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En toute spontanéité

C’est ainsi, et ce malgré tant de difficultés ou tant de moments laissés de côté, tout ceci se voudra un jour redevenir ce si bel avenir  parvenu en tout temps  à se mesurer à cette si belle intériorité, soleil y approuvant ainsi instantanément tout ce qui lui aura été si bien proposé en première ou seconde noce, se retrouver tout à coup face à cette muraille y adressant bienvenue à ce prétendu survenant ou comme en ce moment tout en y signifiant cette polyvalence de tout remanier en son propre nom, ce retour à cette liberté se voudra de jour en jour parvenu à se faufiler tout autour de ces si belles recettes si bien ficelées,  intervenant lui signalant que son propre signalement se retrouvera à tout instant là droit devant , bien évidemment.

Tout ceci te semble un peu trop éphémère?

Tout ceci se voudra libre d’auteur ou d’y soulever tant de moments de sincérité, seul à seul avec sa propre coupure de tentation, sourire instantané face à cette loyauté, ce privilège de pouvoir y inspirer cette flagrance du jour, cette fleur si colorée ou ce soupçon de sensation qui, intérieurement parlant se verra un jour au loin ou si rapproché, à chacun de se permettre d’y calculer ou non cette remise au jeu et ce, sans la moindre permission à demander à cette projection, à chacun de se remettre à rêver et rêvasser comme au bon vieux temps, sans dentition ni combinaison de force, que cette spontanéité à récupérer tout au creux de ce milieu si rigoureux, ce coeur d’enfant ayant eu tant de temps pour se préparer après tant d’années d’intimidation à son endroit, infiniment merci à toi , moment de sollicitude de toujours et toujours avoir si bien reconnu cette appréciation et ce, malgré  tant de déception et de sous-estimation, comme de raison.

Pourquoi avoir permis cette si belle dévaluation?

Tout ceci est, sera et aura à tout instant  été si bien soutiré de cette tête d’allumette, celle qui d’un jour à l’autre aura si bien convenu que tout ce qui se voudra si  bien priorisé par cette si belle personnalité si bien coiffée, structurée ou encore avec toujours plus de tâches et taches à récurer, avoir ainsi eu tant de mise en place à regarder de l’autre côté de cette plage où horaire et oreillette se comparaient à tout instant , cette hauteur à escalader ou cette splendeur à observer au loin ou là, droit devant, sous ces yeux si émerveillés à longueur de journée, avoir tant appris de choses à faire avant même pouvoir un jour, ralentir selon cette demande si particulière, ce si beau savoir faire se voulant bien évidemment le plus judicieux des amoureux de cette terre entrain d’y imprimer à tout instant ce paysagement si personnalisé, à chacun de s’arrêter un seul et unique instant à la fois , figuration parfaite en avant  plan sur cette scène si sécurisée, à chacun son propre canal d’actualités finalement, infiniment merci de l’activer au doigt et à l’oeil, infiniment merci à cette si belle spontanéité d’avoir ainsi si bien voulu se retrouver face à cette coupure de ruban à chacun de ces évènements si bien préparés seul à seul avec son propre tourbillonnement, ou non, comme de raison.

C’est ainsi que se permettra enfin de revenir par en arrière ce rêve d’enfant inachevé, ce dernier ayant été oublié ou obligé de devoir se retrousser cette manche parfaitement associée à cette éducation , celle qui de jour en jour , selon ce si beau rythme de révolution ou de résolution, à chacun de refaire cette route à la renverse que pour mieux y apprécier tout ce qui encore aujourd’hui se peaufinera au nom même de cette demande en mariage, sans collation ni rémunération, que ce si beau souffle de visualisation à instaurer au beau milieu de cette instantanéité, tout ceci se voulant bien évidemment à apprivoiser après tant d’années à courir à tout instant après son propre miroitement si insistant, là droit devant, bien évidemment.

Un peu trop philosophique me rediras-tu encore une fois?

