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Saisir son propre moment

Ainsi aura été cette si belle destination, sans le moindre soupçon d’orientation autre que cette culpabilité qui, bien évidemment se voudra si dure à avaler , cette façon de se permettre d’y répertorier ce qui  d’un jour à l’autre se voudra littéralement ce si beau moment de similitude, 2000 si belles années à y raconter tant de différences et ce, malgré ce soleil si émerveillé, infiniment merci à toi, solution de rechange, cette année si révolutionnaire y instillera si simplement ce retour à cette normalité enfin remise sur pied, tel que proposé depuis tant d’années d’étourdissements si divertissants, bien évidemment.

C’est alors que se remettra à rêvasser cette minorité, cette soif de rire et de courir mains déliées, savoir y refaire cette si belle personnalité après tant d’années de répercussion , pas à pas et si dépassé finalement par une telle facilité, infiniment merci à toi moment de retrouvaille, main dans la main avec ce si beau magicien de ce mot à dire et redire à longueur de journée au nom même de cette familiarité si printanière, merci à toi pour cette remise au jeu , ce coeur d’enfant si affamé de nouveautés malgré toutes ces années lumineuses ayant été si bien remisées de l’autre côté de cette rigolade qui se voulait tout simplement ce moment de présence qui de toute évidence se permettait que d’en limiter cette si belle visibilité.

Pourquoi avoir mis tant d’années à tout laisser tomber finalement ?

Se permettre d’avancer et ce, sans la moindre boussole entre les mains, sans la moindre demande à réclamer, tout ceci se voulant finalement la seule et unique manière de se relever sourire aux lèvres et ce, malgré le degré de chaleur à la maison, l’angle de projection sur ce si beau mur de ce salon si bien décoré, malgré tous ces rajustements de tableaux si bien alignés , profitant ainsi de cette si belle remise, cette demeure se voulant si manipulable en ce lieu si rigoureux sur ce terreau en  peine et si asséché, infiniment merci à toi, moment de couverture d’avoir ainsi permis à tant d’années d’efficacité de pouvoir  profiter de cette demande en mariage, ce coeur d’enfant toujours prêt pour une autre journée à peine commencée, cette résolution en pleine réaction y confectionnant exactement ce à quoi , à qui , envers quoi ou envers qui cette si belle attention y aura priorisé cette  remise en questionnement, là droit devant ou intérieurement parlant bien évidemment.

Pourquoi avoir mis tant de temps finalement ?

C’est ainsi que se permettra de rigoler ce moment de similitude, celui tant vénéré par tant de partisans, d’artisans de paix, de prophètes en prophéties, infiniment merci à toi de te permettre de discuter ainsi, à ta façon, individuellement ou non, merci pour ta générosité, merci surtout pour ta fiabilité indiscutable, un tout dernier merci à toi, solution en pleine ébullition, merci de te permettre de refaire de cette si belle mode actuelle cette mesure du temps, d’un moment de présentation à l’autre, cet échantillon se voulant finalement le plus grand des départements à apprivoiser en ce retour à cette liberté d’allocution, comme de raison.

C’est alors que se permettra de refaire de cette surface de jeu le plus beau des cadeaux à proposer à son propre voisinage, sachant bien évidemment que tout ce qui y aura été si bien projeté, ce soleil se révélant si influent malgré cette si belle imputabilité, savoir se reconnaitre comme le plus grand des itinérants fera de cette planète terre ce revirement d’importation de données à peine filtrées tellement cette authenticité ,  celle qui , parti de si loin derrière cette façade de maison, de ce nombre d’habitations inhabitées, de ce nombres de diplomations, de ce nombres d’années à étudier tellement fort pour en arriver finalement à se mesurer à cette intériorité toujours prête à se laisser aller de gauche à droite, de haut en bas, cette longueur de tentation se voudrait-elle finalement si évocatrice en ce retour à cette liberté d’allocution, dire merci merci merci en tout temps ou non face à cette infinité possibilité , ce ramassis de questionnements se voulant tout simplement interprété par un flamand rose, rouge ou blanc, toutes ces couleurs ayant comme seul et unique but que de te redonner cette souplesse du moment de présence, intérieurement ou extérieurement , ou toutes ces facettes si bien rassemblées sur ce terreau si coloré en ce retour à cette espérance de pouvoir sourire en toute liberté et ce, quelque soit cette si belle nouvelle du jour imprimée sur papier glacé, noir sur blanc ou non, à chacun finalement de refaire de son propre exutoire cette mesure du temps à remettre sur son propre socle de prospérité, espérant ainsi pouvoir d’un jour à l’autre y redonner à cette mine de crayon le plaisir de pouvoir y ressentir cette sensation du moment, talent lentement y chatouillant son propre coeur d’enfant, bien évidemment.

Pourquoi avoir tant de mots à dire pour une si simple façon d’y retrouver cette interrogation à réfléchir sur cette remise au jeu ?

