C’est ainsi, et ce en toute légitimité, se savoir ainsi si près de ce buton qui de jour en jour se distinguera tout simplement de cette matière première, ce coeur d’enfant si affairé , en oubliant même sa propre distinction , cette unicité se voudrait-elle si facile à apprivoiser face à autant de moments de diversification, là droit devant , comme à cet instant si persistant , respirant tout librement cette gentillesse du jour, ce soleil se permettant même d’y remettre toujours plus de profondeur à cet environnement si inspirant, bien évidemment.
Pourquoi avoir à y subir autant de moments de questionnement finalement ?
C’est ainsi que tout ce qui se voudra de jour en jour si révélateur, cette heure de délivrance, ce courrier y recommandant littéralement de toujours et toujours sourire à belles dents et ce , malgré tant de difficultés à rencontrer, celles-ci ayant été crées de toutes ces pièces si théâtrales, à chacun finalement de remettre en boucle ou en miroitement ce qui de jour en jour se promènera cheveux dans le vent , le pas si léger tellement cette appartenance d’auparavant se sera même camouflée au tout prochain tournant, ce droit de liberté ayant toujours placé en prédominance sur cet encerclement si bien redessiné au goût de ce magicien de ce mot à dire et à redire, merci merci merci à cette infinité possibilité de pouvoir ainsi y satisfaire ce si beau savoir faire de sa propre universalité, alignée ou non à cette destination parsemée de si belles flagrances , ce mélange y communiquant même cette possibilité d’y départager sa propre unicité à ce tout un chacun au prise avec son propre moment de conspiration, comme de raison.
Pourquoi tant de détournements finalement ?
Un jour, ce tout un chacun aura à faire face à son propre miroitement, cette image de marque, ce porte-manteau si bien habitué d’y suivre ou poursuivre finalement ce qui de jour en jour fera de cette personnalité la plus heureuse des reproductions, se permettre d’y regarder droit dans les yeux celle ou celui qui , bien évidemment se promenait sans questionnement autre que cette acceptation, cette entièreté ayant eu comme recommandation de toujours mettre tous ces oeufs dans le fond de ce panier de ce patron de visualisation si bien élevé, promettant à tout instant fidélité à cet emploi du temps, bienvenue à toi, moment de représentation , celui qui de jour en jour se destinera à y communiquer directement selon cette attention de cet instant si persistant, s’arrêter de temps en temps pour y observer au loin ou non ce qui y aura été possible de façonner , littéralement ou intégralement, tout ceci se voulant bien évidemment libre de se choisir simple opérateur ou en d’autre temps, le seul et unique responsable de ce porte bonheur , sans bâton de marche ni soupçon à l’horizon, que ce coeur d’enfant si affamé de nouveautés , comme au bon vieux temps , courir après une si belle étincelle , cette mouche qui en pleine nuit se permettant même d’y amuser ce regard si évasif ou si affirmatif, si ébloui finalement cette distinction à longueur de journée sur ce parcours si bien décoré , du début jusqu’à la toute fin de cette journée , infiniment merci à toi, moment de réunification de parfaire ainsi ce qui de jour en jour se sera même permis d’y accumuler tant de moments à en oublier son propre coeur qui bat et y abattra si facilement toutes ces barrières d’auparavant, bien évidemment.
Pourquoi avoir eu tant de temps à trébucher?
Cette journée de divulgation se voudra un jour le plus beau retour d’ascenseur que toi seul aura le privilège de ressentir, infiniment merci de toujours et toujours faire de ton meilleur côté de cette surface de jeu la plus sincère des reproductions à démontrer à cette communauté entrain de s’élever au-dessus de son propre miroitement, infiniment merci à toi, soleil si révélateur de faire de ce meilleur temps d’arrestation la plus authentique des inspirations , à tout instant ou comme en ce moment qui, précisément ou non, y peaufinera ce contournement à enjamber un jour face à ce mur si élevé, cette diplomation, ce si haut taux de salaison, tous ces agents y limiteront finalement cette aspiration à son propre couronnement si important en ce retour à cette liberté d’expression, décompression en pleine exploitation après tant d’années à y compliquer ce si beau discours à écouter dans le silence de cette si belle résidence, cette muraille tracée avec cette encre sur cette chemise parsemée de cette tache ou toutes ces tâches à accomplir, infiniment merci de ralentir un seul et unique instant à la fois que pour mieux y ressentir cet avenir en devenir , si inspirant finalement de se savoir simple missionnaire face à autant de cadeaux d’anniversaire.