Tout ceci se veut et se voudra à tout instant si philosophique bien évidemment, comment faire pour remettre en boucle cette rigolade du jour , cette limonade entre les mains de ce magicien de ce mot à dire et à redire, infiniment merci à toi, moment de divulgation de toujours et toujours remettre en place cette exactitude en phase même de procréation, à chacun de faire de son propre miroitement ce réveil si matinal, se savoir simple créateur de mouvement en instance ou en toute insistance, à chacun de se permettre de rigoler à tout instant face à autant de moments de vérité, si vérifiables  instantanément, ce temps d’arrestation ayant eu ce privilège de se laisser cajoler au nom même de ce partage si secondaire face à autant de mariage à conjuguer, cette communauté ayant à tout instant cette manette de jeu , à chacun de l’utiliser à sa guise laissant ainsi ce souhait d’acquisition ou de remise si questionnable, cette intériorité ayant été estimée à cette grandeur d’étoile tout là haut, infiniment merci de la respecter tout au long de ce passage sur ce terreau si bien regarni de sourires en devenir , cette façon de faire se voulant bien évidemment libre à chacun de se l’imposer, infiniment merci pour ce souci ou sourcillement si instantané en ce début de journée , cette notion de temps ayant été replacée sous ces pieds si bien ancrés, cette spontanéité y récupérant cette solution , ce tire-bouchon étant à la toute fin de sa propre utilisation, merci merci merci  à toi, terre si bien comprise en ce début de millénaire si spectaculaire.

Pourquoi mettre autant d’ardeur sur cette couleur du jour ?

Ce soleil se réveillant à tous les matins se permettra à tout instant de tout remettre en avant plan, là droit devant ou encore disparu au tout dernier tournant, à chacun de  lui permettre de le projeter sur cet écran si sécurisé, si détendu cette couleur si bleue, cette perspective ayant perdue cette remise en questionnement, question finalement de confidentialité  , à chacun de lui indiquer tout ce qui se voudrait libre d’y être exécuté ou rassemblé en une simple poignée de main , infiniment merci à toi  révélation du moment , cette dernière ayant eu cette permission de tout remettre en 3D , là droit devant, 360 degrés d’observation pour y contempler ce paysage si beau à regarder  droit dans les yeux, à chacun de tout laisser tomber , sacoche en cuir si bien lissé ou capuchon sur cette tête pour y camoufler ce sourire en devenir, à chacun de faire de son propre commentaire un simple voeu à revigorer instantanément, se savoir simple itinérant aux milles et une comédies musicalement si bien synchronisées fera de ce monde en  meilleure transformation selon ce si beau cycle de construction , et si tout ceci se voulait si inspirant par cette universalité toujours entrain d’y imprimer tous ces billets de participation si individualisés?

Est-ce possible que ce tout nouveau millénaire se voudrait si léger à supporter sur ce dos si courbé finalement?

Ces toutes dernières années, 10, 20 , 30 ou encore plus de remisage, avoir appris à arrêter de rêver que pour mieux se permettre d’y abréger ce sourire aux lèvres si légalitaire, se savoir ainsi libre d’y construire ou reconstruire son propre moment de sévérité ou non, alors pourquoi continuer à piétiner ou marcher les yeux fermés de peur même d’y subir cette première gifle de cette partie à découvrir,  infiniment merci à ce tout un chacun de se permettre de  revaloriser avec cette si précieuse pierre si angulaire, si incisive soit-elle ainsi redevenu en ce retour à cette légèreté, cette manière si particulière de lui laisser tant de place dans ce paquebot entrain de crouler à flot, cette veste de flottaison si bien attachée à cet ancrage au bord même de ce gouffre se finançant si simplement de moments de tendresse ou de caresse , alors pourquoi se permettre de continuer ainsi , salivation en panne sèche de motivation,  merci merci merci à dire à tout instant , trois simples mots si condensés toujours prêts à se comparer à cette accumulation de possessions sans saveurs autre que ce menton si haut face à cet entourage si assoiffé de combativité.

Pourquoi devoir tant y opposer cette éventualité avec son propre couronnement , là droit devant ?

