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Infusion en pleine réaction

C’est ainsi , et ce , en toute modestie, tout un chacun aura un jour cette possibilité d’y exprimer sa propre joie de vivre tout librement face à ce moment de complémentarité, cette efficacité se voulant littéralement son propre droit d’auteur en ce retour à cette normalité, courir ainsi auprès de cette si belle initiation , ce moment de passation se voudrait-il finalement si satisfaisant, individuellement parlant, là droit devant ces yeux si amoureux de cette liberté en perte nette de manipulation tellement cette instance de vulnérabilité se mesurera instantanément en une réplique ou une cathédrale si bien vu tout autour de ce foyer se rallumant automatiquement , intérieurement parlant, bien évidemment.

C’est ainsi , et ce, sans le moindre doute d’y redouter ce qui , dans le fond se voudra si évocateur , cette façon de remettre en place ce manquement d’attention , cette démission en boucle ou en rémission aura-t-il eu fort à se défaire de ces liens qui le retenaient tout simplement , cet attelage qui de jour en jour se voudra finalement la plus heureuse des filières, cet environnement si réparateur se promettant même d’en mesurer sa propre échelle de comparaison tellement chaleureuse en sera redevenue cette si belle remise à nu, inébranlable, incomparable, sur solage ou non, infiniment merci à toi moment de complémentarité de faire de cette lueur intérieure la plus colorée des arc-en-ciel, à ciel ouvert ou non, la départager avant même avoir eu la moindre intention d’en profiter aura-t-il eu comme résultat que de se limiter à un point de départ pour une autre journée à toujours devoir y raccommoder son propre blouson dépeint par tant de salubrités ayant tombées d’un je ne sais où exactement, ce moment de salivation se voulant cet évaporateur à y embuer son propre miroitement, là droit devant, bien évidemment.

C’est ainsi, et ce, en toute légitimité, à chacun de se permettre de tout réinventer , d’un pas si dépassé par une telle intimité, d’une passerelle si égalitaire en ce lieu si secondaire, savoir se relever à tout instant  y admirant tout librement ce paysage se voulant cet écran si bleu, cette répercussion en temps réellement si indifférent de cette intériorité entrain de tout laisser tomber ou savourant instantanément ce moment de liaison , infiniment merci à toi, satisfaction y garantissant ce moment de ralentissement comme étant redevenu cette mesure de tentation à remettre en question, nous voici sur cette ligne  de but ou de mutation, à chacun d’en faire sa propre permission de visualisation ou non, merci merci  merci à toi , saveur du jour d’y parfumer cette infusion en pleine réaction, tasse de thé le témoignant , visuellement parlant, bien évidemment.

C’est à partir de ce moment si percutant, cette façon de transmettre à cette planète si asséchée de ces temps si diversifiés, serait-il possible un jour de revenir au temps où ce soleil , cet animateur de foule qui en pleine possession de son propre moyen d’allocution , cette toile de fond si bleue, si étirée, si allongée de long en large , de haut en bas, à chacun de se permettre de lui signaler ce qui , d’un jour à l’autre ou comme à cet instant si insistant, seul à seul avec son propre prince si charmant, ce coeur d’enfant y affirmant présent à tout instant malgré quelques années passées à trébucher  sur cette route se voulant si personnalisée, alors pourquoi avoir autant de talent en latence en ces temps d’itinérance, intérieurement parlant bien évidemment.

C’est ainsi, finalement ou non, à chacun de se permettre de refaire de son propre code de réfraction, là droit devant ou sous cette soudure, cette semelle si réfractaire à tous ces changements de tonalités, ce sourire si étincelant au nom même de cette possession de tous ces moyens, un seul suffira pour y initier ce mouvement de matière en noir et blanc ou comme en ce moment si précieux, regarder son propre miroitement jusqu’à le remercier pour son amabilité, savoir se reconnaitre comme cette étincelle du jour , cette réclamation en temps réel aura eu comme privilège d’y voir évoluer ce qui, bien entendu se voudra si libérateur en ce retour à cette heure si avancée, d’une minute à l’autre, nul  une comme les autres, infiniment merci à toi pour ce  si beau savoir faire à retrouver un jour sur ce parcours si bien redessiné tout au long de cette faveur à repositionner en toute priorité tout au long  de cette journée si bien illustrée, personnellement parlant , bien évidemment.

Alors, pourquoi avoir autant de talent latent remisé sur ce banc de pénalité ?

C’est ainsi, sans en savoir la moindre marche à suivre ou à poursuivre, cette solution se voudra libre à chacun d’y participer ou non, cette chasse à retrouver ce trésor si bien installé en toute profondeur, cette base si bien inclinée ou non, à chacun de se permettre finalement ce plaisir si affolé de le retrouver en toute intégralité, cette intégration se verra un jour ce retour à cette individualisation , serait-il venu ce temps où chacun de ces participations en temps réel se verront ainsi , refaire de ce nouveau mode de vivre en toute liberté, souriant en tout temps ou non, se percevoir entre deux planches de pin, ce jeu de cache-cache ou de passe-passe serait-il entrain d’y démontrer cette manière de tout remettre sur table à la moindre invitation qui lui aura été possible d’en faire cet environnement si personnifié, à chacun de se permettre de  rêver comme au temps où coeur d’enfant si influent se voulait si entaché de solution en pleine ébullition, comme de raison.