C’est ainsi que se baladera finalement ce paysan si bien habité par une telle agilité d’expression, sourire ainsi à tout instant que pour mieux y représenter ce qui, intérieurement ou extérieurement, séparément ou immensément attachés à ce point de focalisation, regarder au loin ou y ressentir de si près ce plaisir d’y confectionner son propre bonheur qui, à toutes occasions y suggèreront cette si belle réinitialisation, à chacun de dire oui à ce présent si insistant par mesure de solidarité à ce rêve d’enfant enfin remis sur pied, avancer sans le moindre regret, respect entre les dents, sourire le démontrant instantanément, bien évidemment.
Infiniment merci à ce tout un chacun pour tout ce temps passé à trébucher, à se relever, à tomber et retomber, à chacun finalement de se permettre de tricoter son propre manteau de protection de la couleur qui lui permettra finalement de se sentir affranchi d’une si belle intégrité, et ce , tout en dansant ou en sifflotant, tout en chantonnant ou en y embrassant ce si beau cycle de reproduction, cette chambre noircie par ce recueillement en temps réellement si polyvalent, infiniment merci à toi, moment de solitude de faire de ce si beau savoir faire la plus talentueuse des remises en doute tout en y harmonisant bien évidemment , ce souffle de visualisation à cette horizontalité si bien structurée, serait-ce maintenant possible de rêver à longueur de journée en ce retour à cette liberté d’y exprimer sa propre joie de sourire instantanément, comme à cet instant si percutant ?
Eh bien oui te répondra la bouche de ce carillon qui autrefois te proposait même d’y influencer ce miroitement , se savoir libre de penser à sa propre mission de visualisation, en instantanée ou non, à chacun d’y apposer sa propre chaudière tout au creux de ce puit y réclamant tout simplement qu’une simple touche d’attention, de temps en temps , ou constamment, à chacun de se permettre de lui rendre cette gratitude, celle qui lui conviendra , libre est celui qui se remettra à trébucher tellement ce miroitement se permettra d’y transmettre cette si belle exactitude , au fur-et-à-mesure, sans distinction de peau, du nombre de dents à cette dentition si éclaircie, sans regard à ce nombre de tableaux accrochés à ce mur de maison si bien décoré, sans nivellement à cette base de scénarisation, à chacun de se permettre d’y faciliter ce retour à cette modernisation, sans branchement particulier ni pare feu à installer, que ce si beau sourire à en faire déclencher cet embrasement à l’intérieur de cette récupération, cette raison si particulière d’y animer ce foyer dépourvu de cette si belle fumée blanche ou non, merci merci à ce tout un chacun pour ce plaisir d’y redécouvrir ce plaisir de se divertir instantanément, ce privilège lui ayant été confirmé au tout premier cri entendu après toute une virée , passant de cette poche d’eau salée pour se retrouver flambant nu face à cette communauté lui remettant cette gorgée de lait toujours chaud lorsque cet invité sera finalement prêt à y recevoir son propre dû, d’un jour à l’autre, nul un comme cet autre contournement d’attention, comme de raison.
