleure des visibilités à observer à longueur de journée, à chacun d’en abuser à sa façon comme de raison.

Merci Merci Merci à toi, moment de similitude de faire de cette immensité ce paysage à rencontrer un jour, en ce retour à cette liberté d’y manipuler son propre environnement, là droit devant ou sous ces pieds si bien soudés à cette énergie y distribuant à cet infini possibilité cette capacité d’y instaurer son propre campement , étoiles comme toile de fond en toute profondeur et ce, quelque soit la couleur du jour à venir, infiniment merci  à cet avenir en devenir d’en faire ta propre  historique , ce passé se voulant si bien vu de ces temps-ci comme cette éducation à ce mode de satisfaction enseigner à l’unisson comme de raison.

Infiniment merci.

De ton propre environnement si inspirant, bien évidemment.

Merci

 

 

 

Crédit photo: pixabay

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