Avoir appris à tourner en rond, que pour mieux y magasiner ce week-end si beau à programmer après seulement quelques instants , heures de suppléance  qui de tout évidence y comprimaient cette indigestion du moment, ces hauts le coeurs ou cette senteur inopérable se voudraient-elles simples signalements de cet égarement sur cette si belle ligne du temps, à chacun de s’arrêter un seul et unique instant à la fois que pour mieux y observer tout ce que lui seul aura eu le privilège de confectionner, cet étirement de tentations ayant eu tant de recommandations à encadrer , tant de dimensions à ceinturer, tant de régularisation en opération à compromettre, à chacun de se permettre de rigoler du matin au soir ou non, au nom même de cette sincérité entrain de se balader au loin ou là, droit dans les yeux de cet amoureux si bien éduqué, laissant ainsi libre cette course où obstacles et moments de centralisation se compareront que pour mieux y diversifier cette remise en question,  infiniment merci à cette grandeur intérieure, quelle candeur me redirez-vous un jour, cette retrouvaille ayant été prénommée  mission de revitalisation au tout début de cette marche à reculon ou non, à chacun de se retrouver un jour face à cette instance de divorce ou de reconnexion , de la façon qui lui convienne, cette dernière étant toujours et toujours la meilleure qui lui soit permise de redorer en un simple clignement ou claquement de doigté si bien habitué d’appuyer sur ce bouton  en réaction à ce sourire si scintillant, bien évidemment.

Pourquoi avoir tant travailler?

Tout ceci se veut et se voudra à tout instant libre à chacun d’y apposer sa propre récompense un jour, si personnelle soit-elle enfin redevenue cette proximité toujours prête à y mimer ou y épier cette remise en forme, instantanément ou spontanément, dépendamment de cette intégration au fond même de cette cuvette si bien nettoyée ou empreinte encore aujourd’hui  de quelques soucis à remettre de ce côté de cette route d’auparavant, à chacun d’y nettoyer son propre projecteur à la hauteur même de cette rebellion, y écouter son propre coeur d’enfant à longueur de journée se voudra un jour si libérateur pour cette intériorité si opprimée après tant d’années de ruissellement , ce réchauffement si planétaire se voudrait-il à l’image même de ce moment de détournement d’attention interprété à l’unisson, comme de raison ?

Un jour , et encore là je vous le jure, sans jugement sur cette valeur intérieure ou sans préjugé sur cette si belle retombée, ce retour à cette liberté d’expression ou d’impression se voudra si valorisé par cette individualité, si particulière cette cuillerée d’ingrédients à suggérer à ce miroir qui en plein jour se voudra simple étirement de tentation, à chacun de tout remettre en questionnement , instantanément ou non, cette notion de temps ayant été si  bien comparée à ce savoir faire, cet incitatif si apprécié par tant de travailleurs du soir en ce début de ralentissement, intérieurement parlant ou non, à chacun d’y observer au loin tout ce que lui seul aura eu cette permission de tout remettre en repositionnement, tellement sincère ayant été cette misère à ressentir ou cette nuisance qui de tout évidence, ce pauvre patron de visualisation y subissant la moindre ingérence pour se retrouver un jour si proclamé  en ce début de reconnaissance, cette renaissance ayant mis tant de temps pour faire face un jour à cette immensité au coeur légèrement départagé entre ces deux côtés de médaillons, comme de raison.

En des termes plus clairs, cette soif de réagir spontanément à cet environnement y offrant tant de synchronicités ou tant de complexité se voudra un jour simple éducateur de mouvement ou  simple modérateur de tourbillonnement, à chacun de se permettre de lui tendre cette oreillette, cette dernière  ayant été submergée de sifflements qui de jour en jour se voudront à écouter ou écourter selon cet apprentissage, si sage cette réaction  si sédentaire, ralentir se voudrait-il simple mission de vie sur ce parcours si accidenté, à se comparer  à ce simple prix de consolation se voudra si révélateur à toute heure du jour, à chacun d’y laisser évoluer cette splendeur intérieure, sans boussole ni camisole y refermant ce regard si évasif pourtant, infiniment  merci d’y libérer cette glaçure intérieurement si succulente pour ce retour à l’arrière scène,  ce réchauffement si spontané y soutirera instantanément cette si délicieuse saveur   si personnalisée, vaporisant cette soif de respirer tout doucement et ce, malgré quelques compressions ou manifestations qui se pointeront sur cette si belle route si bien éclairée, en tout légitimité.

Pourquoi avoir à apprendre à relaxer finalement ?