Infiniment merci à toi, moment de rencontre si sécuritaire, merci de te permettre d’y déclarer chacune de toutes ces poignées de mains à cette réalité , ce retour à la maison se voulant bien évidemment le plus séduisant, comme à cet instant présentement à l’affiche, là droit devant ces yeux si émerveillés par autant de réalisations en instantanées, tel que décrié par cette universalité toujours aussi hospitalière malgré quelques réclamations à cette société où maladie rimera toujours à cette prescription à ingurgiter, infiniment merci d’y faire ressurgir cette humeur du jour comme étant la plus heureuse des suggestions à mesurer sur cet écran de projection , cette toile si bleue se permettant d’y appliquer tant de couleurs à cette lumière du jour face à autant de commentaires positivement surchargés d’une telle simplicité.
C’est ainsi finalement, ce passé se passant ainsi d’y faire disparaitre cette diffusion en instantanée , se savoir libre d’y apprécier ce qui de toute façon se mesurera à tout instant à ce sourire si différent d’heure en heure, de seconde en seconde, à chacun d’en faire son propre poids ou légèreté, cette immensité se voulant bien évidemment à remettre à cette perspective , celle qui dorénavant se voudra libre comme ce vent de côté ou de nouveauté , à chacun d’y ressentir à sa façon cette nomination tout au bout de ce parcours si accidenté , arborant même une certaine ressemblance à tous ces moments de détournement d’attention, ce coeur d’enfant si enfermé durant tant d’années d’effacement sur ce terreau si accueillant, à chacun d’y remaquiller cette image se démarquant systématiquement de ce moment de représentation , sourire aux lèvres se regardant droit dans les yeux de cette accoutumance, libre comme ce printemps si inspirant pour cette itinérance, ne sachant plus par où aller tellement cet enchantement y soulèvera cette simplicité à y exprimer cette si belle légitimité, d’un simple sourire à une autre épisode d’intronisation, comme de raison.
Tout ceci te semble qu’une simple mascarade ? te rediras-tu .
Tout ceci y aura été si bien décrit en direct de cette si belle intimidation, ce coeur d’enfant ayant eu tant de peine à se départir de tous ces tiraillements , à chacun d’y tisser ce lien d’amitié avec son propre patron de visualisation, y observer au loin ce qui de jour en jour se retrouvera instantanément au pied même de cette démarcation, cette ligne si bien tracée au fer rougie par cette raideur ou cette ardeur, à chacun de se limiter d’y apprécier ce privilège de tout remettre en 3D, sans effort autre que ce ralentissement à remettre en avant plan, avant même avoir eu le moindre soupçon ou regret, que ce soleil se réveillant à tous les matins que pour mieux y faire réfléchir finalement ce moment de rétention, y retenir son propre souffle de respiration face à autant de complicité, cette féminité se voudrait-elle tout simplement cette énergie à consommer , intérieurement en tout premier , cette mise en doute ou en route lui permettant ainsi d’en enflammer ou y enfermer cette amabilité à prioriser, à chacun d’en faire son propre parcours si individualisé, souriant comme le ferait cet enfant au coeur si léger, toujours prêt à y laisser tomber cette première pierre, cette harmonisation se voulant bien évidemment le plus beau moment de révélation en direct de cette réalité entrain d’y démontrer ce à quoi, à qui, envers quoi ou envers qui chacune de ces si belles manipulations, celles qui comme de raison s’arrimeront à ce retour à la maison, main dans la main avec son propre code de sécurité , en toute résonance avec cette si belle évidence au beau milieu de cette résidence si bien éclairée à en éblouir cette éternité si attentionnée.
C’est ainsi, avec ou sans chapeau à apporter, que chacun se lève pour y voir au loin ce qui , bien entendu se résumera à ce si haut taux d’appréciation, ce remerciement si réparateur en ces heures de délivrances, ces mots si intrigants y diluant si simplement cette dureté devenu si facile à manipuler , d’un simple claquement de doigté si bien exécuté, à toi maintenant de te tenir debout face à cette nomenclature dépourvue de cette si belle chevelure, cette allure y reflétant finalement cette sincérité ou non, à chacun de se permettre de lui tenir la main , ce coeur d’enfant y affirmant ainsi cet amourachement instantanément, ce temps perdu et qui perdura se voulant bien évidemment à prioriser à tout instant, bien évidemment.