En d’autres mots, merci merci merci fera en tout temps la majorité du travail , et ce, quelque soit  ce point de départ que ce tout un chacun aura un jour le plaisir de faire réfléchir, savoir y reconnaitre ce qui de jour en jour se traduira par cette gentillesse si attendrie, cette solution si réactive se voulant finalement ce qui un jour se retrouvera là droit devant ces yeux si éblouis , si gentils auront été ces moments de liaison, seul à seul , intérieurement ou non, infiniment merci d’y avoir creusé cette fosse remplie à pleine capacité , cette intériorité étant ainsi si choyée de pouvoir  se mesurer à cette hauteur de chapeau, de talon, de taux de salaison, incomparable y sera ainsi devenue cette si chaleureuse cuve à y embuer ce terreau si pollué, tout doucement y sera redevenu cette opération de nettoyage,  se permettre d’y récupérer ce qui auparavant se transformait en une évaluation du moment, cet enseignement se voulant libre de se choisir comme le plus grand influenceur et ce, sans effort ni taux d’efficacité à mesurer, que cette si belle destitution à remettre de ce côté de cette route enfin redessinée au fur-et-à-mesure  que cette itinérance se promettra finalement que de revenir au jeu que pour mieux y redécorer cette si belle société toujours entrain de tout remanier, en temps présent, bien évidemment.

Alors pourquoi se permettre de toujours recommencer à zéro, du matin au soir, d’un jour à l’autre, nul besoin à combler autre que ce sourire à alimenter face à cette limitation qui, autrefois se voulait libre à chacun de bousculer, cette manière de faire ayant été là , si disponible , ce passe temps se voulant finalement si percutant, s’assommer en temps réellement si indissociable sur cette poutrelle si courbaturée fera-t-il de ce réveil si brutal cet amusement du moment en ce lieu si valorisé par cette prise de bec, y embrasser sa propre image ,celle qui depuis tant d’années se voudra finalement redevenu libre de respirer tout doucement, tout en profondeur, et ce , malgré ce degré de confidences qui y seront si bien entendues au travers de tous ces ruminements qui de toute façon se convertiront en un ronronnement, tout prochainement, bien évidemment.

Pourquoi avoir tant de difficulté à dire merci merci merci finalement ?

Pourquoi se questionner sur ce pourquoi d’un comment  faire de sa  propre réalité, ce qui de toutes ces façons de refaire son propre discours du moment, savoir se concentrer sur cette si belle éventualité qui instantanément, ou non, se verra ainsi y projeté cette si belle loyauté, tête en bas pour l’occassion, redonnant ainsi ces ailes à ce bucheron qui autrefois se voulait si fier d’y avoir amassé cette sommité de performance, rappelant ainsi à cette superposition que cette tournée de comparaison se retrouvera dès ce lendemain matin face à cette réputation , à chacun de se permettre d’y balancer ce qui, bien entendu , se voudra si libérateur sur cette route ou autoroute à sens inversée ,tellement long aura été ce voisinage , ce copinage, ce copiage, savoir y remercier toutes ces années de difficulté fera de cette regénération la plus heureuse des cohabitations, face à face avec sa propre image si immaculée, que pour mieux la découvrir , tout doucement, là droit devant , si souriante , en tout temps , bien évidemment.

Infiniment merci à toi, moment de caresse, ce qui fera de ma propre personnalisation cette fascinante individualité toujours prête à y prodiguer tant de gentillesse en retour, et ce, malgré cet alentour parfois incompréhensif, parfois répulsif,  à ce tout un chacun de se comparer à son propre miroitement, là droit devant, bien évidemment.

Merci merci merci à toi, moment de sincérité, merci surtout de te tenir debout malgré tant d’épisodes à trébucher, savoir se relever maintenant tête si haute se sachant enfin libre d’y apprivoiser cette si belle mission de visualisation, à chacun de se permettre de tout réinventer, d’un simple claquement de doigté si léger tellement fascinant aura été cette éducation à en faire rager son propre propriétaire ayant sacrifié tant de temps si indisposant, bien évidemment.

Un jour sera venu de se révéler comme le plus beau des plumeaux face à tant de familiarités enfin retracées , là droit devant ou sous ces pieds si bien reconnectés à cette immensité en pleine projection, comme de raison.

Le tout se voulant libre d’auteur, à chacun de se permettre d’en faire cette sortie du jour, obturateur en main pour y capturer cette image se démarquant si simplement, bien évidemment.

De ton propre projecteur qui, sans imitation ni remise en question, que cette solvabilité à remettre sur pied, sommation ou sous estimation pour le prouver, merci à toi surtout de lui proposer ce à quoi, à qui , envers quoi ou envers qui cette si belle attention du moment se sera retournée , se limitant ainsi à y encadrer cette si belle captation instantanée, enfin enregistrée sur ruban de plomb, cette écran si bleu si amoureux de toutes ces couleurs si vivifiées en ce retour à cette liberté de s’exprimer.

A ce retour à cette liberté,

Merci

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