C’est ainsi, et ce, sans la moindre attention particulière autre que de redonner  cette espérance à cette société entrain de se requestionner à tout instant, ce moment d’incompréhension se voulant si important sur cette route si détaillée, comment faire alors pour se détacher de son propre socle si bien ancré, si solide aura ce lien de comparaison, cette éducation aidant à y limiter cet encadrement, là droit devant, bien évidemment.

Pourquoi avoir tant de talent caché à retrouver finalement ?

C’est ainsi que se permettra de se relever, cette amitié qui , en toute intimité  , ce vouloir se voulant si facile à comparer à ce moment de qualité, cette gestation en temps réel ayant été  si bien remisée depuis tant d’années d’exploitation si saisonnière, si pécuniaire, si révolutionnaire, savoir se relever de cette jambette du jour se voudra , bien entendu comme ce point de commérage, cette ouragan avec ou sans ces gants blancs,  vu ou aperçu au loin, infiniment merci à toi, moment de comparaison de remettre en boucle ce lieu si sécurisant, cette intériorité entrain d’y concocter ce qui, dorénavant se voudra si enfantin en ce retour à cette personnalisation, en temps réellement si stimulant, individuellement parlant, bien évidemment.

C’est ainsi, et ce, en toute confidentialité, tout ce qui aura été si bien ressenti, pressenti, reconverti ou non, au nom même de cette sensualité se limitant même à y cajoler ce coeur si agité, de peur même de le laisser y évaporer cette sueur du jour, infiniment merci à toi si savoureuse tentation, infiniment merci finalement par ta gentillesse si légendaire, merci merci merci à toi, moment de sensation à reconnaitre comme cette mesure du temps, à chacun de se permettre de tout remettre en place, au fur-et-à-mesure, infiniment merci , miroir si bien nettoyé, seul à seul avec sa propre intimidation, merci d’en faire cette si belle recommandation , moment de ralentissement se permettant même d’y laisser couler quelques brides à cette société incapable de se laisser aller, du matin au soir, et ce, malgré ce panneau de signalisation entaché d’écrans si miniaturisés, en ce retour à cette liberté d’y exprimer sa propre satisfaction, inconditionnellement parlant, bien évidemment.

A toi maintenant de te permettre de refaire de cette mode si particulière, savoir y redécorer sa propre appartenance avant même en partager la moindre pointe de taxation, serait-il venu ce temps de relaxer que pour mieux y apercevoir cette marque d’affection ou d’affectation, à chacun finalement de tant vouloir se rattacher à son propre hameçon du moment, cette suite si magnétisée d’instants présentement là , droit devant, sur cette toile si bleue, en 3D, ce soleil ayant cru bon en remettre toujours plus que pour mieux en apprécier cette si belle adulation, ce taux de perception se voulant en tout temps, libre de profiter de cette répercussion en pleine évaluation, comme de raison.

C’est ainsi, et ce, malgré ces yeux si emballés, malgré tous ces agréments, malgré tous ces moments de ralentissements, savoir se regarder droit dans les yeux , comme en ce moment ou non, infiniment merci à toi, moment de solitude qui de toute évidence se voudra intimement si influencé par une telle gentillesse ou cette tendresse qui en plein jour y détournera toute cette attention, ce point de focalisation ayant subi toute une tournure d’évènements, intérieurement ou extérieurement, à chacun d’y assembler sa propre répercussion battant à l’unisson, comme de raison.

Infiniment merci à toi , étoile se faufilant à tout instant, ce jeu d’enfant y éveillera un jour ce regard si émerveillé sur ce terreau si émancipé, sensuellement parlant , bien évidemment.

Merci , merci ,merci à toi, soleil se relevant à tous les jours que pour mieux y réfléchir ce qui, en pleine nuit y aura été discuté seul à seul, sans le moindre bruit, sans la moindre parcelle de comparaison, sans le moindre soupçon d’intimidation, à chacun de se permettre d’y concentrer la majeure partie de ce temps à respirer tout doucement, et ce, malgré tous ces degrés d’insolvabilité annoncés à l’horizon, cette solution si particulière de tout  remettre à ce lendemain et ce, à la moindre poignée de main , ce sourire aux lèvres se voulant ce signalement de départ face à une participation à temps réellement si démesurée, à chacun d’en faire son propre passe-temps ou non,  comme de raison.

Merci merci merci, bien évidemment.

Le tout si bien décrié par tant de moments de ralentissement à mettre ou à remettre sur cette horizontalité si bien réalignée , ce poids ayant été aperçu au loin en ce retour à cette liberté d’expression, d’un sourire à l’autre, nul un comme les autre, incomparable soit-il en cette journée de souvenirs en devenir.

A chacun de se permettre d’y relater son propre soupir,

De ton propre poussin de Pâques,

Infiniment merci de conserver ce sourire si radieux,

Merci

 

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