Pourquoi finalement y prétendre cette toile de fond avant même avoir à y orienter ce rayon si facile à maximiser?
Tout ceci se veut et se voudra qu’une simple et si juste histoire de coeur, y découvrir de quelques couches ou y faire resplendir ce diamant si pur et si dur envers chacune de ces si belles remises en question, à chacun de lui permettre d’y agrandir ce regard si prétentieux, cette manière si particulière de faire de son propre temps de contemplation la plus belle des remise en route , y laisser aller cette si belle intégration , tout doucement au tout début, cette peur d’auparavant se limitant ainsi d’y laisser tomber cette première pierre, cette remise au jeu de ce sourire aux lèvres se voudrait-il finalement si valorisant avec ce temps de conspiration entre les mains de ce magicien de ce mot à déclarer, infiniment merci à ce tout un chacun pour cette donation à toute heure du jour, ce retour à la maison se voulant bien évidemment libre à chacun d’y voir opérer cette imagination avec une telle insistance, face à une si belle évidence.
C’est ainsi que se terminera cet entretien de cette matinée si bien arrosée, à chacun de se permettre finalement d’y attacher son propre cheval blanc si bien dressé ou de tout simplement y enjamber cette vulnérabilité , lui laissant ainsi tout ce temps nécessaire à y parfaire ce si beau savoir faire, d’un simple remerciement à l’autre, d’une simple remise à reculon à une autre levée de bouclier si bien entrainé, à chacun de discuter avec son propre miroitement, là droit devant, cette décoration si superflu y refusant ainsi cette accessibilité à toutes ces si belles promesses enfin tenues de la part même de cette intériorisation en pleine possession de son propre moyen de diffusion, en instantané sur cette banquise en terre cuite ou si bien installé sur cette glace de jeu si bien délavée , ce si beau diamant brut se voulant bien évidemment si fier de se proposer comme humble serviteur en ces heures de dénonciation, comme de raison.
Pourquoi avoir arrêté de rêver à ce retour à cette légèreté?
Tout ceci se veut et se voudra si difficile à expliquer mais si simple à démontrer, à chacun de se permettre d’y rassembler à tout instant ou non cette démesure face à cette si belle nomenclature, ce porte manteau qui autrefois se permettait d’y soutenir cette exagération d’exécution au nom même de cette acceptation, ce pourquoi d’un comment faire pour y ressaisir au bond ce qui de jour en jour se distinguera de cette communauté au prise avec tous ces détournements d’attention, à chacun de se permettre de ralentir un seul et unique instant à la fois, le temps lui permettant ainsi d’y mesurer ce qui y aura été entrevu et même aperçu instinctivement ou instantanément, que ce soleil laisse tomber cette première larme pour y laisser ainsi décider ce manquement d’attention , cette direction si difficile à orienter malgré autant de panneaux de signalisation lui interdisant de courir à tout instant après son propre couronnement, bien évidemment.
À ce tout un chacun, infiniment merci d’y laisser voir ce côté de cette route ayant servi d’éducation si volontaire, merci d’en faire cette personnalité entrain de se permettre de toujours y déclarer cette amitié à ce terreau si fertilisé d’émotions ou de récupération, à chacun de se permettre d’y laisser tomber son propre sourire à toute heure de cette journée si bien débuté par ce remerciement si séduisant, cette complicité se voulant bien évidemment libre de succomber à cette possibilité de concrétisation, à chacun de se permettre finalement de remettre en doute cette route si bien éclairée, cette simplicité se voulant si efficace face à autant de moments de présence, si rigoureux finalement ce gouvernail aux mains si délicates, épreuves y distillant ainsi cette remarque si particulière, à coup de marteau ou de manches à retrousser de ce si beau manteau si bien décoré.
Se pourrait-il que ce temps de gouvernance se mette à rêvasser à son propre couronnement finalement?