Tout ceci se lisait sur cette première ligne de ce carnet de commandement remis au tout premier baiser, ce point de bascule l’ayant ainsi propulsé au delà de cette vision en pleine transformation, à chacun de se permettre de ralentir un seul et unique instant à la fois que pour mieux y rassembler tout ce qui , de jour en jour se peaufinera au nom même de cette sincérité, cette spontanéité étant la seule et unique particule à respecter , sourire aux lèvres pour l’occasion, cette sensation si forte de pouvoir à tout instant y suivre et poursuivre cette si belle intuition, sans commentaire autre à faire ou se défaire, cet environnement si compréhensif ou répulsif s’alignant instantanément à ce soleil lui répondant de la bouche même de ce canon où réaction si spontanée se verra à l’autre bout de cette arrivée si  parfumée, cette fleur du jour, cette gloire ayant convenu se comparer  à tout instant à ce moment de divulgation en accéléré, infiniment merci de mettre tant d’attention à tous ces commentaires si négatifs ou non, ce positivisme ayant toujours et toujours prédominance sur ce panneau de signalisation, comme de raison.

Pourquoi avoir tant envie de recommencer  de rêver en ce moment de rencontre si personnalisé?

Sans recommandations ni déclarations à faire que se voudra un jour se remettre à marcher, tout doucement en ce tout premier lieu, cette caverne où tous ces alliés, doigts si effilés et autres personnalités si bien inspirées, cette fée avec ou sans dentition au coeur si léger  , si tendre enfin cette matière de mâchouiller , cette mâchoire ayant été si attendrie tout à coup après tant de moments de rétention, sourire ainsi malgré tant de compromis, se savoir libre instigateur de mouvement , intérieurement ou non se voudra un jour incomparable en heures travaillées, en surplus budgétaires à recompter, à toutes ces portes de garages à cette demeure si bien décorée , c’est ainsi que se permettra de revenir au jeu ce privilège d’y apprêter son propre repas si nourrissant, si naturel finalement de faire de son propre parcours le plus personnalisé des compléments, cette projection ayant toujours et toujours cette raison de croire à cette complicité, se savoir ainsi si peu instruit face à toutes ces mises en pli ou amplitude se voudra un jour si libérateur à l’intérieur même de cette communauté entrain d’y rechercher cette complémentarité enfin prête à se laisser exploiter intimement , bien évidemment.

Tout ceci se veut et se voudra simple jeu de mots à dire et à redire, infiniment merci de faire partie de cette course où discussion et panne d’inspiration se retrouveront un jour au tour prochain départ vers cette ligne d’arrivée ou non, à chacun d’y redessiner cette marche à suivre ou à poursuivre, avoir appris à courir si vite se voudra à recalibrer sur ce fil de soie , cette araignée aurait-elle eu souffle de cette si belle discussion de l’autre côté de cette vitrine pourtant si disponible à tout instant bien évidemment.

C’est ainsi que prendra fin cet entretien sensuellement si révélateur,  avoir appris à y écouter cette ligne téléphonique si privilégiée fera ainsi détourner tous ces pilotes si automatisés, sans effort ni effacement, que ces sourires à intérioriser tout en le démontrant si simplement à ce si bel environnement si virulent, bien évidemment.

Tout ceci si bien soutiré de ce livret de formation remisé ou non, au tout début de ce parcours parsemé de bûches et bûcherons qui y déplaceront cette si belle récupération au beau milieu de cette identification, cette résidence si bien réchauffée de la meilleure façon qui lui soit permis de réclamer, naturellement parlant , bien évidemment.

A toutes ces bouches de ventilation, merci de transmettre tous ces voeux de sincérité à toutes ces individualités entrain de commencer à y réclamer son propre cadeau d’anniversaire, à toute heure du jour, cette acclamation sans point d’interrogation  y transformant bien évidemment ce présent si facile à déballer face à autant de possibilités d’y exprimer cette si belle loyauté encadrée tout autour de ce si beau panorama en 3D, parfois vu de tous ces côtés de route , d’auparavant ou comme présentement, intérieurement parlant et là droit  devant, libre de se comparer à ce sourire si enlevant, bien évidement.

Infiniment merci à tous ces points d’interrogation d’auparavant, merci surtout de recommencer à tourner de tous les côtés , un jour ce mouvement de fraicheur sera à la hauteur même de cette luminosité intérieure.

Le tout si bien décrié de la main même de cette supériorité enfin ajournée.

Merci de continuer de rêver et rêvasser à tout instant, tout ceci se voulant  réalisable   si facilement finalement.

Merci Merci Merci ..tout simplement !

De ton propre noyau de concentration,

Merci infiniment

crédit photo: pixabay

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