Bien évidemment te répondra cette si belle intériorité, pourquoi avoir eu tant de sincérité à mettre de côté de cette route si bien éclairée, serait-il possible un jour de revenir comme au temps d’auparavant, quelque soit le nombre de coup de tambour exécuté, quelque soit la force de ce moteur dans cette poche remplie à craquer, quelque soit le nombre de diplomations accrochées à la maison, quelque soit tous ces moments de conspiration à remettre en question en ce retour à cette multitude de sorties de routes , pourquoi remettre en doute cette légitimité d’y laisser miroiter son propre moment de sincérité face à autant de douceur annoncée en ce début de millénaire si révolutionnaire finalement?
En un seul et unique mot, infiniment merci à chacune de toutes ces si belles remises en question qui autrefois se voulaient libre d’y faire diverger cette actualité de tous les côtés, infiniment merci à ce tout un chacun pour leur intégration à cette remise en nomination, se savoir libre d’échapper à ce tourbillon de désinformation, celle qui à longueur de cette journée si bien éclairée se mesurant à tout instant à ce remerciement si bien ressenti , ce nouveau regard se voulant bien évidemment libre à chacun d’y élargir cette horizontalité , cette soif de sourire à tout instant face à autant de possibilité d’y exprimer son propre talent latent, ce mouvement de farce et attrape y procurant cette satisfaction instantanément, intérieurement ou extérieurement, là droit devant ou tout simplement face à tous ces moyens de diffusion en simultané pour une meilleure captation en réseau se rapprochant automatiquement à ce moment de ralentissement si particulier, à chacun d’en profiter aussi souvent que ce soleil se permettra d’y dupliquer cette immensité si assoiffée de si beaux moments d’appréciation, comme de raison,
Merci merci Merci
Le tout si bien décrié par cette habitation en phase de démolition ou de synthétisation, cette légèreté d’exécution se voulant bien évidement à privilégier en ce retour à cette liberté face à cette résilience, et ce ,en toute évidence.
Infiniment merci à tous ces moments de présence, merci surtout d’y transformer systématiquement cet environnement et ce, à partir d’une simple poignée de main si détendue , cette permission de courir à tout instant comme le faisait cet enfant au coeur si enjoué, ce retour à son propre berceau pour y ressentir cette similitude , cette réflexion sur cet eau glaciale ou non, à chacun finalement de se promener face à cette communauté entrain de se promettre de sourire instantanément et ce , malgré quelques courbatures ou sourcillements si bien interprétés sur cet écran où haute résolution s’arrimera à cette émission de billet de jeu, selon cette qualité retenu autour de ce but, ce panier troué ou non se voulant bien évidemment si bien équipé pour y récupérer ce qui lui aura été possible de faire miroiter, du tout début de cette journée si ensoleillée et ce, jusqu’au tout dernier souffle de visualisation parvenue à être aperçu au loin ou non, à chacun de se permettre d’y intriguer sa propre faculté de pouvoir rêver à tout moment de ce retour à ce lancer si léger , ce lac se reposant en y attendant cet invité parfois si excité d’y communiquer ce qui lui sera possible d’exprimer tellement cet enchantement se voudra si magnifique pour ces yeux à peine fermés pour une autre nuit d’activité, cette mise à jour demandant tout simplement que des éléments des plus positifs , en comprimé ou non, à chacun de lui redonner cette première poussée à proposer tout prochainement, au tout prochain tournant, là droit devant, bien évidemment.
Que cette source de chaleur si généralisée se permette de revenir au jeu, et ce à partir de ce consentement si personnalisé, à chacun de lui permettre d’y réchauffer cette première pierre si douce au toucher, par mesure de complicité.
Infiniment merci
De ton propre coeur d’enfant toujours aussi souriant malgré quelques années passé de l’autre côté de cette vitrine pourtant si bien nettoyée.
En te remerciant à tout instant , bien évidemment.
Ton propre coeur qui bat,
Merci